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Extrait ajouté par Folize 2019-01-27T13:26:13+01:00

— Je viens dîner chez toi ce soir.

— Quoi ?

— Je viens dîner chez toi ce soir.

— Mais non.

— Mais si.

— Mais tu peux pas t’inviter comme ça chez moi.

Raphaël le laissa parler tout en réfléchissant à son emploi du temps.

— Vingt heures, ça te va ?

— Non !

Eliott s’était levé, son expression partagée entre amusement et perplexité.

— J’amène du vin : blanc, rouge, rosé ?

— Mais tu écoutes ce que je te dis ? demanda-t-il dans un rire.

— Absolument pas.

— Et tu penses qu’on peut entretenir une relation de couple ?

— Tout à fait. Je prends un Scrabble.

— Quoi ?

— C’est une activité de couple.

— Hein ? Mais, mais…

— Tu n’as pas du travail, Eliott ? Je ne te paie pas à rien faire dans mon bureau.

L’air totalement ahuri qu’il affichait à cet instant le fit éclater de rire. Eliott sembla redescendre un peu sur terre et sourit.

— Tu es timbré !

Sans doute, mais s’il en jugeait par la manière dont les yeux d’Eliott pétillaient, ce n’était pas une mauvaise approche.

— Huhum.

— Tu ne viendras pas, tu dis ça pour me faire marcher.

Pourtant, il semblait attendre que Raphaël le lui confirme.

— Oh que si. Tu voulais autre chose ?

Eliott soupira en levant les yeux au ciel et commença à reculer.

— Si tu te pointes, je ne t’ouvre pas, lança-t-il d’un air menaçant avant de sortir.

Raphaël n’aurait su dire s’il était sérieux ou non. Si c’était le cas, il n’avait plus qu’à espérer qu’Eliott aurait changé d’avis d’ici là ou à se montrer très persuasif. Mais ce qu’il avait entrevu dans le comportement d’Eliott lui inspirait confiance. Sinon, eh bien… il rentrerait chez lui la queue entre les jambes et trouverait un autre angle d’attaque.

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Extrait ajouté par jujugarcea 2018-11-28T22:42:02+01:00

« — Anne, la meilleure amie, confidente d’Eliott, se présenta celle-ci.

— Oh, la femme que je dois séduire alors.

Il était sérieux là ?

Anne gloussa.

Elle était sérieuse là ?

— C’est ça.

— Anne, t’as pas ta garde ?

— Rabat-joie. »

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Extrait ajouté par -Shiraz- 2019-12-31T03:11:41+01:00

— Ça va être compliqué, tu sais, Raphaël, constata-t-il avant d’avaler une gorgée de café. Celui-ci haussa les épaules.

— Difficile, mais pas impossible.

— Si tu le dis.

— Et je n’ai jamais dit que je voulais l’effacer de ta vie, juste que tu passes le reste de la tienne avec moi.

Le clin d’œil l’amusa. Ils s’observèrent un instant, chacun souriant derrière son mug. Eliott ne pouvait pas s’en empêcher. La situation était plaisante, et oui, il appréciait ce petit jeu de séduction. Il n’aurait pas dû l’encourager, mais il se sentait à même de garder le contrôle et il était curieux de voir ce que Raphaël avait en réserve. Sans doute était-ce une chance qu’il n’essaie pas de jouer sur un plan physique où il était plus difficile de lui résister. Le silence se prolongea tandis qu’ils continuaient à s’observer.

— Télé ? proposa finalement Raphaël. Pourquoi hausses-tu les sourcils ?

— Scrabble et télé, tu as de drôles de méthodes de séduction.

Raphaël vida sa tasse d’un trait avant de se lever pour la poser sur la table. Il s’approcha de lui, son regard passant d’amusé à prédateur, et Eliott déglutit. Il s’enfonça dans le canapé quand Raphaël se pencha sur lui.

— Tu es sûr que tu veux que j’opte pour une autre méthode ?

Sa voix se fit plus grave, plus sensuelle, et Eliott s’y sentit réagir beaucoup trop rapidement. Leurs lèvres se rapprochèrent et quand il pensa encore une fois que Raphaël allait l’embrasser, ce dernier recula, télécommande en main et un air suffisant sur le visage. OK, ce n’était peut-être pas une bonne idée de le chercher. Raphaël se renfonça sans grâce aucune dans son coin du canapé et alluma la télé, il zappa quelque peu avant de s’arrêter sur une diffusion de Star Wars Rebels.

— J’aurais dû m’en douter.

— Tu ne vas pas me dire que tu n’aimes pas.

— Si.

— Alors, bois ton café, regarde et tais-toi !

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Extrait ajouté par Marie-758 2023-11-06T22:49:08+01:00

— Vous en étiez où ? demanda Alex lorsqu’ils eurent tous trinqué.

— On parlait du comportement de harcèlement de Raphaël envers sa nouvelle proie, lança Louis.

— Le fameux « Eliott deux jours », commenta Jo.

Raphaël adressa un regard chargé de reproches à son meilleur ami.

— Merci de raconter ma vie privée à tout le monde.

— Nous ne sommes pas tout le monde, remarqua gentiment Alex.

— C’est vrai.

— Alors ?

— Eh bien, juge par toi-même, s’amusa Louis en lui passant le téléphone de Raphaël. Alex commença à parcourir les messages.

— Ah oui, quand même, tu y vas à fond !

— Je fais en sorte de ne pas me faire oublier. — Subtil et délicat ! « Je suis au bureau, trop tentant de penser à toi. J’envisage d’aller faire pipi autour de ta chaise pour marquer mon territoire ! »

Il sourit. Celui-là, il le lui avait envoyé le samedi soir précédent alors qu’il avait bossé jusqu’à une heure avancée de la nuit, seul dans les locaux de RD communication.

— C’était une plaisanterie, je suis certain qu’il l’a bien compris.

— Et qu’a-t-il répondu ? demanda Jo.

— « Je vais mettre du répulsif autour de ma chaise et sur moi aussi, ce sera peut-être plus efficace que des mots. » Assorti de trois points d’exclamation dont je ne sais s’ils traduisent de l’humour ou de l’agacement. — Sans doute un peu des deux, concéda Raphaël.

— Au moins, il a le sens de l’humour, s’amusa Jo. Il a l’air moyennement réceptif, non ?

— C’est vrai qu’il ne semble pas très emballé, continua Alex.

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Extrait ajouté par Marie-758 2023-11-06T22:47:39+01:00

Pour l’heure, l’épisode de Doctor Who qui les avait scotchés un peu plus tôt se finissait. Une sonnerie retentit, le sortant de sa torpeur. Raphaël prit son téléphone.

— Oui ? … Chez Eliott.

Eliott fronça les sourcils. À qui était-il en train de parler ?

— C’est qui ? demanda-t-il.

— Louis, lui répondit Raphaël avant de poursuivre sa conversation. Non, nous sommes restés habillés tout du long… D’accord, alors pour plus de précisions, les seules parties de peau nue que j’ai vues sont son visage, son cou, ses mains, ses bras et ses pieds… Je ne suis pas fétichiste des pieds, Louis, ce sont des pieds, tout ce qu’il y a de plus commun.

— Hé, j’ai de très beaux pieds !

Raphaël remua la tête d’un air dépité et chassa le pied qu’Eliott secouait devant lui.

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Extrait ajouté par Marie-758 2023-11-06T22:46:21+01:00

— Tu m’invites à rentrer ou je dois forcer mon chemin ?

— Je… j’ai… mais…

Il se retourna vers son appartement tandis que Raphaël passait à côté de lui pour y entrer

– J’y crois pas

L’éclat de rire d’Anne retentit dans le couloir.

— C’est petit chez toi, entendit-il.

— C’est moi ou il est en train de visiter ? interrogea-t-il sa meilleure amie.

Même s’il souhaitait ne pas l’être, il ne put s’empêcher d’être amusé et admiratif du culot de Raphaël.

— Je dirais de faire comme chez lui, s’amusa Anne tandis que Raphaël posait sa veste et ses chaussures et mettait une bouteille dans le frigo.

Elle reporta ensuite son regard sur lui. Il prit sa mine la plus pitoyable

— N’essaie pas. C’est bien trop difficile d’échanger une garde, je ne le ferai pas juste pour te servir de chaperon. Tu peux le faire, Eliott.

Elle se pencha à son oreille.

— Je te rappelle qu’Hugo et toi n’êtes pas ensemble. Quoi de mieux pour être sûr de toi que de tester autre chose.

— Anne.

— J’adore Hugo, tu le sais, mais ce Raphaël… muy caliente.

— L’accent espagnol ne te va pas du tout. — Huhum.

— Je t’attends, Eliott ! lança Raphaël.

— Mais t’es toujours aussi chiant ?

— Toujours !

— Tu ne veux pas prendre tes cliques et tes claques et rentrer chez toi.

— Non.

— Tu sais que je peux appeler les flics ?

— Et leur dire quoi ? Que j’ai illégalement mis une bouteille d’un très bon blanc dans ton frigo. Waouh, tu crois que je risque combien d’années de prison pour ça ?

La bise qu’Anne lui déposa sur la joue résonna dans le couloir alors même qu’elle pouffait de rire et qu’il se retenait d’en faire autant. S’il commençait à rire aux blagues de Raphaël, ce dernier se sentirait encore plus légitimé dans son comportement.

— À demain, Eliott. Je t’appelle.

— Anne, geignit-il.

Elle lui envoya un baiser du bout des doigts et ouvrit la porte qui menait aux escaliers. Il se retrouvait donc seul avec Raphaël, un Raphaël plus sexy que jamais. Il ferma les yeux, pensa très fort à Hugo, au fait qu’il n’avait pas besoin de complexifier la situation, ce qu’une soirée avec Raphaël pourrait bien faire. Il prit une profonde inspiration et expira tout aussi lentement. Quoi qu’il se passe, il se faisait la promesse qu’il ne coucherait pas avec lui. Sur cette bonne résolution, il rentra dans son appartement et ferma la porte derrière lui.

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Extrait ajouté par Marie-758 2023-11-06T22:43:54+01:00

— T’es de nouveau dans l’ascenseur, le taquina Anne.

Il réalisa seulement à cet instant qu’il se taisait. Il rougit.

— Peut-être… oui.

— OK, donc là, tu ne vas pas me dire que vous n’avez fait que vous embrasser, je ne te croirais pas.

Comment le lui cacher de toute façon ?

— Non, pas que, en effet, même si on s’est embrassés un long moment, en tout cas, c’est ce qu’il m’a semblé et puis…

Et puis les mains de Raphaël s’étaient glissées dans son pantalon et le plaisir avait enflammé ses sens. Une fois encore, il fallait éviter de le dire de cette façon-là.

— Disons qu’on…

Oh merde ! Il n’était pas un gamin rougissant. Il pouvait raconter ça à sa meilleure amie sans virer pucelle !

— On s’est masturbés.

Les yeux d’Anne s’agrandirent et son sourire devint rayonnant.

— Sérieux ? Dans l’ascenseur ? Vous déballez le matos et c’est parti, conclut-elle dans un claquement de doigts.

Son front s’effondra dans sa paume prête à le recevoir. Parfois Anne lui faisait peur.

— Quoi ? C’est ça, non ?

— Oui, en mode quéquettes à l’air et sperme sur les mains.

La tournure de phrase fit pouffer Anne.

— Et ton boss vous a surpris. C’est pour ça que tu penses qu’il va te virer.

— Non.

— Il y a une caméra de sécurité dans l’ascenseur et tout le monde vous a vus.

Il sentit ses yeux s’écarquiller.

— Quoi, tu n’y avais pas pensé ?

— Non ! Oh, mon Dieu, j’espère que non.

Il réfléchit un instant.

— C’est… non, y en avait pas. Ou alors il ne manquerait plus que ça.

— En attendant, tu ne m’as toujours pas dit pourquoi tu penses être viré.

— Je pourrais si tu ne partais pas dans des théories délirantes et effrayantes.

— Tu marques un point. Alors ?

— C’est lui mon boss !

— Sérieusement ? Raphaël-super-coup est Raphaël Dorisson ?

— Tu as bien entendu. Qui aurait pu penser à ça ?

Il renversa la tête sur le dossier de son canapé. La situation était sans aucun doute hallucinante, mais…

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Extrait ajouté par Marie-758 2023-11-06T22:40:44+01:00

—OK, comment dire… J’ai…

Non, sérieusement, il avait beau être très proche d’Anne… Il devait exister un moyen détourné de dire ça sans tomber dans la vulgarité.

—Allez, crache ta Valda, Lefebvre. Où avais-tu disparu ?

Un petit rire lui échappa à la voir devenir plus bourrue.

—J’étais avec quelqu’un.

Il aurait pu jurer voir l’œil noir d’Anne se mettre à briller d’intérêt.

—Oh oh, commenta-t-elle.

—T’emballe pas, c’était juste, tu sais… Pour le sexe et…

De nouveau il bougea et grogna.

— Tu as mal où ? Il t’aurait pas frappé, rassure-moi ? T’as pas essayé un truc BDSM ou je ne sais quoi ?

— Non mais, qu’est-ce qui te fait… Non mais, Anne, sérieux ? Du BDSM ?? Faut que tu arrêtes avec tes bouquins.

Son amie ne retint pas un sourire.

— Eh bien, tu sais, celui dont je t’ai parlé, L’initiation de Claire, l’héroïne a comme toi longtemps été en couple avec un mec qu’elle a rencontré jeune et elle réalise qu’elle…

— Et tu t’arrêtes là, parce que le fouet, c’est pas mon truc, ça ne le sera jamais, et…

— En l’occurrence, c’est pas un fouet, c’est…

— Anne !

— OK, s’avoua-t-elle vaincue. Revenons-en à toi et à ton état. Tu m’expliques pourquoi je te vois grimacer dès que tu bouges.

— Disons qu’on a un peu abusé.

Les sourcils redessinés au crayon d’Anne se froncèrent.

— Comment ça, abusé ?

— On l’a beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup fait, compléta-t-il.

— Oh, tu veux dire que tu as mal au…

— Oui, c’est ça. Entre autres.

Ils s’observèrent en silence un instant et puis éclatèrent de rire. La contraction de ses abdos ne faisait rien pour arranger son état, mais il ne parvenait pas à s’en empêcher. Anne, de son côté, s’essuyait les yeux.

— Sérieusement, je n’arrive pas à croire que tu te sois fait défoncer le…

— Anne, si tu veux qu’on reste amis, ne finis pas cette phrase.

— Pourquoi pas ? Et puis quoi, c’est la vérité ! Vous l’avez fait combien de fois ? Tu l’as rencontré comment et tu l’as vu quand et…

L’hilarité d’Eliott redoubla. Anne et ses questions version semi-automatique… ça l’avait toujours fait rire.

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Extrait ajouté par Pegh 2020-12-16T22:43:32+01:00

Il soupira. Tout aurait été tellement plus facile s’il avait pensé à prendre son numéro de téléphone, ou simplement son nom de famille, quelque chose d’un peu plus utile pour lui mettre la main dessus que son amour pour les sushis et le saucisson. Il savait juste qu’il avait un boulot qu’il ne semblait pas aimer et un boss saoulant. Eliott l’avait évoqué une fois ou deux dans un soupir avant qu’il ne lui change les idées d’un « encore ».

Encore.

Combien de fois avait-il prononcé ce mot en deux jours ?

Il lui suffisait de fermer les yeux pour s’entendre réclamer ce « encore » d’une voix étouffée contre la peau d’Eliott, là juste dans le creux de son cou.

— Encore, murmure-t-il alors qu’Eliott vient de marmonner qu’il devrait peut-être prévenir son infâme patron et…

Il ne sait trop quoi. De toute façon, il ne veut pas le laisser parler de son travail, car ce serait revenir dans la réalité, et pour le moment, il refuse même d’envisager cette possibilité.

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Extrait ajouté par Moridiin 2019-01-13T15:00:12+01:00

— C’est simple quand je t’écoute.

— C’est pour ça que tu devrais toujours m’écouter.

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