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— Et pourquoi j’ai pas le droit, moi, d’amener des filles dans ma chambre ? râla-t-il en me jetant un coup d’œil.

Sa sœur lui donna une tape sur l’arrière du crâne.

— La ferme. Lucas est un adulte ; toi, tu n’es qu’un pré ado excité par tout ce qui bouge.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-04-18T17:25:56+02:00

“Choosing to be with you, isn't a difficult decision, Jacqueline...It's easy. Incredibly easy.”

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Lentement, il descendit la fermeture, les yeux dans les miens. J’avais l’impression que mon corps se libérait sous ses doigts, et je le regardais en haletant. Lorsqu’il eut terminé, il marqua une pause puis murmura :

— Je voulais te dire… Je n’ai jamais fait ça avec quelqu’un… qui comptait pour moi. Ça n’a jamais marché.

J’avais dû mal entendre.

— Comment ça, c’est la première fois que tu fais l’amour ?

Il soupira et vint poser ses mains sur ma peau nue.

— Non, j’ai déjà couché avec des filles, mais c’était toujours des aventures d’un soir.

Je n’étais pas… attaché. Et il n’y en a pas eu tant que ça, d’ailleurs. Beaucoup plus au lycée que ces trois dernières années. (Il me sourit tristement et passa un doigt à l’orée de ma ceinture ouverte.) Alors je suppose qu’en un sens, oui, on peut dire que je n’ai jamais fait l’amour.

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Extrait ajouté par Kiiwako 2014-09-20T09:58:21+02:00

— Il s’est excusé. Il a rampé. Il a dit qu’il s’excuserait et qu’il ramperait devant toi, si tu le lui demandais. Il a juré qu’il n’aurait jamais cru Buck capable de s’abaisser à ça pour avoir une fille, vu qu’elles se jettent toutes à ses pieds. Je lui ai pourtant dit, il y a trois semaines, que ça n’avait rien à voir avec le sexe. Que c’était une question de domination. (Elle se redressa sur les coudes pour me regarder.) Mais il ne m’a pas écoutée. Et maintenant, avec Buck qui va se faire inculper de viol – maintenant, il m’écoute.

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Extrait ajouté par Melou78 2014-09-10T19:53:21+02:00

« — Jamais j’aurais imaginé que je serais aux premières loges pour assister à ce genre de drame, quand je me suis inscrit en éco. J’ai l’impression d’être dans une émission de téléréalité. Trop cool ! »

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Extrait ajouté par kats-at 2012-08-06T15:05:47+02:00

« - Choisir d'être avec toi, n'était pas une décision bien difficile à prendre. C'est facile. Incroyablement facile.»

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Lucas:

" Je voulais te faire écouter ce groupe que je viens de découvrir. Je me suis dis que ça te plairait peut être."

On était assis par terre, le dos calé contre mon lit. Quand je fus prête, il appuya sur "lecture".

Au moment où la musique envahit mes oreilles, il planta son regard dans le mien. Je n'entendais rien d'autre que la mélodie, ne voyait rien d'autre que ses yeux sur moi. Quand il se pencha plus près, je sentis son odeur rassurante. Posant une main sur ma joue, il m'embrassa doucement, en rythme avec la chanson. Son baiser avait le goût du tic Tac menthe fraîche qu'il venait de sucer.

Il me donna l'ipod, me prit dans ses bras et me posa sur le lit, où il s'allongea à côté de moi. Ensuite, il m'enlaça et m'embrassa jusqu'à ce que le premier morceau cède la place au second, puis au troisième. Quand enfin il s'écarta, j'enlevais un écouteur pour le lui donner. On resta ainsi, c^te à côte sur mon lit étroit (on tenait tout juste à deux), à écouter ensemble, plongés dans la musique. A un moment il changea de musique, et je compris qu'il l'avait choisi spécialement pour moi, au- delà d'un groupe qu'il voulait me faire connaître ou d'une discussion sur nos goût musicaux."

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Je m'installai à côté de lui, mais en restant perchée au bord du siège, pour bien lui faire comprendre que je n'avais pas l'intention de rester. Son regard se planta aussitôt dans le mien, et ses sourcils bruns disparurent sous la mèche qui lui barrait le front. Je n'avais jamais connu quelqu'un avec des yeux aussi clairs. Ils étaient quasiment transparents.

Il était manifestement étonné de me voir. Un bon signe, d'après Erin et Maggie.

-Salut, dis-je avec un sourire discret aux lèvres, en espérant renvoyer l'image de la fille qui hésite entre intérêt et indifférence.

Toujours d'après Erin et Maggie, cette première impression était capitale pour le bon déroulement du plan.

-Salut.

Il ouvrit son bouquin d'éco par-dessus le carnet à dessins qu'il avait devant lui, mais j'eus le temps de voir un croquis détaillé du vieux chêne qui trônait au milieu du campus et qu'on vénérait tous. Il était allé jusqu'à dessiner la clôture en fer forgé autour.

Je déglutis.(Intéressée, mais indifférente.)

-Dis, je viens de me rendre compte que je ne me souvenais plus de ton prénom, depuis l'autre soir. J'avais bu trop de margaritas, sûrement.

Il passa la langue sur ses lèvres et m'observa un long moment avant de me répondre; suffisamment longtemps, en fait, pour que je me demande s'il le faisait exprès, s'il voulait voir combien de temps j'allais tenir avec mon (indifférence) à la noix.

-C'est Lucas? Et je ne crois pas te l'avoir dis.

Là dessus, Heller fit une entrée fracassante en accrochant sa mallette à la poignée de la porte, ce qui le fit trébucher. Grâce à la bonne acoustique de la salle, son "Et merde" résonna dans tout l'amphi. Lucas et moi nous sourîmes pendant que nos petits camarades gloussaient bêtement.

-Sinon, tus sais... euh, l'autre fois, quand tu m'as appelée Jackie? dis-je. En fait, c'est Jacqueline, maintenant.

Il pencha légèrement la tête, et répondit simplement:

-Ok.

Je me raclai la gorge et me levai brusquement-le surprenant une nouvelle fois, à en juger par son expression.

-Ravie de te connaître en tout cas.

Un autre sourire, puis je lui tournais le dos et fonçai vers ma place.

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Extrait ajouté par Kiiwako 2014-09-20T09:55:26+02:00

Spoiler(cliquez pour révéler)La lune était cachée par les nuages et, comme j’étais garée au fond du parking, les lumières de la résidence ne m’étaient d’aucune aide. Je dus y aller à l’aveuglette. La pointe d’un porte-mine vint se planter dans la chair tendre de mon doigt : je pestai un bon coup en trépignant du talon aiguille, quasiment certaine de m’être fait saigner. Enfin, je trouvai le trousseau ; je portai mon doigt à la bouche et, au léger goût métallique, je sus que la pointe avait bien transpercé la peau.

— Évidemment, râlai-je en insérant la clé dans la serrure.

Dans les secondes qui suivirent, la confusion fut telle que je ne compris pas tout de suite ce qui m’arrivait. Un instant auparavant, j’étais tranquillement en train d’ouvrir ma portière, et voilà que je me retrouvais à plat ventre en travers de la banquette, incapable de respirer et encore moins de bouger. Je ne pouvais pas me relever : il y avait trop de poids sur moi.

— Tu sais que ton costume de diablotin te va bien, Jackie ?

La voix était clairement éméchée, mais je la reconnaissais sans peine.

Ma première pensée fut Je t’interdis de m’appeler comme ça, mais mon agacement vira à la terreur pure lorsque je sentis qu’on remontait ma robe déjà très courte. Impossible de bouger mon bras droit, qui était coincé entre la banquette et moi. Je plantai les ongles de la main gauche dans le cuir à hauteur de ma tête pour tenter de me redresser, mais la paluche qui me malaxait la cuisse réagit en me saisissant brusquement le poignet. Je poussai un cri quand il me le tordit dans le dos et le maintint fermement en calant son avant-bras entre mes omoplates. J’étais complètement bloquée.

— Buck, bouge de là. Lâche-moi.

Ma voix était un peu chevrotante, mais je m’étais efforcée de mettre le plus d’autorité possible dans le ton. Il empestait la bière, et quand les relents se mélangèrent à l’odeur âcre de sa transpiration, j’en eus des haut-le-cœur.

Il transféra son poids sur le côté droit de mon corps, et aussitôt sa main libre fut de retour sur ma cuisse gauche. La portière du pick-up était restée ouverte et mes pieds pendaient à l’extérieur, inutiles. Je tentai de glisser un genou sous moi pour faire levier. Il s’esclaffa devant mes efforts pathétiques et profita de mes jambes écartées pour y fourrer ses doigts. Son geste m’arracha un cri et je dépliai aussitôt la jambe – trop tard. Je me tortillai en tous sens pour me dégager, mais dus bien vite me rendre à l’évidence : je n’étais pas de taille à lutter. Alors, je changeai de tactique.

— Buck, arrête, l’implorai-je. Je t’en supplie. Tu as trop bu, tu le regretteras demain. Oh, mon Dieu…

De son genou, il me força à écarter les jambes plus encore, et je sentis l’air nocturne sur ma peau nue, très haut, bien trop haut. J’entendis le bruit (reconnaissable entre tous) d’une fermeture Éclair qu’on ouvre, et son rire redoubla quand il vit que je perdais pied et commençais à pleurer.

— Oh non, non, non, non…

Écrasée sous son poids, je ne pouvais pas mobiliser assez de souffle pour hurler au secours et, de toute façon, mon visage aplati contre la banquette étouffait mes protestations. Je n’arrivais pas à croire que ce type, que je connaissais depuis plus d’un an et qui ne m’avait jamais manqué de respect quand je sortais avec Kennedy, m’agressait dans mon propre pick-up sur un parking du campus.

Tout à coup, ma culotte se retrouva à mi-cuisse, et entre l’acharnement de mon assaillant à vouloir me l’enlever et mes efforts renouvelés pour lui échapper, j’entendis le fin tissu se déchirer.

— La vache, Jackie, j’ai toujours su que t’avais un cul d’enfer, mais à ce point…

Enfonçant de nouveau ses doigts dans mon entrejambe, il se redressa légèrement quelques secondes – juste assez pour me permettre de prendre une grande inspiration et de hurler. Aussitôt, il lâcha mon poignet pour me plaquer la tête contre le siège jusqu’à ce que je me taise, au bord de l’asphyxie.

Même libre, mon bras gauche restait inutile. Quand je posai la main à plat sur le sol moquetté et poussai un grand coup, mes muscles endoloris refusèrent de m’obéir. Je pleurai de plus belle et les larmes vinrent se mêler à la salive qui collait à ma joue.

— S’il te plaît, non, s’il te plaît, non, oh, Seigneur, arrête-arrête-arrête…

Je détestais l’impuissance qui transpirait dans ma voix, cette image de faiblesse que je projetais.

De nouveau, il se redressa – il avait changé d’avis, ou sa position n’était pas assez confortable. Je n’attendis surtout pas de savoir ce qu’il en était. En me contorsionnant comme une folle, je repliai les jambes sous mon corps et pris appui sur la banquette (je sentis le talon pointu de mes chaussures déchirer le cuir souple) pour me propulser vers la portière côté passager, et plus précisément vers la poignée. Le sang me monta au visage, mon corps tout entier se préparant à lutter jusqu’au bout si je n’arrivais pas à m’enfuir. Brusquement, je m’arrêtai : Buck n’était plus dans le pick-up.

Au début, je ne compris pas ce qu’il faisait debout, le dos tourné, à quelques pas de la portière. Mais soudain, sa tête partit violemment en arrière. Une fois, deux fois. Il frappa au hasard et rencontra le vide. Puis il recula vers le pick-up en titubant, et je vis enfin contre quoi – ou plutôt qui – il se battait.

L’inconnu assena deux autres coups de poing sans jamais quitter son adversaire des yeux, et esquiva facilement les quelques attaques faiblardes que Buck tenta, le nez en sang, tandis qu’ils tournaient en rond. Pour finir, Buck baissa la tête et chargea comme un taureau – ce qui causa sa perte, car l’homme n’eut qu’à lui décocher un uppercut dans la mâchoire pour en terminer avec lui. Quand la tête de Buck revint en place, il se prit un bon coup de coude dans la tempe, et on entendit un craquement sinistre. Il rebondit contre le pick-up et se rua de nouveau sur l’inconnu, avec toute l’énergie du désespoir. Comme si la scène avait été chorégraphiée, ce dernier empoigna Buck par les épaules et l’attira violemment à lui pour lui donner un dernier coup de genou sous le menton. Buck s’écroula à terre en gémissant, et se mit aussitôt en boule.

Le jeune homme l’observait, poings serrés, bras légèrement pliés, prêt à continuer si nécessaire. Mais ce n’était pas la peine : Buck était à deux doigts de s’évanouir. Toute pantelante, je me recroquevillai dans mon coin, l’état de choc laissant soudain la place à la panique. Je poussai sûrement un gémissement malgré moi, car il braqua les yeux dans ma direction. De sa santiag, il fit rouler Buck sur le côté et se posta devant la portière pour mieux me voir.

— Ça va ?

Il me parla d’une voix basse, attentionnée. J’avais envie de lui dire oui. De hocher docilement la tête. Mais comment aurais-je pu ? Ça n’allait pas du tout.

— Je vais appeler les secours. T’as besoin d’un médecin, ou la police suffira ?

Je voyais d’ici la scène : les fêtards accourraient depuis la résidence voisine dès qu’ils entendraient les sirènes hurler. Erin et Chaz n’étaient pas les seuls amis que j’avais à cette soirée ; il y en avait beaucoup d’autres, et la plupart n’étaient pas en âge de boire de l’alcool. Ce serait ma faute si les flics venaient fouiner là où il ne valait mieux pas. Je deviendrais vraiment un paria, plus encore que je ne l’étais déjà.

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Extrait ajouté par nini84 2014-09-19T22:16:31+02:00

-Et tu veux en venir où, au juste?

Erin me fit un sourire jusqu'aux oreilles.

-Je veux en venir au fait qu'on passe toutes par une phase Bad Boy, et que t'es enfin prête pour la tienne.

-Ooohh, soupira Maggie.

-Euh, je pense pas...

-Exactement. Ne pense pas. tu va séduire ce Lucas, et, grâce à lui, tu vas te remettre en selle. C'est ça qui est bien avec les mauvais garçons : ça ne les dérange pas qu'on se serve d'eux pour se requinquer après une rupture, vu qu'ils n'ont pas l'intention de s'éterniser, de toute façon. Si ça se trouve, même, il adore faire ça. Surtout dans une situation comme la tienne, il va pouvoir t'apprendre plein de trucs cochons.

Maggie approuva cette idée complètement fille, par un seul mot, qu'elle accompagne d'un long soupir:

-Chanceuse...

lepetitmondedeceline.blogspot.fr

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