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Liste des extraits

Lucas : Salut :)

Moi : Salut :)

Lucas : Qu’est-ce que tu fais ?

Moi : Rien de spécial. Je bûche mon éco.

Lucas : Je voulais te parler à la fin du cours, mais t’as disparu.

Moi : J’ai un autre cours juste après. Et c’est un de ces profs qui s’arrêtent de parler et te dévisagent jusqu’à ce que tu t’assoies, quand t’arrives en retard.

Lucas : Si on me faisait ça, je crois que je prendrais encore plus mon temps pour m’installer. ;)

Tu devrais venir au SB, vendredi après-midi, y a jamais personne. La maison t’offre un américano, ça te dit ?

Moi : Un café gratuit ? Je ne peux pas rater ça. J’essaierai de passer. À quelle heure t’y seras ?

Lucas : Tout l’après-midi, jusqu’à 17 heures.

Moi : OK.

Lucas : À vendredi, Jacqueline.

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Erin : T’as toujours ton gobelet de café ?

Moi : Oui, pourquoi ?

Erin : Enlève la manchette en carton.

Moi : J’y crois pas !!!

Erin : Son numéro ?

Moi : Comment t’as su ??

Erin : Parce que je sais tout, tu sais bien. ;) Non, en fait, je me suis demandé pourquoi il avait écrit sur ton gobelet puisqu’il a préparé lui-même ta boisson.

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Erin : Comment s’est passée l’OBB phase 1 ?

Moi : Réussi à lui faire dire son prénom, à retourner m’asseoir comme prévu et à ne pas le regarder une seule fois après.

Erin : Tip top. On se retrouve dans une heure pour peaufiner la stratégie avant la phase

2. ;)

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Au lieu d’élever la voix comme les autres, il se pencha tout près de mon oreille et demanda :

— Tu danses avec moi ?

J’eus le temps de sentir son souffle chaud et l’odeur de son after-shave (un parfum simple et viril) avant qu’il ne s’écarte et plante son regard dans le mien. Erin me fit part de son opinion en me donnant un coup de coude enthousiaste entre les omoplates : Qu’est-ce que t’attends pour dire oui ?

Je hochai la tête, et il me prit par la main pour se frayer un chemin parmi la foule, qui s’écarta tout naturellement devant lui. Arrivé au milieu de la piste en bois usé, il se retourna et m’attira à lui, sans jamais lâcher ma main. Quand on eut trouvé le rythme de cette chanson lente, il prit mon autre main dans la sienne et ramena doucement les deux derrière mon dos, faisant de moi sa captive. Quand mes seins frôlèrent son torse, je luttai pour ne pas montrer combien ce léger contact me faisait de l’effet.

Je n’avais quasiment autorisé personne à me toucher jusque-là, refusant catégoriquement tous les slows qu’on me proposait. Mais à force d’ingurgiter des margaritas, même mauvaises, la tête commençait à me tourner. Alors, je fermai les yeux et le laissai me guider, en me disant que la seule différence entre lui et les précédents garçons était mon taux d’alcoolémie. La minute d’après, il me libérait pour poser les mains dans le creux de mes reins ; les miennes remontèrent vers ses biceps. Hyper fermes, comme je m’y attendais.

Mes doigts tracèrent un chemin jusqu’à ses épaules, tout aussi musclées. Enfin, je les croisai au niveau de sa nuque, et ouvris les yeux.

Il avait un regard si pénétrant, si intense que mon coeur se mit à battre très fort.

Je finis par me hisser sur la pointe des pieds, pendant que lui se penchait pour entendre ma question :

— Si-sinon, tu fais des études de quoi ? soufflai-je.

Du coin de l’oeil, je vis ses lèvres se relever en un petit sourire.

— T’as vraiment envie de parler de ça ?

Il me maintint tout contre lui, nos corps se touchant du buste jusqu’aux cuisses, en attendant ma réponse. Je n’arrivais pas à me rappeler quand j’avais ressenti un tel désir, si pur et absolu, pour la dernière fois.

Je déglutis difficilement.

— Tu veux dire, plutôt que d’autre chose ?

Il rit, et je sentis les vibrations jusque dans ma poitrine.

— Plutôt que de ne pas parler.

Ses mains se firent plus fermes sur mes reins, et je sentis ses pouces appuyer sur ma cage thoracique.

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Arrivant par le pied du lit, il rampa lentement vers moi et me ramena les bras audessus de la tête, doucement, comme il l’avait fait la première fois où il m’avait dessinée.

Ensuite, il croisa mes poignets l’un par-dessus l’autre et les immobilisa. Il m’avait enseigné

toutes les façons possibles et imaginables de se dégager de cette prise, mais je n’avais pas la moindre envie de m’échapper. Il était d’humeur féline – l’une de mes préférées, même si cela voulait dire qu’il allait me rendre folle avant d’en avoir terminé avec moi. Je m’en mordillai la lèvre d’avance.

Il planta son regard dans le mien et j’observai ses si beaux yeux de près, chose que jamais je ne me lasserais de faire.

— Ma seule contrainte est géographique, et il s’agit de l’endroit où tu vis.

Se penchant vers moi, il passa la langue sur mes lèvres et, dans le même temps, ses doigts effleurèrent ma peau nue jusqu’à ce que, au bord du gouffre, je me cambre et m’empare de sa bouche d’autorité.

Il me libéra les poignets et je l’étreignis fermement, sentant nos coeurs battre à l’unisson tandis que ses baisers suivaient les courbes de mon corps, depuis le lobe de mon oreille jusqu’à…

— Choisir d’être avec toi n’a rien d’une décision difficile, Jacqueline, chuchota-t-il avant de s’écarter une dernière fois pour me regarder dans les yeux. C’est facile. Incroyablement facile.

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Extrait ajouté par ssws 2018-02-09T16:48:33+01:00

Son regard se fit ardent.

-Jacqueline ?

Je clignai des yeux.

-Oui ?

-Le soir où on s'est rencontré... Je ne suis pas comme ce type-là.

-Je sais que....

Il posa un doigt sur mes lèvres, et son expression s'adoucit.

-Alors je ne veux pas que tu te sentes forcée. Ou que tu aies l'impression de me céder. Mais j'ai vraiment, vraiment envie de t'embrasser. Maintenant.

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L'amour n'est pas l’absence de logique

Mais une logique arrangée et réarrangée

Sans cesse remodelée

Pour épouser les contours du cœur

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Extrait ajouté par ouiteup 2016-01-27T23:51:00+01:00

Génial. J'étais passée du statut de petite amie indépendante à celui d'accessoire vaguement utile en soirée.

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Extrait ajouté par Cstance 2015-07-08T23:09:09+02:00

— T’es sûre qu’il ne s’est rien passé d’autre, vendredi soir ?

Je me frappai brusquement le front.

— Mais oui ! J’avais complètement oublié qu’on avait fait l’amour comme des bêtes toute la nuit.

Elle s’esclaffa et, tout à coup, eut l’air d’avoir une illumination.

— Et s’il avait une petite amie ?

Je fronçai les sourcils. Je n’avais pas pensé à ça.

— T’as raison, c’est possible

Je songeai à autre chose, une chose que j’étais obligée de garder pour moi : et si, à cause de ce qui m’était arrivé le soir de notre rencontre, il me voyait comme une fille pathétique et un peu cruche (après tout, c’était ce que je ressentais), et n’arrivait vraiment pas à passer outre ? Ces quelques minutes terrifiantes continuaient à me hanter, et mon altercation avec Buck quelques jours plus tôt n’avait fait que raviver mon sentiment d’insécurité. Ce ne serait pas la dernière fois que je le croiserais. Il appartenait à la même fraternité que Kennedy. Il était copain avec Chaz, Erin, et tout mon ancien cercle d’amis. C’était quasiment impossible de l’éviter.

— C’est clair qu’une copine, ça nous mettrait des bâtons dans les roues, fit Erin d’un air songeur.

Soudain, je me demandai si Landon Maxfield était avec quelqu’un. Il n’y avait jamais fait allusion, mais pourquoi aurait-il dû ? Je le voyais mal ajouter à la fin d’un mail « P-S : Au fait, je suis casé. » Mais je pouvais sûrement trouver le moyen de lui poser la question. Il avait l’air si sincère, j’étais persuadée qu’il me répondrait.

— J ? dit Erin, interrompant le fil de ma pensée.

— Hein ? Euh, désolée.

Tout en finissant son smoothie à grand bruit, elle leva un sourcil interrogateur.

— À quoi tu penses, dis-moi ? Je connais ce regard calculateur, et en tant qu’entremetteuse officielle de Jacqueline Wallace, je dois être au courant de tout ce que tu mijotes.

Je pris le reste de mon sandwich, enlevai les rondelles de tomates et les empilai dans un coin de mon plateau. Je ne pouvais pas lui parler de Buck. Cependant, je pouvais lui avouer mon intérêt grandissant pour Landon.

— Tu te souviens de mon tuteur d’éco ?

Elle hocha la tête, l’air perplexe, et subitement, l’idée d’entretenir une relation virtuelle avec quelqu’un quand on côtoyait tous les jours des milliers de célibataires à la fac me parut être la chose la plus ridicule au monde.

— Eh bien, parfois, j’ai l’impression qu’on flirte. Et une fois, il m’a dit que Kennedy était un crétin

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Ecoute, les mecs, c'est l'équivalent humain des chiens. Les femmes savent ça depuis la nuit des temps. Les mecs n'ont pas envie qu'on leur coure après, ce sont eux, les chasseurs. Alors si tu veux en attraper un, il faut que tu fasses en sorte que ce soit lui qui te coure après.

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