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Extrait ajouté par Cassandra835 2023-12-26T22:49:02+01:00

-Il agite dix mille billets devant mon visage, mec. Je dirais que je ne t'ai jamais vu de ma vie 😂

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Extrait ajouté par Pegh 2022-03-28T23:43:16+02:00

Au moins, cette fois, nous n’avions pas à conduire jusqu’à Joshua Tree. La soirée se déroulait dans le pied-à-terre d’Isaac à Beverly Hills.

Pied-à-terre. À Beverly Hills. Quel genre d’univers parallèle privilégiait-il les blancs ?

Tout compte fait, ce n’était pas si impressionnant. Oui, oui, oui, des millions de mètres carrés, une immense allée, des serviteurs en smoking, une énorme fontaine pour gaspiller l’eau, un lustre en cristal qu’un membre du personnel sous-payé devait probablement dépoussiérer à la main un mardi sur deux. Ennuyeux. Après Joshua Tree, ce n’était qu’un autre manoir criard qui n’était pas assez ambitieux pour inclure une porte géante et une piscine pouvant accueillir un porte-avions. Comme c’était excitant – une représentation en trois dimensions de ce que les gens faisaient quand ils avaient bien trop d’argent.

À l’intérieur, nous déposâmes nos manteaux au vestiaire. Sérieusement, il y avait un putain de vestiaire dans cette maison ! Apparemment, empiler les manteaux sur le lit de quelqu’un n’était pas assez bien pour ces gens-là. Seigneur !

Avant de rentrer, j’avais pris une photo de la maison et l’avait envoyée à Ashton et Luis avec "Voilà le pied-à-terre de mon beau-père. C’est quoi ce bordel ?"

Puis j’avais rangé mon téléphone dans ma poche, fis un effort surhumain pour ne pas afficher une expression qui crierait "vous vous foutez de moi" et suivis Jesse dans la salle de bal.

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Extrait ajouté par Velandra 2020-04-21T21:22:25+02:00

Elle roule, elle est belle et elle est à moi, putain ! Tu es coincé tout en haut de ta tour d’ivoire depuis trop longtemps pour comprendre combien c’est une nouveauté.

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Extrait ajouté par Velandra 2020-04-21T21:20:19+02:00

Tout irait bien pour moi. Tout irait bien pour eux.

Alors que j’étais assis dans ma toute nouvelle voiture, je n’eus pas honte de l’avouer.

Je me mis à pleurer.

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Extrait ajouté par Velandra 2020-04-21T21:16:27+02:00

Ai-je l’air suffisamment convenable pour un endroit estampillé VIP ? Aurais-je dû porter autre chose ? Est-ce que je vaux un million de dollars ? Parce que je suis ici pour convaincre un homme que je vaux un million de dollars.

Oh, chéri, s’émut une voix dans ma tête. Tu ressembles à douze billets d’un dollar froissés.

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Extrait ajouté par Folize 2019-08-24T15:13:33+02:00

Donc, visiblement, Jesse et moi allions nous marier. Ça allait se produire. Nos familles avaient été informées, les tabloïds qui suivaient les Ambrose fouinaient partout – bien qu’il y ait suffisamment de scandales politiques et de célébrités pour que nous ne méritions pas beaucoup d’attention – et les préparatifs étaient en cours. Brusquement, ce n’était plus un plan sur le papier. Nous parcourions les décorations, remplissions les documents, ce qui signifiait que nos vies étaient soudain consumées par les planifications. Bon, ce n’était pas comme si nous nous occupions des décorations et autres conneries, puisque Carolyn avait insisté pour engager du personnel pour tout, sauf pour essuyer les culs lors de la réception de mariage, mais il nous revenait de prendre toutes les décisions sur les détails. Putain de merde ! Pourquoi y avait-il tant de détails ?

- Seigneur ! soupirai-je en laissant tomber le classeur sur une pile de ses congénères qui attendaient sur le comptoir. Je n’ai pas fait autant de préparatifs la première fois où j’ai été passif.

Jesse s’étrangla sur son café.

- Désolé, dis-je.

- Non, tu ne l’es pas du tout, fit-il remarquer en toussant.

- Tu as raison.

Je réprimai un sourire. En quelque sorte.

- Ça va ?

Il m’adressa un doigt d’honneur, alors je pris ça pour un oui.

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Extrait ajouté par MAMIKAT31 2019-06-10T12:47:55+02:00

— Merde, il était sérieux au sujet de te payer ?

— Oui. Très sérieux. 

— Un million de dollars. Juste pour faire semblant d’être marié avec lui ?

Je hochai la tête, incapable de parler. Et pourquoi diable mes yeux me piquaient-ils ? Près de moi, Ashton renifla.

Je m’essuyai discrètement les yeux.

— Tu n’es pas en train de pleurer, si ?

— La ferme. Toi aussi.

Oui. Nous pleurions. Assis dans sa poubelle, dans le parking de notre trou à rats, nous pleurions, car nous n’aurions plus besoin de nous partager deux cents dollars en trois pour une semaine et que nous n’aurions pas à le faire à la prochaine paye non plus.

Il était impossible que Jesse comprenne que réfléchir était un point discutable. La famille Ambrose était plus riche que Crésus, puisque la grand-mère paternelle de Jesse était une star du cinéma dans les années 30 et 40. Et du côté maternel, on ne faisait pas ses courses à l’armée du salut non plus. La pauvreté était un concept aussi étranger pour eux que l’était la richesse pour nous.

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