Ecstasy and me : La folle autobiographie d'Hedy Lamarr
Auteur
- Hedy Lamarr (Écrivain)
Classement en biblio - 3 lecteurs
extrait
Être bien informé, être sensible, être conscient sont souvent la source de beaucoup de malheurs.
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La lecture de cette autobiographie m'a laissée perplexe, j'ignore pourquoi, mais j'ai eu un énorme sentiment de justification et de mystification de la part d'Hedy Lamarr
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Parce qu'elle a longtemps été "la plus belle femme du monde ", Hedy Lamarr n'a pas une filmographie marquante, les studios la rabaissant à des rôles de femmes sensuelles voire perverses. Lucide sur les magouilles des studios, lucide sur les rapports humains, elle souffrait de cette carrière et prenait ses distances au point de paraître misanthrope. Quand "elle laissait une chance aux gens", c'était pour mieux se faire berner ou pour épouser un homme qui voyait un trophée en elle et non une femme et une mère de famille. Ce livre, écrit par des "aides", ne rend pas vraiment hommage à cette femme, tombant dans le travers de réduire Hedy à sa sexualité et mettant de côté son passe-temps d'inventeur (outre le procédé qui porte son nom, les boissons lyophilisées).
Le livre reste intéressant pour son évocation des noms de Hollywood, du système des studios, et de la "machine à broyer" qu'est le milieu du cinéma.
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Ecstasy and me : La folle autobiographie d'Hedy Lamarr
- France : 2018-04-05 - Poche (Français)
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Résumé
Beauté vénéneuse, filmographie fournie et amants célèbres : Hedy Lamarr avait tout pour figurer au panthéon des reines d’Hollywood. Mais, quoiqu’elle fût sacrée « plus belle femme du monde », tournât aux côtés de Clark Gable et Spencer Tracy, et inventât le système de télécommunications à l’origine du wifi, Hedy Lamarr semble avoir joué de malchance. Sans doute était-elle trop sulfureuse pour l’Amérique des années 1940. Elle accède à la notoriété en mimant pour la première fois un orgasme au cinéma ; fuit son premier époux, déguisée en femme de chambre ; se marie six fois ; revendique sa bisexualité ; prend pour amants les plus grandes stars ; abuse de la chirurgie esthétique ; dilapide sa fortune ; se retire de la vie publique à 40 ans, ne réapparaissant qu’au gré de ses condamnations pour vol à l’étalage. Dans cette autobiographie controversée, elle livre les détails de son ascension spectaculaire, brossant un portrait décadent de l’âge d’or d’Hollywood.
Récit au style incisif, Ecstasy and Me retrace le destin d’une femme qui s’épuisa à essayer d’être libre.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Charles Villalon.
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