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Extrait ajouté par nadoss 2016-05-28T16:12:01+02:00

– Vous manquez affreusement de civilité, mademoiselle, vibre une voix masculine inconnue à faire dresser les poils et fondre le reste.

Je prends un coup dans le plexus et dois cligner des yeux deux ou trois fois pour être sûre d’avoir bien entendu. La voix grave a guidé mon regard vers un autre visage : celui du costume gris. Le mec est CANON. Sa coupe a beau être courte, on dirait qu’il sort des draps tout chauds du matin. Instinctivement, je cherche les effluves du four du boulanger et du croissant chaud. J’attends l’aérosol.

Lui aussi se focalise sur moi. Pendant une seconde, il se contente de me regarder en silence comme s’il s’attendait à ce que je m’excuse. En tout cas, la force qui émane de lui montre qu’il est à l’aise dans l’adversité. Surtout dans l’adversité.

Un guerrier.

– Qu’est-ce qui vous fait croire que vous pouvez me regarder ?

Connard.

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Extrait ajouté par MadameLit 2017-09-17T21:20:45+02:00

Les vagues ne se brisent pas entre elles. Seuls les écueils les brisent. Et la vie est pleine d’écueils.

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Extrait ajouté par MadameLit 2017-09-17T21:20:30+02:00

–Je déteste quand tu me rends faible, chuchote-t-elle.

–Moi, j’aime quand tu es faible parce que ça me rend fort, dis-je en caressant ses cheveux.

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Extrait ajouté par violette6989 2017-08-07T13:41:32+02:00

- Excuse-moi ? Bébé ? C’est le bureau ? dit-il ne le portant à l'oreille. Alors Jun ? ça donne quoi ?... d’accord… (son visage se décompose.) QUOI ?

Brusquement, ses yeux paniqués ont l’air de chercher sur les murs de la pièce la sortie de secours. Que se passe-t-il encore ?

- OK. C’est une erreur… bien sûr, marmonne-t-il… tu es sûr de toi ?... Bon Dieu !... Je m’en occupe.Quelle erreur ?

- Envoie tes résultats à Phil. Tout. Je veux un deuxième avis. Compris ?

Qui a fait une erreur ? Lui ? Moi ? que lui a appris Jun ? D’un coup, la foudre pourrait tomber, j’en aurais rien à faire.

- La note, s’il vous plaît, tonne-t-il vers le serveur en raccrochant.

Même pas capable de me regarder en face. Les hommes, franchement, ça me déroute. Mon imagination assemble les morceaux comme elle peut. Pitié, pas ça… c’est au-delà des larmes. Je ne fais jamais de retour en arrière. Ma naissance sans père, je ne m’en plains pas. Ma jumelle sacrifiée, j’assume. Mais l’histoire ne doit pas se reproduire. Jamais.

- Que se passe-t-il, Matthew ?

- Pas maintenant, putain ! jure-t-il au comble de l’indigestion.

Chez lui aussi, la nouvelle a du mal à passer. Puis il se ravise en voyant ma tête et pose sa main sur mon avant-bras. Blessée de m’être fait repousser, je m’écarte d’un geste vif en hurlant presque.

- Ah non ! avale de travers si tu veux, mais sans moi !

Voilà, c’est dit, je déteste le rejet.

Comment puis-je expliquer ce que je ressens ? Je veux être seule. Quelque part, j’ai toujours su que je finirais seule et vieille fille avec un chat miteux et acariâtre. C’est ça qui m’attend. Je profite qu’il soit sous le choc pour descendre de ce maudit tabouret avant que mes jambes flanchent. Tête haute, je passe devant lui et son air médusé.

- Ou vas-tu ?

- Retrouver mon chat.

Le guerrier a l’air aussi halluciné que moi. Normal, pourquoi sauterait-il de jour, hein ? Sans aller jusque-là, il pourrait se sentir plus concerné, non ? Au lieu de ça, je me suis devenue une « erreur ».

Avant, je n’étais « rien ». On progresse vachement.

Arrivée devant l’ascenseur, je presse le bouton d’appel et je m’engouffre dans la première cabine disponible. Je descends les 450 mètres dans un état de choc absolu jusqu’à ce que les portes s’ouvrent à nouveau sur le hall d’entrée. Les gens sortent devant moi dans un atroce brouhaha de vie normale. Comment est-ce possible ? Le monde aurait dû s’arrêter de tourner. Oh non…

Droit devant, Akito se dresse tel une herse à clous.

- Madame, monsieur Garret souhaite que vous attendiez dans la limousine.

Je réponds aussi sec /

- Eh bien, le lion devra utiliser sa main droite.

Akito me regarde comme si je venais de lui lancer une prote de bébés chauvesouris rouges au visage. Quand on sait que la chauve-souris rouge est particulièrement bénéfique au Japon et que cette couleur a le pouvoir d’éloigner le démon, c’est dire le choc de ce pauvre Akito. Je fonce sur le parvis pour héler un taxi, le bras en l’air, mais l’armoire à glace me suit comme mon ombre. Tout penaud. Je fais su peur que ça ?

- Madame, je vais avoir des ennuis…

- Je suis d’accord ! avec Garrett, on n’a QUE des ennuis.

Son regard blêmissant de Japonais mal à l’aise passe alors par-dessus mon épaule…

- Dans la voiture, Alex. TOUT DE SUITE !

Je bondis en l’air. C’est une manie ! Regard noir donnant l’image de la ruine, de la destruction, du chaos. Inutile de discuter.

Je déglutis. Deux fois.

Et meeeeerde… »

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Extrait ajouté par MadameLit 2017-09-17T21:20:09+02:00

–Tu gardes les yeux ouverts, comme ça, quand tu es sur le point de jouir ? J’espère que oui, tu es magnifique.

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Extrait ajouté par karinechouzier 2018-07-28T18:05:08+02:00

Le vibreur de mon portable bourdonne sur la commode.

Enfin des nouvelles de Max :

[Vol Paris-Tokyo. J'entreprends la blonde d'à côté.

Elle m'attire dans les toilettes et se met l'huile d'olive du plateau-repas sur le corps parce que c'est un bon lubrifiant.

Résultat : j'ai eu l'impression debaiser ma salade.]

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Extrait ajouté par MadameLit 2017-09-17T21:20:19+02:00

–Stupide n’est pas le mot que j’emploierais te concernant. Tu es pleine de paradoxes, Alex Sand. Tu peux être d’une grande force pour me suivre malgré ce que tu sais déjà, adorablement rebelle face à l’amant qui souhaite tout te dérober, mais pleine de préjugés quand je te propose de l’argent. C’est déroutant. Le reste du monde semble fade à côté de toi.

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Extrait ajouté par MadameLit 2017-09-17T21:20:00+02:00

–C’est toi mon parfum préféré, Alex Sand. Tu me rends fou. Tu me rends beau. Je mesure trois mètres avec toi, dit-il en plongeant entre mes cuisses.

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Extrait ajouté par armel86 2018-08-05T15:17:06+02:00

Alex ne le sait pas encore.

Il n'y a pas de nous.

Il n'y en aura pas.

Mais quel que ce soit ce qui se passe, cette relation comptera.

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Extrait ajouté par MarinaPetrova 2018-01-14T18:52:16+01:00

-Victor Hugo disait "il n'est rien d'aussi puissant qu'une idée dont l'heure est venue" je ne te réveillerai rien de mon passé mais j'ai décidé de te montrer ce que j'aime faire au femme en terrain neutre.

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