Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 144

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Je m'installai sur le siège conducteur. Je fermai les yeux et pris quelques profondes inspirations en passant la main sur le siège passager, dans l'attente du contact, de la chaleur d'une autre main à saisir. Ne pleure pas. Ne pleure pas. Je vais bien, tout va bien. À ce moment-là, je sentis une autre main prendre la mienne et, en ouvrant les yeux, je vis la petite main d'Emma et son visage barbouillé de chocolat. Elle souriait de toutes ses dents et je ne résistai pas à faire de même.

- Ça va, Maman?

Une respiration.

- Oui, mon bébé. Ça va.

Afficher en entier

- Papa a besoin que tu te battes pour respirer. Il faut que tu ailles mieux, parce que j'ai besoin de toi. Je sais qu'on dit que ce sont les enfants qui ont besoin de leurs parents, mais c'est faux. J'ai besoin de toi pour continuer. J'ai besoin de toi pour continuer à croire au monde. Mon chéri, j'ai besoin que tu te réveilles. Je ne peux pas te perdre, ok ? J'ai besoin que tu me reviennes... Je t'en prie, Charlie... Reviens avec papa.

Afficher en entier

Le moindre des vêtements que Steven possédait vint rejoindre les autres par terre.

Je m'allongeai sur la pile, en me roulant dans son odeur ténue que je feignis de trouver toujours là. Je murmurai son nom, comme s'il pouvait m'entendre, et j'embrassai l'idée qu'il me tenait dans ses bras et me couvrait de baisers.

Les larmes venues de mon cœur douloureux se répandirent sur la manche de son t-shirt préféré, et je m'enfonçai de plus en plus dans mon chagrin. Mes pleurs étaient sauvages et chargés de douleur, comme ceux d'une créature plongée dans une peine indescriptible. Tout me faisait mal. Tout était brisé.

Afficher en entier

Quand Steven est mort et que nous avons déménagé pour aller vivre chez ma mère, il y avait des plumes blanches éparpillés dans le jardin devant la maison. Quand Emma a demandé ce que c'était, maman lui a dit que c'était des petits signes que nous envoyaient les anges pour nous faire savoir qu'ils étaient près de nous et nous protégeaient.

Emma avait adoré cette idée et chaque fois qu'elle trouvait une plume, elle regardait le ciel et murmurait en souriant :

- Moi aussi je t'aime, Papa.

Puis elle se prenait en photo avec la plume pour l'ajouter à sa collection de photos intitulée "papa et moi".

Afficher en entier

- On devrait arriver à temps pour voir le feu d'artifice depuis notre toit. Tu te souviens quand on regardait les feux d'artifice sur le toit avec papa ? Tu te souviens de ça, mon bébé ?

Elle plissa les yeux comme si elle cherchait au fond de ses souvenirs. Si seulement notre esprit était comme un classeur dans lequel nous pourrions simplement retrouver nos souvenirs les plus chers dans un système bien organisé à chaque fois que nous en aurions envie !

- Non, je ne me rappelle pas, dit-elle en serrant Bubba contre elle.

Cela me brise le cœur.

Je souris malgré tout.

Afficher en entier

- Oui ?

Les mains en porte-voix autour de la bouche, ils se mirent à crier :

- ON T'AIME !

Je souris, puis je leur criai que moi aussi je les aimais.

Afficher en entier

Ne fuis pas l'occasion d'être heureux à cause d'un accident. Parce que, au bout du compte, il ne s'agit pas de tarots, ni de cristaux, ni de tisanes magiques. Ce n'est pas là que réside la magie.

La magie réside dans les petits moments. Dans les petites attentions, les sourires affectueux, les rires muets. La magie, c'est de vivre l'instant et de s'autoriser à respirer et à être heureux.

Mon cher garçon, la magie c'est d'aimer.

Afficher en entier

« Ne fuis pas l’occasion d’être heureux à cause d’un accident. Parce que, au bout du compte, il ne s’agit pas de tarots, ni de cristaux, ni de tisanes magiques. Ce n’est pas là que réside la magie. La magie réside dans les petits moments. Dans les petites attentions, les sourires affectueux, les rires muets. La magie c’est de vivre l’instant et de s’autoriser à respirer et à être heureux. Mon cher garçon, la magie c’est d’aimer. »

Afficher en entier

J’avais besoin d’air. J’avais besoin d’espace. J’avais besoin de m’enfuir.

J’avais besoin de courir.

Je me mis à courir sans chaussures, sans penser, et sans direction.

Zeus se mit à courir avec moi.

– Rentre à la maison, Zeus !

Le chien était aussi trempé que moi.

– Va-t’en !

Je hurlais. J’avais envie qu’on me laisse tranquille. Je me mis à courir plus vite, mais il suivit. Je pressai tellement l’allure que ma poitrine était en feu et qu’il devenait pénible de respirer. Je courus jusqu’à ce que mes jambes défaillent et que mon corps roule sur le sol. Un éclair zébra le ciel au-dessus de nous, dessinant des cicatrices, et je me mis à sangloter de façon incontrôlable.

Je voulais être seul, mais Zeus était là, à côté de moi. Il m’avait suivi, malgré mon rythme fou, il était juste à côté de moi quand j’atteignis ma limite, et il n’avait pas l’intention de me laisser. Il était sur moi, me léchant le visage, me donnant son amour, se donnant à moi pour que je le tienne quand j’avais le plus besoin de quelqu’un.

– D’accord.

Je soupirai, les larmes coulaient toujours tandis que je le serrais contre moi. Il gémit comme si, lui aussi, il avait le cœur brisé.

– D’accord.

J’embrassai le dessus de sa tête tout en lui caressant le flanc.

D’accord.

Afficher en entier

Tu connais ce lieu situé juste entre le rêve et le cauchemar?

Ce lieu où demain n'arrive jamais et où hier ne fait plus souffrir? Le lieu où ton coeur bat à l'unisson avec le mien? Où le temps n'existe pas et où il est facile de respirer?

C'est là que je veux vivre avec toi.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode