Commentaires de livres faits par Elinaewen
Extraits de livres par Elinaewen
Commentaires de livres appréciés par Elinaewen
Extraits de livres appréciés par Elinaewen
à identifier.
La douleur de son épaule irradiait maintenant dans tout son corps. Son esprit enfiévré ne concevait plus que des gémissements, mais elle ne trouva pas la force d'émettre le moindre son.
— Tout va bien. Tu es en sécurité.
Elle s'abandonna à la voix réconfortante de cet homme et laissa sa tête rouler sur sa veste. Lorsque l'odeur du cuir mouillé se fut frayée un chemin jusqu'à sa conscience, tout lui revint brusquement à la mémoire.
Elle n'avait pas fait un horrible cauchemar : elle l'avait vécu. Alors la peur revint. Une poussée d'adrénaline la fit se raidir — ce qu’une nouvelle vague de douleur lui fit aussitôt regretter.
Son gémissement franchit enfin ses lèvres, alors qu'elle essayait en vain d'ouvrir les yeux.
— Tellement mal... Tellement fatiguée...
— Faibles, vulnérables et pathétiques, grommela son ravisseur. Dors, Ariel.
Sans se soucier de la dureté de son jugement, elle laissa les ténèbres l'engloutir de nouveau.
- Je t'avais prévenu... la lessive c'est tellement dégueu qu'on ne peut même pas se lécher les poils pour les laver!
-Ah... nom d'un chien... Et on est censés faire quoi alors? Comment on se débarrasse de ça?
-...
On dit que les chats détestent la pluie... mais elle a de bons côtés aussi!
- Divine pluie!
Après tout, ça nous est bien égal... nous, tant qu'il y a de la nourriture pour tout le monde, nous n'avons aucune raison de refuser qui que ce soit!
Et c'est ainsi que le petit chaton nous a rejoints...
(voir aussi : SANG / CIRCULATION SANGUINE / LEUCÉMIE)
Le sang représente la joie de vivre, l'amour et les émotions. Lorsque
les globules rouges du sang sont insuffisants ou que le nombre de cellules
sanguines est faible, il s'ensuit souvent un manque de fer dans le sang puisque
le fer est au centre de la molécule qui forme les globules rouges. Cet état est
relié à un manque de joie, de force et de profondeur dans l'amour que j'ai pour
moi et les autres ; à mes croyances dans ma capacité d'aimer vraiment avec
force et détermination ; à un découragement et au refus de vivre ; ou à
l'impression d'être sans valeur et d'avoir des résistances face à l'amour, d'où
cette dévalorisation de ma personne. On peut même vivre du désespoir et de
la résignation. Je peux aussi manifester beaucoup de rigidité face aux
événements de la vie. En résumé, tous ces symptômes sont le résultat d'une
grande faiblesse au niveau sanguin. En anglais, le « Fer » s'appelle « Iron » et
on peut faire un jeu de mot en changeant « Iron » (fer) par « I run » qui veut
dire en français « je cours ». De même, on peut remplacer le mot « fer » par son
homonyme « faire ». Ainsi, la personne anémique ne sent plus suffisamment
de joie et de motivation à accomplir tout ce qu'il y a à faire (il y a un manque
de « faire », ou un manque « à faire ») et ne se sent plus en mesure de courir
pour obtenir ce qu'elle veut.
expérience de l'amour liée à notre performance."Quand tu es gentille, tu fais plaisir à maman!"On a peut-être gardé l'impression qu'on doit faire quelque chose de spécial ou être quelqu'un de bien pour mériter l'amour des autres. On n'est pas aimée tout court, sans condition, juste pour qui on est. Beaucoup d'entre nous ont continué à agir comme des"bonnes filles"pour conserver l'amour des autres.
anodin, insignifiant? La douleur est une expérience si profondément humaine, si universelle. Peut-on I'éliminer de notre condition humaine sans sacrifier notre capacité de ressentir, notre conscience, notre
liberté?
Longtemps, on s'est imaginé que le foetus à l'abri dans le ventre maternel, ne percevait rien jusqu'à la naissance.
Se mettre à l'écoute de son bébé, voire espérer communiquer avec lui avant sa naissance semblait une douce lubie de femme enceinte.
Les recherches en physiologie foetale confirment aujourd'hui ce que maintes femmes pressentaient, à savoir que le foetus perçoit de nombreuses sensations et qu'il est possible d'établir une relation consciente avec lui.
Marie-Claire Busnel, chercheur au Laboratoire de psychobiologie du développement de Paris, explique : «Le foetus a déjà une certaine perception du milieu extérieur et du milieu intérieur au travers des goûts, des odeurs, des contacts tactiles et des sons. Il perçoit les mouvements de sa mère, ses caresses, ce qu'elle consomme et les changements physiologiques reflétant les états émotionnels maternels. Ces concepts, révélés par l'expérimentation et qui confirment certains des «sentiments» des mères, engendrent de nouvelles attitudes envers la gestation et la naissance. Les mères, conscientes des capacités de leur bébé dès avant sa naissance, se permettent d'établir une relation précoce avec leur foetus, de même que beaucoup de pères».
Parallèlement aux recherches en physiologie foetale, les travaux de nombreux psychologues ont également contribué à accréditer l'idée que «le foetus est une personne» avec qui la mise en place d'un lien précoce est non seulement possible mais souhaitable. Ainsi Pier-Luigi Righetti, docteur en psychologie en Italie spécialisé dans l'étude de la vie psychique et émotionnelle du foetus, reconnaît : «La période de la grossesse, bien que de courte durée, joue un rôle très important pour le devenir psychique de tout un chacun. (...) J'estime que le foetus est un être capable, autonome, indépendant, en mesure de percevoir, de recevoir et de donner».
Prendre du temps pour être à l'écoute de son bébé, le toucher, lui parler... sont autant de moyens essentiels pour lui transmettre qu'il est aimé, bienvenu, reconnu comme un être humain à part entière dès les prémisses de sa vie et lui donner ainsi les bases d'un bel équilibre affectif.
Si l'enfant reçoit les «messages» sonores, tactiles, ou vibratoires de sa mère, il peut lui aussi communiquer avec elle. Encore faut-il que sa mère soit à l'écoute en étant présente à ses sensations, à ses perceptions, ou à ses intuitions.
Tant de femmes trop accaparées par leurs activités, leurs préoccupations ou leurs obligations, courent tellement qu'elles ne prennent pas le temps de se poser. Elles ont parfois ensuite le sentiment d'être passées à côté de leur grossesse et de leur bébé. C'est souvent dans le silence que nous pouvons être en contact avec notre enfant.
Que ce soit à travers nos mains, notre voix, nos pensées, notre coeur ou notre âme, tous nos sens qu'ils soient physiques ou subtils peuvent nous permettre de nous relier à notre bébé.
En plus de la relation privilégiée que nous pouvons ainsi créer, c'est aussi une façon d'accompagner consciemment le développement de ses sens et de son acuité sensorielle.
Et plusieurs outils et techniques peuvent nous guider dans cet apprivoisement mutuel...
Méditer activement c'est maintenir son attention sur quelque chose de spécifique que l'on souhaite expérimenter. « Se concentrer sérieusement sur une seule pensée l'amènera à se manifester à tout coup ».
On modèle le monde comme on le souhaite. Les Lois de l'Univers font que l'on créée ce sur quoi l'on se concentre. On exprime ce sur quoi on canalise, pas sur ce qui passe par la tête. Car méditer c'est discipliner la pensée, « maintenir une idée intense pendant une longue période de temps » amenant sa contre partie sur le plan physique. « La physique quantique s'assure que vos expériences soient simplement des pensées en mouvement ».
« Une concentration indéfectible façonne littéralement le fluide psychique du monde physique conformément à votre pensée ». Rester assis, passif, l'esprit vide de toute pensée revient à perdre son temps. Par contre, se reposer en songeant « activement à l'amour de Dieu et à l'Esprit divin à l'intérieur de toute chose vivante » est d'un autre ordre. Le Tout-Puissant se préoccupe de vous et le Seigneur de l'Univers vous bénit dans la joie. Ce qu'a expérimenté Ed.
Pleurer parfois j'adore. ça me fait du bien. ça me détend.
Après ça va mieux. Petite, je retenais mes larmes quand j'étais triste. Aujourd'hui, je retiens mes cris quand je jouis. La vie n'est pas simple. Jamais.
mais pas mal quand même,
je ne suis pas sotte
mais je dis des bêtises,
je ne suis pas folle
mais je dis des sottises,
je n’ai pas trente ans
et je suis une reine.
En amour,
j’ai l’impression d’avoir fait le tour,
mais je cherche mon roi.
Je suis une fille comme les autres ?
Peut-être…
Satori24 mai 2012
Comment distinguer l'amour véritable de l'attachement possessif? L'amour altruiste pourrait être comparé au son pur d'un verre de cristal et l'attachement au doigt qui se pose sur le bord du verre et en étouffe le son. Reconnaissons d'emblée que la notion d'amour dénué d'attachement est relativement étrangère à la mentalité occidentale. Ne pas être attaché ne signifie pas que l'on aime moins une personne, mais que l'on n'est pas essentiellement préoccupé par l'amour de soi à travers l'amour que l'on prétend donner à l'autre. L'amour altruiste est la joie de partager la vie de ceux qui nous entourent, amis, compagnes, compagnons, femme ou mari, et de contribuer à leur bonheur. On les aime pour ce qu'ils sont et non pas à travers le prisme déformant de l'égocentrisme. Au lieu d'être attaché à l'autre, on est concerné par son bonheur; au lieu de vouloir le posséder, on se sent responsable de son bien-être; au lieu d'attendre anxieusement une gratification de sa part, on sait recevoir avec joie son amour réciproque.
Sakura : C'est que... Tu n'es pas un peu trop proche des clientes ?
Chika : Jalouse ? C'est mignon, ça, Sakura ! Si cela te dérange tellement, je peux arrêter... pour toi...
Sakura : Hoo ! Tu ferais ça pour moi ?
Chika : Tu m'as pris au sérieux !?
Le murmure du fleuve, porté par une brise tiède qui déplaçait une entêtante odeur de magnolias, lui parvenait assourdi.
Images, bruits, odeurs l’assaillaient, provoquant en lui un tumulte d’émotions qui le transportèrent instantanément quinze ans en arrière.
Il y avait d’abord eu le hurlement dans la nuit — un hurlement à glacer le sang que personne dans le canton de St Salomé n’oublierait jamais.
- En fait oui.
Hooker le dégagea et me regarda.
- Si seulement j'avais le cran de faire ça !
- C'est presque aussi bon que du sang, commenta t-il lorsqu'il releva la tête quelques instants plus tard.
Comme elle mourait d'envie de glisser ses doigts dans ses cheveux pour le forcer à poursuivre, elle serra le drap encore plus fort.
- Puis-je...vous toucher? demanda-t-elle timidement.
Il pouffa, déposa un baiser au creux de sa cuisse, puis répondit:
- Pas tout de suite.
Elle continua à serrer les dents et ferma les yeux.
Arès se plaça au-dessus d'elle.
- Regarde-moi! lui ordonna-t-il.
Elle lui obéit. Ses pupilles étaient si dilatées qu'il n'y avait presque plus de mauve dans ses yeux.
- En as-tu envie? grogna-t-il. Tu as encore le choix. Je te laisserai partir si c'est ce que tu veux.
- Que feriez-vous si je décidais de partir? gémit-elle. Appelleriez-vous Cassandra?
Il répondit en changeant de position pour placer son membre au creux de ses cuisses. Elle souleva ses hanches pour l'encourager.
Depuis bien des années déjà, j'ai pu constater ô combien bon nombreux de nos chers disparus continuent encore à rester sur Terre après avoir quittés leur véhicule physique au lieu de passer directement dans la Lumière. Certains sont là depuis des siècles et ne savent même pas qu'ils ont le choix de se rendre dans de merveilleuses dimensions de paix et d'amour où il retrouveront tous ceux qu'ils ont aimés et qui les ont aimés à travers toutes leurs incarnations terrestres et extraterrestres. L'esprit privé de corps a besoin de trouver de l'énergie pour se maintenir sur le plan terrestre.
Il n'a pas d'autre alternative que de la prendre chez les "vivants", ce qui n'est pas sans conséquence pour l'humain incarné.
Ils n'ont pas conscience de perturber les humains incarnés de différentes manières :
- en se nourrissant de leur énergie les rendant ainsi malades à la longue
- en prenant possession de leur corps pour continuer à "vivre" à travers eux pour différentes raisons ( profiter des jouissances terrestres ( vin, alcool, drogue, sexe, etc.))
- ou encore se mêler de leur vie en agissant à travers eux pour aider un proche ou se venger par exemple.
- en squattant leur ancien lieu de vie estimant que leurs biens leur appartiennent toujours (cf. maison hantée) : ils restent ainsi attachés à la maison ou l'appartement familial, leur voiture, leurs collections, etc.
Il savait que le temps leur était compté et que le trajet jusqu'au repaire de la montagne ne devait pas prendre trop de temps en voiture, mais il voulait être certain de ne pas manquer de ravitaillement au cas où quelque chose tournerait mal... Plus il perdrait de sang en se battant pour l'humaine, plus il aurait besoin de se nourrir.
L'épaisse porte de bois qu'il s'apprêtait à marteler par habitude céda dès le premier coup de poing.
Jachin sentit ses poils se hérisser sur sa nuque. Roach, qui était du genre paranoïaque, avait installé plusieurs verrous qu'il laissait toujours tirés.
Des morceaux de verre craquèrent sous ses bottes lorsqu'il entra dans la cuisine. Plusieurs chaises étaient cassées et la lourde table en chêne gisait sur le côté. Tous les placards flambant neufs étaient ouverts — quand leurs portes n'étaient pas simplement arrachées.
Jachin dégaina son arme avant de s'aventurer dans le couloir où semblait l’inviter une trace de main sanglante sur le mur.