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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:17:46+02:00

La sensation de ses bras autour d’elle lui manquait. La retrouverait-elle un jour ?

Elle lissa la chemise de nuit de soie fine dont lui avait fait cadeau sa tante Gardiner pour son mariage. Elle ne l’avait jamais portée auparavant, lui préférant des tenues de nuit plus simples. Elle avait été trop gênée par son tissu diaphane et son décolleté plongeant au début de son mariage, et par la suite, elle n’avait plus eu aucune raison de la porter. Elle avait espéré que ce soir, ce vêtement constituerait pour Darcy une preuve qu’elle se réjouissait de sa venue.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:17:29+02:00

CELA FAISAIT PLUS D’UNE HEURE QU’ELIZABETH AVAIT entendu les pas de Darcy se dirigeant vers sa chambre À coucher. Une heure qu’elle attendait – d’abord emplie d’espoir, puis assaillie par une anxiété croissante – de voir s’il viendrait la rejoindre, ce soir-là. Ils s’entendaient mieux que jamais, depuis deux jours, et il lui avait semblé qu’il appréciait sa compagnie. On pouvait même dire qu’il la recherchait, dans une certaine mesure, puisqu’il l’avait accompagnée chez les métayers et lui avait plus tard proposé de chevaucher à ses côtés. Mais il n’avait pas quitté sa chambre, ce soir-là, pas plus que tous les autres soirs depuis leur querelle.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:16:42+02:00

Darcy constata que ces enfants étaient charmants. C’était un plaisir de regarder Elizabeth s’amuser avec eux. Il se demanda si elle se comporterait de la même manière avec leurs propres enfants, et une fois de plus, en revint à la question accablante de ce qu’elle éprouvait vis-à-vis de sa condition. Elle faisait montre de plus d’enthousiasme lorsqu’il s’agissait de choisir le menu des repas qu’au sujet de l’enfant qu’elle attendait. Ne désirait-elle pas avoir d’enfants ? Il ne pouvait le croire, après avoir été témoin de son attitude auprès des enfants des métayers. Ne voulait-elle donc pas d’enfants de lui ? Était-ce pour cette raison qu’elle avait éprouvé de la compassion pour Sylvia, parce qu’elle portait elle aussi l’enfant d’un homme qu’elle n’aimait pas ?

Ou lui dissimulait-elle ses véritables sentiments, comme elle l’avait fait par le passé ?

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:16:10+02:00

ELIZABETH FERMA À PEINE L’ŒIL DE LA NUIT. ELLE NE cessait de se remémorer sa dispute avec Darcy. Comment avait-elle pu adresser de telles paroles à l’homme qui détenait tout pouvoir sur sa vie ? Celle-ci n’était-elle pas déjà assez difficile, avant qu’elle s’attirât l’inimitié de son époux ? Si elle avait souffert de la solitude, ce n’était rien comparé à ce qui l’attendait désormais, sans même la conversation de Darcy pour la distraire. Elle n’avait aucun recours, personne vers qui se tourner, quelle que soit la future attitude de son mari vis-à-vis d’elle. Elle était sa femme, et aux yeux de la loi, sa propriété. Il pouvait disposer d’elle comme bon lui semblait, et elle ne pouvait rien faire pour l’éviter. C’était précisément la situation qu’elle avait toujours redoutée, et la raison pour laquelle elle avait espéré faire un mariage d’amour.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:14:38+02:00

Elizabeth fredonnait tout en se préparant pour se coucher. Elle ne se souvenait pas d’avoir passé plus agréable soirée depuis son arrivée dans le Derbyshire. La compagnie affable du colonel Fitzwilliam avait été très plaisante, d’autant plus que sa présence semblait faire surgir une nouvelle facette du caractère de Darcy ; une facette riante et enjouée qu’elle appréciait beaucoup, en contraste avec la sobriété à laquelle il l’avait accoutumée. Elle espérait que sa bonne humeur perdurerait jusqu’à ce qu’il la rejoignît ce soir-là : il lui serait plus aisé de se détendre en sa présence s’il se montrait un peu moins austère. Elle parviendrait peut-être même à rire avec lui.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:14:13+02:00

Lorsque ses sanglots moururent enfin, laissant place à l’abattement et à la fatigue, il sécha tendrement ses larmes à l’aide de son mouchoir.

— Voilà, mon amour, il n’y a rien de si terrible, si ?

Il se pencha pour l’embrasser doucement.

Il se montrait prévenant et attentionné, et le moins qu’elle pût faire était de s’efforcer de lui plaire. Elle entoura son cou de ses mains, sachant qu’il aimait cela, et le laissa l’embrasser. Si elle ne se réjouissait pas à l’avance de ses baisers, au moins ne la dérangeaient-ils plus ; et le contact humain la réconfortait, même s’il provenait de Mr Darcy. Son époux. Elle se demanda combien de temps il lui faudrait pour s’accoutumer à cette idée.

Elle tressaillit lorsque Darcy posa une main sur son sein. Personne ne l’avait jamais touchée à cet endroit, et cette sensation la gêna. Elle s’enjoignit de s’imaginer à Londres, dans le salon animé de la maison de son oncle, tandis que sa tante lisait des poèmes à haute voix. Elle eut l’impression de sentir la chaleur du feu dans la cheminée et d’entendre jouer les enfants. Elle se concentra sur l’image qu’elle avait créée, et laissa son époux faire ce qu’il voulait.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:12:53+02:00

Ma très chère Elizabeth,

Enfin, je peux vous informer que notre séparation arrive à son terme. Je vous écris de Matlock, où j’ai appris à mon oncle et à ma tante que nous serions bientôt mariés. Je partirai pour Londres demain, et si le temps et les routes me le permettent, je serai à Longbourn lundi prochain.

Cela ne fait qu’une semaine que je vous ai quittée, mais il me semble que cela fait bien plus longtemps que je n’ai pas été charmé par votre sourire. Vous êtes toujours dans mes pensées, où que je sois. Je me demande ce que vous faites en cet instant, et je regrette de ne pouvoir me trouver à vos côtés. Je pense qu’il s’écoulera bien du temps avant que j’accepte de me séparer de vous après notre mariage, qui ne viendra jamais assez vite à mon goût. J’aimerais avoir le talent que possèdent certains hommes pour vous dire combien vous me manquez, et la joie que me procurent nos fiançailles. Mais puisque je n’ai pour m’exprimer que mes piètres facultés, je termine en vous rappelant que je demeure votre fervent admirateur.

F.D.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:11:55+02:00

Si tout ce qu’il attend de moi est de ne pas le repousser lorsqu’il veut m’embrasser, cela ne devrait pas être trop difficile. Elle devrait demander à quelqu’un – peut-être à sa tante Gardiner – de quelles autres obligations s’accompagnait le mariage. Cette pensée la fit rougir, ce qui sembla plaire à son futur époux.

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Extrait ajouté par ilovelire 2020-06-01T13:11:19+02:00

— DANS UN INSTANT, LORSQUE NOUS SORTIRONS DU BOIS, vous pourrez apercevoir le domaine, déclara Mr Darcy. Le voici, de l’autre côté de la vallée : Pemberley.

Elizabeth lui sourit obligeamment, puis regarda par la vitre de la voiture l’endroit qu’il désignait. La demeure était grande et belle, même de loin, et agréablement située sur une colline surplombant un cours d’eau. Bien sûr, elle ne s’était pas attendue à moins, ayant entendu chanter ses louanges par Miss Bingley ainsi que par Darcy lui-même. En d’autres circonstances, elle aurait sans doute été charmée.

Elle s’aperçut qu’il la fixait du regard, attendant sa réponse. Obéissante, elle se tourna vers lui et affirma :

— Il est superbe, monsieur. Je ne crois pas avoir jamais vu une maison si judicieusement située.

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Extrait ajouté par AstridJavert 2018-01-06T19:55:03+01:00

« Savez-vous ce que c’est que d’être un homme passionnément épris ? De vivre pour les sourires et les rires d’une femme, de souhaiter la toucher au point de ne plus pouvoir vivre sans cela, de la désirer autant qu’on désire respirer ? J’étais furieux et blessé après notre querelle, c’est vrai, mais il n’a pas fallu longtemps pour que mes sentiments resurgissent. »

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