J'aime beaucoup le duo/duel Entreri/Drizzt. Il y a plein de rebondissements, difficile de lâcher le bouquin !

Que de bastons ! J'ai un peu moins accroché à celui-ci (un peu hein, je trouve cette saga toujours aussi géniale). Mais oui, vraiment beaucoup beaucoup de baston, on n'a droit qu'à un tout petit peu de répit entre chacune d'elles.

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Puis, ATTENTION SPOILERS, je trouve ça dommage d'avoir rendu le caractère de Wulfgar aussi désagréable avant de le faire disparaitre. Du coup, j'étais presque contente qu'il meure tellement il m'énervait.

Bon bon bon, ça s’essouffle un peu. Je trouve que ça devient plus léger, moins centré sur les personnages et pour la première fois depuis le début de la saga, je me suis surprise à vouloir finir le livre au plus vite. Il ne se passe finalement pas grand chose dans celui-ci, mis à part encore et toujours une grosse baston. Je lirai tout de même la suite, je ne vais pas m'arrêter maintenant, mais j'espère que le prochain sera plus comme les précédents.

Contrecoups, c’est l’histoire d’un jeune homme, Matthew, schizophrène. Matthew avait un grand frère, Simon, atteint d'une grave maladie. Le jour où Simon meurt, Matthew ne sera plus jamais le même. Très vite, la maladie du serpent, comme il l’appelle, l’atteindra et il étouffera vite face à l’inquiétude grandissante de sa mère. Pour comprendre son passé, Matthew dessine et écrit.

L’histoire nous est relatée par Matthew. En utilisant judicieusement la première personne, Nathan Filer réussit à nous plonger dans l’histoire, dans la tête de Matthew. L’écriture est assez spéciale et peut être déroutante au début. Elle ne suit pas de règles propres. L’auteur use de répétitions, il passe d’un sujet à l’autre. Il y a également de nombreux flash back, lorsque Matthew nous parle de son passé, de son enfance, le style d’écriture change, lorsque Matthew reçoit une machine à écrire. Il y a des dessins, des lettres… et tout ceci nous plonge encore plus dans le récit et nous donne l’impression que Matthew est là, devant nous, à nous raconter son histoire. Nous sommes avec lui alors qu’il raconte son enfance durant laquelle il s’est souvent senti mis à l’écart par ses parents à cause de la maladie de son frère, nous sommes avec lui lorsque sa vie bascule quand sont frère meurt alors qu’il n’avait que dix ans, nous assistons à son adolescence chaotique où il commence à fumer de l’herbe et nous assistons également à sa descente dans la folie…

Le thème abordé par Nathan Filer est loin de lui être inconnu. Il a en effet été infirmier psychiatrique durant dix ans, il sait donc parfaitement de quoi il parle. Ce thème est donc traité de manière juste mais également de manière très délicate. Il ne fait pas étalage de ses connaissances mais plutôt de son ressenti et nous livre une vision plutôt intimiste de la maladie. Résultat : c’est émouvant, touchant et remarquablement raconté. Ce n’est pas évident d’allier la fiction avec un vécu personnel mais Nathan Filer l’a réussi.

On en a tellement parlé de ce livre... et finalement, il n'y a pas de quoi en faire tout un plat. C'est satirique, c'est macabre, c'est fun mais il n'y a rien de vraiment exceptionnel. Quand même un retournement de situation un peu surprenant.

Encore du grand Abercrombie ! La façon dont il raconte la première grosse bataille est excellente, cette façon de passer d'un personnage à un autre, je trouvais ça vraiment chouette à lire. Après, ça reste du Abercrombie, nous ne sommes pas tellement surpris.

Dieu que c'était long !
C'est dommage, ça commençait plutôt bien. Des voyages dans le passé pour observer les événements, c'est chouette comme idée. Mais voilà, au final, il ne se passe pas grand chose. L'auteur se perd dans des détails inutiles qui ne font pas avancer l'histoire. J'avoue qu'à un moment, je parcourais plus que je ne lisais, je voulais que ça avance. Les éléments perturbateurs arrivent bien trop tard, on se lasse avant.
J'aurai pu lâcher le livre, mais je déteste ne pas terminer un livre commencé. Puis je voulais connaitre le dénouement... en apprenant (trop tard du coup) qu'il y aurait un tome 2. Que je ne lirai pas.

Sans être totalement prodigieux (j'avoue que j'aurai aimé plus d'action mais bon, je suis largement influencé par tout ce qui s'est fait après) et je ne prends sûrement pas assez de recul par rapport à ça. Ceci dit, tout le monde devrait avoir lu ce bouquin, spécialement toutes ces jeunes filles qui ne jurent que par la série des "Journal d'un vampire". :D

Effectivement, le conte n'a rien à voir avec le dessin animé...
Je n'ose pas trop en dire plus, histoire de ne pas spoiler les gens qui voudraient découvrir le récit original. Je dirai donc simplement que c'est un très beau conte, un peu cruel aussi. Une belle métaphore sur le fait qu'un adulte devrait toujours garder son âme d'enfant.

J'ai préféré celui-là au premier. Peut-être qu'il a fallu le temps que tout se mette en place mais j'ai trouvé le rythme de celui-ci plus soutenu. C'est intéressant et je me suis sentie plus "proche" des personnages cette fois. Ce n'est pas non plus exceptionnel, il y a des petits défauts mais cet univers plus chaotique et un peu plus sombre que le premier m'a assez plus.

Premier tome plutôt prometteur. L'intrigue pourrait être un plus poussée mais ça viendra peut-être avec la suite. L'histoire est tout de même bien mise en place, le récit est bien mené. Ce premier tome porte davantage sur des événements politiques. Il y a un peu de magie, on parle brièvement d'autres peuples que les hommes mais cet aspect est très peu développé. Ce sera peut-être traité dans les autres tomes, on verra bien. Toujours est-il que ça me plait assez pour le moment.

Non, je n'ai pas peur de lire deux bouquins de Baffie à la suite. D'autant plus qu'il y a plus de jeux de mots bien pourris comme j'aime bien dans celui-ci.

Suite de la saga "Les révélations de Riyria" avec les tomes 3 et 4 regroupés dans cette nouvelle édition. J'aime toujours aussi bien, j'apprécie la tournure que prend l'histoire, il y a pas mal de rebondissements et quelques événements inattendus. L'auteur réussit à bien m'accrocher, je m'attaque de ce pas aux derniers tomes.

Fin de la saga avec ces deux derniers tomes. Je n'ai pas grand chose à dire de plus que pour les tomes précédents, j'aurai juste aimé que l'auteur se consacre davantage aux elfes. Il n'en parle que très très brièvement alors que je trouve qu'ils ont un rôle important dans l'histoire. Mais bon, c'est son choix et ça n'empêche pas d'apprécier le dénouement. Personnellement, je me suis régalée en lisant cette saga, je conseille aux amateurs du genre !

Ce premier tome ne m'a pas vraiment emballée. Je trouve le rythme trop lent et au final, il ne se passe pas énormément de choses. Je n'arrive pas non plus à m'attacher aux personnages. Le point positif est que ça se lit assez vite, j'ai l'impression que le style d'écriture vise les tout jeunes ados. (Merde, je grandis)

L'histoire s'améliore un peu, c'est plus construit. On a deux histoires parallèles ce qui rend l'intrigue plus passionnante. Encore que passionnant est un grand mot car je trouve le rythme toujours aussi lent et même s'il se passe plus d'événements dans cet opus, ça tire vraiment en longueur. La guéguerre entre Régis et Sonéa me tapait bien sur les nerfs. Donc, nan, pas emballée plus que ça. Je vais quand même terminer la saga et qui sait, le dernier volet relèvera peut-être le niveau.

Enfin de l'action ! Mais encore et toujours trop de longueurs et trop de répétitions. Je pense qu'au final, je n'adhère pas au style de Canavan, c'est aussi simple que cela. Bah, j'aurai essayé au moins.

Encore un tome où presque toute l'action se déroule dans les dernières pages... un peu trop de passages mous du genou à mon goût. J'espère que les trois derniers tomes de la saga seront plus denses que celui-ci.

Ben ce n'est pas drôle quoi, j'ai du sourire quoi, deux fois ? Je comptais offrir ce livre à mon frère pour Nowel, ben j'hésite du coup. Merde, va me falloir trouver un autre cadeau.

Pas grand-chose à dire, même sentiment que pour le précédent. Beaucoup trop de lenteur, de redites et pas assez d'événements palpitants. Allez, plus que deux !

Par l'auteur du "Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". L'histoire est différente, mais le ton est indéniablement le même. Des personnages farfelus, des événements improbables qui s'enchainent. Mais c'est trop long. L'auteur se perd un peu dans des détails qui ne font avancer le récit en rien.

Un tome 3 encore un peu en dessous des deux autres, c'est dommage parce que ça partait vraiment bien mais je trouve que l'histoire s’essouffle et j'ai un peu perdu l'intérêt que j'avais eu pour les deux autres.

Après un premier tome plutôt excellent, ce deuxième volume m'a malheureusement moins emballée. L'effet de surprise est dépassé et je le trouve moins créatif, dommage.

Une fresque incroyable mêlant fiction et histoire. Difficile de lâcher l'histoire tellement nous sommes pris par le récit. J'aime beaucoup Follett dans ce style-là, il prend le temps de raconter et on ne peut que s'attacher aux personnages.

Jane Austen nous enchante une nouvelle fois avec ce roman, que je situe un poil (mais alors un petit poil) en dessous d'Orgueil et Préjugés.

Alan Lee a un coup de crayon magnifique, j'adore ses illustrations. Et quel plaisir de se replonger dans l'univers de Tolkien !