Ce quatrième tome est le début du " cycle jeunesse " de Guts, la révélation de ses origines et de son passé plutôt sombre ; les dessins sont de plus en plus riches, aucun détail n'est négligé : plus qu'un simple manga, les planches de Berserk font de chaque tome un véritable délice graphique. C'est à partir de là que je suis vraiment entrée dans la série, avec une seule idée en tête : la suite !

Ce tome marque pour moi le véritable commencement de la série. Les graphismes gagnent en richesse, Guts en profondeur ; suite et envol au prochain tome !

Un second tome au niveau du premier, avec un début d'approfondissement au niveau des personnages et l'esquisse de la trame de l'histoire ; la suite se profile, très prometteuse !

Un premier tome mitigé.

D'un côté, les graphismes sont excellents - et encore, ce n'est rien par rapport à la suite de la série ; l'atmosphère assez sombre est très addictive et captivante.
De l'autre côté, Guts ressemble à un bloc de glace armé d'une épée, une sorte de caricature du guerrier invincible et torturé, ce que je trouve assez dommage. Ce relatif manque de nuances se corrige bien heureusement au fil se la série, mais tout de même.

Un tome malgré tout superbe, l'ouverture vers la meilleure série de mangas que j'aie eu l'occasion de lire jusqu'à présent.

Une lecture légère et facile, plutôt adressée à des enfants... Ou à tous ceux qui aiment les histoires de licornes :3

Ce tome est pour moi un peu supérieur aux autres de la série, grâce au récit de l'enfance de Parker et Badger. Sinon, une BD assez sympathique pour passer le temps, mais sans plus.

Je persiste et je signe : je n'apprécie pas cette BD. Les images de synthèses sont plutôt laides, les couleurs fades, les gags lourds... Ratage complet pour moi.

Un premier tome un peu supérieur par rapport aux autres, puisque le lecteur découvre Nelson et son répertoire de blagues. L'attrait de la nouveauté est d'après moi tout ce qui le " sauve " : pour le reste, je n'ai pas accroché.

Comme d'habitude, une BD que je n'ai vraiment pas appréciée. Je trouve que les gags tournent en rond sans véritable but et sans provoquer aucun amusement, s'essoufflent et persistent malgré tout sur leur lancée commerciale.

Comme dirait Cyprien : " POURQUOI ? "

Je n'accroche absolument pas avec cette BD. Je trouve les graphismes beaucoup trop simplistes et peu esthétiques, les gags répétitifs et l'humour plus que lourd au bout de la Xième farce de Nelson.

Une BD " définitivement nuisible " à mon confort de lecture.

Je ne suis pas aussi sensible à la poésie de Verlaine que je peux l'être vis à vis de Baudelaire, par exemple ; cependant, j'apprécie la musicalité de ses vers et la relative facilité d'accès de ses poèmes.

La première oeuvre de Boris Vian que j'ai lue ; ce fut une magnifique découverte. L'univers poétique de cet auteur porté par son style si reconnaissable est constitué d'images fortes et colorées, parfois presque impertinentes.


Un recueil de poèmes aux significations fortes, que je recommande.

Je connaissais Vian, le poète : j'ai découvert avec ce roman Vian, l'écrivain.

On retrouve dans tous les cas la puissance de sa plume, allant parfois jusqu'à la violence, singulière et presque douloureuse. On suit un personnage hanté par la vengeance qui nous heurte toujours plus, vers le dénouement final.

Un roman coup de poing qui me donne envie de lire d'autres œuvres de Boris Vian.

J'ai trouvé en ce livre un petit bijou méconnu. Il se réapproprie à la fois l'image du dragon - Griaule, ce géant pétrifié, cet être de chair et de sang devenu quasi minéral et végétal au cours du temps - et la temporalité, avec les mystérieuses ellipses intégrées et fondues dans le fil narratif. Pour moi, il s'agit d'un roman particulier à découvrir pour sa véritable qualité, tant de fond que de forme.

J'ai beaucoup apprécié ce livre, que j'ai lu juste après World War Z du même auteur : les conseil reçus étaient ainsi plus " en contexte " . J'ai été plus ou moins intéressée par les différentes parties, et ai eu un peu de mal à le finir à cause de son aspect de " manuel " mais l'originalité et la créativité ici plutôt rationnelle de Max Brooks m'ont impressionnée - d'autant plus que certains de ses enseignement peuvent être utilisés en cas de crise, attaque zombie ou non.

Un livre unique en son genre à découvrir, très distrayant.

Baudelaire est celui qui m'a fait découvrir la poésie dans son entièreté et toute la beauté qu'elle comporte ; c'est lui qui m'a appris à aimer le jeu des mots, des sons, des couleurs et des textures au sein de textes courts mais plus finement ciselés que n'importe quels autres. Ce qui ne devait être qu'une simple lecture de lycée s'est transformé en une véritable révélation ; les Fleurs du Mal sont un chef d'oeuvre que je conseille à tous.

Cette lecture m'a laissée assez perplexe ; ce qui, je crois, n'est qu'un effet de l'Absurde qu'Ionesco parvient à intégrer à la perfection dans ses pièces. En revanche, j'adore la toute fin.

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Le meurtre de l'élève, l'intervention de la bonne qui révèle l'existence de toutes ces autres victimes de la folie du professeur... Cela crée un effet cyclique et place La leçon comme le simple maillon d'une chaîne, d'une histoire sans fin vouée à se répéter encore et encore.

J'ai lu ce roman par curiosité, pour découvrir à la fois la prose d'un poète de l'aune d'Apollinaire et ce que je croyais être une réécriture du personnage de Don Juan - en plein dans mon programme de littérature, donc.

Je n'ai pas été déçue, dirons-nous.

Le côté volontairement exagéré des " exploits " de Roger m'a franchement amusée ; les scènes d'inceste et autres crûment décrites ne m'ont pas plus dérangée que ça. Cependant, le manque de renouvellement de situations devient très rapidement lassant - mais n'était-ce pas l'intention de l'auteur ? Offrir un texte au contenu explicitement sexuel, et tout aussi explicitement parodique ?

Un roman à ne pas mettre entre toutes les mains, mais encore relativement accessible en comparaison avec les Onze mille verges, du même auteur...

J'ai lu ce livre au collège, et en garde un bon souvenir. A l'époque, j'avais beaucoup aimé découvrir le monde romain sous un angle un peu biaisé - la poursuite d'un meurtrier par des enfants.

Je crois que ce livre constitue une bonne première approche du contexte historique du premier siècle, car il couple une relative fidélité de l'époque à une action propre à plaire aux enfants.

A lire, donc, en attendant de se mesurer à des romans " plus sérieux " autour de l'époque Romaine.

J'ai en général un peu de mal avec les livres dont les personnages principaux sont des enfants ; Cherub ne fait pas exception à cette règle. Je n'ai pas vraiment accroché avec James et ses comparses, ni même à l'histoire en général. Je pense que si je l'avais lue plus jeune, cette série m'aurait plu, mais plus maintenant.

Je ne continuerai pas la série après ce tome. Déjà, je trouve qu'elle touche aux limites de son renouvellement narratif ; le rapprochement des personnages ( plutôt mal dégrossis ) et leur évolution ( carrément prévisible ) mis à part, je ne vois ce que je peux attendre des tomes suivants, sinon une incessante suite de missions fabuleusement et merveilleusement périlleuses pour notre cher James.

Un livre porteur d'une violence et d'une frénésie que je n'avais jamais jusqu'alors décelées dans l'écriture. Apollinaire oscille entre un érotisme pornographique effréné et une exagération flagrante, grotesque et même comique des " prouesses " de Mony Vibescu. Le style volontairement cru dépeint d'une manière assez dure le parcours et les ébats du prince ; je n'ai pas été spécialement choquée par les scènes décrites, mais il est vrai que nécrophilie, pédophilie et autres déviances ne sont pas précisément ce à quoi je m'attendais de la part de l'auteur des Calligrammes.

Les vers de Mallarmé me sont trop obscurs pour que je puisse réellement apprécier sa poésie. Mais quand les images habituellement lointaines et floues se précisent dans mon esprit, la musicalité des vers tisse une oeuvre d'une puissance incroyable, d'une richesse dans les évocations et les sonorités qui m'emportent dans l'univers si particulier qu'est celui de ce poète.

Une oeuvre majeure, difficile d'accès, mais dont la découverte n'est en aucun cas une perte de temps.

Prenez tout ce qui fait le succès facile d'un bouquin ces temps-ci. Quelques vampires, quelques fées, quelques loups-garous, une pincée de fantômes, un semblant de triangle amoureux plutôt carré et assez mal géré, une écriture sans véritable originalité et on retrouve... Nés a Minuit.

Je suis très déçue par ce livre ; j'en avais entendu beaucoup de bien, mais rien ne l'a pour moi démarqué du commun des pseudo-romance-apprentissage-merveillo-commerciales qu'on trouve partout.

Une bande dessinée vraiment magnifique, très poétique et instructive quant au folklore Breton, malheureusement sans suite au jour d'aujourd'hui...

Hum, je suis partagée.
D'un côté, bien entendu, j'adore Anita, comme toujours, et je suis vraiment, vraiment contente de la retrouver un peu pour elle et moins pour toute sa clique d' " étalons surnaturels ". Même si je suis un peu déçue que l'enquête n'en soit pas vraiment une, et reste encore une fois autour des problèmes vampiriques d' Anita...
De l'autre, je suis un peu gênée par l'escalade incessante des pouvoirs. Je sens les personnages glisser vers une toute-puissance assez torturée, toujours plus vite, toujours plus haut... Et que nous réserve la suite ?

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D'ailleurs, c'est moi ou il n'est pas impossible que dans un tome prochain Edward passe sous la coupe de l' Ardeur ? C'est passé assez près, je trouve... Et je n'arrive pas à décider si ce serait très satisfaisant ou très décevant de retoucher au statut d'intouchable ami tueur d'Anita...