"Aussi longtemps que tu vis,il y a toujours quelque chose qui te guette, et même si c'est mauvais, et si tu sais que ça l'est, qu'est-ce que tu peux faire?"

De Libby, page 23 (en livre format normal)

En fait, je n'arrête pas de te jeter des ancres, parce que je ne sais jamais si ça s'accroche quelque part où c'est stable. Un endroit bien solide. alors j'envoie et j'envoie... parce que j'ai besoin d'avoir tout ces liens avec toi.

"Je vais crever sans toi. Tu es ma bouée depuis notre rencontre. Tu m'as donné assez confiance en moi pour que je t'exprime mes sentiments et que je te les montre. Tu m'as aidée à prendre conscience que mon problème n'est pas une fatalité, mais un combat. Alors, si je me retrouve toute seule, je ne vais pas tenir...''

"Chaque année c'était le même cinéma. Entre les professeurs qui ne retenaient pas mon prénom, leurs collègues qui prenaient un malin plaisir à nous laisser nous présenter devant la classe et les professeurs de français ou d'espagnol qui exigeaient une présentation dans une langue étrangère, la rentrée me terrorisait 3 semaines à l'avance."

Eleonore page 9 en livre de poche

Beau comme un esquimau
Ah, ce que c'est délicieux !
Beau comme un esquimau
Rien à faire, c'est lui que je veux !
Beau comme un esquimau
Attends un peu d'avoir goûté !
Beau comme un esquimau
Y'a pas moyen de résister !
Beau comme un esquimau
Et moi je le mange des yeux.

Plus personne se soucie de toi
Tu vis terrée, toutes portes fermées
La lumière du jour, jamais tu la vois
C'est pas la vie que je voudrais mener.

En juin, les gars en chemises en lin.
En juillet-août, tu ne trouveras que des crétins !
L'homme de septembre avait des mains de magiciens,
Celui d'octobre m'emmena dans des pays lointains.

Comparée à mes joue,
Même les tomates ont l'air livide.
Faut que je t'avoue :
Sans toi, ma vie est vide.

Maman, tu nous aimes ?
Papa, tu m'embrasses ?

Bonbons ! Roudoudous ! Cocosucres ! Zigobus ! Qui en veut ?