Il sentait l’étincelle de ses yeux, il n’inventait pas : il le ressentait. Et ça le brûlait de l’intérieur.

Mon esprit criait « danger ! » mais mes ovaires hurlaient « nue, maintenant !

Je ne la laisserai pas, plus jamais. Nous sommes le Yin et le Yang, deux côtés d’une balance qui ne s’équilibrent qu’en étant en présence l’un de l’autre. – Quinn

Mes lèvres rejoignent les siennes et je me laisse aller à ce baiser d’une douceur infinie. Jamais personne ne m’a fait tant de bien. Jamais une femme ne m’a fait tant d’effet. – Damon

Je voudrais me pencher et l'embrasser. En priant pour que ce premier baiser sa grave dans ma chair. Cette émotion magique du premier baiser. Cette découverte émerveillée du goût et du parfum de l'autre. Le charme indicible de cet instant qui livre un peu du futur, laisse ou non deviner du deuxième rendez-vous, alors même qu'il chasse de notre esprit tout ce qui n'est pas le présent et la poignée de seconde qui le fait exister.

Quand la fatigue de la journée m’emporte, une bulle remonte doucement à la surface de ma conscience. Un bulle toute légère et cotonneuse. Une bulle qui parle d’amour.

En rentrant chez ma grand-mère, mon cœur était léger et je me sentais comme l’été de mes dix-huit ans : heureuse et amoureuse.

Ce que j’ai ressenti il y a deux n’a pas disparu. Au contraire. J’ai l’impression que mes sentiments se sont nourris de son absence et que, forts de ce vide, ils reviennent encore plus violemment.

Mon cœur le savait depuis le début, la vérité m’apparaît claire et nette, je l’aime, comme la Terre tourne autour du Soleil, tout le reste est dérisoire.

Parce que je te veux. Juste toi.

La guerre n’était pas finie. Il restait encore une bataille à mener.

Il ne s’agissait pas de tomber raide dingue amoureux en quelques jours, ni même de sexe torride, mais de la douce conviction que l’autre avait envie d’être là pour vous, dans les épreuves comme dans les moments idylliques.

Dès que je pense à lui, une petite boule se forme au creux de mon ventre et, quand je pense trop longtemps à lui, cette boule remonte, se dissout dans mes veines, et me donne la chair de poule.

Ils restèrent enlacés un moment, puis Gear eut ce geste qui fit rendre les armes à Sadie pour de bon, qui lui fit comprendre que ses sentiments pour ce grand imbécile n’étaient autres que de l’amour, et qu’il fallait bien admettre que la flèche de Cupidon lui avait déjà transpercé le cœur : il déposa un baiser sur le haut de sa tête en prononçant son nom dans un soupir.

Je l’entends respirer mon odeur contre mon front. Son parfum envahit mon cœur et m’enivre. Je sens la chaleur de son corps, ses muscles, ses bras que je connais si bien.

Je suis chez moi.

Je me colle et l’embrasse fougueusement. J’ai envie de lui donner tout ce que je peux, de lui montrer à quel point je l’aime.

Cet homme me rendait complètement folle. C’était une accélération, un tour de manège qui me faisait tourner et me renversait de haut en bas, me laissant avec le vertige et un sourire d’idiote. C’était l’effet Tucker McCoy.

Je reconnais à peine ma voix, presque aigüe, tremblante. Elle se retourne et je devine son regard tourmenté, ses lèvres tremblantes. Je joue le tout pour le tout.
Alexandre

Son rire résonnait comme une promesse, une mélodie qui changeait le rythme des battements de mon cœur. J’étais tellement choquée que mes genoux en vacillèrent, comme s’ils étaient sur le point de se briser.

Etre avec lui ressemblait à un rêve duquel je ne voulais pas me réveiller. Tout était nouveau et excitant, mais j’ignorais ce que l’avenir nous réservait.

Mon cœur bondit à tout rompre, comme s’il essayait de revenir à son propriétaire. Je déteste mon cœur, c’est un traître.