Max et Lili, Tome 76 : Emilie n'aime pas quand sa mère boit trop
Auteur
- Dominique De Saint Mars (Écrivain)
- Serge Bloch (Écrivain)
Série
Max et Lili (132 livres)Acheter d'occasion
Classement en biblio - 138 lecteurs
extrait
Je ne sais plus quoi faire pour faire plaisir à ma mère, même si des fois je la déteste....
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Ce livre permet d'aborder un sujet qui n'est pas simple pour les enfants. L'alcoolisme peut détruire les gens qui sont proches de nous.
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J'ai lut beaucoup de livre de Max et Lili quand j'était petite .
Je le conseille vivement pour les enfants ! :)
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Une série de petite BD relativement drôle et qui nous fait comprendre certains sujet. Vraiment intéressant pour l'éducation des enfants.
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Le thème est bien choisi, et malheureusement il exsite beaucoups de parents alcoolique. Peut-être que cela peut aider certains enfants à s'en sortir !
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Une BD très sympa. On voit une petite fille qui aime sa mère mais qui a honte de son alcoolisme. Un thème difficile abordé avec simplicité. J'ai beaucoup aimé ce livre, comme tous les Max et Lili, d'ailleurs...
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Une série de petite bd relativement drôle et qui nous fait comprendre certains sujet. Pas mal!
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Date de sortie
Max et Lili, Tome 76 : Emilie n'aime pas quand sa mère boit trop
- France : 2006-05-22 - Poche (Français)
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Résumé
La mère d’Émilie est un peu fofolle, très gaie, puis inutilement agressive. Un soir que Lili vient dormir chez sa copine, elle comprend : la mère d’Émilie boit trop. Le problème est compliqué. Émilie a honte d’en parler mais elle est désemparée, dépassée. Que faire ? C’est une fois de plus à un sujet éminemment délicat que Dominique de Saint Mars et Serge Bloch se sont attaqués dans ce nouvel épisode de la série Max et Lili, dont les aventures dessinées se sont vendues, depuis leur apparition en 1992, à plus de 750 000 exemplaires. « J’ai passé un mois aux Alcooliques anonymes, à écouter les témoignages. Finalement, j’ai compris que l’essentiel pour l’enfant était qu’il ne culpabilise pas, qu’il admette son impuissance et qu’il fasse en sorte que sa propre souff rance soit reconnue », explique l’auteur.
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