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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2019-04-19T23:33:59+02:00

Audric Dufort avait été propulsé à plus de 150 mètres de haut vers sa mort.

Triste et horrifiée, je regardai autour de moi pour trouver Henri, mais me retrouvai nez-à-nez avec le photographe du Post… les éclairs, c’était lui. Avec une ferveur qui s’approchait du fanatisme, il était en train de nous mitrailler. Les derniers moments d’Audric Dufort avaient été photographiés pour la postérité.

 

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2019-04-19T22:56:57+02:00

- Supposons que ce que vous dites est vrai, ce qui n’est pas le cas, que voulez-vous de moi ?

- Simple. Vous laissez mon mari tranquille. Vous arrêtez de mettre la pression sur le comité de direction et vous arrêtez d’essayer d’obtenir son poste. Wenn ne sera jamais à vous, alors restez éloigné du comité de direction. Arrêtez d’essayer de les persuader de se débarrasser d’Alex. Si vous ne le faites pas, je le saurai et ce sera la fin pour vous. J’irai jusqu’au bout. Je vous écraserai, Stephen. Je dirai tout à Meredith et à la presse. Je leur donnerai les photos en preuves. Ah et autre chose… Vous avez trois mois pour démissionner du comité de direction. Est-ce clair ? Vous allez démissionner pour raisons personnelles. Vous démissionnerez et sortirez de la vie d’Alex pour de bon. En échange, je ne dirai pas un mot de vos infidélités et vous pourrez continuer le mensonge qu’est votre vie. Je me fous de ce que vous faites dans votre vie privée. Mais quand cette vie affecte mon mari ? Vous devez savoir que je ne m’économiserai jamais pour protéger cet homme. Voilà ce qu’est le vrai amour. Si vous avez des doutes, essayez juste pour voir, salopard. Alex veut tout dire pour moi. Est-ce que c’est clair ?

- J’en ai marre de Wenn. Je serais ravi de démissionner du comité de direction, parce que votre mari est en train de tout foutre en l’air de toute façon ! Mais pourquoi trois mois ?

- Parce que je veux garder un œil sur vous, et je ne veux pas que cette décision ait l’air précipitée. Nous comprenons-nous ?

- D’accord. Je vais laisser Wenn aller à sa ruine. Je m’en fous ! C’est Alex et vous qui allez perdre à la fin, de toute façon.

- Non, ce n’est pas le cas. Mais pour l’instant, tant que vous restez tranquille, nous n’aurons pas à nous soucier de vous.

La chanson se termina. Rowe s’écarta immédiatement de moi.

- Reprenez-vous, dis-je tandis que les invités applaudissaient. Souriez. Nous allons retourner vers Alex, Jonathan et Tom et vous allez faire comme si de rien n’était. Au moment venu, quand ils vous demanderont pourquoi vous soutenez Alex, dites-leur juste que vous avez revu votre position. N’entrez pas dans les détails. Dites-leur juste que vous y avez réfléchi, puis faites votre temps jusqu’à votre démission. Compris ?

- Vous êtes quelque chose, vous !

- Vous devriez me voir quand je n’obtiens pas ce que je veux…

- Allez-vous faire foutre !

- Et pourquoi le ferais-je quand j’ai un mari qui sait me faire plaisir comme Meredith ne sait visiblement pas…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2019-04-19T22:26:16+02:00

- Je n’arrive toujours pas à croire qu’il y a une fleur qui s’appelle « clitoria », me dit Tootie.

- Alors vous devriez peut-être rejoindre un club de jardinage, répondis-je. Certaines disent même qu’elles n’arrivent pas à trouver leur clitoria ce qui entraîne une vie de frustration, de dépression,… une vie non vécue. Heureusement ce n’est pas mon cas. En fait, cela n’a jamais été mon cas. J’ai toujours pu trouver ma clitoria. Bonne soirée, Tootie. Je me retournai vers Addy, qui essayait d’étouffer un fou rire et lui fis la bise sur les deux joues. Merci de toujours jouer le jeu, lui murmurai-je à l’oreille. J’essaye vraiment avec elle. Vraiment, Addy.

- À quoi bon ? demanda-t-il à voix basse. En plus, j’aime bien le spectacle. On se parle plus tard ?

- Bien sûr.

- Une danse ?

- Quand tu veux.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2019-04-19T08:51:09+02:00

- Achète tout ce dont tu as besoin.

- Tu risques de regretter d’avoir dit ça plus tard…

Il s’avança, me prit dans ses bras et m’embrassa dans le cou.

- Tout ce dont tu as besoin, me murmura-t-il à l’oreille. Je ferai toujours en sorte que tu aies tout ce dont tu as besoin.

- En fait, tout ce que je veux, c’est toi.

- Bizarrement, tout ce que je veux c’est la même chose… juste toi. Il haussa les épaules. Regarde-nous. Un couple de vieux mariés, déjà.

- Nous ne sommes pas vieux. Même si je dirais que ce qui nous unit est ancestral et que notre amour, dans un sens universel, est vieux come le monde. J’ai l’impression de t’avoir connu toute ma vie ! Pourquoi ? Comment cela est-il possible ?

- Exactement ! Je me suis déjà posé la même question, mais je n’ai pas de réponse.

- C’est comme ça…

- En effet, Madame Wenn. Et nous avons bien de la chance !

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2019-04-17T10:31:25+02:00

- Ne me fais pas rire. Ce n’est pas le moment. Alex est en train de se préparer. J’ai besoin d’être sérieuse.

Et c’est à ce moment-là que Blackwell devint la figure maternelle que je ne connaissais que trop bien.

- Il faut toujours laisser du temps au rire, Jennifer. Ne l’oublie pas. J’ai souvent dit que notre travail nous sauve, mais c’est également le cas du rire.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2019-04-16T16:43:56+02:00

Depuis le début de notre relation, tout avait été viscéral entre nous. Ça avait commencé avec un éclair d’attirance inattendue quand nous nous étions rencontrés dans l’ascenseur de ce même building. Mais maintenant, après des mois, qui avaient fini en mariage, cette attirance s’était transformée en véritable amour

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Extrait ajouté par Saph 2015-03-05T09:06:24+01:00

« Puis-je demander ce que vous portiez, Jennifer ? Je suppose que ce n’était pas du blanc, la tradition n’a plus tellement d’importance de nos jours… Était-ce quelque chose d’informel ? Comme un tailleur-pantalon ?

Cette femme ne s’arrête-t-elle donc jamais ?

- Je portais juste des cache-tétons, répondis-je. Et un string. C’est le dernier cri à Paris. Vous auriez dû voir ça ! Mais, j’ai dû me débattre avec ma clitoria !

- Pardon ? Votre quoi ?

- Ma clitoria. C’est une fleur très rare originaire des régions humides d’Asie du Sud Est. Vous pouvez imaginer où je tenais mon bouquet… et à quoi ces fleurs ressemblent ainsi que leur parfum… Mais elles sont tellement fragiles, elles demandent beaucoup d’attention sinon elles se flétrissent rapidement. »

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Extrait ajouté par bellajessica 2015-02-02T21:51:09+01:00

- J’espère bien qu’on n’en arrivera pas là, mais j’apprécie, Ann.

- Tout le plaisir est pour moi.

- Est-ce qu’Alex est là ?

- Il est en réunion avec le comité de direction.

- Depuis combien de temps ?

Elle enleva ses mains des miennes et regarda sa montre.

- 45 minutes.

- Donc encore 2-3 heures avant qu’ils ne finissent ?

- Au moins. Sans doute plus.

- Pourrais-tu m’appeler sur mon portable quand il sera de retour dans son bureau ? S’il prévoit de faire une annonce aux médias, demande-lui de m’en parler avant. En attendant, je serai avec Blackwell.

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