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Extrait ajouté par Evanna 2018-01-13T14:51:38+01:00

- Là-bas! s'écria soudain Olivia en pointant du doit une maison, Y a du monde là-dedans. Les gars, regardez.

- T'es sûre? demanda Marco en regardant dans la direction qu'elle indiquait.

- Je les ai vus, je te dis. Assis à une table. Y en a même un qui m'a un signe.

BouleChien trottina jusqu'au trottoir. La maison était en retrait de la rue, protégée par une grille. A travers la fenêtre il vit trois silhouettes d'enfants, assis autour d'une table de cuisine couverte de nourriture. Un des gamins avait le bras levé.

- Ils arrivent! soupira félix en rejoignant ses amis.

- A l'intérieur. Vite, ordonna BouleChien. Allez, tout le monde. En vitesse!

La serrure de la porte d'entrée avait été fracturée.

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Extrait ajouté par Evanna 2018-01-13T14:43:13+01:00

Bientôt treize étrangers gisaient sur les rails, morts ou à l'agonie. Comprenant qu'ils étaient battus, les autres tournèrent les talons et se dirigèrent pitoyablement vers la gare, sous les huées et les insultes des enfants.

Bientôt, ceux-ci s'arrêtèrent et se regardèrent. Ils étaient épuisés, à bout se souffle, couverts de sang et d'immondices, mais euphoriques.

- Tranché, émincé, constata fièrement Tom.

- Steak hacé, enchérit Alfie.

- par contre, toi, jester, tu me sembles encore bien propre, fit remarquer Kate en lorgnant le manteau en patchwork à peine souillé ici ou là d'une petite tache de sang. Je ne t'ai pas vu faire beaucoup de dégâts.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2016-01-25T22:27:29+01:00

Merci. Au moins, je me coucherai moins bête. BouleChien balaya du regard les enfants affairés sur leurs équipements. Ce n’était pas un monde qu’il comprenait. Il s’y sentait étranger. D’ailleurs, il n’avait qu’une hâte, c’était de se retrouver à nouveau dehors, dans la rue, une arme à la main, sans autre souci que celui de rester en vie, de se battre, de tuer et de rentrer à la maison en héros. Au point qu’il commençait à se demander s’il n’avait pas commis une erreur en venant ici. Il avait bien retrouvé Brooke, mais, de toute évidence, elle n’en avait rien à fiche de lui. Au fond, les filles ne sont pas impressionnées par les guerriers… Il soupira. Non. Brooke n’en avait rien à fiche de lui, pas plus que de ses plans sur la comète pour prendre le pouvoir au musée.

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Extrait ajouté par Asylea 2014-07-12T16:06:12+02:00

- Tu m'oppresses avec tes questions, Justin.

- C'est pourtant ce que font les scientifiques.

- Ouai, ben pas moi.

- Ecoute, reprit Justin. Jusqu'ici, personne n'a vécu assez longtemps après une blessure pour que l'on puisse se faire une idée de ce qui pourrait se passer. Ce qu'il nous faut, c'est tester le sang de quelqu’un, d'un enfant, évidemment, qui a été attaqué.

- J'imagine que les volontaires se bousculent, ironisa BouleChien. Moi ! Moi ! Moi ! Mors-moi !

- On peut discuter cinq minutes sérieusement, avec toi?

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Extrait ajouté par AlyW 2020-04-01T23:17:35+02:00

A aucun moment ils ne soupçonnèrent la présence de Shadowman dans la maison incendiée. Il y passa une longue nuit à les écouter ripailler. Saint George et les siens, d'abord, puis les autres, qui se disputèrent violemment les derniers morceaux de chair, de peau et d'os. Enfin, ce fut au tout des plus esquintés de passer à table. Dans la lueur grisâtre de l'aube, il les vit d'un oeil effaré ramasser les mettes et lécher le sang répandu sur l'asphalte. À la faveur des rangs qui s'éclaircissaient, Shadowman put mesurer l'ampleur du carnage. Il ne restait pratiquement rien de Tom et Kate.

Avec le lever du jour, certains commencèrent à se retirer, d'abord seuls ou par deux, puis par groupes plus importants, errant à la recherche d'un endroit où dormir jusqu'à la nuit prochaine. Les derniers à quitter les lieux étaient les plus forts, les plus vaillants, ceux qui n'avaient pas peur de la lumière du soleil, à savoir Saint George et ses gars. Remontant la rue en groupe, ils passèrent devant la planque de Shadowman, l'air contents d'eux. Saint George ouvrait la marche, sa grosse tête bouffie trop lourde pour que son cou. parvienne à la tenir droite. Et puis Bluetooth et Bandit manchot, suivit de Man U et... Shadowman faillit éclater de rire. Finalement, le carreau qu'il avait tiré quasiment à l'aveugle avait bel et bien trouvé une cible. Le dernier de la bande. Celui pour lequel il avait eu du mal à trouver un surnom. La flèche était fichée dans son épaule, soit parce qu'elle était plantée si profondément dans la chair qu'il lui était impossible de l'en défaire, soit parce qu'il n'avait même pas pris la peine de l'enlever. De fait, la chose n'avait pas l'air de le gêner plus que ça. Il l'arborait presque avec fierté, comme un trophée. Shadowman versa une larme en savourant cette minuscule victoire. Non seulement il avait amoché le salopard, mais en plus, cela lui conférait un signe distinctif. Ce n'était plus cet étranger sans visage.

Donner un nom à quelque chose, c'est se l'approprier.

Un grand sourire illumina son visage. Il l'avait, son surnom.

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Extrait ajouté par jOOh 2017-09-03T21:10:26+02:00

Les faits qui se déroulent ci-après ont lieu 5 jours avant les incidents relatés à la fin "des Trépassés."

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Extrait ajouté par jOOh 2017-08-30T22:43:38+02:00

-Mais c'est toi qui es trop mou, rétorqua aussitôt Marco. Regarde, le bateau n'arrête pas de tourner. Perce l'eau, bon sang. Ca ira mieux.

-Avec quoi ? une pique ?

-Avec ta rame, crétin !

-A ton avis je fais quoi , là , gogol ? j'arrête pas de planter ma rame dans l'eau !

-M'appelle pas gogol, espèce de gogol. Tu vas nous faire chavirer.

-Vous allez la boucler, tous les deux ! coupa Boulechien. Faites plutôt gaffe a pas heurter le pont. Si on tient pas le cap, on est sûr de s'emplafonner .

-Vous savez, vous devriez pas dire ce mot, désaprouva Olivia en regardant Marco et Felix.

-Quel mot ? demanda Marco éssoufflé.

-Gogol.c'est un vilain mot. Une fois Paul a cogné un gars qui avait dit ca.

-Qui est Paul ?

-Mon frère. Celui qu'on va retrouver.

-Ah, OK...

-On avait un cousin handicapé. Tout le monde se moquait de lui. Mais Paul prenait toujours sa défense.

-Ca a l'air d'être un mec gentil, ton frère, dit Marco.

-M'a surtout l'air d'un con, murmura Felix dans sa barbe.

Marco essaya de ne pas rire. Par chance, Olivia ne l'avait pas entendu.

-Il est génial, poursuivit-elle. Quand ma mère et mon père sont morts, il s'est occupé de moi.

-On va le retrouver, affirma Marco.

-Le con, ajouta Felix, un tout petit peu trp fort ce qui eut le don de faire pouffer Marco

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Extrait ajouté par wizbiz06 2016-01-25T22:27:59+01:00

Justin essayait de le calmer et de le raisonner, mais, de toute évidence, il n’était pas à son affaire : il avait beau être une tronche en sciences, en mathématiques et en technique, en revanche, question psychologie, il était plutôt crasse. Au fond, il ne connaissait rien des gens, de ce qui les anime. Il n’avait aucune idée de ce qu’il fallait dire pour aider Paul. Dans la même situation, nul doute que BouleChien lui aurait fichu une claque en lui demandant d’arrêter ses conneries. De fait, l’envie l’en démangeait. Il fallait le faire redescendre sur terre avant qu’il ne blesse quelqu’un ou, plus probable encore, qu’il ne se fasse du mal à lui-même. L’engueulade avec Justin, à côté du camion, avait été la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase déjà bien rempli par les événements de la journée. Ce n’était pas la première fois que BouleChien voyait un enfant craquer de la sorte. C’était comme si quelque chose à l’intérieur d’eux cédait et que, d’un coup, ils sombraient dans la folie. D’ailleurs, il lui arrivait souvent de se demander par quel miracle cela n’arrivait pas plus fréquemment, quand on voyait ce que certains gosses enduraient, les scènes dont ils étaient témoins, les amis qu’ils perdaient. Logiquement, ils auraient tous dû être fous à lier. Mais certains semblaient posséder le gène de la survie.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2016-01-25T22:27:50+01:00

Il y avait aussi Kwanele, le sapeur, resplendissant dans son kimono brodé. Une explosion de couleurs chamarrées soulignées par une épée d’apparat ornée d’or et d’argent qui pendait à sa taille dans un fourreau ouvragé. Ce n’était pas la première fois que BouleChien croisait un gamin avec ce genre d’épée. Il présumait qu’ils les avaient piquées au musée Victoria et Albert, juste en face. De fait, elles semblaient plus faites pour figurer au musée de la mode que pour le combat. Et puis il y avait le mec qui lisait tout le temps, l’homme livre, Chris Marker. BouleChien s’étonna de le voir porter un vêtement similaire à celui de Kwanele, en un peu moins vif toutefois. Entouré d’un groupe de petits, il ne faisait même pas semblant de vouloir calmer Paul.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2016-01-25T22:27:40+01:00

Paul se trouvait au centre du hall principal du musée, devant le squelette de diplodocus. Son couteau, encore souillé des coups qu’il avait portés au collectionneur, pendait au bout de son bras. Séché, le sang formait une croûte noirâtre le long de la lame. Aux yeux de BouleChien, il avait l’air complètement fou. Il tournait en rond, les traits tordus par la rage, les joues écarlates et mouillées de larmes, menaçant quiconque approchait. De la morve lui coulait du nez, s’immisçait dans sa bouche, se mélangeait à la salive pour former de longs filets visqueux qui s’étiraient entre ses dents.

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