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Extrait ajouté par lilou68 2016-04-22T19:31:55+02:00

Et je me rappelle une citation d'un livre de Guillaume Musso : "certains disent qu'on reconnait le grand amour lorsque l'on s’aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous fait mal"

J'emmerde Guillaume Musso et sa citation de merde.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-28T00:04:18+01:00

— Les femmes de cette maison sont tarées vieux, chuchote Brian.

— Parle pas trop fort. Elles pourraient bien nous jeter au bûcher, ces sorcières.

J’entre dans la cuisine et déclare :

— Je crois que j’opterais plus pour quelque chose comme, vous attacher à un roc et vous jeter dans un océan infesté de requins. Ouais, ce serait beaucoup plus drôle.

Ils sursautent tous les deux et je ne peux m’empêcher de leur lancer un regard assassin.

— Merde, Abby, on t’a pas entendue revenir ! s’écrie Brian.

Il se rapproche de son ami et lui chuchote quelques mots que je capte :

— T’avais raison, c’est une sorcière.

— La ferme, pauvre idiot ! je beugle en serrant les poings.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-28T02:12:27+01:00

— Je t’aime vraiment et j’attendrai aussi longtemps qu’il le faudra. Aussi longtemps qu’il est humainement possible d’attendre.

— La dernière fois que tu m’as promis quelque chose de semblable, Zara a fini dans ta chambre, soupiré-je.

— Jadis j’étais comme ça, aujourd’hui je suis un autre homme, théâtralise-t-il.

— Ah oui ? Ça date de quelques semaines à peine pourtant.

— Je sais, j’essayais juste de détendre l’atmosphère. Écoute ma puce, je suis pas doué pour dire ces choses. Mais cette fois, ce sera différent, vraiment. Je sais que je ne te mérite pas, que je te déçois sans arrêt, mais…

Il s’interrompt et déglutit difficilement.

— Je ferai tout pour être l’homme en qui tu pourras avoir confiance. Je ne serai plus le gamin qui ne réfléchit pas. Je deviendrai quelqu’un de bien.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-27T19:53:41+01:00

Il se lève, pose ses deux mains derrière ma nuque, comme il a l’habitude de le faire, et me force à l’affronter.

— Quand un mec t’approche, j’ai envie de tout casser.

— C’est absurde…

— Non, c’est comme ça. Si t’étais à moi, il aurait goûté à mon crochet du droit.

Je soupire et tente de le repousser, mais il ne lâche rien.

— Regarde-moi, putain ! ordonne-t-il.

— Bon sang ! Tu me rends folle !

— Et toi, tu me rends cinglé ! gronde-t-il plus fort que moi.

Cette fois, je le pousse avec plus de puissance et il recule avant de se mettre à arpenter la pièce de long en large. C’est le moment pour lui dire ce que j’avais prévu et ainsi reprendre le contrôle de la conversation.

— Je ne suis pas le genre de fille à alimenter la jalousie d’un homme pour le plaisir. Lorsque tu me verras vraiment avec un homme, ce ne sera pas pour te rendre jaloux, mais parce que ce sera sérieux.

Il se fige, les poings serrés à leur maximum, et me lance un regard si noir que j’en tremblerais presque si je n’étais pas aussi décidée à prendre le dessus. Sans préambule, il vient se coller à moi et agrippe avec fermeté mes épaules dénudées. Incapable de supporter ses yeux, je baisse la tête et soupire.

— T’as pas encore compris que ce sera moi et moi seul ? Ce mec avec qui ce sera sérieux !

J’ouvre la bouche pour le contredire et, sans prévenir, ses lèvres se pressent durement sur les miennes.

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Extrait ajouté par Ririeb 2018-05-19T10:55:58+02:00

Ça remue un peu plus loin. J’entends le bruit de ses pas lourd se dirigé vers moi. Je ne me retourne pas. Le cliquetis d’une chaîne et le froissement du tissu. Son parfum embaume déjà tout le couloir mêlé à une fragrance que j’ai un peu de mal à reconnaître. Il se stoppe à quelques mètres de moi avant de venir ça dossier au mur d’en face.Jamais depuis que je le connais je ne l’avais vu si abattu. Il tient un énorme bouquet de tulipes blanches dans la main droite.Il le balance maladroitement de haut en bas pour me saluer avant de me le tendre.

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Extrait ajouté par armel86 2018-04-30T11:36:39+02:00

Sa voix est remplie de peine et de tristesse. Elle a été comme un murmure. Je le connais. Ça a dû lui prendre tout son courage pour me le demander. Et ça me prend tout le mien pour refuser.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-28T02:14:24+01:00

— Ça va ? demandé-je, surprise de son état.

— Non, comment tu veux que ça aille ?! J’ai merdé, encore, et je t’ai perdue ! Je te fais du mal, sans arrêt ! Je suis un idiot et tu me manques tellement, m’avoue-t-il dans un sanglot étouffé.

Il mord sa lèvre inférieure et baisse la tête, ses épaules secouées de légers spasmes.

— Je suis toujours là, Brian.

Chaque fois, il me surprend. Alors que je pense toujours que je ne peux le voir plus mal, il s’enfonce toujours plus dans la tristesse. Je déteste ça…

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-27T22:56:54+01:00

— Tu sais bien… Nous deux, c’est super, c’est génial, tu me fais passer par une gamme d’émotions si intense, mais nous sommes si dysfonctionnels. Toi et moi sommes si différents… Tu es magnifique. Je n’aurais jamais cru avoir un homme comme toi dans les bras. C’est difficile d’avancer avec tout ce qui est arrivé dernièrement. Je t’aime de tout mon cœur, mais c’est devenu trop douloureux. Ça me rend folle.

Il tourne la tête sur le côté et se mord la lèvre.

— J’aimerais que tu me laisses une dernière chance.

Je secoue la tête, refoulant mes larmes.

— Non ! Je ne peux pas…

— J’ai un don pour me foutre dans la merde, même depuis que tu es entrée dans ma vie, je continue de jouer avec le feu. Je t’ai déçue, j’en suis conscient, et ça, j’arrive pas à me le pardonner. T’es la seule personne que je n’accepte pas de décevoir.

— C’est touchant, mais ça ne change rien.

— Je sais, j’ai fait plus d’erreurs que je peux en compter, et ça, seulement avec toi. Tu vas me croire si je te dis que ce sera différent cette fois ?

Je hausse les épaules, un peu perdue. J’aimerais bien le croire, mais je ne peux pas. Je n’y arrive plus.

— Je te le prouverai, je t’en fais la promesse. Je t’aime et je me montrerai digne de toi.

Il prend ma main dans la sienne et je lâche :

— Je sais, tu l’as déjà dit…

— Je ne mérite pas d’être avec toi, mais je ne sais pas comment agir quand il s’agit d’amour…, m’avoue-t-il, la voix emplie de sanglots. Je ne dois pas me laisser attendrir ,

Je ne dois pas me laisser attendrir, je ne dois pas me laisser attendrir !

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-27T22:29:50+01:00

— Je t’aime Abby…

Je roule sur le dos, puis sur le côté pour lui faire face. Ses mains entourent mon visage et, du bout des doigts, il essuie mes pleurs.

— Tu mérites tellement mieux que moi… J’aimerais être capable de te laisser partir, mais quand il s’agit de toi, je suis le plus égoïste des mecs de cette terre…

— Alors ne me laisse pas m’en aller, murmuré-je en calant ma tête contre son torse chaud.

— Jamais.

Il roule sur le dos et je prends place tout contre son corps. Nous nous endormons ainsi.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-27T21:23:25+01:00

Du bout des doigts, je caresse son épaule et descends sur son bras. Mes yeux s’accrochent à l’inscription encrée dans sa chair, celle que j’affectionne le plus, sur son flanc. Nothing lasts forever . Je n’ai jamais autant aimé un tatouage que celui-ci. Les traits sont si fins, si réguliers, mais quelle peut bien en être la signification ?

— Pourquoi ce tatouage ? demandé-je, hypnotisée.

Il hausse les épaules et se détourne vivement de moi.

— Tu ne veux pas me dire pourquoi ?

— Parce que rien ne dure éternellement, Abby. Parce que tout se fane un jour ou l’autre. Parce que les sentiments meurent comme ils naissent. Parce que les gens ne sont que de passage, et que leur amour peut tôt ou tard t’être enlevé. La vie est une salope et rien n’est jamais sûr.

— Qu’est-ce qui te fait penser ça ?

— Parce Zacky s’est suicidé. Parce que mon père est un salaud. Parce que chaque femme que j’ai aimée m’a brisé. Parce que toi aussi, tu le feras. Parce que ton ex l’a fait.

Je secoue la tête et pince mes lèvres.

— T’es pas d’accord ?

— Non, je réponds. Les souvenirs sont éternels et permettent de recoller les morceaux brisés. Ceux que j’ai rapportés de Santa Barbara m’ont permis de tenir bon. C’est grâce à eux que j’ai vraiment compris que cette carapace autour de toi sert juste à cacher un garçon perdu.

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