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Extrait ajouté par Ririeb 2018-05-21T18:26:49+02:00

Debout devant la maison qui jadis fut la nôtre la nostalgie me submerge. Nous nous sommes connus entre ses murs nous nous sommes découverts et surtout nous nous sommes aimé du plus profond de notre être.Comment Vais je parvenir à vivre ici quand je sais qu’il n’y sera plus? Quand tout ce qu’il restera de lui se résumera à quelques photos et à son ombre qui me Hantera durant des années ? Je n’imaginais plus la vie sans Brian et ce même s il m à rrahie à bien des égards. Je l aime j en suis folle mais cette fois c est un adieu.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T12:46:45+01:00

Une voix à l’interphone avertit les passagers se rendant à Dubaï qu’il est temps d’embarquer dans l’avion. Je reprends mon téléphone et enclenche la messagerie ; c’est devenu une habitude ces deux dernières semaines. Je n’ai qu’un seul message archivé et je l’écoute en boucle des centaines de fois par jour. Parfois, je pleure en entendant sa voix, d’autres fois, mes larmes laissent place à un sourire sincère. Mais à cet instant, en l’écoutant, la vérité s’impose à moi. Je quitte Los Angeles pour deux ans ; qui sait de quoi l’avenir sera fait ? Tellement de choses peuvent arriver, elle m’aura peut-être oublié… Peut-être n’entendrai-je plus jamais sa voix ?

« Coucou Brian, j’imagine que tu dois dormir à l’heure qu’il est, mais je voulais te dire que je t’aime et que je suis impatiente que tu rentres à la maison. J’ai rêvé de toi toutes les nuits. J’ai hâte de pouvoir t’embrasser à nouveau, de te prendre dans mes bras, de te faire l’amour… Il me tarde de sentir tes lèvres sur moi. Reviens-moi vite. Je t’aime mon amour »

Mon amour ! Elle ne m’appelait pas souvent comme ça, mais chaque fois qu’elle le faisait, c’était avec le sourire. Bordel, elle me manque tellement…

Mais je dois avancer, pour elle. Avec le cœur sur le point d’exploser, je supprime le message.

« Votre message a bien été supprimé »

Il est trop tard pour reculer désormais. Je me lève, les jambes molles, et suis les autres passagers vers ma nouvelle vie.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T03:04:01+01:00

« Ma très chère et adorable Abby,

Je suis devant cette feuille de papier depuis des heures maintenant. Comment trouver les mots justes pour expliquer les choses abominables que j’ai faites ?

Je ne cherche pas à me trouver d’excuses, parce qu’encore une fois, c’est moi qui ai merdé et j’en suis conscient. J’ai toujours agi comme une petite merde arrogante et narcissique, bien que je pensais avoir changé. Au fond, c’est ce que j’ai toujours été, je me voilais juste la face. J’ai cru que tu m’avais sauvé de l’autodestruction, que tu avais fait de moi un homme meilleur. Mais j’en étais juste convaincu, et ce n’était pas suffisant pour faire de moi quelqu’un de bien.

Abby, tu as vu la lumière au fond de mon âme, aussi sombre soit-elle. Tu as éclairé ma vie. Comment as-tu pu trouver cela au fond de moi ?

Il y a deux semaines que nous nous sommes dit au revoir, et lorsque j’ai réalisé que je t’avais perdue pour de bon, j’ai craqué. J’ai voulu t’appeler à chaque instant, chaque heure, chaque minute, chaque seconde pour te dire que j’avais fait une erreur et que j’étais prêt à essayer, pour toi, pour nous, mais aussi pour cet enfant que j’ai rejeté. Mais c’était trop tard, le mal était déjà fait. C’est toujours comme ça…

J’ai toujours eu cette rage au fond de mon cœur, au fond de mon âme. Tu as été la seule capable d’apaiser toute cette folie en moi. J’ignore comment je survivrai sans toi.

Comment fait-on pour vivre sans la meilleure partie de soi ?

Abby, mon ange, je suis incapable de te souhaiter le bonheur aux côtés de quelqu’un d’autre, tout comme je suis incapable de te priver de la chance de refaire ta vie. Je suis sûr que tu rencontreras un homme meilleur que moi, un mec qui tiendra ses promesses. Un gars qui t’aimera mieux que je ne l’ai fait.

Cette lettre me semble dénuée de tout sens et n’a pour but que de te prouver combien je regrette de ne pas avoir pris soin de toi.

Je terminerai avec mes plus plates excuses, Abélia. Pardonne-moi d’avoir tout gâché.

Je t’aimerai toujours,

Brian

PS : Ce sera une fille. Si c’est possible, j’aimerais qu’elle s’appelle Lux… Ça veut dire Lumière. Je sais que cette requête est égoïste, mais j’ose espérer qu’elle atteindra ton cœur tout comme tu as touché le mien. »

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T02:59:49+01:00

Debout devant la maison qui, jadis, fut la nôtre, la nostalgie me submerge. Nous nous sommes connus entre ces murs, nous nous sommes découverts et surtout, nous nous sommes aimés, du plus profond de notre être. Comment vais-je parvenir à vivre ici quand je sais qu’il n’y sera plus ? Quand tout ce qu’il restera de lui se résumera à quelques photos et à son ombre qui me hantera durant des années ? Je n’imaginais plus la vie sans Brian, et ce, même s’il m’a trahie à bien des égards. Je l’aime, j’en suis folle, mais cette fois, c’est un adieu.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T02:57:36+01:00

— Je sais que Jimmy a fait quelque chose de bien pour toi tout à l’heure, mais n’oublie pas qu’il a fait tout un tas de choses pas forcément bien dans sa vie.

— Je sais, je n’oublie pas, le rassuré-je.

— Tu as toujours tendance à vouloir sauver les gens, commence-t-il en me fixant. Tu vois le bien en tout le monde. Je suis sûr que tu trouves plus de bonnes choses en Jimmy que de mauvaises malgré ce qu’il t’a fait. Ce côté de toi me fait penser à Harper, avoue-t-il en caressant les cheveux de sa femme qui dort la tête posée sur sa cuisse.

— C’est vrai…

— Tu as pardonné tant de fois à Chad, et regardes avec Brian. Et ta mère… Je crois que c’est la raison pour laquelle Jade souhaite que ce soit toi qui gardes Nolan. Tu es une bonne personne, une jeune femme aimant et déterminée.

— Je pense aussi qu’elle n’a personne d’autre que moi. Pour elle, j’étais encore avec le père de son enfant quand elle a eu cette idée, lui fais-je remarquer. Elle me demande de garder son fils, faute de mieux.

— Je crois aussi que c’était son raisonnement, mais maintenant qu’elle te connaît mieux, elle sait qu’elle a fait le bon choix pour Nolan, m’explique-t-il sur un ton paternaliste.

— Je l’espère… Et puis, ce n’est que deux semaines, ça devrait aller.

— Ça peut être long avec des enfants.

— Encourage-moi, s’il te plaît, raillé-je.

— Ça va bien se passer, on sera là pour t’aider en cas de problème.

— Merci d’être toujours là pour moi, frangin.

— C’est normal, p’tite sœur.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T02:35:13+01:00

Harper me parle, mais je ne l’entends pas. Je n’arrive simplement pas à croire que c’est possible. Il ne part pas pour Las Vegas ou Santa Barbara, mais à l’autre bout de la planète. Tout ce qu’il restait de mon monde et de nos chances de reprendre notre histoire s’est effondré en une poignée de secondes. Comment vais-je survivre à tout ça ? Je n’y arriverai pas… Seule, loin de lui, sans aucun moyen de le voir, avec un enfant que je devrais élever… Ma poitrine se serre, des sanglots montent dans ma gorge ; j’ai l’impression de mourir de l’intérieur.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T02:06:45+01:00

— Tu dois comprendre, Abby ! Je serai un père horrible, je ne veux pas briser la vie d’un enfant comme mon vieux a brisé la mienne…

— Je crois que c’est justement ce qui ferait de toi un bon père : le fait que tu refuses d’être comme lui.

— J’ai toujours cru que tu n’en voulais pas non plus, Abby…

— Je n’ai jamais rien dit de tel. J’ai dit que je n’étais pas prête à en avoir.

— C’est absurde qu’on ait un enfant !

Je le fixe, stupéfaite. Il ne changera pas d’avis, c’est certain.

— Alors tu vas me rayer de ta vie ?!

J’oscille entre devenir folle ou me mettre à pleurer.

— Non, je voudrais que tu te fasses avorter, avoue-t-il une nouvelle fois.

— Et je ne le ferai pas…

Brian semble perdu, dans une impasse. Le silence s’installe entre nous, tandis que nous nous fixons sans un mot. Lequel de nous deux abonnera le premier ? Moi ? Non, pas cette fois, je ne rendrai pas les armes comme je l’ai toujours fait, l’enjeu est trop important, c’est une petite vie qui risquerait d’être sacrifiée. Cette fois, c’est différent, ça ne dépend plus que de moi.

— Je vais aller dormir chez Mat quelques jours. Prends le temps de réfléchir. Et n’oublie pas que je suis folle de toi, s’il te plaît.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-03-01T01:39:43+01:00

Ses mains se placent derrière ma nuque et nos regards s’encrent l’un à l’autre. Il a l’air terriblement sérieux.

— Abby… Dis oui, je t’en prie, me supplie-t-il.

Je fronce les sourcils, ne comprenant pas où il veut en venir. Mais ses yeux sont tellement suppliants que j’obtempère:

— Oui.

Il plonge sa main dans la poche de son jeans.

— Tu as dit oui ! s’exclame-t-il en glissant une bague à mon annulaire.

— Brian… mais, qu’est-ce que ça veut dire ? demandé-je, surprise.

Il m’a toujours répété que le mariage n’était pas pour lui, mais visiblement, il a changé d’avis car il se met à genoux sur le parking de l’aéroport. Je ris de gêne, mais surtout de joie. J’ai beau ne pas savoir où me mettre, je suis quand même la personne la plus heureuse au monde.

— Brian, relève-toi, c’est idiot tout ça, ordonné-je, sans m’empêcher de sourire.

— Ce n’est pas idiot, laisse-moi terminer mon discours. Je l’ai préparé dans l’avion et si tu m’interromps, tu auras droit à une demande de merde.

Je lève les yeux au ciel et réprime une envie d’éclater de rire.

— Premièrement, je tiens à te dire que, même si tu as répondu oui, je vais quand même demander à ton frère s’il est d’accord. Mais Abélia Anderson, ça fait plus de quatre ans que je suis fou amoureux de toi. Et je t’en ai fait voir de toutes les couleurs, parfois même, j’avais envie de tout casser. Tu as même embouti mon bien le plus précieux, mais je t’ai pardonné. Comme tu m’as pardonné toutes mes erreurs. Il n’y a pas de mots pour dire à quel point je t’aime. Tu as été la solution à tous mes problèmes. J’ai couru toute ma vie après quelque chose que je n’avais pas conscience de chercher. Lorsque tu n’es pas près de moi, c’est tout mon monde qui s’arrête de tourner. Alors, Abby, je t’en supplie, marions-nous. Tu es la seule que j’aimerai jusqu’à la fin de mes jours.

Mon cœur tambourine comme un forcené, prêt à s’arracher de ma poitrine pour se déposer sur le sien. Les larmes sont là, contenues certes, mais bel et bien présentes.

— Tu as mis combien de temps pour apprendre ce discours ?

Il lève les yeux au ciel.

— Arrête d’être aussi chiante, ça m’énerve…

Son sourire me donne envie de rire. Au-delà de ça, je me rends compte que nous avons été transportés dans une bulle, loin de tout. J’ai l’impression de flotter, portée par un bonheur infini.

— C’est bon… Oui, je veux bien qu’on se marie.

Il se relève et m’embrasse.

— Tu parles d’une réponse, mais ça me va, tant que tu dis oui, je suis heureux. Je t’aime Abby.

— Je t’aime aussi, Brian Lewis !

Sa demande en mariage est un peu boiteuse, mais elle est à son image, vraie et sincère, et ça me plaît.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-28T22:47:44+01:00

Il enroule ses bras autour de ma taille et me hisse sur ses cuisses.

— Hey ! Va falloir que t’arrêtes de me trimbaler partout comme ça ! Je suis pas un jouet !

— Oh, ma belle, t’es le plus tentant de tous les jouets de cette foutue planète.

Et je ris tellement fort qu’il sursaute.

— Tu ne me crois pas… ?

Il baisse la tête et m’embrasse dans le cou pour ensuite remonter jusqu’à mon lobe.

— Je t’aime Brian Lewis !

Il ne répond pas, et ce serait inutile qu’il le fasse : son regard vert, scintillant de milliers d’éclats, laisse transparaître la profondeur des sentiments qu’il ressent pour moi.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2018-02-28T18:55:55+01:00

Il resserre son étreinte autour de ma taille.

— Tu m’as sauvé la vie, mais surtout, tu lui as donné un sens, murmuré-je, le visage contre son torse.

— Regarde-moi…

Je secoue la tête pour lui signifier que je ne le ferai pas, mais comme il est têtu, je sais qu’il va insister jusqu’à ce que je cède.

— Je t’en prie. Je dois le voir dans tes yeux.

Je relève doucement la tête et plonge mon regard dans ses yeux verts, déjà luisants de larmes.

— Brian, je t’aime, et je t’aime parce que tu es toi. Tu m’as insufflé l’énergie suffisante pour que je puisse renaître. Tu as donné un sens à cette nouvelle existence, celle que je n’espérais plus.

Il m’enlace, mes plâtres ne semblent plus être un obstacle à nos caresses.

— Tu vois, j’ai toujours pensé que ma vie se résumerait à coucher avec la première qui vient, bosser au studio et boire le week-end avec des amis. À l’époque, ça me convenait, je n’avais pas de perspective d’avenir. Puis tu as débarqué, avec toute ta candeur et ta douceur. Ça m’a touché… Je pensais pas qu’une petite nana comme toi pourrait chambouler toute mon existence. Toi aussi, tu m’as sauvé. Je t’aime tellement…

— Je le sais.

— Je ferais n’importe quoi pour toi, poursuit-il.

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