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Un jour, la bibliothécaire Gwendolynne Price a commencé à trouver des propositions indécentes ainsi que des histoires sensuelles dans la boîte aux suggestions chaque matin. Choquée qu'elles soient en accord avec ses plus profonds désirs sexuels, elle débute une relation avec un homme qu'elle n'a encore jamais rencontré.
En même temps, elle se retrouve aussi impliquée émotionnellement avec un homme qu'elle a bel et bien rencontré. Le Professeur Daniel Brewster, un historien superstar dans son domaine, est en congés pour des recherches à la bibliothèque. Cet académicien fait battre le coeur des femmes à travers tout le pays, mais Gwendolynne est celle pour laquelle il montre un rapide intérêt...
Rapidement, sa relation de lettres érotiques et d'emails sensuels se retrouve face à une où les jeux érotiques sont bien réels.
Gwendolynne peut-elle découvrir l'identité de son mystérieux correspondant, Nemesis, et sera-t-il aussi excitant une fois démasqué ? Peut-elle survivre à la douleur d'aimer puis de perdre Daniel quand ses recherches prendront fins ?
Ou bien est-elle trop impliquée avec les deux hommes ?
"Il m'arrive de vous observer, madame Gwendolynne Price, le saviez-vous?
Chaque jour, à la bibliothèque, je vous regarde. Chaque jour, je brûle de vous toucher, je me dèbâts dans les affres de mes pulsions. Vous passez prés de moi, et j'ai envie de vous attraper par le bras pour vous entraîner entre les rayonnages et commettre l'indicible. Je désire glisser mes mains sous votre jupe et vous caresser pour que vous gémissiez de plaisir. Je veux dénuder un peu de votre peau crémeuse ici même dans la salle-de-lecture, à quelques centimètres à peine des manants qui déambulent dans votre domaine sans se douter de ce qui s'y trame.J'aspire à dévoiler vos courbes m[spoiler]à vous embrasser et à frôler avec ma langue votre clitoris exquis, à le lécher jusqu'à ce que vous n'y teniez plus et que l'orgasme libérateur vous fasse vibrer. Jouissez pour moi, Gwendolynne.
N'ayez crainte, ma douce. Je ne vous veux aucun mal...Simplement vous goûter. Ou bien vous toucher.
Si seulement je vous pouvez vous adorer de loin, dans la chasteté, tel un chevalier d'antan se mourant pour sa dame d'un amour platonique... Si je savais écrire de la poésie romantique, je mettrais en rimes votre beauté, je décrirais les moindres facettes de votre sourire, de votre grâce, et soulignerais combien je brûle de m'agenouiller devant vous, avant d'embrasser le sol que vous auriez foulé en me quittant.
Mais cela est vain, ma chérie. cela ne me suffit pas. Je suis incapable de me cantonner à la pureté des grands esprits. Je suis trop animal. Une bête lubrique, indomptable. Le simple spectacle de vos courbes m'inspire une intense excitation. Je suis mû par le désir de vous faire l'amour avec ardeur. Lorsque vous passez près de moi, ma queue douloureuse se tend vers vous, et j'écoute le bruissement de votre jupe contre votre peau en regrettant de ne pas être ce banal morceau d'étoffe. De ne pas pouvoir m'immerger dans la senteur de votre chatte délectable.
Je suis obnubilé par ce qui se niche entre vos cuisses. La nature sauvage de votre sexe, le rose de sa géographie intime. J'adorerais écarter vos jambes et vous contempler pendant des heures, vous caresser du regard, savourer la vulnérabilité de votre nudité offerte.
Les pensées que vous m'inspirez vampirisent mes journées et gâchent mon travail, mais peu m'importe. Seul l'espoir que vous partagiez mes caprices me réconforte. Dans mes fantasmes, vous convoitez ma queue, vous essayez de deviner à quoi elle ressemble, vous anticipez les sensations qu'elle vous procurerait, logée dans votre main ou votre fente.
Et sachez qu'elle est plutôt avenante, cette queue, chère Gwendolynne. De fait, à votre simple évocation, elle prend une ampleur spectaculaire. Elle se dresse en hommage à votre exubérante et prodigieuse beauté, à la promesse d'en explorer le moindre centimètre carré, de s'y plonger tandis que nous baiserions éperdument, à demu nus sur le sol de la salle de lecture.
Alors pour une fois, bin comment dire, je n'ai pas accroché du tout, je ne sais pas pourquoi, dès les 10 premières pages j'avais pas envie de lire la suite, j'ai essayé encore un peu jusqu'à la 15ème et j'ai laissé tombé parce que ça ne m'a pas plu. Enfin ça arrive
La 4ème de couverture avait fortement titillé ma curiosité, et j'étais assez enthousiaste à l'idée de découvrir une correspondance à la fois raffinée et coquine, ainsi que le milieu professionnel de l'héroïne.... Las. Je dois avouer que les premiers chapitres m'ont au contraire fait craindre le pire et ont mis un sérieux coup d'arrêt à mon excitation. En effet, dès la page 4, le protagoniste, Némésis, ordonne à l'héroïne dans sa lettre : "Jouissez pour moi, Gwendolynne." Sérieux, ils n'en ont pas marre les anglo-saxons avec ce genre de demande débile ? C'est vraiment le summum de l'érotisme dans leur jeu sexuel ? Et ça excite vraiment les femmes ? Parce que moi, j'aurais juste envie de baffer mon partenaire ou de m'étrangler dans un rire nerveux... Nan mais, je t'en foutrais des "Jouissez pour moi" !! Si je veux d'abord...
Et page 8, il part dans un délire peu ragoûtant : "Vos cheveux soyeux ne sont que l'un des nombreux fétiches que j'ai découverts en vous. Trouveriez-vous répugnant que je désire jouir en eux ?"
Ah ben oui quand même, ça l'est un peu, nan ? A croire que Némésis veuille rejouer la scène du film Mary à tout prix !!
Heureusement, cela s'améliore par la suite, mais j'ai été franchement déçue par une entrée en matière aussi peu subtile. J'aurais aimé que les deux correspondants se dévoilent progressivement dans leurs lettres, que les confidences montent crescendo, que les demandes érotiques surviennent dans un délai crédible, mais on entre derechef dans le vif du sujet, et surtout l'héroïne, sans rien connaître de l'identité de son mystérieux correspondant, accepte dès la 1ère lettre le jeu sexuel qu'il lui propose. Quelle femme censée ferait cela ? Surtout qu'ensuite, il lui soumet un défi vraiment dangereux...
Bref, tout va trop vite, on a l'impression de lire des fantasmes d'ado couchés par écrit. Ou alors on a l'impression que l'auteure cède à la mode "littéraire" du moment car page 33 Gwendolynne parle de son amant comme de son maître alors que cela n'est pas du tout justifié par l'intrigue. D'ailleurs, cette réflexion survient comme un poil pubien sur la soupe, j'en ai même sursauté de surprise...
Les points positifs du récit sont le physique de l'héroïne, qui dépare dans les romances habituelles car les formes pulpeuses de la demoiselle ne peuvent entrer que dans un bon 44 (ça nous change agréablement !) et que l'écriture est quand même d'un niveau supérieur aux autres roman du même genre. Dommage que l'auteure n'ait pas su exploiter le thème de son histoire en creusant ses personnages et en respectant une progression narrative crédible car tout s'enchaîne trop vite et les scènes sexuelles présentes à chaque chapitre rendent la lecture lassante à la longue. L'intrigue n'est pas assez développée pour nous convaincre vraiment et les personnages manquent cruellement d'épaisseur malgré des atouts indéniables.
Ce n'ai pas un coup de cœur. C'est un roman écrit poétiquement, les phrases sont bien formulé mais trop érotique à mon goût. Et pourtant, lire des romans avec des scènes sensuelles, érotiques ne m'a jamais dérangé sauf que dans ce roman, il n'y a que ça, 98% du livre ne parle que de sexe. On nous fait bien comprendre que l'héroïne est en manque de sexuellement, elle n'a que ça en tête. J'ai d'ailleurs trouver l'héroïne complètement folle. Elle reçoit des lettres anonymes, de la part d'un homme qui lui explique anonymement tout ce qu'il souhaite faire de son corps. Pas de suspens, car même à la fin, on devine déjà qui est l'auteur de ces lettres anonymes. A peine, vont ils avoir une première approche, que l'héroïne dit déjà être amoureuse. Vraiment pas transandante comme roman, c'est de la pornographie mais plutôt que d'être visionné, c'est écrit
Je dois dire j’ai acheté ce livre il y’a longtemps et que je n’en attendais pas grand chose. Puisque généralement ce genre d’histoire tourne en rond. Malgré tout je dois avouer que
le début était intéressant et original, malheureusement je trouve que la fin est ne correspond pas au reste du livre et au personnage.
Néanmoins ce livre comporte une belle écriture et reste fluide.
J'avoue, je ne suis pas contre un roman de temps en temps qui a quelques scènes osées pour pimenter l'histoire.
Malheureusement, ici, il y a très peu d'histoire entre les scènes osées.
Au départ, le résumé était plutôt attirant : une bibliothécaire se découvre un admirateur secret, qui lui envoie des lettres suggestives.
Au final, un male dominant qui justifie sa supériorité en se basant sur ses pratiques sexuelles, et une héroine complétement nunuche et à la merci du dominateur.
C'est un avis mitigé pour moi. C'était particulièrement bien écrit même si quelques détails laissaient à désirer et quelques redondances peut-être. Le concept de la lettre et de l'adorateur secret était assez intéressant mais pas assez exploité et bien que l'histoire avait bien démarré, que je commençait à apprécier Daniel, je ne sais pas, j'ai presque décroché, je n'ai pas compris le dérapage de l'héroine, pourquoi - elle comme lui d'ailleurs - alors qu'ils avaient juré de ne pas s'attacher, se déclarent leur flamme comme des amoureux transis? Si rapidement. La fin n'est guère mieux, et c'est ce qui a fait bien chuter mon estime de ce livre. La couverture était à tomber mais le contenu a été moins addictif.
Résumé
Un jour, la bibliothécaire Gwendolynne Price a commencé à trouver des propositions indécentes ainsi que des histoires sensuelles dans la boîte aux suggestions chaque matin. Choquée qu'elles soient en accord avec ses plus profonds désirs sexuels, elle débute une relation avec un homme qu'elle n'a encore jamais rencontré.
En même temps, elle se retrouve aussi impliquée émotionnellement avec un homme qu'elle a bel et bien rencontré. Le Professeur Daniel Brewster, un historien superstar dans son domaine, est en congés pour des recherches à la bibliothèque. Cet académicien fait battre le coeur des femmes à travers tout le pays, mais Gwendolynne est celle pour laquelle il montre un rapide intérêt...
Rapidement, sa relation de lettres érotiques et d'emails sensuels se retrouve face à une où les jeux érotiques sont bien réels.
Gwendolynne peut-elle découvrir l'identité de son mystérieux correspondant, Nemesis, et sera-t-il aussi excitant une fois démasqué ? Peut-elle survivre à la douleur d'aimer puis de perdre Daniel quand ses recherches prendront fins ?
Ou bien est-elle trop impliquée avec les deux hommes ?
Source : boulevarddespassions.com
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