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Extrait ajouté par stella67 2010-11-27T15:00:41+01:00

Nick se penche et m'embrasse sur les paupières.

-Être amoureux de toi, c'est un job à temps complet ! Ne te m'éprends pas, c'est un chouette boulot ; c'est le plus beau job de tout l'univers, mais ce n'est pas facile parce que tu as tendance à …

- Être souvent blessée ? suggéra Betty. À attirer les ennuis ? À t'évanouir ? À ta casser le bras ?

- Tout cela à la fois, dit Nick en riant.

Je ferme les yeux.

[…]

Sur le siège du milieu, je m'appuie sur Nick et me blottis contre lui.

- Ouf, je suis contente !

- Contente de quoi ?

Sa main caressa doucement l'articulation de mon épaule et de mon bras. Je frémis de plaisir.

- De ne pas porter de minerve ! Ce n'est pas marrant d'avoir une minerve, surtout si on doit danser !

Il se penche et m'embrasse sur le nez.

- Si quelqu'un pourrait y arriver, ce serait toi !

Je penche la tête, et nos lèvres s'effleurent.

- Hé ! Calmez vos hormones, je suis là ! Vous savez, la vieille dame qui vous sert de grand-mère !

- Désolée, il est irrésistible, dis-je en me serrant contre Nick.

- Eh bien, essaie de résister à l'irrésistible, dit Betty d'un air entendu.

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Extrait ajouté par Little 2012-04-10T17:19:20+02:00

-Tu parles comme le parfait petit ami.

Je sors de la douche, attrape une serviette. Il se met a rire.

-Je parles comme le parfait petit ami, mais comment j'agis? Hein? Toi qui te plains toujours de mon machisme canin...

-Oui,ca et ton amour secret pour les confiseries pour chien!

-Tu avais promis de ne jamais en parler! dit-il, faussement scandalisé.

-Non, j'avais promis de ne jamais parler des reverberes!

-Zara!

-Ni des aboiements devant l'aspirateur!

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Extrait ajouté par stella67 2010-11-27T15:00:41+01:00

- Alors, Amnesty, à quoi tu penses ? demande-t-il, le nez dans mes cheveux.

Ses doigts jouent avec le petit dauphin.

- A rien.

- Menteuse !

- Je trouvais que tu étais beau, tout ébouriffé le matin.

- Même avec mon haleine de chien ?

- De loup !

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Extrait ajouté par Little 2012-04-10T17:24:36+02:00

Mon portable sonne quand je suis sous la douche et, comme je suis accro a la technologie, je reponds aussitot.

-Zara?

-Bonsoir, Nick.

-Qu'est-ce que tu fais?

Mon bras valide degouline sur le petit tapis rose devant la cabine, rendant la couleur plus vive.

-Tu prends une douche?

-Oui.

Il ne repond pas. Je ne dis rien. Son souffle est si rauque que je l'entends malgre l'eau qui coule. Je suis nue. Il le sait. Cela me rend folle. Je jette un coup d'oeil vers la serviette et dis:

-Je ne suis plus bleue.

-Parce que tu es rouge?

-Comment sais-tu que je suis rouge?

-Parce que tu rougis! dit-il moqueur.

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Extrait ajouté par isane3 2012-03-21T19:34:56+01:00

- Tu ne me fais pas confiance, c'est ça ?

- Si, si, répond-il bien trop vite.

- Ouais, je vois.

Malgré le vacarme de l'eau, j'entends toujours son souffle exaspéré.

L'eau s'écoule au fond du bac. Je gaspille l'eau.

- Tu sais, dit-il, je suis terriblement amoureux de toi.

- Tu parles comme le parfait petit ami.

Je sors de la douche, attrape une serviette.

Il se met à rire.

- Je parle comme le parfait petit ami, mais comment j'agis ? Hein ? Toi qui te plains toujours de mon machisme canin...

- Oui, ça et ton amour secret pour les confiseries pour chien !

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Extrait ajouté par stella67 2010-11-27T15:00:41+01:00

Il s'allonge et pose la tête sur mes genoux. Ses longues jambes pendent par-dessus le bras du divan. Il sourit et ferme les yeux. Je passe les doigts sur son front et sur la peau délicate de ses paupières. Il me prend la main et l'embrasse.

Tu es si gentille avec moi !

Sa phrase à peine terminé, il s'endort. Ah, les mecs !

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Extrait ajouté par stella67 2010-11-27T15:00:41+01:00

Je sens déjà l'odeur de son déodorant, et Nick est encore loin. C'est à cause de ses phéromones, les odeurs qu'exhalent les mâles, pour attirer les femelles. Je parierais que mon nom est écrit sur les siennes ! Elles s'affûtent et se lancent à l'assaut !

- T'as l'air toute chose, me dit Issie de sa voix chantonnante.

Elle me donne un petit coup de coude dans les côtes, tout doucement. Elle se tourne vers Devyn qui sourit comme un benêt dans son fauteuil roulant et contemple la scène.

- Dev, regarde Zara, elle fait ses yeux de merlan frit...

Issie regard comme un merlan frit, elle aussi.

- Ouais. C'est l'âge bête ! Ça saute aux yeux, leurs hormones les travaillent.

- Ce n'est pas une question d'hormones !

Je le trucide du regard.

Il ricane bêtement.

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Extrait ajouté par alyson123 2012-02-03T20:28:06+01:00

sans réchéchir, je prends son visage dans mes mains. je ne suis pas très forte, c'est vrai, car j'ai un bras blessé, et l'autre saigne, mais j'arrive à approcher son visage du mien.

nos lèvre se touchent. il ne se passe rien. ce sont juste des lèvres contre des lèvres. mes yeux plongent dans son regard d'acier. il n'est plus du tout flou. je ne sais pas pourquoi. je m'écarte. je veux lui demander pourquoi il ne sais rien passé.

il ne m'en laisse pas le temps. ses mains, ses mains absolument valides, passent derrière ma nuque. il approche mon visage du sien. nos bouches se mêlent. le monde disparaît. il n'y a plus que nos lèvres, l'une contre l'autre. c'est de la fumée. de la poussière. c'est léger, c'est de la terre et du vent. le monde tournoie, se perd dans le vide, petit à petit... je suis consciente de la situation, mais je ne peux pas m'y opposer. je n'ai aucun pouvoir. tout ce qui existe, c'est ce baiser.

«astley»

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Extrait ajouté par marieliseorane 2012-04-19T23:02:36+02:00

-alors, Amnesty, à quoi tu penses ? demande-t-il, le nez dans mes cheveux.

ses doigts jouent avec le petit dauphin.

- à rien.

- Menteuse !

- Je trouvais que tu étais beau, tout ébouriffé le matin.

- Même avec mon haleine de chien ?

- De loup !

Il se couvre la bouche et s'assied.

- Dis-moi à quoi tu pensais vraiment.

- Je pensais à mon père.

- Lequel ?

- Le lutin. Lorsqu'il s'est introduit ici. Tu te souviens ? Il avait sauté par-dessus le divan, tant il était furieux que je ne lui ouvre pas la porte de ma chambre. C'était épouvantable !

- Oui, affreux, dit-il en s'étirant. Et tu te sens quand même coupable de l'avoir enfermé avec les autres zinzins, pas vrai ?

Je ne réponds pas.

- Nous n'avions pas le choix, Zara. C'était ça ou les tuer tous.

- Je ne crois pas au meutre.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-07T14:08:17+02:00

Tu me serreras contre toi, et on dansera collés l’un contre l’autre, tu mettras la main derrière ma tête et tu me passeras les doigts dans les cheveux… Il ne dit rien. Il baisse la tête, passe les doigts dans mes cheveux, et ses lèvres effleurent les miennes dans un baiser prolongé. Ses lèvres sont douces et fermes, son souffle se mêle au mien. À l’intérieur de moi, tout se vide : il ne reste que lui et moi, les livres et les cookies.

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