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-Rembourrent quoi ? demanda Kylie.
Della désigna sa zone pelvienne.
-Sérieux ? fit Kylie.
-Sérieux, répondirent les autres en choeur.
-Avec des chaussettes, ajouta Della.
-Pourquoi ? s'enquit Kylie. Ce n'est pas comme si... on... regardait par là.
-C'est ce qu'ils croient, dit Della. Il faut nous faire une raison, ils sont obsédés par le sexe. Les filles, par les histoires d'amour.
[...]
C'est malin ! Pourquoi a-t-il fallu que tu mettes cette histoire sur le tapis ? Maintenant, je serai tentée de regarder la braguette des garçons ce soir, pour vérifier s'il y a des renflements suspects.
- C'est clair, gloussa Miranda. C'est comme un accident au bord de la route. On ne veut pas voir, mais on ne peut pas s'en empêcher de toute façon.
Elle donna un coup sur son menton avec le dos de sa mais et pencha la tête en arrière.
-Nous allons devoir garder nos yeux au-dessus de la ceinture toute la soirée, interdiction de regarder en dessous !
Elles rires toutes encore plus fort.
(....)
Et rien que le fais d'y penser donna envie de glousser à Kylie. Malheureusement, Miranda remarqua que celle-ci se retenait et, comme si elle en devinant la raison, la sorcière s'étrangla de rire. Puis en croisant le regard de Kylie, elle colla sa main sous son menton et articula "lève la tête!"
Della, à l'autre bout de la salle, laissa échaper un rire à son tour.
-Qu'y t-il de si drôle?
Burnette vint de rejoindre Miranda.
-Rien répondit Kylie (..)
-Rien que ne puisse que je puisse partager sans ...
-Rougir? Demanda t-il (...)
- Des conversation de nana.
Il leva une main.
- Tu n'es pas obligée de t'expliquer. (...)
(...)
-(...) Avec tous ce qui s'est passé récemment, je suis bien content que n'est pas le moral dans les chaussettes.
Chaussettes. Ce mot courut dans l'esprit de Kylie. Miranda pouffa de nouveau et tourna la tête. Kylie dut se mordre intérieurement la joue. Puis le gloussement de Della retentit depuis l'autre bout de la salle.
Cette silhouette qui court vers les abysses d'un pas digne.
Si beau, si insensé
.....
Quand vous recevez votre couronne, décorer de désespoir... Votre âme sera sans aucun doute... extrêmement savoureuse.
(dit par Sebastian)
- Est-ce que parce que tu as peur de moi que tu trembles ? m'a-t-il demandé tout en lavant les cheveux.
J'ai réfléchi à la question. Oui et non. Mais je n'avais pas l'intention d'entamer une discussion sur le sujet. Oui, je sais, le moment n’aurait pu être mieux choisi pour avoir, avec Eric, une conversation sérieuse sur les rapports sexuels basés uniquement sur le désir physique et les dilemmes moraux qu’ils entrainent. Et peut-être n’y aurait-il pas d’autres occasions de fixer, une fois pour toutes, les règles du jeu entre nous, notamment en ce qui concernait les précautions avec lesquelles il fallait me traiter. Non pas qu’Eric soit une brute épaisse, ma sa… « virilité » (comme on dit dans les romans sentimentaux – dans ce cas précis, les adjectifs « palpitante » et « turgescente » s’imposaient) avait de quoi intimider une femme aussi peu expérimentée que moi. J’avais l’impression d’être une voiture qui n’a connu qu’un seul conducteur, et que son nouveau propriétaire voudrait emmener au Daytona 500.
Oh ! Et puis, zut ! Fini de réfléchir !
A mon tour, je me suis savonné les mains. Puis je me suis approché de lui, repliant plus ou moins Monsieur l’Impatient contre le ventre de son propriétaire, pour atteindre ce fessier hors concours dont j’avais eu un si bref et si bouleversant aperçu. Je ne pouvais pas voir ses yeux, mais il m’a fais comprendre qu’il était ravi de me voir répondre à ses avances. Il a docilement écarté les jambes et je l’ai savonné, soigneusement, très méticuleusement. Pour son plus grand plaisir, à en croire les petits cris inarticulés qui lui échappaient et l’imperceptible mouvement de balancier qui agitait ses riens. Encouragée par ces résultats, je me suis attaquée à la face nord et suis partie d’emblée à la conquête des mamelons jumeaux dont les cimes roses avaient tant attiré mes lèvres, tout à l’heure. Cette initiative a semblé ravir Eric, qui ma enserré la nuque à deux mains.
- Mords-moi, a-t-il murmuré. Juste un peu.
Il ne m’a repoussé que pour mieux me rendre la pareille. Pendant que sa bouche se refermait sur mon sein, sa main s’est immiscée entre mes cuisses. J’ai laissé échapper un profond soupir, en accompagnant instinctivement le mouvement de sa main. Il avait de très longs doigts…
Quand j’ai repris mes esprits, l’eau avait cessé de couler et Eric m’essuyait avec une serviette. Je lui ai retourné la politesse. Puis nous nous somme embrassés, encore et encore.
- Le lit, a-t-il soufflé d’une voix rauque.
J’ai hoché la tête, trop haletante pour parler. Il m’a prise dans ces bras pour retourner dans la chambre. Il y a eu un léger cafouillage lorsque j’ai essayé de tirer les couvertures, alors que trop pressé, Eric voulait juste m’allonger sur le couvre-lit. Mais j’ai fini par l’emporter – il faisait tout simplement trop froid pour ne pas glisser sous les draps. A peine couchés, nous avons repris les où nous les avions laissées, mais à un rythme légèrement accéléré.
J’avais le corps en feu. Il m’électrisait tellement que je m’étonnais de ne pas voir ma peau crépiter sous ses doigts. J’ai refermé ma main sur lui et j’ai commencé à le caresser. Il s’est alors brusquement dressé au-dessus de moi. Je l’ai guidé doucement, profitant du mouvement pour effleurer le bourgeon de mon désir avec le sien.
- Ma belle amante, a-t-il haleté d’une voix enrouée.
Et il nous a unis d’un puissant coup de reins. Je m’étais crue on ne peut plus prête – je mourais de désir pour lui-, mais j’ai hurlé sous la violence du choc.
- Ne ferme pas les yeux, a-t-il chuchoté. Regarde-moi, ma belle amante.
Il avait une façon de me dire « amante » qui changeait le mot en une caresse, comme s’il m’appelait par un nom secret, intime, qui n’appartenait qu’à nous, un nom qu’aucun autre homme n’avait utilisé avant lui et qu’aucun autre homme ne prononcerait après lui. Ses canines étaient complètement sorties, et je me suis cambrée pour le lécher. Je pensais qu’il allait me mordre dans le cou, comme Bill le faisait presque systématiquement.
- Regarde-moi, a-t-il répété à mon oreille, en se retirant brutalement.
J’ai poussé un cri et j’ai essayé de le retenir. Mais il a recommencé à promener ses lèvres sur mon corps, faisant en chemin des pauses stratégiques, et quand il est arrivé au bout du trajet je vacillais déjà au sommet de la vague. Sa bouche était experte, et ses doigts ont pris la place de son pénis. Puis, tout à coup, il a relevé la tête pour s’assurer que je le regardais- il n’a pas été déçu – et il a posé sa bouche à l’intérieur de ma cuisse, léchant, embrassant, aspirant. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, et soudain sans crier gare, il m’a mordue.
Ai-je laissé échapper un cri, un juron, un serment ? Je suis sûre que j’ai réagi, mais j’avais déjà basculé, emportée par la plus puissante lame de plaisir que j’aie jamais ressentie. Et, à la seconde où j’ai repris contact avec la réalité, grisée et éblouie, Eric a recommencé à m’embrasser, avec le goût de mon corps sur les lèvres. Puis il m’a de nouveau pénétré, et la terre s’est remise à trembler, la lave à bouillonner. Pour lui, l’éruption s’est produite alors que j’en étais déjà aux répliques. Il a hurlé quelque chose dans une langue inconnue et il s’est abattu sur moi. L’instant d’après, il relevait la tête, et je plongeais dans l’azur limpide de son regard.
Heart me regarda d'un air pensif.
-Hier matin. Et oui, ça signifie que Daphné avait déjà disparu depuis deux jours.(Il me sourit.)Vous étiez censée être la copine super canon de l'Alpha.
Adam laissa échapper un éclat de rire.
-Quoi? protestai-je. Tu ne me trouves pas super canon?
Je baissai les yeux sur mon bleu de travail et mes mains pleines de cambouis. Je m'étais encore cassé un ongle.
-Honey, c'est un super canon, dit Ben sur un ton d'excuse. Toi ... c'est toi.
- Tu n'auras qu'à le laisser hurler, puis coucher avec lui. Les hommes, ça pardonne tout avec un peu de sexe.
- Jessica Tamarind Hauptman, qui t'a donc appris ça ! m'écriai-je l'air faussement effarée.
Je flirtais, là ? Oui, il semblait bien.
Il sourit, d'abord avec les yeux, puis avec les lèvres, un sourire à peine perceptible, mais qui suffit à faire accélérer le battement de mon cœur.
- Tu peux rester, si tu le désires, dit-il en flirtant à son tour. (Puis ses yeux étincelèrent et il eut le mot de trop.) Mais je pense qu'il y a trop de gens dans les environs pour que nous puissions faire ce que je voudrais.
Je contournai hâtivement le mari de Honey et m'empressai de sortir, mais le bruit que mes tongs émettaient ne put couvrir son dernier commentaire :
- J'aime beaucoup ton tatouage, Mercy.
Je gardai le dos droit en m'éloignant afin qu'il ne devine pas le sourire qui barrait mon visage.
Que...Qu'est-ce que c'est?
Je suis redevenue une enfant...
(dit par Erza)
- Où était Eragon lors de ton dernier contact avec lui, Saphira?
"- à l'entrée de Helgrind."
- tu as une idée du chemin qu'il comptait prendre?
"Il l'ignorait lui même."
L'elfe se releva d'un bond et déclara:
- En ce cas, je vais devoir chercher un peu partout.
Telle une biche, elle s'élança à travers la clairière pour filer vers le nord entre les tentes, vive et légère comme le vent.
- Arya, non ! s'écria Nasuada.
Trop tard. L'elfe tait déjà loin.
Une vague de désespoir submergea Nasuada tandis qu'elle la regardait disparaître."Le centre s'effondre" songea-t-elle.
-Rends-le-moi, bon sang!
-Embrasse-moi .
J'entendis April glapir.
-Quoi?
Il se pencha sur mon croquis , le visage toujours obscurci par sa tignasse , mais je vis une pierre noire en pendentif glisser hors de son col.
-Embrasse-moi et je te le rends.
J'attrapai la main qui tenait le crayon.
-Tu te prends pour qui , à la fin?
-Tu ne m'as pas reconnu, hein? , fit-il alors en écartant ses cheveux.
Il avait les joues creuses et pâles , mais ce furent ses yeux qui m'arrachèrent un cri.
-Allô ?me répond un garçon.
Je prends une profonde inspiration.
-Bonjour, est-ce qu'Alex est là ?
-Il est sorti.
-? Quiéne es ? demande sa mère de loin.
-Qui est-ce? traduit le garçon.
Je me ronge les ongles en même temps que je parle.
-Brittany Ellis. Je suis, euh,une amie de lycée d'Alex.
-C'est Brittany Ellis, une amie de lycée d'Alex, répéta-il à sa mère.
-Toma el mensaje.
-Vous êtes sa nouvelle petite amie?
J'entends un coup, suivit d'un "aie!" et le garçon repend:
- Je peux prendre un message?
-Dites que Brittany a appelé.Mon numéro est le...
P119-120
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
- Je m'en vais de bon matin,
Livrer le bon rhum de Bink’s.
Les vagues dansent et je chevauche,
Les flots au gré du vent.
- Alors que je prends le large,
Le soleil entame sa course
Et les oiseaux dessinent des cercles,
Dans le ciel en chantant !
- Adieu port de ma jeunesse,
Adieu mon village natal.
Chante avec moi quelques couplets,
Le navire met les voiles.
- Il balaie sur son passage,
De grandes vagues d'or et d'argent.
Je mets le cap là où la mer,
Jusqu'à plus fin s'étend!
.........................
...........................
- Je m'en vais de bon matin,
Livrer le bon rhum de Bink’s.
Je suis un pirate,
Je passe mon temps à dompter l'océan.
- Les vagues sont mon lit douillet,
Le bateau est ma maison.
Et à son mât flotte au vent,
Un noir pavillon.
- Une tempête a l'horizon,
Obscurcit le ciel immense.
Les vagues dansent roulez tambours,
Le tintamarre commence !
- Si la peur m'envahit,
Ce sera mon dernier soupir.
C'est ainsi,
Je ferai une croix sur mon bel avenir.
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh Yoh-ohoh-oh.
Je m'en vais de bon matin,
Livrer le bon rhum de Bink’s.
Jour après jour,
Le même rêve occupe mes pensées.
Adieu silhouettes lointaines,
Agitant leur grand mouchoir.
Pourquoi pleurer ?
La lune brillera à nouveau demain soir !
Je m'en vais de bon matin,
Livrer le bon rhum de Bink’s
Chante avec moi,
Cet air du large connu des grands pirates !
Quoi que tu fasses mon ami,
Tu finiras les os blanchis.
La vie est une longue comédie,
Pleine d'aventures, promis !
Yoh-ohohoh, Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh, Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh, Yoh-ohoh-oh,
Yoh-ohohoh, Yoh-ohoh-oh.
Ses lèvres étaient douces, comme suppliantes, contrairement à ses mains qui avaient exigé mon obéissance. Cet homme était diabolique. J'aurai pu me rebeller s'il m'avait forcée, mais l'interrogation contenue dans ce baiser me laissa impuissante.
Je me laissai aller contre lui, accompagnant ses lèvres qui, en touchant à peine les miennes avant de s'envoler, me suppliaient de le suivre où qu'il aille. Je senti la chaleur de son corps, si agréable dans cette maison trop fraîche, et la surface ferme de son torse me récompenser, me poussant à l’étreindre encore plus fort.
Il dansait de la même manière, guidant sa partenaire au lieu de la tirez vers lui. Cela devait être quelque chose de conscient chez lui, quelque chose sur lequel il travaillait, car il n'y avait pas plus dominant que cet homme... comme c'est toujours la cas chez les Alphas. Mais Adam n'était pas seulement dominant : il était aussi intelligent. Ce n'était vraiment pas du jeu.
C'était pour cela que nous nous retrouvâmes collés l'un à l'autre contre le mur... Darryl s'éclaircir discrètement la voix derrière nous.
(p180-181)
Zee me décocha son premier sourire en sortant son téléphone de sa poche et en composant mon numéro de ses doigts pleins d'huile de vidange:
- C'est bon, dit-il, elle est bien arrivée ?
Il raccrocha sans attendre de réponse et son sourire s'élargit encore alors qu'il composait un autre numéro, que je connaissais aussi. Il prononça néanmoins le nom de son correspondant afin que je sois certaine de son identité.
- Bonjour Adam, reprit-il. Elle est bien arrivée.
Il écouta réponse. Je tendis l'oreille, mais le volume devait être mis au minimum et tout ce que je pus entendre fut le grognement confus d'une voix mâle. Le sourire de Zee se transforma en un rictus malicieux. Il me considéra et demanda:
- Adam voudrait savoir ce qui t'a pris tant de temps.
Je voulus lever les yeux au ciel, mais renonçait face à la douleurs accrue que cela faisait subir à ma joue.
- Dis-lui que j'ai fait l'amour passionnément avec un inconnu.
Je m'en allai avant de savoir si Zee allai passer le message.
(p94-95)
(p412)
Samuel me regarda d'un air soupçonneux:
-Dans sa chambre?
C'était aussi un scoop pour moi. Mais le sort d'Adam et de Jesse m'inquiétait plus que cette photo.
-Très bien, dis-je.Où sont-ils retenus?
(p369)
-Pourquoi?
-Je veux mon téléphone, dis-je en lui prenant des mains, pour appeler un taxi et je veux que tu t'habille pour, eh bien, euh...
-Tu n'as jamais vu de garçon torse nu?
-Ha,ha. Très drôle. Crois-moi, il n'y a rien chez toi que je n'ai déjà vu avant.
-Tu veux parier?
Alex baisse ses mains vers son jean qu'il commence à déboutonner.
Isabel enter à cet instant précis.
-Wow, Alex! Garde ton pantalon, tu veux.
(P147)
J'ai hoché la tête.Ses doigts s'attardaient sur ma joue; d'elle-même, ma main est venue effleurer la sienne. Nous sommes restés ainsi toute une éternité qui n'a sans doute durée que quelque secondes, mais la chaleur de sa peau s'est grave en moi pour toujours.Lentement , sa main a glissé sur mon visage, pris en coupe mon menton...
mes doigts se sont refermés sur les siens. Suspendue à son regard, j'ai senti son pouce caresser ma joue.
-Merci...
De très loin, j'ai entendu crier:
- Yo, ils vont le faire, là!
(p135 chapitre 8)
Zorro reviens! c'est pas par là
-je n'ai pas fini. enlève ta chemise, que je regarde tes côtes.
- si je me déshabille, tu vas vouloir faire plus que regarder mes côtes.
je fais comme si je n'avais rien entendu, c'est devenu ma spécialité. je pointe mon visage du doigt.
-tu vois ma tête , là? j'ai l'air impressionnée?
il sourit du coin de la bouche en enlevant se chemise et contracte ses pectoraux.
je lui baille au nez, refusant de montrer le moindre signe d'admiration. je bloque sur les marques rouges qui sont en train de se former sur son flanc et ses côtes. elles ne guériront pas dans une journée.
-tu veux que j'enlève mon pantalon aussi? rigole-t-il en battant des sourcils. peut-être que ça gonfle, la-dessous.
un rien l'amuse... je le regarde droit dans les yeux, glisse un doigt à sa ceinture, et plonge la glace dans son pantalon.
-voilà, dis-je en me levant. ça devrait faire l'affaire."