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Extrait ajouté par Idole 2019-02-20T21:06:49+01:00

« Tu m’appartiens Evy.

— Non, jamais.

— Rien de ce que tu feras ne pourra t’éloigner de moi.

— Je peux toujours me suicider.

— Et devenir immortelle ? »

Je tressaille. Quel épisode de la série ai-je manqué ? C’est quoi encore cette histoire ?

« Qu-Quoi ? paniqué-je.

— Un esclave ne meurt pas, il se transforme.

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Extrait ajouté par LaGuerta 2018-09-18T14:04:47+02:00

« Tu devrais renter au chaud, tu es toute bleue », remarque-t-il.

Je ne prends pas la peine de répondre.

« Un rendez-vous galant ? »

J’aperçois son sourire en coin, ce qui a le don de m’agacer.

« Je crains qu’il ne t’ait posé un lapin, poursuit-il comme si de rien n’était.

— Fous-moi la paix, veux-tu ! »

Ce mec m’indigne. Sa seule présence affole mes battements cardiaques.

« Quel homme sensé laisserait une fille l’attendre dehors par -2°C ?

— Il est juste en retard, grincé-je.

— Ce garçon ne te mérite pas ! »

Alors là, ça tombe comme un cheveu

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Extrait ajouté par Estard 2018-07-08T12:39:52+02:00

« Pour la direction… suivez les cris », entonne l’autre en me souriant.

Je deviens plus pâle que la mort. Mais avant que je ne m’évanouisse, mon compagnon me pousse à l’intérieur.

« Vous êtes vraiment tous arrogants ou c’est juste une impression ?

— Nous aimons simplement montrer notre supériorité. »

Je bougonne, mais il est clair qu’ils n’ont pas besoin d’en rajouter… ils sont bien au-delà de la race humaine.

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Extrait ajouté par alexiabutler 2016-02-14T21:08:41+01:00

Je plisse les yeux et m'arrête. Sans savoir comment, je me retrouve dans le jardin, frigorifiée. Peu m'importe, pour rien au monde je n'y retournerais.

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Extrait ajouté par MissDupont 2015-12-25T01:02:53+01:00

Au lieu de le repousser, je plaque mes mains sur ma gorge dans le but de l'empêcher de l'atteindre. Il n'a cependant aucun mal à les dégager et à planter sauvagement ses crocs dans ma chair tendre. Je pousse une plainte stridente. Une douleur abominable et lancinante me parcourt. Une mélodie étrange, semblable à un bourdonnement, m'apaise instantanément. Je cesse de lutter, lui laissant tout le loisir de me saigner. Ses aspirations goulues me plongent petit à petit dans une prison abyssale.

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Extrait ajouté par Micheline 2015-10-22T12:27:26+02:00

(Editions Calepin)

Entassés tous les cinq dans la vieille Clio blanche d’Anya, nous quittons la ville et ses lumières pour rejoindre la campagne obscure.

«Tu connais le chemin au moins ? s’inquiète Jane, installée sur le siège passager.

— Je pense avoir compris l’itinéraire, affirme la conductrice.

— Avec ton sens de l’orientation, on risque de ne jamais arriver… se moque Dimitri.

— Encore une plaisanterie de ta part, Chéri, et tu continues à pied.

— Les femmes n’ont pas l’option GPS dans le cerveau », renchérit Thibaut, hilare.

Jane se retourne et lui assène une tape sur l’épaule.

« Fais gaffe ou toi aussi, je t’abandonne sur la chaussée ! »

Nous rions de bon cœur. Entourée de mes deux meilleures amies et de leurs « chevaliers servants », pour rien au monde je n’échangerais ma place.

Les yeux braqués sur la route nous cherchons des indications menant au lieu de la fête. En vain. Nous nous pensons définitivement perdus. Jane propose de passer un coup de fil pour nous sortir de ce pétrin, quand tout à coup, une silhouette surgit de nulle part et traverse à vive allure. Anya fait une embardée qui nous rapproche dangereusement du talus avant d’écraser la pédale de frein. Des cris de stupeur nous échappent. Mon cœur tambourine comme un fou. Jane se tient la poitrine, souffrant également de palpitation. À force de crisper le volant, les phalanges d’Anya ont viré au blanc. Quant aux garçons, ils sont cramponnés aux sièges. Arrêtés au beau milieu de la route nous scrutons les alentours.

« C’était quoi ça ? m’écrié-je.

— Aucune idée… mais j’ai eu la frousse de ma vie ! balbutie la conductrice.

— “Femme au volant, mort au tournant”, cet adage est vrai ! » ne peut s’empêcher de lancer Dimitri en s’extirpant de la voiture.

Avec douceur, il sort sa petite amie tremblante du véhicule et prend sa place au volant. Encore sous le choc, elle ne bronche pas et me rejoint sur la banquette arrière.

« Nous ferions mieux de décamper, on va finir par être à la bourre », avance Thibaut, tentant d’alléger l’atmosphère.

Nous nous éloignons alors avec soulagement de cet endroit effrayant. Tout au long du reste du trajet, le silence règne. J’en profite pour calmer mon rythme cardiaque et soupçonne mes amis de faire de même.

Finalement, sur notre droite, des lumières transpercent la nuit. Enfin. Nous voilà arrivés, en un seul morceau et à l’heure.

Ce soir c’est la grande soirée d’octobre. Celle où il faut absolument faire une apparition. Elle est organisée par et chez David, le mec le plus populaire, le plus riche et le plus séduisant de la fac.

Comment se fait-il que je sois invitée ? Ce n’est pas grâce à mes talents, c’est certain. Je dois plutôt remercier mes sœurs de cœur. Ma Jane, la sportive du trio, la leader des pim-pom, le groupe de danse de l’université. Un corps de rêve élancé à souhait, des cheveux blonds foncés mi-longs et légèrement ondulés, des yeux taupe, et un goût aussi prononcé pour le sport que pour la mode. Et la grande Anya, cette splendide poupée qui se pavane sans modération dans tous les clubs les plus prisés. Brune aux yeux foncés, elle porte toujours un rouge à lèvres éclatant. Où qu’elle aille, sa chevelure interminable et lissée avec soin fait des envieuses. Avec leur dressing et leurs cosmétiques, je pourrais ouvrir une boutique tendance sans jamais manquer de stock !

Moi, je suis l’ordinaire réincarné, la fille sympa impliquée dans ses études qui bosse à la bibliothèque.

Nous trois c’est pour la vie. Nous sommes inséparables depuis le CM2. Notre histoire c’est du solide et je veille sur elles comme une lionne sur ses petits. Elles sont tout ce qu’il me reste dans la vie et je ne supporterais pas de perdre une fois de plus quelqu’un que j’aime…

Suivant les deux couples enlacés me voici, une fois encore, la cinquième roue du carrosse. Á cet instant, le célibat me pèse, j’aimerais moi aussi être accompagnée.

« Va vraiment falloir qu’on te case, Evy, déclare Dimitri comme s’il lisait dans mes pensées.

— C’est clair, tu vas finir vieille fille, insiste Thibaut.

— Vous vous inquiétez pour mon petit cœur, les garçons ? me moqué-je.

— Pour ta libido surtout », pouffe mon soi-disant ami, ce qui lui vaut un coup de coude de sa belle.

Heureusement qu’il fait relativement sombre sur le parking, car je dois être écarlate.

« Elle attend le grand amour, le prince charmant, intervient Anya.

— Je n’ai pas le temps de m’embarquer dans une relation sérieuse, me défendis-je.

— Ça, je ne peux pas te le reprocher. Et si tu arrêtais de penser au commun des mortels pour faire un peu l’égoïste, propose-t-il. Rien que pour ce soir, allez accepte le marché. »

Je secoue négativement la tête. Là il rêve éveillé !

« Et qui vous ramènera en un seul morceau, après, hein ?

— On reste sur place ! » piaille joyeusement Anya en sautillant d’excitation.

Face à leurs regards pleins d’espoirs, je ne peux refuser. Après tout, si nous restons en sécurité jusqu’à demain matin, je peux m’autoriser un verre.

« OK, mais seulement pour ce soir. »

À peine ai-je accepté que je le regrette déjà ; j’ai la désagréable impression d’avoir passé un pacte avec non pas un, mais quatre diables.

Je découvre un lieu que je ne pensais pas avoir la chance d’approcher un jour. Je me retrouve bientôt dans un manoir entièrement fait de briques rouges entourées de joints ivoire. Situé en pleine campagne, il offre à ses propriétaires des hectares de verdure à perte de vue. Je ne sais pas si je me sentirais rassurée ou au contraire esseulée d’être ainsi à l’écart. La magie du bien opère cependant.

Derrière les fenêtres, les luminaires font scintiller ce bijou architectural que je devine être du XVIème siècle. Merci à mon ancien job d’été à l’office du tourisme pour cette culture générale : détailler les monuments est une déformation professionnelle que j’ai visiblement gardée.

Nous gravissons les quelques marches d’un perron gigantesque en roche blanche. David est là, plus intimidant que jamais avec sa prestance à toute épreuve.

Ce brun ténébreux est l’inaccessible par excellence. Le genre de mec, beau, gentil, intelligent, pour qui les barrières sociales n’existent pas. À sa place partout et avec tout le monde, on peut aussi bien le rencontrer dans une pièce de théâtre que dans un projet écolo de ramassage d’ordures. Je parle en connaissance de cause, je ne loupe aucune collecte ! Il est sans conteste le mari idéal et l’on n’imagine à son bras qu’une Diva célèbre.

Fils unique, il a été couvé par une mère avocate, stricte et hautaine que je n’apprécie guère par réputation. Son père, député départemental jouissant d’une grande influence politique, lui a offert une éducation exemplaire. Fort de ces deux modèles de réussite, David ne pouvait échouer.

Toutefois, en creusant un peu plus, on remarque vite que dans cette famille, les liens du cœur ne sont pas primordiaux : le couple vit sa vie sans se soucier de la solitude dans laquelle il enferme leur fils.

Si j’en sais autant sur ce trio influent, c’est parce que je me suis amourachée de ce tombeur, l’année dernière, dès que mon regard s’est posé sur lui. Depuis, comme la plupart des étudiantes, je fantasme secrètement. Et surtout, Google m’a beaucoup aidée : c’est fou ce que l’on récolte comme informations dès qu’on fouille un peu !

Il nous accueille avec une classe sans pareille ; vêtu d’un costume noir assorti à ses prunelles et à ses cheveux, il s’est bien gardé de boutonner sa chemise beige jusqu’en haut, ce qui lui donne un air hypersexy. J’en baverai presque !

« Bonsoir tout le monde ! » entonne-t-il gaiement.

Les garçons échangent une accolade musclée tandis que nous lui faisons la bise. Troublée par les effluves sensuellement fleuris de son parfum, je m’empourpre.

« C’est un magnifique manoir ! dis-je pour masquer ma gêne. Tu n’as pas peur de l’état dans lequel tu risques de le trouver demain matin ?

— Seule une partie est accessible et je n’ai invité que des personnes de confiance. »

Ravie d’en faire partie, je lui adresse un sourire qu’il me rend aussitôt, assorti d’un clin d’œil. Je manque m’étrangler avec ma salive. Jane glousse avant de me pousser vers le hall.

« Allons découvrir l’intérieur, cette demoiselle a promis de se laisser aller ce soir. »

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Extrait ajouté par Aalabrini-1 2020-07-06T22:46:02+02:00

Sophia me presse le bras en signe d’approbation. Les garçons

échangent un regard.

« Elle n’a pas froid aux yeux ! réplique Daël amusé.

— Elle a même essayé de s’étouffer ! » déclare fièrement Jehan.

Sophia, aussi raide qu’un manche à balai, fixe le sol comme si elle cherchait une faille dans laquelle s’engouffrer. Daël l’attire à lui sans ménagement. Je crains qu’elle ne s’évanouisse.

« Je n’ai pas ce problème. N’est-ce pas Sophia ? Gentille, douce et obéissante. »

Lorsqu’il la serre dans ses bras, elle gémit. Il passe alors instantanément au-dessus de Jehan sur l’échelle des mecs à abattre.

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Extrait ajouté par Estard 2018-07-08T12:42:41+02:00

Face à nous, le vampire qui transpire la vieillesse alors qu’il ne paraît pas avoir plus de trente-cinq ans, me glace par son regard pénétrant. Jehan, quant à lui, arbore son magnifique masque inexpressif.

« Sullivan. Je ne pensais pas te revoir un jour à Glasgow.

— Je ne suis revenu que par nécessité. »

Ce premier échange est si tendu que je me change en statue de pierre. Si je pouvais devenir invisible, je n’hésiterais pas une seconde. Et puis soudain, comme des connaissances d’enfance, ils se donnent une accolade amicale. J’en reste bouche bée. C’est encore plus terrifiant que de les penser ennemis !

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Extrait ajouté par Estard 2018-07-08T12:37:58+02:00

Installé près de la fenêtre, il guette l’extérieur. Je m’allonge et m’enroule dans la couette moelleuse, laissant échapper un soupir de plaisir.

« Pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu étais si fatiguée ?

— En quoi cela te concerne ? » marmonné-je à demi-endormie.

Je laisse quelques instants s’écouler.

« C’est quoi un esclave de sang au juste ?

— Tu n’es pas prête à l’entendre.

— Je ne le serai jamais. »

« Tu vas faire de moi ta gourde vivante ?

— Ton sang sera le seul à me satisfaire gustativement. Les autres deviendront fades, mais me nourriront tout autant.

— Tu bousilles ma vie pour tes papilles gustatives ?

— Nous verrons cela quand tu seras reposée.

— Hummm… »

Incapable de lutter davantage, je m’endors immédiatement. La nuit n’est pas aussi paisible que je l’espérais. Je transpire : la fièvre est de retour. Quand je me redresse, aux premières lueurs du jour, il n’a pas bougé.

« Tu n’as pas beaucoup dormi, constate-t-il.

— À qui la faute ? » bougonné-je.

Pour rien au monde je ne lui révèlerais que mes symptômes sont de retour. Pas question que j’avale encore une goutte de son poison de sang.

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