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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:53:21+02:00

-Ca ne vous dérange pas de mettre de l'eau à chauffer, Marceline? J'en ai pour une minute. Vous resterez bien prendre un thé avec moi...

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:52:53+02:00

Elle a l'air d'être ailleurs. Il cherche un truc marrant.

- Vu que personne n'est jamais revenu pour dire que c'était mieux là-bas, ça ne vaut peut-être pas la peine de prendre les devants, hein, madame Marceline? Il est urgent d'attendre, quoi.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:52:37+02:00

Parce que Mireille était allergique, il avait bien été obligé d'accepter de le garder. Oui oui, c'est d'accord, grand-père Ferdinand va s'occuper de vot' minet...

A choisir, il aurait préféré un chien. Même s'il avait juré, six mois plus tôt, qu'il n'en reprendrait plus jamais d'autre après Velcro. Parfaitement idiot, pas du tout obéissant, gardien passable, mais si affectueux. Ca compensait tout le reste. Ah lala, il lui manquait celui-là. Les chats, c'est simple, il ne mes aimait pas. Fourbes, sournois, voleurs et compagnie. A peine bons à chasser les souris et les rats. Et encore, si on tombait sur un bon. Question obéissance, on savait d'avance que ce serait zéro. Et pour l'affection, c'était quand ils voulaient. Possible aussi que ce soit jamais!

Résultat : le soir même du déménagement, la boule de poils s'était installée sur son lit, sans qu'il ose le chasser, il était si petit..., le deuxième, sous l'édredon, collé tout contre lui, le museau dans le creux de l'oreille, carrément trognon, le quatrième, il faisait ses griffes sur les pieds du fauteuil, sans que cela n'éveille en lui le moindre pincement, la moindre émotion, et arrivé à la fin de la semaine, il mangeait sur la table dans un bol marqué à son nom....

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:52:24+02:00

Ferdinand s'est plongé dans la lecture de son catalogue de bricolage. Les dernières pages, ses préférées sont réservées aux inventions. Du genre concours Lépine mais en moins glamour. Le ramasse-miettes sélectif, la canne gigogne attrape-bocaux, le remonte-chaussettes sans se baisser ou le pèle-légumes pour gaucher. Il serait bien tenté par l'éponge magique qui nettoie tout du sol au plafond sans frotter, tout ça pour une somme très modique. Mais il a peur d'être déçu. Autant continuer de rêver que ça puisse marcher. Donc, le mieux, c'est de remplir soigneusement le bon de commande et de ne jamais l'envoyer. Et c'est ce qu'il a fait encore cette fois.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:52:10+02:00

Guy coiffe les cheveux de Gaby. Ils sont si fins, si fragiles, il a peur de les abîmer, les effleure à peine avec la brosse, juste assez pour les lisser. Quand ils sont bien en place, il demande si elle veut mettre une barrette pour retenir une mèche. Elle veut bien. Voilà, elle est prête. Il lui sourit. Elle voit dans ses yeux qu’il la trouve belle. Depuis son retour, il ne lui apporte plus son miroir, prend un air vague, dit qu’il l’a égaré à chaque fois qu’elle le réclame. Elle pense qu’il l’a cassé et ne veut pas l’avouer. Comme un petit garçon qui a peur de se faire gronder, il ment. Un peu. Pas trop. Enfin, juste assez. Pour le miroir, ça ne la gênerait pas d’apprendre qu’il est en mille morceaux, au contraire. Depuis quelques temps, ça ne lui plaît plus de se regarder dedans. Il a dû prendre l’eau, ou le fond s’est gondolé, en tout cas, elle ne se reconnaît pas dans son reflet. Dans les yeux de Guy, au moins, elle est toujours Gaby. Il ne s’arrête pas à la surface. Comme ce miroir de pacotille. Il plonge la chercher là où elle se cache, l’éclaire de son amour.

Avec lui à ses côtés, elle sait que le moment venu, elle n’aura pas peur.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:51:41+02:00

Roland ne va pas très bien, en ce moment. Il n’arrive pas à se remettre de sa séparation d’avec Mireille. Au début, il avait l’air de bien supporter. Il faisait le gars qui prenait les choses avec philosophie. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, qu’à cela ne tienne, il apprendrait à pagayer

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:51:02+02:00

Ludo se tourne brusquement, enfouit sa tête sous les draps, murmure...

- C'est nul.

Le coeur en mille morceaux.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:50:41+02:00

Ils ont passé un agréable moment. Un peu trop arrosé, bien sûr, mais avec des fous rires et quelques larmes aussi, l'alcool c'est propice aux débordements. Après réflexion, ils se sont rendus compte que c'était la première fois qu'ils passaient toute une soirée ensemble, juste eux deux, sans personne d'autre autour? ça les a interloqués. Nom d'un chien. C'était donc bien une première rencontre en tête à tête entre un père de soixante dix ans et un fils de quarante cinq...

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:50:29+02:00

Nom d'un chien. C'était donc bien une première rencontre en tete a tete entre un père de soixante-dix ans et un fils de quarante-cinq...

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Extrait ajouté par Didie6 2014-10-05T12:50:15+02:00

Tout en retournant à sa voiture, Ferdinand essaye de mettre bout à bout ce qui vient de se passer : il y a cette dame qui a failli mourir asphyxiée, qui vit dans cette toute petite maison, à deux pas de chez lui, depuis des années, il a dû la croiser des centaines de fois, sur la route, à la poste, au marché, ne lui a parlé qu'à peine, du temps qu'il faisait, de ses récoltes de miel... Et là, paf ! il rencontre son chien... enfin, sa chienne... Mais, s'il ne s'était pas arrêté sur la route, tout à l'heure, pour la ramener, elle serait sûrement morte à l'heure qu'il est, cette Mme Marceline ! Et il n'y aurait eu personne pour s'en soucier.

Merde.

C'est pas gai.

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