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Résumé
Au printemps 1993, Marcel Talon et sa bande de malfrats creusent un tunnel de 12,8 mètres de long sur 1,5 mètre de large à partir des égouts de Montréal afin de mettre la main sur un joli magot de 200 millions de dollars. Le tunnel s’effondre à cause d’un arbre ou plutôt “de la manière négligente dont les cols bleus l’avaient planté”. Et voilà que l’auteur de Et que ça saute ! Le Dernier Tunnel, qui n’est autre que Marcel Talon lui-même, remet ça à propos des cols bleus. “Ces braves gens, bien rémunérés compte tenu de leurs compétences qu’on dit limitées, amateurs de grèves à répétition et de prises d’otage d’un public qui n’apprécie guère leur numéro dans un monde où des gens bardés de diplômes sont souvent sans travail, n’avaient pas suivi les règles.” Le ton est donné. Car notre braqueur de banque et spécialiste en explosifs est un gentleman cambrioleur qui ne mâche pas ses mots pour dénoncer le capitalisme, le syndicalisme, la Justice, etc. Ayant passé une bonne partie de sa jeunesse en prison, il a eu le temps de réfléchir. Bref, Talon est un bandit philosophe, un solitaire qui prend des risques pour la beauté de la chose et que ses nombreux échecs ne semblent jamais décourager. S’il a quelques crimes sur la conscience, il s’en repent. Et puis, en homme d’honneur, il tâche coûte que coûte d’éviter les bains de sang. Devenu délateur à la suite de la trahison de ses partenaires, il a d’abord raconté son histoire aux policiers. C’est peut-être la réaction enthousiaste de ce premier public qui l’a poussé à publier ses mémoires.
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