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Extrait ajouté par anonyme 2011-09-24T11:52:40+02:00

-Dites-moi, Ever, pourriez-vous me dire ce que j'ai eu à dîner hier soir? demande-t-il.

-Deux parts de pizza et un verre et demi de chianti, je réponds machinalement, la tête ailleurs.

Silence de mort dans la salle. Tout le monde me regarde bouche bée.

Sauf Roman écroulé de rire dans son coin.

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Extrait ajouté par b3laa 2011-07-13T16:50:34+02:00

– Ferme les yeux et visualise. Tu y es ?

Je hoche la tête, les yeux clos.

– Imagine-le, juste devant toi. Tu dois voir sa forme, sa texture, sa couleur.

Je me concentre.

– Bon, maintenant, tends la main pour l’effleurer. Tu dois sentir son contour du bout des doigts, le soupeser dans ta main, conjuguer tous tes sens, le toucher, la vue, l’odorat, le goût – tu en perçois le goût ?

Je me mords les lèvres pour ne pas pouffer de rire.

– Parfait. Maintenant, associe le toucher. Fais comme s’il existait devant toi. Sens-le, vois-le, goûte-le, accepte-le, exprime-le !

J’obéis, mais en l’entendant ronchonner j’ouvre les yeux.

– Ever, tu étais censée penser à un citron. Rien à voir avec cela.

J’éclate de rire en examinant tour à tour les deux Damen

– la réplique que je viens de créer et la version en chair et en os. Grands, bruns, d’une séduction presque irréelle.

– Non, en effet. Il n’y a rien de fruité chez lui.

Le vrai Damen pose sur moi un regard fâché. Mais c’est raté, car ses yeux remplis d’amour le trahissent.

– Que vais-je faire de toi ?

J’observe mes deux amoureux, le vrai et le faux.

– Hum, voyons voir... m’embrasser, peut-être ? Mais si tu es trop occupé, je peux toujours lui demander de te remplacer....

Le faux Damen m’adresse un clin d’œil, je réprime un fou rire. Ses contours s’estompent déjà.

Le vrai Damen ne rit pas.

– Ever, un peu de sérieux, s’il te plaît. Tu as encore tant de choses à apprendre !

Je tapote le lit à côté de moi, espérant l’inciter à venir me rejoindre.

– Ce n’est pas le temps qui nous manque, non ?

Une onde de chaleur me parcourt l’échine quand il me regarde. J’ai le souffle coupé. Je me demande si je m’habituerai jamais à sa beauté, sa peau mate et veloutée, ses cheveux noir de jais, ses traits admirables, son corps mince comme sculpté, ses yeux pareils à des puits insondables

– le yin idéal de mon yang blond pâle.

– Reconnais tout de même que je suis une élève très enthousiaste !

Il s’approche, incapable de résister à la mystérieuse attraction qui nous pousse l’un vers l’autre.

– Je dirais même insatiable, renchérit-il.

J’attends avec impatience les moments où nous sommes seuls, où je n’ai pas à le partager avec qui que ce soit. Et savoir que nous avons l’éternité devant nous ne fait aucune différence.

– J’essaie de rattraper le temps perdu.

Damen se penche pour m’embrasser, oubliant complè- tement notre leçon – le pouvoir de matérialisation, la vision à distance, la télépathie... – pour quelque chose de bien plus concret et d’immédiat. Il me renverse sur les oreillers, s’allonge sur moi, et nous nous fondons l’un dans l’autre comme deux sarments de vigne se dorant au soleil.

Ses doigts se glissent sous mon tee-shirt et me caressent le ventre en remontant vers mon soutien-gorge.

– Je t’aime, je chuchote au creux de son oreille.

Des mots que j’ai longtemps gardés pour moi. Mais depuis que je les ai prononcés, c’est à croire que je ne sais plus rien dire d’autre.

Avec un gémissement étouffé, il dégrafe mon soutiengorge sans effort, sans maladresse ni tâtonnement.

Ses gestes ont une grâce, une perfection infinies.

Un peu trop, peut-être.

Sa respiration est haletante et ses yeux cherchent les miens avec cette expression tendue, concentrée que je connais si bien.

Je le repousse.

– Qu’y a-t-il ?

– Rien.

Je lui tourne le dos et rajuste mon tee-shirt. Heureusement qu’il m’a appris à dissimuler mes pensées, la seule façon que j’aie de lui mentir.

Il se relève et arpente la chambre, me privant de ses enivrantes caresses et de la chaleur de son regard. Il s’arrête enfin, et je m’attends à ce qui va suivre. Nous en avons parlé mille fois.

– Écoute, Ever, je ne veux pas de te bousculer, je t’assure. Mais il va bien falloir que tu t’y fasses et que tu m’acceptes tel que je suis. Je peux matérialiser tout ce que tu désires, t’envoyer des pensées et des images par télépathie quand nous sommes séparés, t’emmener dans l’Été

perpétuel si tu en as envie. Mais je suis incapable de modifier le passé. Le passé est le passé.

Je détourne la tête. J’ai honte. Je n’arrive pas à dissimuler mes jalousies ni à surmonter mes faiblesses, qui sont si transparentes, si évidentes qu’il ne sert à rien de les camoufler derrière un bouclier psychique. Voilà six siècles que Damen étudie la nature humaine – y compris mon comportement – et moi, dix-sept ans à peine.

Je triture un coin de mon oreiller.

– J’ai juste... J’ai besoin d’un peu de temps pour m’habituer.

Dire que moins de trois semaines plus tôt j’ai tué son ex-femme, lui ai avoué mon amour et ai scellé mon destin en devenant immortelle !

Damen pince les lèvres d’un air de doute. Nous sommes

à un mètre à peine l’un de l’autre, mais on dirait qu’un abîme nous sépare.

– Je parle de cette vie-ci, je reprends d’une voix aiguë

et précipitée, m’efforçant de briser le silence et de détendre l’atmosphère. Et si je fais l’impasse sur mes vies passées, c’est la seule expérience que j’ai. Il me faut encore un peu de temps, d’accord ?

Je soupire de soulagement lorsqu’il s’assoit près de moi et effleure du doigt l’endroit où se trouvait ma cicatrice.

– Ce n’est pas le temps qui nous manque.

Il me caresse la joue et dépose une pluie de petits baisers sur mon front, mon nez, ma bouche.

Je me sens défaillir dans ses bras, quand il me presse brièvement la main et gagne la porte, abandonnant derrière lui une magnifique tulipe rouge.

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Extrait ajouté par moumouthe 2011-09-21T15:10:18+02:00

-Qu'est-ce qu'il y a? demande-t-elle, voyant que je reste figée sur place.

-Je ne sais pas. J'ai l'impression d'oublier quelque chose, mais je n'en suis pas sûre.

-Tu as ton sac à dos?

Affirmatif.

-Ton téléphone?

Je tapote ma poche.

-Ta cervelle?

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Extrait ajouté par ayon83 2011-12-20T09:49:54+01:00

j'avale ma salive et hésite avant de me lancer :

_ Tu sais, vendredi soir, après le théâtre, en fait, nous avions prévu quelque chose.

_ Ah ? Quoi ?

En repensant à nos projets, j'esquisse un sourire qui s'efface aussitôt que je me rappelle comment s'est terminée la soirée.

_ Quelque chose d'important.

_ Important comment ?

Oh, tu sais, une suite au Montage, des dessous sexy, des fraises trempées dans le chocolat, du champagne ... La routine, quoi !

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Extrait ajouté par anonyme 2011-09-24T11:52:40+02:00

Ne pas retourner chercher le sweat-shirt!

Ne pas faire confiance à Drina!

Ne pas retourner chercher le sweat-shirt A AUCUN PRIX!

Et, enfin, dans l'espoir d'éveiller un vague souvenir, j'ajoute: "Damen<3".

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Extrait ajouté par lachieuzz03 2011-07-23T14:20:17+02:00

_ que s'est-il passé? demanda-t-il en s'écartant pour mieux me regarder. tu as l'air bizarre. tu vas bien?

un coup d'oeil m'apprend que roman et rayne ont disparu.

_ tu ne te souviens de rien?

il fait non de la tête.

_ rien du tout?

_ non. je me souviens de la pièce de miles vendredi soir, et après c'est le noir complet... mais au fait, où sommes-nous? pas au montage, n'est-ce pas?

je m'accroche à son bras, tandis que nous nous dirigeons vers la porte. il faudra bien que je lui raconte un jour. le plus tôt sera le mieux. pas tout de suite. pour le moment, je veux profiter de sa présence.

_ tu as été malade, dis-je en déverrouillant ma voiture. tu es guéri, à présent. c'est une longue histoire...

je tourne la clé de contact.

_ où allons-nous? s'enquiert-il en posant une main caressante sur mon genou, tandis que je passe la marche arrière.

je respire à fond avant de tourner dans la rue:

_ où tu veux, je réponds simplement avec un grand sourire. c'est le week-end.

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Extrait ajouté par camillou360 2010-08-17T22:32:17+02:00

-Ferme les yeux et visualise .Tu y es ?

Je hoche la tête , les yeux clos.

-Imagine-le , juste devant toi . Tu dois voir sa forme, sa texture , sa couleur.

Je me concentre.

-Bon,maintenant , tends la main pour l'effleurer . Tu dois sentir son contour du bout des doigts , le soupeser dans ta main , conjuguer tous ses sens , le toucher , la vue , l'odorat, le goùt - tu en perçois le goût?

Je me mords les lèvres pour ne pas pouffer de rire .

-Parfait. Maintenant associe le toucher . Fais comme s'il existait devant toi. Sens-le,vois-le,goûte-le,accepte-le,exprime-le! J'obéis,mais en l'entendant ronchonner j'ouvre les yeux.

-Ever, tu étais censer penser à un citron . Rien à voir avec cela.

J'éclate de rire en examinant tour à tour les deux Damen

-la réplique que je viens de créer et la version en chair et en os.

Grands,bruns,d'une séduction presque iréelle.

-Non, en effet . Il n'y a rien de fruité chez lui.

Le vrai Damen pose sur moi un regard faché. Mais c'est raté , car ses yeux remplis d'amour le trahissent.

-Que vais-je faire de toi ?

J'observe mes deux amoureux , le vrai et le faux.

-Hum,voyons voir ...m'embrasser , peut-être ? Mais si tu est trop occupé, je peux toujours lui demander de te remplacer ...

Le faux Dzâmen m'adresse un clin d'oeil, je réprime un fou rire.

Ses contourd s'estompent déjà.

Le vrai Damen ne rit pas .

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Extrait ajouté par ladyquiet14 2012-03-05T20:14:18+01:00

-Tu ne peux pas retourner en arrière, ni changer le passé, Ever, déclare soudain Riley. Ce qui est fait est fait. C'est fini

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Extrait ajouté par moumouthe 2011-09-21T15:10:21+02:00

-Ah oui? Vous êtes mes anges gardiens, peut-être? Deux gentilles fées en uniforme d'école privée?

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Extrait ajouté par moumouthe 2011-09-21T15:10:21+02:00

<<Chaque homme a sa destinée propre.

Le seul impératif est de la suivre

et de l'accepter, où qu'elle le mène.>>

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