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Extrait ajouté par onnew 2017-01-19T23:56:58+01:00

Haven continue à énumérer tous les points sur lesquels Miles et elle ont dû se concerter. J'ai cessé d'écouter après la petite phrase "Nous sommes tes amis." Je voudrais m'y raccrocher même si c'est un mensonge.

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Une onde de chaleur me parcourt l'échine quand il me regarde. J'ai le souffle coupé. Je me demande si je m'habituerais jamais à sa beauté, sa peau mate et veloutée, ses cheveux noir de jais, ses traits admirables, son corps mince comme sculpté, ses yeux pareils a des puits insondables - le yin idéal de mon yang blond pâle.

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Extrait ajouté par feedesneige 2015-07-09T01:52:51+02:00

chapitre Deux

Damen sait toujours le moment exact où ma tante Sabine s’engage dans la rue et approche de la maison. Mais telle n’est pas la raison de son départ. La vraie raison, c’est moi.

Parce qu’il me cherche depuis des siècles sous mes différentes incarnations, afin que nous puissions vivre ensemble.

Sauf que nous n’avons jamais vraiment vécu ensemble. Ce n’est jamais arrivé.

Apparemment, chaque fois que nous étions sur le point de passer aux choses sérieuses et de consommer notre amour, son ex-femme Drina se débrouillait pour me trucider.

Mais maintenant que je l’ai tuée, terrassée d’un seul coup en plein cœur – en admettant qu’elle en ait eu un –, plus aucun obstacle ne se dresse entre nous. À part moi.

J’ai beau aimer Damen de toute mon âme et mourir d’envie d’aller jusqu’au bout, je ne peux m’empêcher de penser à ces six cents dernières années.

À la façon dont il a choisi de les passer. Plutôt excentrique, de son propre aveu.

Et avec qui. Outre son ex-femme Drina, il y en a eu beaucoup d’autres. Bref, je l’avoue, cela ne m’inspire guère confiance.

Pas du tout, devrais-je dire. Comment voulez-vous que les rares garçons que j’ai embrassés puissent rivaliser avec six siècles de conquêtes ?

Je sais, c’est ridicule, puisque Damen m’aime depuis une éternité. Mais le cœur et la raison ne font pas toujours bon ménage.

Dans mon cas, c’est à peine s’ils s’adressent la parole, c’est tout dire.

Quand il vient à la maison pour ma leçon, je me débrouille pour que cela se termine en séance de câlins prolongée, dans l’espoir que cette fois sera la bonne.

Et je finis invariablement par le repousser, comme la pire des allumeuses.

En fait, il a raison. On ne peut pas changer le passé. Ce qui est fait est fait. Impossible de rembobiner et de recommencer.

La vie continue.

Un grand bond en avant, sans hésitation, sans un regard en arrière.

Oublier le passé et avancer gaiement vers l’avenir.

Si seulement c’était aussi simple !

— Ever ?

J’entends Sabine monter l’escalier, et me précipite dans ma chambre pour la ranger un peu, avant de m’asseoir à mon bureau et feindre de travailler.

— Tu es encore debout ? demande-t-elle en passant la tête dans l’embrasure de la porte.

Son tailleur est froissé, ses cheveux filasse et ses yeux rougis sont fatigués, mais son aura dégage une jolie nuance verte. Je repousse mon ordinateur portable.

— Je finissais mes devoirs.

— Tu as dîné ?

Elle s’appuie contre le chambranle de la porte, les paupières plissées, l’air soupçonneux. Son aura s’avance vers moi – le détecteur de mensonge qui l’accompagne partout à son insu.

Je hoche la tête en souriant, mais je sais bien que ça sonne faux.

— Bien sûr.

Je déteste mentir. Surtout à Sabine, après ce qu’elle a fait pour moi. Elle m’a hébergée après l’accident où ma famille a trouvé la mort. Rien ne l’y obligeait. Même si c’est ma seule parente, elle pouvait parfaitement refuser. Et je suis à peu près certaine qu’elle le regrette la plupart du temps. Sa vie était beaucoup plus simple avant mon intrusion dans son existence.

— Je voulais dire, autre chose que cette boisson.

Du menton, elle désigne la bouteille posée sur mon bureau, ce liquide d’un rouge opalescent au goût amer que je déteste un peu moins qu’avant. Heureusement, vu que, d’après Damen, je vais devoir en boire pour l’éternité. Je peux encore manger comme tout le monde, mais je n’en ai plus envie. Mon élixir d’immortalité m’apporte les nutriments nécessaires, et quelle que soit la quantité absorbée, je suis toujours rassasiée.

Cela dit, je sais exactement ce qu’elle pense. Pas seulement parce que je peux lire dans son esprit, mais aussi parce que je me disais précisément la même chose concernant Damen. J’étais agacée de le voir chipoter dans son assiette en faisant semblant de manger. Jusqu’au jour où j’ai découvert son secret.

— Oui, j’ai grignoté quelque chose tout à l’heure.

Je m’efforce de ne pas serrer les lèvres, ni regarder ailleurs ou froncer les sourcils – ces tics nerveux qui me trahissent invariablement.

— Avec Miles et Haven, j’ajoute, même si je sais qu’il est suspect de donner trop de détails, comme un clignotant rouge pour dire « Attention, mensonge ! ». D’autant que Sabine est avocate, l’une des meilleures de son cabinet, ce qui explique son habileté à démasquer les mensonges. Un don qu’elle réserve à sa sphère professionnelle. Dans la vie privée, elle choisit plutôt de faire confiance.

Mais ce soir, elle ne croit pas un mot de ce que je dis.

— Je m’inquiète pour toi, tu sais.

Je fais pivoter ma chaise et prends l’air le plus innocent du monde.

— Mais je vais bien, vraiment ! J’ai de bonnes notes, des amis formidables, et avec Damen, c’est…

Je m’interromps. Je ne lui ai encore jamais parlé de notre relation. Je ne l’ai d’ailleurs même pas vraiment définie. En fait, c’est un sujet presque tabou. Mais maintenant que j’ai commencé, je ne sais pas comment m’en dépêtrer.

Le qualifier de « petit ami » me paraît en effet tellement trivial au regard de notre passé, notre présent et notre avenir ! Notre histoire commune représente tellement plus ! En même temps, je ne vais pas crier sur les toits que nous sommes des âmes sœurs pour l’éternité. Cela ferait désordre. En réalité, je ne tiens pas à clarifier notre relation, car je ne sais toujours pas qu’en penser. Et puis, comment l’expliquer ? Voilà des siècles que nous nous aimons, mais nous ne sommes toujours pas passés à l’acte !

— Bon, disons que tout va bien avec Damen.

Je n’en crois pas mes oreilles. J’ai dit « bien » au lieu de « génial »… C’est peut-être la seule vérité que j’aie énoncée de la journée.

Ma tante pose sa mallette de cuir marron par terre et me dévisage. Je suis tombée à pieds joints dans le piège.

— Ah bon, il était là ?

J’acquiesce. Quelle mauvaise idée d’avoir insisté pour nous rencontrer ici plutôt que chez lui, comme il l’avait suggéré au départ !

— Il me semblait bien avoir vu sa voiture démarrer en trombe.

Elle observe mon lit en désordre, les oreillers éparpillés un peu partout, la couette froissée. Je sais ce qui va suivre.

— Ever, je suis vraiment désolée de n’être pas assez présente.

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Extrait ajouté par ccslt1201 2015-01-02T11:12:52+01:00

- Ever? Tu es prête? Il faut partir maintenant si on veut éviter les embouteillages!

- J'arrive!

Je ne bouge pas. plantée au beau milieu de ma chambre, je fixe un bout de papier que je viens de trouver dans la poche de mon jean. C'est bien mon écriture, mais je n'y comprends goutte.

Ne pas retourner chercher le sweat-shirt!

Ne pas faire confiance à Drina!

Ne retourner chercher le sweat-shirt à aucun prix!

Damen ..

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Extrait ajouté par Love_of_Books 2014-10-07T19:11:14+02:00

Je me mords les lèvres pour ne pas pouffer de rire.

-Parfait. Maintenant, associe le toucher. Fais comme s'il existait devant toi. Sens-le, vois-le, goûte-le, accepte-le, exprime-le !

J'obéis, mais en l'entendant ronchonner j'ouvre les yeux.

-Ever, tu étais censée penser a un citron. Rien a voir avec cela.

J'éclate de rire en examinant tour à tour les deux Damen

- la réplique que je viens de créer et la version en chair et en os. Grands, bruns, d'un charme presque irréel.

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Extrait ajouté par Love_of_Books 2014-10-07T19:10:14+02:00

- Ah, encore un détail. Il se peut qu'il existe l'antidote de l'antidote ... Et puisque c'est moi qui l'ai fabriqué, je suis le seul à le savoir. Donc si tu me tues, tu détruis du même coup tout espoir de pouvoir aimer Damen un jour. Est ce que tu es prête à en prendre le risque?

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Extrait ajouté par Evii 2014-07-01T18:38:56+02:00

<<-Tu dois retourner d'où tu viens pour sauver Damen avant qu'il ne soit trop tard, m'assène-t-elle.>>

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J'ai beau aimer Damen de toute mon âme et mourir d'envie d'aller jusqu'au bout, je ne peux m'emepêcher de penser à ces six-cent dernières années.

À la façon dont il a choisi de les passer. Plutôt excentrique, de son propre aveu.

Et avec qui. Outre son ex-femme Drina, il y en a eu beaucoup d'autres.

Bref, je l'avoue, cela ne m'inspire guère confiance.

Pas du tout, devrais-je dire. Comment voulez-vous que les rares garçons que j'ai embrassés puissent rivaliser avec six siècles de conquêtes ?

Je sais, c'est ridicule, puisque Damen m'aime depuis une éternité. Mais le cœur et la raison ne font pas toujours bon ménage.

Dans mon cas, c'est à peine s'ils s'adressent la parole, c'est tout dire.

Quand il vient à la maison pour ma leçon, je me débrouille pour que cela se termine en séance de câlins prolongée, dans l'espoir que cette fois sera la bonne.

Et je finis invariablement par le repousser, comme la pire des allumeuses.

En fait, il a raison. On ne peut pas changer le passé. Ce qui est fait est fait. Impossible de rembobiner et de recommencer.

La vie continue.

Un grand bond en avant, sans hésitation, sans un regard en arrière.

Oublier le passé et avancer gaiement vers l'avenir.

Si seulement c'était aussi simple !

(Extrait tiré du chapitre deux de 'Lune Bleue'.)

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Extrait ajouté par coco08 2014-05-16T21:52:27+02:00

-Plaisanterie mise à part, Ava, je ne peux pas imaginer qu'il arrive quoi que ce soit à Damen, J'en mourais, si ...j'apprenais un jour qu'il a souffert par ma faute.

Elle me serra gentiment les doigts avant de pousser la porte de la boutique :

-Ne t'inquiète pas tu peux compter sur moi.

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Extrait ajouté par MlleMae 2013-12-02T08:58:26+01:00

Il se débat , secouant la tête, les lèvres serrées.A force d'insistance, il finit par accepter. Ses joues retrouvent des couleurs et un semblant de chaleur, à mesure que le liquide coule dans sa gorge. Après avoir vidé la bouteille, il me lance un regard éperdu d'amour qui m'emplit de joie. Enfin, je le retrouve!

Je pose mes lèvres sur sa joue en réprimant tant bien que mal mon exaltation. Les émotions enfouies au plus profond de moi remontent à la surface, tandis que je le couvre de baisers.

-Tu m'as tellement manqué! Mais ça va aller, ne t'inquiète pas.

Ma joie se dégonfle comme une baudruche, quand sa physionomie s'assombrit tout à coup.

-Tu m'as abandonné!

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