Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 593
Membres
1 013 051

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:23:23+01:00

Voici que de sa main de pourpre

L'Aurore, suivie du soleil,

Ouvre la porte au jour nouveau.

C'est la fête de Tatiana.

Dès le matin, chez les Larine,

Les hôtes affluent. En charrette,

En calèche, en break, en traîneau

Arrivent des tribus entières.

Foule et panique dans l'entrée.

Embrassades dans le salon.

Gros baisers. Petits chiens piaillant.

Grands rires. Chahut. Bousculades.

Profonds saluts. Piétinements.

Cris des enfants. Cris des nourrices.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:23:09+01:00

Mais quand il arriva au but

Le mort reposait sur la table ;

La terre réclamait son dû.

Il trouva la maison remplie

De bonnes gens, amis ou non,

Grands amateurs de funérailles

Venus rendre hommage au défunt.

La tombe close, on fit ripaille ;

Popes en tête, on s'empiffra.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:22:46+01:00

Oui. Les passions sont imprudentes.

Faut-il leur en faire grief ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:22:31+01:00

Pourquoi tant de rage jalouse,

Alors que ces yeux sont si clairs ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:22:19+01:00

Cette âme avide de souffrir

N'a pas cessé de succomber

A ce mal insensé: l'amour.

Une passion inconsolable

Consume la pauvre Tania.

Le sommeil la fuit. La santé,

Fleur et douceur de l'existence,

Le sourire, le calme pur,

Tout a passé comme un vain bruit.

Et sa jeunesse s'obscurcit,

Comme on voit de sombres tempêtes

Dés l'aurore étouffer le jour.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:22:07+01:00

Il note un bref poème tendre,

Souvenir d'une rêverie,

Trace qui fixe pour longtemps

Une fugitive pensée.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:21:52+01:00

Mortels ! Vous êtes tous semblables

A Ève, notre bonne aïeule:

Ce que vous tenez vous ennuie.

Toujours le serpent vous attire

Vers les mystères de son arbre.

Il vous faut du fruit défendu.

Sans quoi l’Éden est insipide.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:21:40+01:00

En vérité

Je t'ai reconnu tout de suite.

Ce fut en moi un froid, un feu,

Et dans mon cœur, j'ai dit : c'est lui !

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:21:27+01:00

Le temps me manque pour vous dire

Les autres sciences qu'il savait.

Mais ce qui montrait son génie,

Ce qu'il connaissait mieux que tout,

(...)

C'était la science des cœurs tendres

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2015-02-23T12:21:12+01:00

Peut-être notre âme craintive

Devant la jeunesse du monde

Se souvient-elle des années

Qui plus jamais ne reviendront.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode