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Extrait ajouté par coco54 2011-12-18T14:12:27+01:00

— Bianca, qu’est-ce qui te plaît à ce point dans les étoiles ? Tu m’as montré toutes les constellations mais tu ne m’as jamais dit pourquoi tu aimais tant les contempler.

Je ramenai mes genoux sous mon menton, pensive, Je connaissais la réponse mais j’avais du mal à la formuler.

— Mes parents m’ont expliqué qui j’étais vraiment quand j’étais encore petite. Ils m’en ont parlé comme d’un secret, comme de quelque chose d’exceptionnel. A mes yeux, ça ressemblait à ce qu’on lit dans les contes de fées, quand la jeune servante découvre qu’elle est en fait une princesse. Mon secret avait un aspect magique.

Lucas parut vouloir m’interrompre mais il se ravisa quand il me vit hésiter. Je repris :

— La première fois que je me suis rendu compte que ça n’avait rien de merveilleux et de magique, la première fois que j’ai compris qu’il y avait un côté obscur au fait d’être un... (nous étions toujours seuls mais j’évitai quand même de prononcer le mot)... c’est quand j’ai compris que mes amis de l’école, Carrie, Tom, Renée, allaient tous mourir. Tous. Et pas moi. Ils vieilliraient, disparaîtraient, et me laisseraient seule. Ça m’a fait peur, j’ai réalisé que la plupart des gens que j’aimais ne resteraient pas avec moi.

Il posa sa main sur ma joue. Un nœud se forma dans ma gorge mais je poursuivis.

— Il fallait que je trouve quelque chose de permanent. Qui durerait pour l’éternité.

— Les étoiles, murmura Lucas. Il y aura toujours les étoiles.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-10-15T20:03:36+02:00

Quand on est immortel, l'amour aussi est éternel.

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Extrait ajouté par em77_1 2012-01-23T15:49:22+01:00

- Eh bien, tu vois, pendant que tu es tropp occupée à enbrasser Balthazar, que Raquel s'enferme dans sa chambre avec ses projets artistiques et que Ranulf est plongé dans l'un de ses nombreux livres sur les mythes mordiques, moi, je fais autre chose. Un truc de dingue, assez étrange. D'ailleur tu ne vas pas le croire. J'appelle ça : << parler aux gens. >> Grâce e ce processus miraculeux, j'apprends souvent des choses intéressante sur les autres humains. Parfois en une seule journée ! Il parait même que ma méthode intéresse les scientifiques.

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Extrait ajouté par coco54 2011-12-18T10:16:34+01:00

Lucas se retourna et m’embrassa tendrement. Je lui rendis son baiser, avec plus de fougue encore. Ce n’était pas assez. Je l’embrassai de plus en plus fort, jusqu’à ne plus pouvoir respirer.

— Tu m’as manqué, murmura-t-il. Tous les soirs, je m’endors en pensant à toi, sauf les soirs où je ne peux même pas m’endormir parce que tu me manques trop.

Je défis mon manteau et il posa ses mains sur ma taille, me faisant frissonner

Il me caressa le dos puis remonta le long de mon ventre. Quand ses doigts effleurèrent ma poitrine, je crus que j’allais défaillir. J’avais les sens à fleur de peau. Je m’assis, le tirai vers moi puis déboutonnai mon cardigan. Il hésita un bref instant avant de se jeter sur moi  – m’enveloppant de son corps et me protégeant du froid.

Nos baisers passionnés me paraissaient presque désespérés maintenant. J’aurais eu du mal à expliquer ce que je ressentais : de la fébrilité, de la frustration, de la joie ? Je basculai la tête en arrière. Les étoiles visibles à travers l’ouverture du dôme tourbillonnaient dans le ciel. Je passai mes mains dans les cheveux de Lucas et le serrai contre moi, comme pour le retenir.

« Il en a autant envie que moi, pensai-je. Lucas sait où tout ceci va nous mener mais il ne dit pas non. »

Il m’embrassa avec ferveur. Je sentais nos souffles se mêler, nos corps s’échauffer, hors de contrôle. Je posai la main sur sa joue et lui demandai :

— Toi et moi... Est-ce que tu veux ? Tu en as envie ?

— Quoi ?

Lucas semblait revenir de très loin.

— Ah, euh... Je ne pensais pas que, ce soir...

— Moi non plus, dis-je, mais j’ai l’impression que tu en as envie.

Je l’embrassai. Il tremblait, peut-être d’excitation. J’eus le sentiment que nous étions de nouveau en haut de la tour nord, je me semais aussi dépassée, submergée.

— Ensuite, on sera toujours ensemble, dis-je. Pour toujours. Ça changera tout. Pour nous deux. J’en suis sûre. Pas toi ?

Il m’adressa ce sourire ravageur qui me faisait fondre chaque fois.

Quand nous nous embrassâmes de nouveau, je perçus en lui un empressement inattendu.

Il approcha sa bouche de mon oreille.

— Est-ce que tu as, tu sais... de quoi te protéger ?

— Me protéger ?

— Tu sais...

Non, je ne savais pas. Il posa sa tête sur mon épaule.

— Je n’ai pas apporté de préservatifs, enchaîna-t-il. Parce que je suis vraiment débile ! Je ne pensais pas que tu... que nous en arriverions là. J’aurais dû... Chaque fois que je te touche...

Je répliquai, surprise :

— Attends, tu croyais que je te parlais de sexe ? Lucas me regarda avec de grands yeux. Evidemment qu’il me parlait de sexe ! Il était allongé sur moi et j’étais à moitié dévêtue. Et ce n’est pas comme si je n’y avais pas pensé non plus, mais ce que je voulais, moi, c’était qu’on soit ensemble à jamais.

- Bianca, tu... Si je comprends bien... Tu voulais boire mon sang ? Et... pas seulement boire mon sang ? poursuivit-il, le visage blême.

— Je croyais que c’était ce que tu voulais... devenir un vampire... Et ensuite, Lucas... On ne serait plus jamais séparés.

Le cadeau absolu  Je lui frôlai la joue, incapable de ne pas le toucher. Mon rêve le plus cher semblait à portée de main et j’osai espérer. Lucas se figea.

— D’abord, il faudrait que je meure. Que je meure et que je reste mort. Bianca, ne me demande plus jamais ça. Parce que c’est la seule chose au monde que je refuse de faire pour toi. Je ne serai jamais un vampire. Jamais.

Chaque parole me fît l’effet d’un coup de couteau. Il avait tellement progressé dans son acceptation de ce que j’étais que je croyais ses résistances tombées. Mais elles étaient toujours là, plus fortes que jamais. Je me sentis perdue ; pire, je me sentis rejetée. Lucas ne voulait pas de ce que je pouvais lui offrir, ni de ce que j’étais.

Il n’y avait plus grand-chose à dire. Le désir qui s’était emparé de nous s’évanouit en un instant. Nous nous redressâmes, prenant bien soin de nous tenir éloignés.

Le froid me saisit et j’avais les doigts qui tremblaient tandis que je reboutonnais mon cardigan. Lucas passa son bras autour de mes épaules dans un geste tendre qui me parut pourtant maladroit. Je n’aurais jamais pensé me sentir mal à l’aise dans ses bras, mais ce fut le cas.

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Extrait ajouté par coco54 2011-12-18T09:58:17+01:00

Arrivés devant l’escalier menant à la tour nord, nous croisâmes un groupe de garçons qui me dévisagèrent un peu trop longuement à mon goût. Quand ils furent partis, je demandai :

— Tu crois qu’ils se doutent de quelque chose ?

— Tu dis ça à cause de la façon dont ils te regardaient ? Je crois surtout qu’ils m’enviaient. Si seulement ils savaient, soupira-t-il

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Extrait ajouté par coco54 2011-12-18T10:04:53+01:00

— Tu ne diras rien à propos de moi et de Lucas.

— Je n’aurais pas révélé ton secret, soupira-t-il, et je sus qu’il le pensait vraiment.

Il y avait de la résignation dans sa voix. Un immense soulagement m’envahit.

— Si tu m’aides, je t’aiderai à quitter le campus pour que tu puisses voir Lucas.

— Sérieux ? demandai-je, prise d’un vertige. Mais comment ?

— Facile, continua-t-il sur un ton légèrement ironique. Il suffit d’un mensonge. On dira qu’on sort ensemble.

Ensemble ? Je le dévisageai, curieuse

— Les vampires plus âgés peuvent quitter Evernight, reprit-il. Il suffit de l’autorisation de Mme Bethany et elle l’accorde facilement à ceux en qui elle a confiance. Elle me fait confiance. Tes parents ont tellement envie de nous voir passer du temps ensemble qu’ils ne protesteront pas. Si toi et moi faisons semblant d’être en couple...

Il s’interrompit un instant et détourna le regard. Je savais que ce « faisons semblant » lui était douloureux.

— Je pourrai te faire sortir. Si tes parents sont d’accord,

Mme Bethany le sera aussi. Ils t’encourageront même. Ils penseront que tu te prépares à devenir un « vrai » vampire.

Son idée était bonne. Imparable.

— Tu y as pas mal réfléchi, apparemment.

— Ces derniers jours, oui. Si tu ne veux pas me rejoindre tout de suite, je comprends

— Alors, c’est d’accord ? demanda-t-il.

— Oui. On commence quand ?

— Autant commencer maintenant, répondit-il en me tendant la main.

Je la lui pris et nous rentrâmes à l’école. Je gardai ma main dans la sienne quand nous pénétrâmes dans le grand hall où se trouvaient encore quelques élèves. Je sentis leurs regards fondre sur nous, avides de potins ; ils aimaient les ragots presque autant que le sang frais. En bas de l’escalier menant à la résidence des filles, Balthazar m’embrassa sur la joue. Ses lèvres me parurent froides.

En montant dans ma chambre, je cherchais un moyen habile d’expliquer tout ça à Lucas. « Je ne sors pas avec Balthazar, je fais semblant. Alors oui, on doit se tenir la main pour de vrai et s’embrasser pour de vrai. Mais en fait, on joue la comédie. C’est clair, non ? »

Je me raclai la gorge. J’en étais déjà malade

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Extrait ajouté par coco54 2011-12-18T10:00:36+01:00

— Bianca, il y a tout de même un sujet dont on pourrait discuter ce soir.

— Lequel ?

Avait-elle deviné que je voyais Lucas en cachette ? Dans un sursaut d’angoisse, j’envisageai les meilleurs moyens de me défendre. Puis, elle me demanda :

— Et si on parlait de sexe ?

« C’est encore pire que ce que je croyais », pensai-je.

— Je sais que tu es au courant des mécanismes de la vie, continua-t-elle, sans s’attarder sur le fait que mon corps entier avait viré au cramoisi. Mais quand on se rapproche de quelqu’un, surtout quelqu’un qui a plus d’expérience comme Balthazar, le sexe devient réalité. Peut-être que tu as des questions ?

— Je crois qu’il est encore trop tôt pour penser à ça, répondis-je en hâte. On sort à peine ensemble.

— Si tu le dis.

Elle ne paraissait pas convaincue mais n’insista pas et finit de me coiffer.

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Extrait ajouté par coco54 2011-12-18T09:55:06+01:00

— Il faut qu’on redescende. Je pense qu’on a dû remarquer notre absence, il y a des chances que les gens en concluent que...

— Ok.

Imaginer ce que penseraient les gens me fit rougir et je me détournai.

— On continuera à chercher, je te le promets, m’assura-t-il.

— Merci.

Nous arrivâmes en bas sans incident ; Balthazar parut soulagé.

— Parfait. Je ne voudrais pas nuire à ta réputation.

— Et moi qui pensais que les vampires adoraient les scandales.

Il sourit et m’entraîna sur la piste de danse.

— Dans ce cas-là...

Balthazar me serra contre lui, comme il ne l’avait jamais fait auparavant, et au lieu de se joindre à la ronde des autres danseurs, il se dirigea vers le centre de la piste. Nous dansâmes lentement, seuls au monde.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-10-15T20:03:36+02:00

- On ne change pas, répondit-il, le regard triste. C'est bien ça qui est tragique.

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Extrait ajouté par Pamie 2011-10-15T20:03:36+02:00

- Les étoiles, murmura Lucas. Il y aura toujours les étoiles.

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