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Extension du domaine de la lutte



Description ajoutée par Carca 2014-06-04T16:37:48+02:00

Résumé

Voici l'odyssée désenchantée d'un informaticien entre deux âges, jouant son rôle en observant les mouvements humains et les banalités qui s'échangent autour des machines à café. L'installation d'un progiciel en province lui permettra d'étendre le champ de ses observations, d'anéantir les dernières illusions d'un collègue - obsédé malchanceux - et d'élaborer une théorie complète du libéralisme, qu'il soit économique ou sexuel.

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Classement en biblio - 300 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par RMarMat 2017-03-09T19:42:24+01:00

Au métro Sèvres-Babylone, j'ai vu un graffiti étrange : "Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices" disait l'inscription. Je me suis demandé qui était cette personne si bien informée des desseins de Dieu.

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Commentaire le plus apprécié

Pas apprécié

Je ne connaissais Houellebecq qu’à travers les controverses du personnages dans les médias. Je n’avais jamais lu l’un de ses écrits. Voilà qui est fait avec ce très court mais déjà trop long pour moi, roman. J’ai été incapable de pénétrer cet univers triste et sordide. J’en reste perplexe !

L’écriture est plutôt crue, véhémente ; l’ambiance est morose… Déprimante !

Je croyais lire une critique du libéralisme avec un héros contestataire. Je me suis bien fait duper ! Ou je n’ai pas tout compris ? De Houellebecq ? De son style ? de son personnage ?

Les tristes problèmes de cet homme de 30 ans n’ont pas autant de point commun avec ceux de nos sociétés qu’il cherche à nous le faire croire. Cet informaticien, pas vraiment remis de sa rupture amoureuse, frustré et gravement neurasthénique m’a semblé rejeter ses difficultés sur les autres tout en se complaisant de son sort. Il affirme ainsi beaucoup de vérités étriquées, sans se donner la peine d’un quelconque recule qui aurait permis au lecteur que je suis d’enrichir ses réflexions sur ses luttes de classes dans nos sociétés de plus en plus libérale, de ses influences sur nos vies, qu’il dénonce. Ainsi la paupérisation des relations humaines se limiterait-elle de plus en plus à des échanges fonctionnels et peu spontanés ? Mais encore ? Ainsi la sexualité serait-elle devenue un système hiérarchisant à l’instar du modèle économique ? Et alors ? Tout ça pour ça !

Peut-être que la digression faite ici du mal-être de la société n’a pas résisté au 23 ans qui séparent l’écriture du roman de ma lecture. Ou plus sûrement, tous ses lieus communs, si tristement accepté et si malheureusement vécu aujourd’hui par un toujours plus grand nombre de nos concitoyens n’ont pu provoquer en moi les même effets et sentiments qu’ils auraient pu fait naître alors…

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Commentaires récents

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(Commentaire originellement écrit le 24 mai 2022) : À la fois un bon et un mauvais livre. Mais si la qualité de l'écriture donne envie de découvrir la poésie de l'auteur, la narration me paraît tant dangereuse que désespérante. C'est un bon livre car il remplit les objectifs de son auteur, mais il ne me plaît pas.

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J’ai lu un tiers, j’ai pas aimé, je suis venue ici voir les avis, et j’ai décidé de ne pas me forcer a finir.

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Un livre que j’ai trouvé sans intérêt, pour être polie. J’avoue ne pas avoir été emballée rien que par le résumé, mais c’est un livre que j’ai dû lire pour mes études. Et je n’ai rien ressenti hormis l’envie d’étrangler le narrateur avec ses propos désobligeants, qu’il excuse de par une étude et un constat creux de notre société. Ce livre démontre à merveille la vacuité de l’existence, en plus de s’intéresser à celle du vagin, puisque le narrateur en connaît un rayon sur le sexe féminin, ça va de soi.

Honnêtement, ce livre aurait pu un avoir intérêt quelconque s’il ne faisait pas une analyse reposant sur les discriminations physiques et de genre. Je n’ai trouvé que peu de ses théories pertinentes, quand la plupart reposent sur la masturbation, la grossophobie, les déformations ou simplement la misogynie. Comme c’était agréable de voir des femmes éloignées des critères de la société être traitées de pute, de tête de truie persillée ou encore de boudin. J’ai adoré savoir que la femme n’était pas seulement un « tas de viande avec un trou ». Très rassurant, c’est vrai qu’en tant que femme, j’en doutais beaucoup. Si le narrateur avait voulu dénoncer ces propos, ça se serait su, mais il enfonce son doigt dans des problèmes qu’il cherche à relever, dans lesquels il se conforte et qu’il soutient même parfois. C’est ce qui a rendu ses analyses non-pertinentes, absurdes en plus de n’avoir aucune crédibilité.

Je le dis, je suis loin d’être la cible, et peut-être n’ai-je rien compris au sens premier de ce livre qui n’après moi reflète la réalité au travers d’un personnage tout bonnement abject. Si l’aspect de sa dépression a été un chouïa plus intéressant pour moi, ses observations tordues m’ont fait froncer les sourcils, et parfois m’ont sincèrement donné l’envie de jeter le livre par la fenêtre.

La plume est creuse, le personnage n’est à lui seul qu’un long râle plaintif sur la vie, parce que la vie, c’est de la merde. Encore une analyse très pertinente. Le découpage des chapitres est particulier, le fil conducteur absent et le récit linéaire/redondant. Je n’ai rien à complimenter dans cet ouvrage. Et vu la tournure du livre lui-même, qu’on décrit comme une autobiographie transformée sur certains sites d’analyse, je me doute que les propos de narrateur doivent refléter ceux de l’auteur. Autant dire que je ne relirai jamais un de ses livres. Et que je déconseille celui-là très fortement.

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Premier roman de Houellebecq, on n'y retrouve pas ce qui fera plus tard sa singularité de style souvent appréciée, parfois détestée ; ce roman n'ayant vraiment aucun style, il devient vite ennuyeux. Le personnage principal, qui est également le narrateur, est un pauvre type sans vie sociale, sans ambition, frustré sexuellement et qui déprime totalement dans la solitude et la médiocrité. Il tombe dans une profonde dépression qui serait due au désert affectif qu'il traverse depuis deux ans et accepte tout avec résignation.

Houellebecq est un écrivain qui provoque, dérange, et qui se distingue par ses personnages insipides qui sont impuissants à être heureux et à vivre en harmonie avec leurs semblables. Celui qui ne connaît pas l'univers du Droopy neurasthénique de la littérature ne doit surtout pas commencer par ce roman car la probabilité est grande qu'il ne souhaite pas aller plus loin avec cet auteur. Ce serait se priver d'ouvrages beaucoup plus intéressants.

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Ma chronique en entière : https://filledepapiersblog.wordpress.com/2022/05/27/extension-du-domaine-de-la-lutte-michel-houellebecq/

On m’a souvent placé Houellebecq sur un piédestal, malgré les nombreuses polémiques qui l’entourent. Après avoir lu ce roman, j’essaye de comprendre ces nombreux avis, sans vraiment y arriver. La plume simpliste et sans prise de tête n’offre rien d’exceptionnel. La « représentation » de la femme, quant à elle, décrédibilise toute la parole de l’auteur. Tout au long de l’œuvre, nous suivons un homme frustré, sexuellement parlant, qui n’arrive pas à se défaire de son « mal ». Pauvre Calimero, ai-je envie de dire. À cause de cela, il en devient méprisable et misérable. Il préfère rejeter la faute sur les femmes, plutôt que de remettre en question sa propre bassesse et sa vie sexuelle réduite à néant.

De cette manière, je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. Je suis restée à la surface de ce roman, sans jamais arriver à rentrer dans cette histoire. L’intrigue plate, sans but précis, n’aide pas non plus. Elle offre un fond complètement vide, sans grand intérêt. Cependant, au cours de ma lecture, j’avais la constante impression que l’intrigue invisible était fixée sur la dégradation de la vision de la femme. Le narrateur ne cesse de rabaisser, physiquement comme mentalement, les figures féminines, à base de : « pute », « très grosse, un boudin et même un sur boudin » et j’en passe. Dans ce livre, la femme passe littéralement pour un morceau de viande, sans une once d’intelligence et fortement naïve. Elle n’est juste bonne au pieu et à être matée.

Au début, je voulais dire que ce roman n’avait rien pour lui, mais je trouve cela un poil violent. Il possède, heureusement, des points positifs, comme ses chapitres courts, ses quelques pages et ses rares phrases sympathiques dans tout ce méli-mélo misogyne, qui développe la culture du viol et les agressions sexuelles – en effet, selon le narrateur, si une femme vient au travail en mini-jupe, il ne faut donc pas s’étonner que son patron bande ou se masturbe.

La vision de la femme est purement atroce et l’on sent bien que l’auteur est masculin et âgé. Toutes les femmes dépeintes ont des défauts, elles s’habillent trop court et leurs corps sont passés au peigne fin. Une poitrine tombante par-ci, des fesses bombées par-là. Une infirmière est imaginée en sous-vêtement sous sa blouse, etc. La liste est longue. Décrédibilisation, rabaissement et sexualisation des femmes, mais pas que ! Le narrateur arrive même à sexualiser des mineures âgées de 17 et 14 ans et oui, il n’hésite pas à imaginer la vie sexuelle d’une enfant, sous le prisme de son regard et de celui des autres jeunes garçons.

L’auteur, sous le spectre du narrateur, se fait juge et critique. Je ne vais pas vous mentir, cela m’a grandement dérangé. C’est tout ce que je déteste chez les écrivains masculins. Pourtant, je suis objective et peut-être même un peu masochiste sur les bords, alors, j’ai décidé de continuer ma lecture, avec une once d’espoir que cela s’améliore au fil des pages. Ce qui n’a pas été le cas. Le narrateur a même réussi à être raciste, en utilisant le terme « nègre ». Ainsi, j’ai gardé une mine dégoûtée tout au long de ma lecture. Bref. Un réel plaisir, n’est-ce pas ?

In fine, j’ai dû me forcer pour terminer ce roman et je pense que l’on peut dire que je l’ai subi. Bien évidemment, il ne s’agit que de mon humble avis, de ma perception des choses et de ma vision en tant que jeune femme.

Au vu des divers avis, j’ai pu remarquer que certains d’entre vous l’adorent… je ne vous jette pas la pierre, mais disons que je comprends mieux les personnes qui ont eu du mal avec ce roman.

En tous cas, en ce qui me concerne, je ne réitérerai pas l’expérience d’ici quelques années, car au cours de ma lecture, j’ai développé une certaine aversion pour l’auteur. Néanmoins, dans un sens, je pense que ce dernier a réussi son coup parce que je peux vous dire que l’extension du domaine de la lutte, je l’ai senti jusqu’au plus profond de mon être…

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Pas apprécié

Je n'ai pas su voir l'intérêt de ce livre. Je n'ai pas apprécié l'intrigue, ni la plume, pas plus que la façon dont les idées sont amenées...

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Or

Sans doute pas le meilleur livre de Michel Houellebecq.

Après Les particules élémentaires et La possibilité d'une île, Extension du domaine de la lutte fait plus pâle figure...

Comme toujours avec Houellebecq on aime ou on n'aime pas :

- indiscutablement, on aime son style et son écriture superbe et soignée

- on aime ses descriptions très précises et sa mémoire des choses que nous avons oubliées

- on n'aime pas toujours ses personnages dépressifs et hauts en couleurs

- on n'aime pas toujours également son côté sombre et cru

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Argent

Un ton à part

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J'ai lu ce livre dans le cadre de mes études. Je dois dire que cela faisait longtemps que je n'avais pas autant détesté un livre. Pourquoi donc ?

Il y a de multiples raisons qui font que je n'ai pas apprécié et que je considère ce livre comme un livre juste commercial.

Evoquons tout d'abord la plume de l'auteur, je n'avais jamais lu Houellebecq juste je le connais de nom pour ses polémiques dans ses livres. Je dois dire que si je me focalise sur le style, je ne trouve rien d'exceptionnel car la plume semble fouillis, on ne sait pas si le narrateur est Houellebecq ou non, il y a un vrai brouillage dans l'identité du personnage, ce même brouillage se retrouve d'ailleurs dans le cadre spatio-temporel du livre. Tout semble continu avant d'avoir des ruptures rythmes importantes, cela rend la tâche difficile de s'y replonger.

Pour la partie intrigue, il ne se passe pas grand chose mais cela ne me gêne pas. En revanche, c'est là que j'ai pris le plus d'horreur sur le traitement des thèmes abordés. Je l'ai lu pour une matière qui est : la littérature du XXème siècle sur le thème du travail. Je m'attendais donc à lire un livre sur le travail, cela était intéressant mais le thème du travail est sommaire par rapport au thème de la sexualité. Pour le sexe, il est au rendez-vous entre ses érections multiples, la comparaison sexe et le travail et la dégradation de la femme. Oui, ce livre est d'un sexisme, c'est extrêmement misogyne, il ne cesse de rabaisser, d'humilier la femme soit ce sont des "putes", soit ce sont des "boudins". En gros, les femmes sont perçues comme de la chair à viande sans une once d'intelligence juste bonnes au lit ou à être regardées. Cela m'a fortement dérangé dans cette lecture puisque l'auteur ne cesse de revenir dessus. Ainsi, cela décrédibilise tous ses discours, son analyse sur la société et le travail, c'est au fond vide et sans intérêt. Cette impression est renforcée par l'idée que tout est de la faute de la société. A l'instar de Mersault dans L'Etranger de Camus, le narrateur va aussi se faire passer pour une victime de la société. Or, ne mélangeons pas les torchons et les serviettes, Camus a fait cela pour montrer sa philosophie et une critique de la société ; quant à Houellebecq, j'ai eu l'impression d'avoir un homme qui joue plus son Calimero qu'autre chose. Cette idée de Calimero est exacerbée à la fin du livre avec la dépression du narrateur, j'ai apprécié que le psychologue lui demande les raisons de son état malheureux puisque si on y réfléchit bien, il a presque tout pour être heureux par rapport à d'autres personnes.

Pour conclure, un livre qui est plus médiatique car Houellebecq a tenté de donner une critique de la société moderne mais il n'a pas réussi son pari avec sa misogynie, ses problèmes d'érection à gogo, sa posture de Calimero au lieu de construire un texte mieux ficelé et mettre plus en avant le thème du travail. Je n'ai pas pris du plaisir et j'ai voulu en finir au plus vite. Je ne suis pas prête à réitérer l'expérience pour l'instant.

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Diamant

J'ai beaucoup aimé ce roman, on retrouve les thèmes chers à l'auteur, mais avec un petit twist de fin que j'ai bien apprécié

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Date de sortie

Extension du domaine de la lutte

  • France : 2010-09-08 - Poche (Français)

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Evaluations 61
Note globale 6.26 / 10

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