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Extrêmement fort et incroyablement près



Description ajoutée par sonn 2012-03-18T17:21:37+01:00

Résumé

Nine-year-old Oskar Schell is an inventor, amateur entomologist, Francophile, letter writer, pacifist, natural historian, percussionist, romantic, Great Explorer, jeweller, detective, vegan, and collector of butterflies. When his father is killed in the September 11th attacks on the World Trade Centre, Oskar sets out to solve the mystery of a key he disovers in his father's closet. It is a search which leads him into the lives of strangers, through the five boroughs of New York, into history, to the bombings of Dresden and Hiroshima, and on an inward journey which brings him ever closer to some kind of peace.

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Classement en biblio - 359 lecteurs

extrait

J’avais lu le premier chapitre d'Une brève histoire du temps quand papa vivait encore et ça m’avait collé des semelles de plomb incroyablement lourdes de lire à quel point la vie est relativement insignifiante et que, comparée à l'univers et comparée au temps, mon existence n’a pas la moindre importance. Quand papa était venu me border ce soir-là, on avait parlé du livre et je lui avais demandé de chercher une solution à ce problème.

« Quel problème ?

- Celui de notre relative insignifiance. »

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Commentaire le plus apprécié

Or

Ce livre m'a beaucoup surprise. Le style est assez déroutant: j'ai du relire pas mal de passage parce que je ne comprenais pas où Oskar voulait en venir. Il a tendance à sauter d'une pensée à l'autre. C'est très perturbant. Est-ce réellement la façon de penser d'un enfant surdoué dont la tête fourmille et fourmille d'idée?

Dans tous les cas, les personnages sont très réalistes et très attachants. Et l'histoire ne tombe jamais de la mièvrerie. C'est d'ailleur ce qui m'a le plus étonnée. Je pensais que ce serait très triste et en fait, non pas tellement.

Et l'auteur ne nous emmène pas là où on pense aller.

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Commentaires récents

Argent

Un roman émouvant et poétique, d'une grande sensibilité. Il touche un événement qui m'avait bouleversée à l'époque.

L'histoire se déroule à différentes époques et de différents points de vue. Nous suivons surtout Oskar qui tente de comprendre ce dernier leg de son père. Ce père qui était celui qui le comprenait le mieux. Que faire de toute cette douleur qui parfois se transforme en violence?

Enfermé dans sa culpabilité et ses secrets, en voulant se rapprocher de son père, il s'éloigne de ceux qui restent...

J'appréhendais beaucoup la lecture de ce roman car le film m'avait fait pleurer à gros sanglots. Mais ça s'est bien passé déjà je connaissais l'histoire...

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Lu aussi

Je ne sais pas si je l’ai aimé ou non, le style est vraiment déroutant et je n’ai pas compris où l’auteur voulait en venir au départ, jusqu’à la trouvaille de la clé. La clé est physique mais aussi métaphorique, il a l’objet mais cherche la bonne serrure, serrure qui représente son père disparu lors des attentats du 11 septembre, évènement qu’il ne prononce jamais vraiment directement mais qu’on comprend facilement.

Oskar, notre héros de 9 ans, est plein de vie, astucieux, curieux de tout et passerait presque pour un adulte tant il est surdoué, mais il garde son innocence face à pas mal de choses donc ça rééquilibre le personnage. Je l’aime bien ce gamin, mais parfois il part trop dans des explications loufoques qui me perdent assez vite. C’est pour ça que j’ai eu du mal à le lire et à rester dans le récit.

Ce qui m’a vraiment plu c’est les histoires qui s’entremêlent pour ne faire qu’une à la fin, c’est assez rare dans mes lectures et j’apprécie le style, à condition d’être bien prit dedans au risque de passer totalement à côté du roman. Le fond du livre est intéressant mais la forme ne m’a pas marqué, trop de longueurs mais il se lit quand même facilement.

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Bronze

Je ne saurais dire pourquoi je n'ai pas plus apprécié que ça ce livre. Le fait est qu'en général j'aime lire ce genre d'histoires. Je crois que je l'ai lu dans de très mauvaises conditions pour être honnête et que je n'ai pas pu accorder au roman l'attention qu'il méritait.

J'ai lu ce livre sur une période très étendue, ce qui fait que je perdais le fil, ça m'agaçait, du coup je traînais encore plus et ainsi de suite. Le fait de connaitre déjà l'histoire, puisque j'ai vu le film n'a pas aidé : sachant déjà à quoi m'en tenir je ne restais pas accroché au livre “pour savoir la suite, quelle surprise m'attend”.

Je dois avouer qu'Oskar m'a énervée plus d'une fois aussi. OK, le garçon est perturbé et bien que dans certains livre, cet aspect donne une force au roman, je trouve que là ça l'a desservi. Je trouve Oskar souvent bien trop impertinent et trop incompréhensif. C'est agaçant. Sans parler de sa manière de s'exprimer que je n'ai pas aimé.

Par contre, j'ai bien aimé la partie sur l'histoire de la grand mère : le film ne traite pas cet aspect et du coup j'ai aimé le plongeon dans son passé pour le moins surprenant, il faut l'avouer ! En fait, pour simplifier, j'ai bien aimé les petits vieux dans ce lire. Que ce soit la grand mère d'Oskar, jeune ou vieille, le voisin Mr. Black ou encore le mystérieux locataire. Les petits vieux sont bien trop souvent mis au rebuts dans la plupart des livres alors que là ils étaient plutôt mis en avant. J'ai apprécié cet aspect, ça sort des sentiers battus.

Autre point intéressant : les différentes histoires mêlées qui finalement s'articulent et finissent par se rencontrer à la fin. On suit tour à tour, Oskar, sa grand mère et son grand père. Autant les aventures des grands parents sont pleines de belles “images” et de surprises inattendues, autant la partie d'Oskar est, à mon gout, plutôt plate. Ils ne se passe pas grand chose. J'ai eu l'impression de piétiner et moi aussi de “me coller des semelles de plomb”. L'enfant passe son temps à déambuler dans New York dans le meilleur des cas mais bien souvent, il pense, repense et re repense à son père adoré… à nous en dégoûter ! Sans parler de ses crises et de son manque de respect envers sa mère. J'ai franchement eu du mal à l'apprécier rien qu'à cause de la façon dont il la considérait…

Une autre originalité sympathique : la mise en forme. L'absence de chapitres concrets peut au début dérouter mais on s'en accommode et je dirais même que c'est un effet miroir du livre. Après tout l'histoire est contée principalement par un petit garçon “original”. de jolie photos pour agrémenter le texte. Vraiment je maintiens : le forme est soignée et donne une force au roman.

Au final, j'ai du mal à avoir une vision claire de ce livre et je regrette de l'avoir lu dans de si mauvaises conditions. Je pense que j'aurais pu plus apprécier ma lecture si je l'avais lu à autre moment, plus vite, et en étant moins dispersée. Quant au titre du roman : vous comprendrez à la toute fin : c'est en effet la réponse à la quête d'Oskar avec sa clé. Un roman original, on ne peut le nier mais qui ne m'aura pas plus intriguée que ça. J'apprécie souvent la littérature contemporaine mais là, je n'ai pas eu la petite étincelle

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Argent

Un beau titre, prometteur et ambitieux, mais finalement plutôt déroutant (pourquoi ce choix ?). Le personnage est très attachant, son histoire très originale et sa quête très touchante. Le style est parfois complexe et difficile à suivre...mais un beau roman au final !

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Or

Ce livre m'a filé le cafard... Disons que je suis restée mélancolique plusieurs jours après l'avoir terminé… Déjà car je trouve encore pesant de repenser aux attentats du 9/11... Mais pas que !

Le fait que le narrateur soit un enfant/ado un peu dans sa bulle peut entraîner une sensation de longueur à la lecture... Mais je retrouve très souvent cette sensation quand l'écrivain est bon sur un personnage similaire ! (Adrian Mole; the perks of being a wallflower; Room; …) Dur de se retrouver dans la tête d'un gosse mal dans sa peau qui vit dans une famille pas toujours nette. Comme on est adulte on percute les choses beaucoup plus vite, et on doit le regarder se débattre dans une situation vouée à l’échec…

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Pas apprécié

Voilà un livre dans lequel je n'ai pas pu rentrer ; peut-être l'écriture qui est un peu trop poétique, imagée pour moi. Je suis restée sans sentiments face à ce drame, cette histoire. Ce livre m'a paru long, très long... Une très grande envie de l'abandonner m'a submergée mais j'ai tenu bon !

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Diamant

C’est plutôt extravagant et définitivement invraisemblable, et ça a beaucoup été reproché dans les critiques, mais je pense vraiment que ce n’est pas une mauvaise chose. C’est même une des raisons pour lesquelles j’ai aimé ce livre! C’est orignal, l’auteur ne nous emmène pas où l’on croyait aller. J’ai souvent entendu: « ce qui compte ce n’est pas la destination, c’est le voyage ». Oskar a beaucoup appris durant les mois d’investigations, il a grandi.

Une raison pour laquelle j’ai adoré ce roman, c’est qu’il m’a rappelé mon livre préféré: 1. un parent meurt, 2. on a deux histoires parallèles qui ne font qu’une à la fin, 3. ce n’est pas totalement réaliste mais vraiment beau. Avec autant de points commun, je ne pouvais qu’aimer ce livre

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Or

Extrêmement prometteur et incroyablement efficace. Ou pas ?

D'accord, il y a dans ce livre des effets de style outrés, superflus, de l'émotion un peu facile autour de la tragédie du 11 septembre.

D'accord, que celui qui connaît un gamin de huit ans qui lit Hamlet vienne faire la démonstration que ce roman est crédible.

D'accord, on sent, comme dans « Tout est illuminé », que Jonathan Safran Foer est passé, comme la plupart des écrivains de sa génération, par des ateliers de creative writing (ce qui, au passage, ferait beaucoup de bien à pas mal de nos auteurs convaincus d'être, étant français, des répliques sublimes de Proust) et qu'il s'applique scrupuleusement à en mettre en oeuvre les outils : deux histoires parallèles séparées par le temps, le style et qui se rejoignent ; une convocation de tous les sens avec l'incrustation d'images, de chiffres, de mise en page innovantes.

Pour autant, je ne peux m'empêcher de penser que l'auteur, encore jeune, a l'étoffe d'un grand écrivain américain, et qu'une fois libéré, son hyper sensibilité contenue, de ses grigris stylistiques il est bien possible qu'il nous surprenne à l'avenir par la qualité de son oeuvre.

Et pour en revenir à l'histoire, on ne peut lui enlever je crois la force avec laquelle il parvient à dire ce qui est irrémédiablement et brutalement disparu, la civilisation juive européenne dans « Tout est illuminé », les certitudes de l'Occident tombées avec le World Trade Center dans « Incroyablement… », et d'en habiller la souffrance avec un élégant humour.

Je ne saurais dire pourquoi je manque d'objectivité vis-à-vis de Jonathan Safran Foer. Peut-être est-ce une sensibilité à sa maladresse, ou à sa sincérité; en tout cas c'est un auteur que je continuerai à suivre

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Or

Je ne pensais pas que je lirais ce "pavé" si vite. En le regardant, je pensais qu'il faisait allègrement plus de 500 pages, et que ça me tiendrait ma semaine de vacances. C'était sans compter les pages remplies de photos, d'illustrations, de façon d'écrire incroyable. Et sans compter aussi sur le fait que je l'ai littéralement dévoré en trois jours à cause de son style d'écriture captivant.

On suit l'histoire d'Oskar, petit garçon qui voit la vie autrement avec un cerveau super-actif débordant d'imagination. Après avoir perdu son père dans les attentats du 11 septembre, il va trouver un seul réconfort pour rester "au plus près de lui" : une clé, trouvée avec seulement un nom commun (Black) dans le dressing. Avec ces maigres indications, il va entreprendre une quête pour trouver LA serrure. Que peut-elle bien ouvrir ?

Deux autres parties s'entrecroisent dans ce récit, à travers des lettres, adressées tantôt au père d'Oskar, tantôt à Oskar lui-même, tout dépend de l’émetteur de ladite lettre: le grand-père ou la grand-mère d'Oskar. Ces parties m'ont moins intéressées, mais elles révélaient une partie du passé familial du héros, et en même temps un peu de son père perdu, qui à travers le peu de temps où il est présent, devient terriblement attachant, et sa perte encore plus grande.

L'écriture m'a beaucoup touché, bien que saccadée quand il s'agissait de la grand-mère, ou avec des phrases interminables pour le grand-père, ou encore passant parfois du coq à l'âne dans le cerveau si chamboulé d'Oskar lui-même. On fait un voyage avec lui dans tout New York, on voit le monde à travers ses yeux, et on se dit qu'effectivement, les choses devraient être plus simple, et les réactions ou agissement des adultes ne sont pas logiques.

Mais ce qui m'a vraiment émue aux larmes dans ce livre, c'est le sentiment New-yorkais au lendemain des attentats. Nous l'avons vécu ici en France il y a encore trop peu de temps, et la plume de l'auteur décrit parfaitement les pertes éprouvées après ça, et c'est ce qui lui vaut le classement d'or chez moi.

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Argent

C'est un roman de Jonathan Safran Foer qui se nomme ''Extrêmement fort et incroyablement près''. Il parle du massacre du 11 septembre . ''Oskar Schell'' est un enfant de 9 ans qui est fan des Beatles . Un jour il trouva un vase ou il y avait une clef pour y ouvrir une serrure qu'il cherchait pour comprendre comment sont père est mort dans les attentats terrible du World Trade Center . Cette Histoire se déroule à New-York dans un climat délétère . Je vous conseille d'acheter ce Roman car il est captivant,fabuleux et émouvant . Je pense que ce Roman va pouvoir toucher les enfants qui adorent lire . Pour ma part ce roman est un gros coup de cœur , c'est un livre à découvrir , on rentre facilement dans le déroulement de l'histoire , qui pour moi était un peut longue .

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Dates de sortie

Extrêmement fort et incroyablement près

  • France : 2006-09-21 (Français)
  • USA : 2005-04-01 (English)

Activité récente

Titres alternatifs

  • Extremely Loud and Incredibly Close - Anglais

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 359
Commentaires 54
extraits 54
Evaluations 83
Note globale 7.7 / 10

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