Un magnifique classique, qu'il doit être beau joué sur scène !

Une lecture très agréable et sans prise de tête qui ne révolutionne pas le genre mais qui reste suffisamment palpitante pour nous donner l'envie de découvrir la suite !

La pointe du marivaudage ! Une pièce aussi plaisante à lire qu'à voir !

Une très bonne lecture, qui m'a fait découvrir la plume de Colette ! La lecture est agréable et addictive

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Emparez-vous de votre plus beau chapeau-sapeur et embarquez à bord de votre citrolle tout droit direction Thadam : l'Académie de Magie requiert votre présence dans les plus brefs délais !


Suivez Charly et Sapotille dans un monde magique coloré et totalement loufoque ! Grimoires volants, serpillère coquette ou champignons dévoreurs d'histoires, tout n'est que surprise et émerveillement ! L'univers imaginé par Audrey Alwett regorge de détails amusants et particulièrement bien pensés ! Je rêve de découvrir la sensation des apocachips entre mes dents et de ressentir l'adrénaline d'une course de citrolles ! C'était un véritable plaisir d'apprendre à connaître et à maîtriser toute cette magie aux côtés de Charly.

Nous y faisons la rencontre de personnages tous aussi farfelus, aussi drôles qu'attendrissants. Charly est un jeune garçon plein de tendresse et d'empathie, qui se laisse un peu porter par les événements. Par contre, Sapotille m'a un peu agacée. Elle a un petit côté Hermione Granger, mais uniquement celui de la première de classe un peu insupportable. Et petite mention spéciale à Anasthème qui m'a bien fait rire, et à Lys Atravis que j'ai trouvé particulièrement mystérieux.

Si l'histoire souffre de quelques petites longueurs, elle reste marquée par des passages vraiment haletants (comme le course de citrouilles du second tome) et drôles ! La (SUITE)

Je crois bien que c'est mon tome préféré jusqu'ici. J'ai aimé chaque chapitre, chaque page, chaque interaction. Les illustrations sont toujours aussi belles, le récit plein d'humour. Il me faut la suite ! ^^

Une très belle découverte ! Une belle mise à l'honneur des femmes, connues et moins connues, de différentes époques et cultures. Les histoires sont courtes, drôles et très bien racontées !

Une petite déception pour ce second tome qui m'a beaucoup moins entrainée que le précédent...

Une belle BD, avec une histoire sympa, un concept original et des planches très colorées !

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Dans la famille Larcin, on est voleur de profession depuis des générations. On chaparde, on truande, on cambriole. Mais Robine a un secret : elle n'aime pas voler. Afin de la remettre sur le "mauvais" chemin, ses parents l'envoient à l'Ecole des Voleurs, un institut spécialisé dans la formation des futurs brigands.

Ce roman jeunesse nous invite à vivre une aventure quelque peu loufoque et colorée. L'histoire est gaie et haute en couleur, les personnages légers et attachants. La plume de l'autrice est créative et teintée d'humour, elle se distingue brillamment par la multitude de noms, jeux de mots et expressions liés à son univers.

J'aime beaucoup les livres jeunesse, pourtant je n'ai pas vraiment accroché à celui-ci. Il me manquait une petite étincelle pour être pleinement conquise. Le fonctionnement de l'école des voleurs aurait gagné à être un petit peu plus original car rien ne la démarque vraiment d'une école plus traditionnelle. D'autre part, l'histoire se transforme peu à peu en enquête, et cela au détriment du concept d'origine du livre.

Ce fût donc une lecture agréable mais qui m'a plutôt laissée de marbre. Cependant, il n'y a aucun doute sur le fait que les plus jeunes vont l'adorer !

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🛸~ Sombres étoiles était une relique de ma PAL. Sa couverture brillante était pleine de promesses, je pensais m'envoler pour une quête au-delà des étoiles ! Eh bien désolée de vous décevoir, mais je me suis bien fait avoir !
Ce roman est une romance sur fond étoilé, rien de plus. En réalité, c'est presque un huit-clos. Et une romance dans un huit-clos, ça devient vite étouffant.
Je ne dis pas que j'ai détesté, plutôt que je me suis ennuyée. Pourtant, l'intrigue commençait si bien ! Mais il faut croire que seuls les deux premiers chapitres avaient droit à un peu d'action. Le récit est parsemé de quelques révélations surprenantes mais qui tombent un peu comme un cheveu sur la soupe. Il est dommage que l'histoire soit si déséquilibrée...
La romance est quant à elle beaucoup trop superficielle. Si la relation entre les deux amants s'était formée au fur et à mesure, elle aurait pu être vraiment touchante ! Malheureusement, ils tombent amoureux au premier coup d'oeil et c'est vraiment dérangeant.
Leur union va si vite que leur psychologie est mise de côté, ils n'ont pas de réelle personnalité donc il est difficile de s'y attacher. De plus, certains parmi eux sont de véritables caricatures : le méchant est juste méchant sans aucune raison, et rien d'autre. Il n'a pas de raison de l'être, mais c'est comme ça.
Il y a surtout un passage qui m'a particulièrement dérangée. Les deux personnages principaux se disputent et l'héroïne affirme est prête à tout pour sauver leur couple. Et quelle est la réaction de son compagnon ? Il lui ordonne de se taire et de se déshabiller parce qu'IL a envie, je cite, de (SUITE)

J'ai vraiment été déçue par ce roman et n'ai pris aucun plaisir particulier à le lire. si vous le trouvez en librairie, ne faites pas comme moi, ne vous faites pas avoir par sa couverture !

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🖊️~ Ici et seulement Ici est certainement le livre le plus étrange que j'ai lu de ma vie. En ouvrant ses pages, attendez-vous à être dérouté, dérangé même. Mais derrière le burlesque apparaît un récit d'une justesse bouleversante, qui prend aux tripes, qui nous fait revenir sur une période particulière de notre vie. Une chose est sûre : Christelle Dabos a toujours le don de nous surprendre !
Alors oui, c'est bizarre, ça part dans tous les sens, mais c'est brillant. Au début j'étais perplexe, je ne voyais pas où tout cela nous menait. Puis j'ai accepté de me laisser guider par la plume si particulière de l'autrice et j'ai beaucoup aimé. Wow, mais quelle lecture ! Plusieurs fois je me suis demandée "Mais qu'est-ce que je suis en train de lire ?" et pourtant je continuais à dévorer les pages, mue par une certaine forme d'attraction-répulsion fascinante qui m'a accompagnée tout le long de la lecture.
D'un point de vue vraiment personnel, ce roman m'a fait revivre une période que j'ai détestée et à laquelle j'évite de repenser. Et c'est ce qui est si fort. Ici et seulement Ici s'appuie sur le vécu du lecteur, son expérience subjective, il le bouscule, le titille, et tout cela en en faisant un écho collectif. Tout le monde peut se retrouver entre les pages, mais chacun vivra sa lecture d'une façon unique.
Tout y est dans les extrêmes, tout y est en métaphores, ce qui laisse une liberté d'interprétation assez incroyable. Vraiment, c'est une expérience à vivre. C'est un roman dérangeant, mais dans le bon sens du terme.

Je ne sais pas si cet avis vous aura éclairé, mais je vous invite à vivre cette expérience de lecture. Et un petit mot à tous les fans de La Passe-Miroir : surtout ne cherchez pas la comparaison. Ça n'a absolument rien à voir. Avec ce nouveau roman, Christelle Dabos se réinvente complètement !

C'était une lecture très sympathique mais je n'ai pas tellement accroché à l'histoire et aux personnages. C'est une petite lecture qui fait du bien sur le moment, mais qui s'oublie une fois le livre terminé :)

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🏰~ Qui n'a jamais vécu de grandes aventures dans un terrain vague ou sur un bout de chemin, transformant une petite rivière en coulée de lave ou son chien en tigre féroce ? Ce roman a été pour moi un véritable retour à l'enfance. Ware est un petit garçon différent, sensible et tellement attachant. Son optimisme et ses rêveries rendent au monde une étincelle de magie, une beauté oubliée par les adultes.

Comme j'aurais aimé pouvoir découvrir cette histoire plus jeune, comme je me serais identifiée à ces enfants solitaires qui ne correspondent pas exactement aux exigences sociales. Ce roman est précieux pour les jeunes lecteurs, mais également pour les plus adultes qui sont parfois dépassés par le tumulte de la société. Croyez-moi, c'est un récit à lire à tous les âges.

Amitié, solitude, imagination, écologie sont autant de sujets traités avec délicatesse par la plus teintée d'humour et de tendresse de Sara Pennipacker. Moi aussi, je veux pouvoir pouvoir partager avec ceux qui me sont chers des choses qui me saisissent, me bouleversent, et pouvoir leur dire "Wow, vous avez vu ça ?".

Mais la grande question que vous devez vous poser est : pourquoi des papayes ? La réponse est entre les pages ! 😉

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Comment mettre des mots sur une telle lecture ? Comment exprimer les émotions de ce livre coup de foudre et vous de poing ? C'était saisissant, terrifiant et poignant. Le récit m'a tellement marquée que je ne parviens pas à penser à autre chose. Ce n'est pas un livre qui se lit, mais qui se vit.

C'est avec une plume fine et terriblement juste que Ruta Sepetys nous livre les secrets les plus glaçants de la dictature roumaine à l'ère de la Guerre Froide. Et ce fût une véritable claque, une prise de conscience : si l'on entend souvent parler de l'Allemagne de l'Est, la Roumanie reste encore aujourd'hui dans l'ombre. Sincèrement, qui connaissait cette part si sombre de son histoire ?Je suis tombée de haut, mais la chute était nécessaire.

Dès les premières pages, on enchaîne les très courts chapitres avec l'impression d'une course désespérée contre les temps, avec l'angoisse qu'il n'y ait pas assez de pages pour mener à la Libération. Je me suis sentie enfermée, opprimée; je soupçonnais tous les personnages, comme eux je devenais paranoïaque. Mais heureusement que le récit est conté par Cristian, ce jeune homme si intelligent et courageux. Chaque soir, il rédige des poèmes, des questions, exprime ses doutes lui qui n'a toujours vécu que dans l'obscurité. Certains de ses écrits étaient si bouleversants qu'ils m'ont noué le ventre. Alors oui, j'ai versé pas mal de larmes, mais il est impossible de rester de marbre face à une telle lecture.

" Comment aurait-on pu remarquer nos souffrances ou entendre nos appels à l'aide, quand nous ne pouvions rien faire de plus que chuchoter dans le noir ?"

Si je dois te trahir est un roman à lire, pour tout ce qu'il renferme de précieux et pour la Mémoire de la Roumanie. Je remercie infiniment Gallimard Jeunesse pour ce coup de coeur et pour la rencontre organisée avec Ruta Sepetys qui a été un très beau moment !

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🗡️~ Quel plaisir de retrouver Terrafae, ses habitants, coutumes et merveilles. Mais surtout, quel bonheur de retourner dans les bras de Cardan ! Il m'avait manqué 😩
Si je suis jalouse de Jude, l'héroïne, il n'en demeure pas moins que voir notre cher prince penser à elle est très plaisant, surtout que ce nouveau livre nous propose des petites scènes exclusives entre les deux amants. Holly Black nous offre un vrai cadeau avec ce conte illustré !
L'objet-livre en lui-même est absolument magnifique. Les nuances assez pâles des illustrations ainsi que la finesse du style graphique donnent vie aux personnages. D'ailleurs, l'autrice renoue avec l'esprit conte de fée qui était moins présent dans la trilogie initiale. Ici, l'histoire est partagée entre plusieurs petits contes qui présentent chacun une morale finale (mais propre à Terrafae, si vous voyez ce que je veux dire 😏).

Ce format correspond parfaitement à Cardan qui est lui-même fasciné par les histoires. Il n'est plus une marionnette mais bien le héros (un peu perdu, soit) de sa propre histoire. Le récit est solidement construit, son aspect de légende n'affecte en rien sa profondeur. Holly Black nous fait découvrir le véritable vécu de ce prince si cruel, le pourquoi du comment de son comportement. Certains événements du premier tome sont éclairés, notamment toute l'intrigue politique des fonds marins et le lien qui unit Cardan à Nicassia.

La plume participe à la légèreté du récit, elle est narrative et des plus agréable.

Je n'ai donc qu'une chose à dire pour conclure ce court avis : merci Holly Black pour ce si beau cadeau !

Ce n'est pas le tome qui m'a le plus marquée... Là où les autres proposent une véritable histoire, celui-ci ne présente que des petits sketchs... Mais bon j'adore ce Royaume et ses habitants donc ce fut tout de même une lecture sympathique :)

Un récit riche et foisonnant, à la structure narrative unique. Mais comme c'était dur de s'accrocher... Cette autobiographie collective est maintenant un peu trop en décalage par rapport à notre propre génération, mais la multiplicité des sujets abordés, sans fard, fait tout l'intérêt de ce livre.

"Premier Amour, Dernier amour" est un petit livre tout doux et tout mignon, un livre qui fait du bien, qui réchauffe le coeur

Le simplicité et le naturel de la plume de Susie Morgenstern m'ont de suite beaucoup plu. L'autrice nous relate son histoire d'amour, ce si puissant coup de foudre qui a bouleversé sa vie.

Sans fard ni cachotteries, elle nous livre avec humour et sincérité ses doutes, espoirs, rêves et sentiments. J'ai beaucoup ri, j'ai souris, j'ai souffert avec elle. Mais surtout, j'ai été marquée par sa grande tendresse, par cet amour si profond qui nous redonne espoir. Grâce à elle, on se surprend à croire au coup de foudre, à rêver au grand amour 💞

Merci Susie pour cette brise de douceur !

Une saga qui s'essouffle un peu avec un huitième tome alourdi par des longueurs... J'aime toujours l'univers des Cités Perdues, mais Sophie est de plus en plus insupportable, elle n'a aucune maturité émotionnelle et relationnelle et c'est vraiment frustrant...

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Ce roman graphique révèle un épisode particulier de la jeunesse du Darkling, le personnage le plus mystérieux et nuancé du Grishaverse. Est-il un héros ? Un monstre ? On a beau dire, cet homme si singulier qui remet en question la frontière entre le bien et le mal nous dérange autant qu'il nous fascine. Et après la lecture de cette nouvelle histoire, vous ne saurez plus quoi penser de lui !

Si l'évènement conté dans ce récit peut sembler anecdotique, il est au contraire d'une importance capitale pour la construction psychologique du jeune Aleksander. A travers ce nouveau format, Leigh Bardugo a vraiment pris la peine d'imaginer une histoire aussi touchante qu'approfondie.
Un certain nombre de lecteurs se sont plains de la courte durée du livre, mais il ne faut pas oublier qu'il est rare de trouver un roman graphique de plus de 200 pages. C'est sûr qu'on en veut plus, mais le format est parfait, l'histoire n'y est pas trop rapide et la psychologie des personnages bien travaillée. J'étais tellement absorbée par ma lecture que j'ai ressenti de plein fouet les émotions du jeune Darkling !

D'ailleurs, la palette de couleurs illustre à la perfection ses sentiments. Le style graphique est assez simple mais correspond parfaitement à l'univers du Grishaverse !


Demon in the Wood a été un vrai coup de coeur, aussi bien pour ses illustrations que pour la profondeur psychologique qui a été accordée aux personnages. Il s'agit d'ailleurs d'une bonne porte d'entrée dans le Grishaverse pour ceux qui n'auraient pas encore sauté le pas !

(on me souffle à l'oreille que la saison 2 de Shadow and Bone, la série du Grishaverse, vient tout juste de sortir sur Netflix)

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🗡️~"Oh mes dieux" que c'était mauvais.
J'ai rarement autant détesté un livre. Une intrigue inexistante, une romance vulgaire, un univers vide, des personnages fades, une écriture lourde, des fautes presque à toutes les pages... Rien n'allait. Plus j'avançais dans le livre et plus je me sentais ennuyée, oppressée et dégoûtée. La vraie question est : comment ai-je fait pour venir à bout de ces presque 700 pages ? Je m'impressionne xD

Commençons donc par l'intrigue puisque c'est avant tout pour ça qu'on ouvre un livre. Bon, vous pouvez déjà le refermer.Si l'ensemble est lent, ennuyeux et déprimant, la fin est complètement incohérente et prévisible. S'il-vous-plaît, on s'est bouffé 600 pages pour en arriver là ? Il y a de quoi casser un boulon, on le sentait venir depuis les premiers chapitres. On comprend d'ailleurs très vite que l'héroïne ne conservera pas son titre de "Pucelle" très longtemps. Elle part en vrille dès le chapitre 1, on a connu mieux en terme de suspense. Elle est complètement obsédée la pauvre, ça en devient gênant.

On en arrive donc à un point qui m'a particulièrement dérangée. C'est quoi cette obsession pour les scènes de sexe ? Qu'il y en ait quelques unes, soit, mais là elles arrivent à des moments inappropriés ? Et elles sont surtout extrêmement vulgaires et gênantes ! Et que dire des personnages ? C'est à en pleurer de désespoir. Penser à eux me fait suffoquer. D'abord Poppy, l'héroïne. A-t-on déjà rencontré personnage principal plus insipide ? Lire l'histoire de son point de vue m'a donné l'impression d'être enfermée dans un esprit d'une stupidité étouffante. Quant à Hawke, c'est le personnage le plus beauf et imbus de lui-même qu'il m'ait été donné de voir.
Le comble a été le nombre révoltant de fautes et de coquilles.Le travail de relecture n'a pas été fait ?

Le Sang et la Cendre a été une lecture douloureuse. J'ai conscience de la violence de mon avis, mais c'est mon ressenti et je ne m'en cacherai pas. Ce n'est pas pour autant que je vais critiquer (SUITE)

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Furia Perfax est une nouvelle saga assez sombre dans l'univers de l'Anti-Magicien mais rassurez-vous, elle peut se lire indépendamment. Alors si vous tombez dessus en librairie, je compte sur vous pour lui faire une petite place dans votre pal !

La très jolie carte du début du livre présente un univers des plus prometteurs mais qui n'est malheureusement pas très abordé dans ce premier tome. La focalisation sur les aventures de l'héroïne se fait un peu aux dépends du monde qui l'entoure, et j'espère pouvoir y voyager davantage dans la suite ! D'ailleurs, il faut noter la beauté des illustrations qui subliment le roman ! Leur format en cartes de tarot s'ajoute à la magie qui teinte le récit.

L'intrigue est quant à elle haletante et rythmée par de très courts chapitres, ce qui nous fait tourner les pages toujours plus vite ! L'histoire ne manque d'ailleurs pas d'action, l'auteur nous entraîne dans de folles péripéties et cela dès le prologue ! Nous avons à peine le temps de souffler que nous sommes embarqués dans une nouvelle aventure ! Néanmoins, la première partie m'a laissée assez indifférente par son schéma narratif plutôt classique ; si celui-ci est marqué par une certaine violence et un esprit de vengeance, il propose avant tout le récit initiatique d'une jeune orpheline qui se laisse porter par ses pas et se construit au gré des épreuves qui se présentent sur son chemin. Heureusement, l'arrivée d'un certain personnage a tout bouleversé, aussi bien le cours de l'intrigue que mon intérêt pour celle-ci. L'histoire prend un nouveau tournant beaucoup plus mystérieux, prenant et complexe qui m'a fait passer un excellent moment de lecture !

La plume de l'auteur traduit parfaitement les pensées de l'héroïne qui m'a d'ailleurs un peu fait penser à (Suite...)

Encore un bon tome et un nouveau cycle qui s'annonce très prenant !

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Une relecture aussi merveilleuse et enchanteresse que lors de ma première découverte.
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Joshua Perle est un prince oublié, exilé de son monde emplit de féerie. Il débarque alors, sans repères, sur la seule terre où l'on ne croit ni aux fées, ni à la magie: notre propre monde, en plein été 1938, devant un magasin de guimauves. De là commence la plus folle des quêtes, une course contre le temps motivée par un amour fou. Joshua Perle va consacrer sa vie à la recherche de moyens pour retourner dans son monde, et surtout auprès de celle qu'il aime, sa raison d'être. Une quête désespérée, poétique et émouvante, mêlée à toutes sortes de merveilles.
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Le Livre de Perle est un joyau rare, sublime, qui laisse une marque indélébile dans la mémoire du lecteur. Chaque phrase, chaque mot est choisi avec soin, donnant au texte une délicatesse, une saveur fine que l'on désire goûter encore et toujours. La plume de Timothée de Fombelle est unique et magnifique, tout aussi douce et onctueuse que les guimauves de la Maison Perle. C'est une écriture qui mêle magie et poésie, chaque chapitre est un poème à lui seul. On se laisse emporter par le flot des mots qui nous guident vers une fin sans espoir ? Lorsque j'ai ouvert Le Livre de Perle, trois ans après ma première lecture, les larmes sont venues, et avec elles les souvenirs et les émotions. C'est en effet une histoire qui a profondément marqué ma vie de lectrice, alors excusez-moi de cette chronique qui n'est pas très objective, je dois l'avouer.

Tout dans ce roman est merveilleux. La plume de l'auteur, la douceur et la pureté de la romance, la féerie, le monde de Joshua, les guimauves de la Maison Perle que je rêve de goûter un jour. Existe-t-il un mot plus doux que "guimauve" ? J'en doute. C'est moelleux, ça fond dans la bouche, tel une promesse de plaisir sucré. Il définit à lui seul Le Livre de Perle. Sans ces guimauves, le roman aurait une toute autre saveur.

La rencontre entre (SUITE...)

J'ai beaucoup aimé cette BD qui prend place dans l'univers si particulier de la Magna Vampyria. Bien que ce tome soit très introducteur, il promet une aventure délicieusement effrayante pour la suite ! D'ailleurs, je ne m'attendais pas à ce que certaines illustrations soient si gores ! Si vous êtes sensibles à la vue du sang, préparez-vous car il y en a beaucoup !