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Commentaires de livres faits par lapageinattendue

Extraits de livres par lapageinattendue

Commentaires de livres appréciés par lapageinattendue

Extraits de livres appréciés par lapageinattendue

date : 16-10-2022
Retrouvez la chronique complète sur mon blog La Page Inattendue ! :)
lapageinettendue.com

Delirium nous présente une dystopie originale et très bien construite. Tout y est crédible et bien développé, même si on en sait encore peu sur les véritables raisons qui ont poussé les États-Unis à bannir l'amour et à s'éloigner des autres nations. Il y a encore beaucoup de questionnements sur le gouvernement, sa politique extrémiste et la façon dont il a manipulé la population.
Il faut admettre que ce fonctionnement dystopique est l'intérêt principal du récit, car l'histoire en elle-même n'a rien de révolutionnaire. Les actions et les évènements mémorables se font rares, ce qui rend l'intrigue un peu décousue. Mais ce n'était pas dérangeant car je me laissais porter par les pensées de l'héroïne.
Lena est une jeune femme attachante, nous ressentons bien ses incertitudes. Je l'ai trouvée touchante par ses imperfections : elle peut se montrer aussi bien mature qu'incohérente, timide, irréfléchie et passionnée. Seule son évolution est un peu rapide. Quant à Alex, j'avoue que je l'aime bien ^^ Même s'il m'arrivait de remettre en question ses sentiments pour Lena, il faut bien admettre qu'il était plutôt pas mal X) Leur romance est d'ailleurs attendrissante. C'est une jolie histoire d'amour qui n'est pas trop rapide et qui n'arrive pas comme un cheveux sur la soupe.

Les autres personnages que nous rencontrons sont fades, mais ça va parfaitement avec ce qu'ils sont censés être : des pantins désarticulés, sans âme ni personnalité.

La plume de Lauren Oliver est belle et vraiment détaillée, mais peut-être parfois un peu lourde avec (SUITE...)
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date : 16-10-2022
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On m'a vendu Nil comme étant LA lecture parfaite pour l'été. Et effectivement, le décor de l'île tropicale nous transporte le long de plages au sable fin et chaud, bordées de cocotiers. Pourtant, cette lecture a été une déception.

Le principe sur lequel est fondée toute l'intrigue de Nil est très original et surtout, addictif. Le double aspect de l'île, qui est aussi bien un paradis qu'un cimetière à ciel ouvert, provoque une sensation dérangeante entre émerveillement et répulsion. Et c'est précisément ce petit bout de terre perdu au milieu de l'immensité de l'océan qui est le principal intérêt du roman, avec ses origines inconnues et le fonctionnement des portes.

Mais malheureusement, je ne suis pas certaine de lire le second tome. Comme je vous l'ai précisé dans l'introduction, Nil n'a pas su me convaincre. En plus d'être sous exploité, le concept de l'île est totalement gâché par une intrigue ennuyante et mal construite. Concrètement, il ne se passe pas grand chose ; les longueurs se font ressentir et on s'ennuie. L'histoire est tout simplement mauvaise.
Et si le récit en lui-même n'a rien de captivant, il est encore alourdi par une romance niaise et irréaliste. L'amourette entre les deux personnages principaux n'a aucun intérêt et gâche absolument tout le roman. Prévisible et exaspérante, elle rend presque inexistant le principe de survie du récit.

Et je peux vous assurer que Charley et Thad ne présentent rien d'intéressant pour rattraper cette lecture. Ce sont tout simplement des coquilles vides. Lisses et sans personnalité, ils sont bien trop beaux, trop intelligents, trop matures, en un mot trop "parfaits" pour être attachants. Les personnages secondaires sont presque plus travaillés. En réalité, je ne vois pas (SUITE)

Nil est une saga qui s'annonçait prometteuse, mais tous mes espoirs se sont effondrés en moins de cent pages.
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Le Prieuré de l'Oranger a été ma meilleure lecture de l'été.Il n'y a pas à dire, la fantasy reste incontestablement mon genre préféré, surtout quand il est représenté par cette grande épopée signée Samantha Shannon !

Dès les premières pages, on s'aperçoit que nous nous engageons dans un univers d'une richesse à couper le souffle. Entre les différentes contrées, populations, coutumes et légendes qui se côtoient, la diversité culturelle qui nous est présentée nous donnerait presque le tournis. Mais personnellement, ce sont d'abord des odeurs, des couleurs et des saveurs qui me viennent à l'esprit quand je me remémore ma lecture. L'univers suscite tous nos sens, et c'est grâce à cette incroyable immersion que le Prieuré de l'Oranger peut être considéré comme un très bon roman.

J'ai également constaté que l'Inis ressemblait beaucoup à Portréal, la capitale royale de Game of Thrones ; j''y ai retrouvé une ambiance et un décors similaires.S'il n'est pas aussi trash que celui de Westeros (et il n'a jamais prétendu l'être), le récit nous captive par la multiplicité de ses intrigues, ses complots, jeux de pouvoir, meurtres, espionnages et trahisons. Néanmoins, si l'intrigue prend aux tripes, le rythme de l'histoire n'est pas égal, d'où un déséquilibre entre les chapitres et les différents points de vue.

Quant à la plume de l'autrice, elle est parfaitement juste et maîtrisée. Je m'attendais à des lourdeurs, des phrases interminables, des descriptions à n'en plus finir comme on en trouve malheureusement trop en fantasy. Mais non, chaque phrase nous transporte par sa délicatesse, le texte se lit avec beaucoup de plaisir.
Le seul bémol qui est venu entacher ma lecture concerne les personnages. Je ne me suis attachée à aucun d'eux. J'étais bien plus fascinée par l'histoire qu'intéressée par les protagonistes. Ils manquaient (SUITE)
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Ce premier tome, centré sur Daphné, me fait penser à un macaron à la framboise : sucré, moelleux et tout coloré. C'est un vrai plaisir de suivre l'aînée des soeurs Bridgerton dans cette saison londonienne pleine de divertissements.
Ce roman est pétillant et plein de vie. Les personnages sont drôles et enjoués, prêts à laisser leurs sentiments leur échapper. La famille Bridgerton nous met de bonne humeur, et c'est vraiment ce que je retiens.
Le rythme est beaucoup plus lent que dans la série et contrairement à elle, il n'y a pas d'intrigues secondaires. La narration reste focalisée sur les deux amants. Pas de digression, ni de reine.
Néanmoins, la deuxième partie de l'intrigue est beaucoup moins prenante. L'histoire traîne en longueurs et il y a surtout beaucoup. trop. de. sexe. Dans tous les chapitres jusqu'à la fin, ça m'a un peu écoeurée. Et je tiens à signaler qu'il y a même une scène de viol décrite sur plusieurs pages... Je préfère vous prévenir car il n'y a pas un seul avertissement dans le livre. Pour une saga aussi populaire, elle n'est pas du tout ouverte à tous les publics, et je trouve assez scandaleux que rien n'indique dans la présentation du livre qu'il s'agit d'une (SUITE...)
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Un beau témoignage de la vie à la Cour du début du XVIIIè siècle. Même s'il ne s'agit pas de mon classique préféré, il reste à lire pour la plume de Saint-Simon et l'organisation de cet événement historique
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Une seconde BD plus aboutie que la précédente. J'ai trouvé les illustrations plus fines et l'histoire prend vraiment de l'ampleur. J'ai été captivée tout du long et j'ai beaucoup (beaucoup) bavé sur Mozart ahah xD Il faut avouer qu'il est très réussi ! (désolée les Team Marcus, mais je reste et je resterai Team Mozart <3)
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Une très belle bande-dessinée qui adapte très bien l'histoire originelle des romans.
Les illustrations sont magnifiques mais certains personnages sont mieux réussis que d'autres (hum hum Marcus). J'ai également eu la sensation que certains éléments paraissaient plus lourds que dans le roman. Le format BD ne permettant pas un grand approfondissement, certains éléments clefs du récit étaient amenés avec bien trop peu de subtilité, provoquant ainsi des dialogues assez peu naturels et quelques passages un peu lourds.
Mais cela reste une très bonne adaptation que je conseille aux fans de Phobos !
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Quel ennui...Le livre n'est pas bien épais mais j'ai pourtant eu l'impression de me farcir une énorme brique. C'était si long, si lent. Quelques scènes d'action viennent pimenter le récit, mais elles se comptent sur les doigts d'une main. Il faut admettre que ces rares passages sont vraiment prenants, seulement quel dommage qu'ils soient épisodiques. Heureusement que l'histoire reste rythmée par de courts chapitres, sans quoi j'aurais probablement laissé tomber ma lecture.

Mais en dehors des (trop) nombreuses longueurs, le mystère du labyrinthe nous retient entre les pages du livre, et c'est bien la seule raison pour laquelle je ne l'ai pas abandonné. Néanmoins, c'est sur cette énigme que portaient toutes mes espérances, toute ma curiosité. Et une fois de plus, je n'ai pas été convaincue, ça a même été ma plus grosse déconvenue. Le concept du labyrinthe était si prometteur, si propice à l'aventure et aux dangers ! Pourtant, il n'est pas du tout assez exploité, de nombreuses parties sont laissées à l'écart et l'auteur n'a selon moi pas suffisamment tiré profit des possibilités offertes par son invention.

C'est lent, mais c'est aussi répétitif. Les pièges auxquels sont confrontés les personnages sont toujours les mêmes, c'est vite lassant.

De plus, l'intrigue n'a rien de très original et souffre d'incohérences. Je peux comprendre qu'à sa sortie Le Labyrinthe était une saga plutôt inédite mais aujourd'hui, avec toutes les dystopies de qualité qui sont publiées, son intérêt est un peu dépassé.

Comble de malheur, les personnages sont détestables. Tous. Pas un pour rattraper l'autre. Et le lien qui unit deux d'entre eux sort de nulle part, ça n'apporte absolument rien au texte sinon de porter un nouveau coup à sa crédibilité. (SUITE...)

Le Labyrinthe est donc une lecture qui m'a globalement déçue. J'ai essayé de lui donner une seconde chance en regardant le film, mais il était presque pire.
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date : 02-09-2022
Un bon premier tome mais l'histoire est vue et revue, il ne m'a pas marquée
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Chaque fois que je lis du Musset, ses mots m'enivrent et me transportent. C'est si beau, si poignant. Le récit en lui-même n'a rien de réjouissant, mais j'ai pourtant adoré de la première à la dernière phrase.
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Le troisième tome de Broadway Limited m'a conquise du début à la fin. Captivante, rafraîchissante et remplie de gaieté, l'histoire est soutenue par une plume pleine de vie, drôle et bienveillante.
Cette trilogie nous plonge dans le Broadway des années 40 avec ses artistes iconiques tels que Cary Grant, Fred Astaire et Grace Kelly mais aussi Woody Allen ou encore Marlon Brando ! Nous sommes pleinement immergés dans ce New York éclatant de vie, de fêtes, de paillettes ; c'est avec amusement et curiosité que nous observons, telles des petites souris, les coulisses des plus grands shows, les castings, auditions, répétitions... Mais Malika Ferdjoukh n'omet pas la dimension plus sombre de cette période qui, sous ses décors éclatants, dissimule une grande misère et une forte répression politique. Chasse aux sorcières communistes, lutte pour les droits des femmes, corruption, ségrégation raciale, mutilés de guerre... J'ai donc particulièrement adoré le contexte histoire de cette trilogie, l'autrice nous offre un véritable dépaysement, une bulle pleine de légèreté et de couleurs !
Mais cette saga se démarque également grâce à ses personnages ! J'avais lu le second tome il y a plus de trois ans, alors il m'était au début très difficile de me remémorer et de me retrouver parmi tous les personnages et toutes les intrigues : six personnages principaux, le double de secondaires et énormément de relations et de récits qui se croisent et s'entremêlent constamment. Certains lecteurs reprochent fréquemment cette richesse à la trilogie, mais je trouve au contraire que c'est ce qui fait tout son dynamisme et son originalité.
Néanmoins, la fin m'a déçue. Le troisième et dernier tome de Broadway Limited se termine brutalement, presque sans transition, ce qui donne l'impression que l'autrice savait qu'elle devait finir et qu'elle s'est précipitée. Le dernier chapitre, axé sur Jocelyn, (SUITE...)
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La Ville sans Vent est une petite pépite aussi scintillante que sa couverture. Nous y découvrons la magnifique cité d'Hyperborée aux tours chatoyantes, préservée de l'extérieur grâce à son dôme protecteur et aux mages.
Quel dépaysement ! Quelle immersion ! Hyperborée est pleine de promesses, pleine de magie. C'est avec des yeux émerveillés que l'on navigue à dos de tortue sur ses canaux suspendus. L'univers de ce roman est d'une telle richesse ! Tout est imaginé avec le plus grand soin, jusqu'aux petits objets et habitudes du quotidien. Nous n'imaginons pas Hyberborée, nous y sommes !
Je suis vraiment tombée sous le charme de la cité, bien qu'elle soit très hiérarchisée. Comme la plupart des villes de fantaisie, elle est corrompue jusqu'à ses sommets. La répartition sociale entre les étages des tours est très inégalitaire.
Mais en plus de l'inégalité des classes et du rejet social, La Ville sans Vent aborde avec justesse de nombreux autres sujets tels que la corruption bien sûr, mais aussi le racisme, le féminisme, la guerre et l'abus de pouvoir.
Et l'histoire nous en fait voir de toutes les couleurs ! On va de surprise en surprise sans jamais rien voir venir ! Entre enquête, meurtres, magie et jeux de pouvoir, le suspense nous tient en haleine du début à la fin ! Tout le long du récit, nous amassons des indices qui attisent notre curiosité et nous impliquent pleinement dans l'enquête.
Arka et Lastyanax forment un duo étonnant mais touchant. Tout les oppose et d'ailleurs, ils se détestent et se méprisent. Néanmoins, les événements vont les pousser à nouer un lien presque fraternel. Et j'ai beaucoup apprécié la tournure de leur relation. La jeune fille est d'ailleurs très attachante par son aptitude bourrue, elle m'a bien amusée. Avec toutes ses péripéties, il est impossible de s'ennuyer avec elle !
Cependant, Lastyanax reste mon héros préféré, ce sont ses chapitres que j'attendais avec le plus d'impatience.
Eléonore Devillepoix a une très belle (SUITE...)
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Oyez compagnons ! Levez les voiles car aujourd'hui, nous partons à bord de l'Ouranos pour le troisième tome de Vampyria, La Cour des Ouragans !'espère que les abysses de l'océan ne vous effraient pas car nous risquons de rencontrer des créatures monstrueuses et de subir les plus effroyables des tempêtes !
Ce troisième tome est sans conteste le meilleur tome de la trilogie !L'univers de la Magna Vampyria ne cesse de s'étendre et de se dévoiler, de révéler aux lecteurs ses aspects les plus obscurs. Et que de mystères ! La richesse de ce monde ténébreux est à couper le souffle, l'imaginaire de Victor Dixen est débordant. Sombre et fascinant, c'est avec une frayeur délicieuse que nous nous perdons au plus profond de ses abysses.
Et la grande nouveauté de ce tome, ce sont les pirates ! Oui, des vampyres pirates ! Une fois de plus, l'auteur nous prend de cour par ses choix narratifs ahurissants mais si bien réussis ! Préparez-vous aux abordages, îles désertes, batailles navales et marchés noirs, sans oublier les syrènes cauchemardesques et les crocs des vampyres ! Et non, pas les temps de souffler !
Car le récit est extrêmement rythmé !Chaque page nous transporte au coeur de multiples péripéties, de rebondissements, de révélations !Ce troisième livre de Vampyria est une véritable tempête d'actions et d'émotions ! Il conclut parfaitement cette première trilogie sur une fin grandiose comme l'auteur sait si bien les faire.
J'avoue que Jeanne va me manquer. C'est une héroïne atypique, impulsive et violente, pas toujours bienveillante mais captivante à suivre.Mais les plus intrigants sont les nouveaux personnages que l'on découvre en mer, notamment Pâle Phoebus.Son comportement et ses secrets sont fascinants ; je frissonnais à chacune de ses apparitions.
La Cour des Ouragans est donc un excellent tome qui répond à toutes les promesses de (SUITE...)
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date : 22-07-2022
Un essai passionnant. Tout y est expliqué avec précision et clarté grâce à des exemples bien précis et convaincants. Un magnifique texte sur l'humanité, la diversité de ses cultures et l'Homme en général. Brillant.
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date : 09-07-2022
Un excellent second tome que j'ai dévoré en une soirée ! Les illustrations sont si belles et originales, certaines planches étaient magnifiques. Perséphone est moins insupportable, heureusement. Et Hadès, halala il fait fondre mon coeur <3
Le seul bémol est l'absence des personnages secondaires, beaucoup moins présents dans ce tome.
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Un magnifique ouvrage qui révèle aux fans de Zelda tous les secrets de la licence ! Le livre en lui-même est très beau, les anecdotes intéressantes et les concepts arts fascinants !
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Scarlett & Browne nous offre une aventure haletante de la première à la dernière page ! Avec ses deux héros décalés, sa succession de péripéties et l’humour de l’auteur, ce premier tome ouvre la voie à une saga qui s’annonce palpitante !

J'ai retrouvé avec un immense plaisir la plume si particulière de Jonathan Stroud, teintée de sarcasme et d’un humour British qui fait toute son originalité. Il parvient à rendre probables des événements totalement délirants et même si certains peuvent paraître un peu gros, on y adhère complètement !

Ses deux héros nous entraînent dans une une course poursuite au rythme effréné à travers les Terres Sauvage. Pas un temps mort, pas une longueur; c’est peine si l’on parvient à reprendre son souffle ! L'univers sombre et intriguant est très différent de ce que le genre a l’habitude de nous proposer : loin des atmosphères dystopiques très urbanisées que l’on retrouve dans la plupart des livres, celui-ci reste très sauvage et naturel. Le monde n’est plus soumis à l’Homme, mais c’est l’Homme qui est désormais vulnérable à la nature. En fait, le roman nous transporte au coeur d’une sorte de western anglais futuriste; le dépaysement est garanti !

Mais la force du récit réside avant tout dans ses héros.Si j’ai aimé Scarlett, c’est bien Browne qui m’a captivée.Son ignorance et son décalage m’ont à la fois touchée et fait rire. C’est un personnage hors du commun comme je n’en avait jamais vu, toujours décalé par rapport aux situations. J'ai adoré la relation qu’il tisse avec Scarlett, leur amitié qui émerge petit à petit. Elle est inattendue et bienvenue dans ce monde où tout n’est que violence.

Car l’histoire est secouée de nombreuses scènes de violence.Ces situations sont assez décrites, donc faites attention en le commençant car certains passages sont vraiment (SUITE)

Scarlett & Browne est un roman à ne pas louper si vous aimez l’aventure, la dystopie, le surnaturel et une touche d’horreur
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Et Pourtant nous sommes vivants est un récit intense, poignant, terriblement marquant. Oui, tout cela à la fois et bien plus encore.

L’histoire de ce roman est terrible. Comme les personnages, nous sommes pris dans ce déluge d’horreur, dans ce mouvement de panique généralisée sans savoir quoi faire. En tant que lecteurs, nous ne pouvons qu’assister, impuissants, au massacre. Et pourtant, c’est bien en tournant les pages que nous pouvons les aider. Le récit se lit très vite puisque faire une pause ne serait-ce que cinq minutes, c’est abandonner nos personnages cinq minutes de plus dans ce cauchemar…

J’ai particulièrement apprécié la plume de Sera Milano : juste, vivante, moderne. Et Pourtant nous sommes vivants est un roman choral dynamique à la narration percutante et vive.
Nos cinq jeunes héros sont tous très touchants par leur courage et leur détermination, mais surtout par leurs faiblesses et leur désespoir. Car ce ne sont pas des héros romanesques, mais de simples ados victimes de la pire des situations…

Ce roman n’est pas seulement la description d’un attentat sanglant, mais un récit qui met en avant la résilience, la reconstruction de soi, la solidarité. C’est beau, c’est juste, c’est touchant. Et ce qui est peut-être le plus important, c’est que l’autrice ne s’attarde pas sur (SUITE...)

Et Pourtant nous sommes vivants est un roman vibrant et d’une très grande justesse, un roman à couper le souffle.
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L'histoire est des plus addictives, se lit d'une traite. Une fois le livre ouvert, il se dévore jusqu'à la dernière page. Mais je dois bien reconnaître que c'est là son principal (oserais-je dire seul ?) atout. Gros problème de rythme, personnages insupportables, univers vide, intrigue prévisible et écriture lourde, sans oublier les clichés et les incohérences... Aïe, ça commence à faire beaucoup pour un seul livre.

Mais ce qui m'a fait lever les yeux au ciel un nombre incalculable de fois, c'est la niaiserie de la romance. Si on peut appeler cela une vraie romance. Deux personnages censés se détester mais qui tombent dans les bras l'un de l'autre en un claquement de doigts, c'est plutôt surprenant. Un enemy to lovers qui se transforme en amourette à l'eau de rose du jour au lendemain ? Très peu pour moi. Et d'ailleurs je parlais de romance mais il n'y a rien de romantique. Toute la relation trouve sa justification dans le sexe, dommage.

Et malheureusement, les personnages ne viennent pas redresser ce champ de ruines. Je suis clairement passée d'une certaine incompréhension à un franche désintérêt à ce niveau là. Tamlin est insipide et ennuyant, Lucien inutile et absent. Quant au fameux Rhysand, ce "bourreau des coeurs" de tous les fans d'Acotar... Vous vous demandez si c'est aussi une déception ? Et bien oui, et une sacrément grande ! Quant à Feyre, c'est le pire personnage de la saga ! Dommage pour une héroïne. Ses réactions ? Disproportionnées et complètement à côté de la plaque. Ses pensées? Incohérentes, stupides, irréfléchies.

Enfin, le clou du spectacle s'est avéré être la quantité limite choquante des incohérences. Je me demandais parfois si le livre avait vraiment été relu, si l'autrice avait réfléchi à ce qu'elle avait écrit et si l'éditeur avait fait son boulot. C'était hallucinant.Que(SUITE)
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date : 17-06-2022
Lore Olympus est une très belle bande-dessinée qui remet au goût du jour le célèbre mythe d'Hadès et Perséphone !

Contrairement à la majorité des lecteurs de ce graphique, je ne l'ai pas découvert sur Webtoon mais en format papier. On ne m'en avait conté que du bien et je n'ai pas été déçue ! L'objet-livre en lui même est de toute beauté, la mise en page est très bien réalisée et les cases sont parfaitement mises en valeur.

Quant au style graphique, il est étonnant ! La patte artistique de Rachel Smythe est originale et vraiment très belle. Les deux couleurs dominantes (le bleu et le rose) forment dans leur contraste une union pétillante et équilibrée : ces deux nuances opposées apparaissent en réalité complémentaires, exactement comme le sont Hadès et Perséphone.

Cette revisite moderne de la mythologie grecque est plus que réussie ; elle est aussi passionnante que rafraîchissante. Bon, c'est vrai qu'il faut un petit temps d'adaptation pour tout bien comprendre et pour se familiariser avec les illustrations, mais cette légère difficulté se résout très vite. Et fait, j'ai surtout adoré la façon dont l'autrice s'est approprié ce mythe légendaire, dans un cadre moderne qui paraît paradoxalement assez figé.

Les caractères attribués aux dieux et leurs différentes relations sont parfois tournées en dérision, ce qui donne lieu à des scènes loufoques et inattendues.

Nos deux héros sont aussi opposés que les couleurs qui les représentent et pourtant, on attend chacune de leur rencontre avec une grande impatience. Hadès est clairement mon chouchou, il a tout mon coeur. Mais j'ai eu plus de mal avec Perséphone. Naïve et ingénue, elle est l'image même de la jeune femme crédule, influençable et timide. Heureusement qu'il s'agit du premier tome, car ça laisse espérer une belle évolution pour la déesse du printemps.

Lore Olympus est une superbe bd, aussi bien pour ses illustrations atypiques que pour la réécriture du mythe en elle-même !
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Chronique à retrouver complète sur mon blog La Page Inattendue ! :)
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La Reine sans Royaume est le dernier tome de cette saga qui est devenue l'une de mes préférées. Et je peux vous assurer que c'est loin d'être facile à vivre. Maintenant que je l'ai terminée, je ressens un profond vide en moi, une sorte de rupture impossible à combler.
Chacun des tomes m'a éblouie, m'a ensorcelée. Durant quelques heures, je me retrouvais dans le monde merveilleux et dangereux de Terrafae, aux côtés de Jude et de notre cher Cardan. Chaque livre me happait entre ses pages, m'empêchant de m'en défaire avant le point final. Et le tome 3 n'a pas fait exception. Je me suis vraiment fait violence pour ne pas le terminer en une nuit. Vains efforts puisque finalement, je l'ai fini en une journée 😂
Jude et Cardan sont inoubliables. Les personnages et les relations de cette saga sont pour la plupart assez malsains et toxiques, mais qu'est-ce que j'ai aimé ! Il y a constamment une tension sous-jacente que le lecteur ressent, comme s'il vivait lui-même dans ce monde.
J'avais tellement d'attentes pour ce final que je l'appréhendais. Mais une fois de plus, Holly Black m'a retournée le cerveau, m'a charmée par sa créativité. 
Bon, pour être un tant soit peu objective, je dois bien admettre que ce tome présente quelques défauts. Déjà, il est bien trop court pour un final !Et la bataille finale, quelle déception ! Bâclée en deux pages, quel dommage ! Nous en voulons plus, chère Holly Black ! Nous ne sommes pas rassasiés !
Quant à mon personnage d'amour, Cardan❤️, une fois n'est pas coutume, il n'était pas assez présent ! Cependant, je ne sais pas s'il s'agit vraiment d'un mal. Ses apparitions étant plutôt rares, chacune de ses scènes sont un vrai délice et dégage une véritable intensité !
Quand la dernière phrase est apparue, je l'ai cachée pendant deux minutes pour ne pas la lire, pour rester dans le déni de la fin. Même plusieurs jours après l'avoir terminé (SUITE)
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date : 08-05-2022
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20 pieds sous terre nous plonge dans les souterrains du métro parisien pour une enquête haletante aux côtés des graffeurs de la capitale.
Je ne suis pas une grande amatrice des romans policiers, et pourtant celui-ci m’a tenue en haleine de la première à la dernière page. Malgré un début un petit peu compliqué de mon côté, la suite m’a happée au coeur de l’enquête et je ne pouvais plus m’en détacher ! Le suspense est tel que l’on veut absolument découvrir le fin mot de l’histoire ! On en vient à émettre nos propres théories, suspicions, à douter de chaque personne. Et c’est peut-être pour cela que la fin m’a déçue, la révélation finale étant en fin de compte assez prévisible.
Cependant, ce roman m’a avant tout marquée par son ambiance assez sombre et atypique. Manon nous embarque avec elle dans les couloirs sombres et miteux du métro. Munis d’une lampe torche et de tout notre courage, on ne peut que la suivre dans sa folle aventure. Et c’est là, avec elle, que nous découvrons les trésors cachés des souterrains et leurs occupants. L’enquête nous immerge dans le monde du street-art, en mettant en avant son aspect à la fois provocateur et poétique.
Il m’a fallut un certain temps pour m’habiter à la plume vivante et très expressive de l’auteure. Son écriture déverse un flot de sentiments mais d’une manière très directe, sans artifices. Et cela ne fait que renforcer l’aspect réaliste du (Suite...)
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Les Chroniques de l’Erable et du Cerisier est un roman d’une très grande beauté. Ses pages nous offrent une histoire touchante menée par un jeune héros sensible, avec des paysages fabuleux.

Nous découvrons la richesse et les trésors de la culture japonaise, tout en côtoyant les vagabonds, les artistes et les courtisanes qui peuplent les rues d’Edo. Aux côtés du jeune Ichirô, nous déambulons dans la capitale nippone du XVIIè siècle, fascinés par la beauté de ses traditions, mais également écoeurés par la profonde misère des habitants et la tyrannie du shogun. Ce premier tome est une véritable immersion au coeur de ce Japon médiéval, où chacun de nos sens est éveillé.

Le début du récit nous conte l'enfance d'Ichirô ; une enfance marquée par la quiétude et la solitude, une enfance passée à l’écart du monde, loin des luttes intestines qui se jouent à l’extérieur.

Il m’a fallu un certain temps pour dépasser cette première partie. Le rythme y est lent, contemplatif, mais ce n’es absolument pas un défaut. Bien au contraire, il nous permet de flâner, de nous laisser aller au fil des pages. Par la durée de ma lecture, j’ai vraiment ressenti le passage des ans et des saisons, ce qui m’a permis de beaucoup m’attacher à Ichirô.

Car ce roman ne serait pas le même sans son conteur. Ichirô est un jeune homme sensible et courageux. A travers ses mots, nous grandissons à ses côtés, et une véritable complicité se tisse entre lui et le lecteur. Toujours, nous avons envie de la soutenir, et même de le consoler parfois. Car l’histoire de ce roman est teintée de tristesse, elle est bien plus mélancolique que légère, malgré les autres personnages qui entourent notre jeune héros.

Le récit doit principalement sa beauté à la plume de Camille Monceaux. Avec élégance, elle relate les faits de son histoire et nous enchante par ses descriptions. Je (Suite...)
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Bon, j'ai lu ce second tome l'été dernier donc mon avis ne va pas s'étendre beaucoup.
Je dois avouer que je l'ai bien moins apprécié que le précédent. L'histoire est lente, très lente, trop lente. Rien n'avance, c'est désespérant. Et la relation entre Kestrel et Aslan est insupportable. J'ai déjà du mal avec ce dernier, mais il n'y en a pas un pour récupérer l'autre. Tout ces non-dits, ces mensonges, ces faux semblants... J'avais la sensation de suffoquer ! Et pourtant, j'aime les slow burn ! C'est en général un trope que j'apprécie beaucoup ! Mais dans ce second tome, c'est tout simplement insupportable...
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Les Chroniques Lunaires, c'est une quête spatiale, un jeu de pouvoir, un soupçon de féerie. C'est un périple épique, des rencontres bouleversantes, des sentiments palpitants. Les Chroniques Lunaires, c'est enfin une modernisation de nos contes des fée dans un univers mêlant à la fois science-fiction, dystopie, le tout agrémenté d'une pointe de fantastique. Le récit est fin, intelligent et extrêmement addictif. Une saga exceptionnelle qui se démarque de tant d'autres et qui nous embarque avec elle jusqu'à la dernière page. Et quand le point final apparaît, ineffaçable, noir sur le papier blanc, c'est comme un poing au ventre. Le souffle qui se coupe, les larmes qui perlent au coin des yeux, et surtout le refus d'y croire.
Quatre tomes et aucun qui ne m'ait déçue. Si les deux premiers pouvaient se révéler assez prévisibles sur certains aspects, cela était essentiel à la mise en place de l'intrigue, qui se dévoile à chaque page bien plus complexe qu'elle ne semblait le présager. La saga commence doucement avec Cinder, puis s'assombrit durant la traque de Scarlet, se révèle véritablement surprenante dans Cress, et se conclut en apothéose chez Winter.
La plume narrative et généreuse de Marissa Meyer nous fait ressentir une vague d'émotions déferlant avec toute sa puissance sur le lecteur qui, surpris, ne peut que se laisser engloutir par ce tourbillon de sentiments.
Au début de leurs aventures respectives, les personnages apparaissent toujours sous en aspect assez classique, se conformant à leur rôle des contes auxquels ils sont rattachés. Cependant, ils vont progressivement se défaire de leur image préconçue pour devenir totalement différents de qui ils étaient au départ. Leur grande volonté, mais également la force des événements vont transformer leur personnalité, faisant de chacun(Suite..)
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date : 27-03-2022
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LX18 m’a complètement retourné le cerveau, m’a étonnée, m’a bouleversée. Ce roman est une pépite en diamant brut à laquelle je ne m’attendais pas, quelle claque !

LX18, puis Hélix, est un personnage inhabituel et troublant. Son évolution est telle que la fin du roman est très différente du début, comme s’il s’agissait de deux histoires séparées, ou plutôt de deux actes bien distincts. Par sa condition d’Altéré, LX18 ne ressent rien. Son comportement est mécanique, son écriture robotique. Mais tandis qu’il découvre la société et les Hommes, Hélix s’ouvre peu à peu au monde. Sans comprendre ce qui lui arrive ni ce qu’il ressent, des émotions éclosent en lui, alors même que cela devrait lui être impossible. Il s’étonne, sourit, souffre. Il s’émerveille, panique, savoure. Autant de sensations totalement nouvelles pour lui que nous redécouvrons à ses côtés.

Car si ce roman évoque la naissance des émotions, il célèbre la vie dans toute sa puissance et sa beauté. Je ne faisais pas que lire ce qu’écrivait Hélix, non : je buvais littéralement ses mots ! Comme lui, j’avais soif du monde, des sensations, des émotions. Je me suis accrochée à lui pour ne plus le lâcher, tant l’expérience qu’il nous fait vivre est enivrante !

L’évolution d’Hélix se ressent tout particulièrement à travers son écriture. Froide et sèche dans les premiers chapitres, elle se teinte d’une sensibilité toujours plus touchante au fil des pages. L’auteur est parfaitement parvenu à transmettre cette humanité débordante à travers sa plume !

J’ai également été très sensible aux nombreuses références théâtrales et littéraires !
Ainsi, ce roman interroge le lecteur sur de nombreux sujets. Comment être pleinement soi dans notre rapport aux autres, et à nous-mêmes ? L'Homme peut-il se transformer lui-même en arme destructrice ?

LX18 comporte aussi son lot d’actions et de péripéties. Enquête, espionnage (Suite...)
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