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Dans ce second tome, nous suivons Alma, Joseph et Amélie Bassac vers l’Amérique et Saint-Domingue pour la deuxième étape du commerce triangulaire. Nous embarquons à leurs côtés pour vivre une grande aventure qui nous révèle, au fil des pages, toute l’horreur et l’ampleur de ce commerce inhumain.



Comme dans le premier tome, les destins de nos personnages se croisent sans arrêt. Toutes leurs quêtes sont liées les unes aux autres et pourtant, malgré les enlèvements, les traques et les marchandages, Alma, Joseph et Amélie sont les trois êtres les plus libres de cette histoire. Sans s’en rendre compte, dans cette période où tout se vend et s’achète, ils représentent le souffle de la liberté. Alma est la seule jeune fille noire qui échappe à l’esclavage ; Joseph voyage entre les continents ; Amélie construit son indépendance dans cette société dominée par les hommes.

Les chapitres de ce deuxième volet parviennent à capter notre attention par un jeu de croisements et de rencontres qui tisse un fil de suspense tout le long du récit. Constamment, les personnages et les quêtes se croisent sans jamais se mêler. Constamment, un événement inopportun vient empêcher les rencontres. Et que cela est frustrant ! Timothée de Fombelle ne nous laisse pas en repos, il nous mène d’un chapitre à un autre en se jouant de nos attentes ! Il nous est donc totalement impossible de lâcher le livre, car nous voulons que les personnages se retrouvent ! Et pour cela, il va falloir attendre le troisième et ultime tome de la trilogie, prévu pour 2023… Que l’attente va être longue !

Cette trilogie propose au lecteur un grand récit d’aventure et de rencontres humaines, tout en lui faisant découvrir les « coulisses » du commerce triangulaire. Timothée de Fombelle parvient à nous instruire et à nous éclairer sur cette période sombre de l’Histoire sans pour autant sombrer dans la violence et les présupposés. Il parvient à retranscrire avec finesse et justesse les différentes étapes de cette terrible exploitation : les mauvais traitements subis par les esclaves, tous les bénéfices engendrés pour les États européens… L’auteur donne la parole non pas à quelques personnages, mais à tous les acteurs de ce commerce : aux esclaves bien sûr, mais aussi aux riches planteurs, aux gouverneurs, aux marins, aux esclavagistes, aux négociants… Ces romans sont vraiment importants, car ils permettent aux plus jeunes (et à tous les autres) de prendre conscience de l’horreur de ce trafic humain, en en découvrant presque tous les aspects.

Durant ma lecture, j’ai pris plus de temps pour contempler les illustrations de François Place. A chaque tome, je les apprécie davantage. Son coup de crayon est un parfait équilibre entre représentation et imagination. Ses illustrations nous permettent de visualiser les lieux et les scènes, mais les courbures et l’absence de petits détails laissent au lecteur sa propre liberté d’imagination !



La nouvelle trilogie de Timothée de Fombelle est aussi belle qu’importante. Au-delà de l’esclavage, c’est une Ode à l’amitié, à la liberté et surtout à la reconnaissance de l’autre.

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Autant le dire d'entrée de jeu, cet ultime tome m'a laissée perplexe. La trilogie La Faucheuse est extrêmement originale, mais ce troisième tome est très en dessous des deux précédents.
Ce troisième tome est un peu comme la part de trop qui gâche tout le repas. Il est lourd et long. Indigeste.
La première chose qui me vient à l'esprit à l'évocation de ce livre, c'est son dénouement final, censé être grandiose. D'une certaine façon, il l'est : grandiose dans son absurdité. La fin est incompréhensible. Je m'explique : durant toute la trilogie, l'auteur a mis en place un univers et une intrigue de dingue qu'il a brisés en quelques chapitres ! C'est tellement dommage ! Ce n'est pas une fin, mais une fuite ! Rien n'est résolu, c'est même au contraire presque pire...
Quant au rythme du récit, il est très hétérogène. Certaines révélations sont imprévisibles et fascinantes, mais elles n'ont malheureusement aucun impacte sur l'intrigue. Un élément apparaît, il a son importance le temps d'un chapitre, et il est aussitôt oublié. Aucun retournement de situation n'a de conséquence sur les personnages et l'histoire.
Enfin, le traitement de certains personnages est décevant. Plus particulièrement celui de Maître Faraday et de Rowan. Je suis désolée pour les fans de Rowan, mais celui-ci est relayé au second plan, il n'est plus que (Suite...)

🌐Vous l'aurez compris, cet ultime tome ne m'a pas convaincue ; une grande partie du potentiel de La Faucheuse a été gâché par la fin. Cependant, je garde un fort souvenir de cette trilogie qui m'aura marquée par son originalité et ses très nombreux thèmes abordés de façon philosophique et intelligente ! Malgré ma déception pour ce dernier livre, je garde un très bon souvenir de cette aventure qui saura en surprendre plus d'un !

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Le Prince Cruel nous plonge au coeur d'un monde aussi merveilleux que terrifiant, où le fruit le plus délicieux peut s'avérer être le poison le plus mortel... Les arbres scintillent d'or, l'air est pur, les rivières s'écoulent dans une mélodie enchanteresse. Mais le royaume de Terrafae est peuplé de toutes les créatures les plus étranges et dangereuses, abritant sirènes, gobelins, lutins et surtout les célèbres faes, connus pour leur beauté presque irréelle et pour leur cruauté. Pas facile pour un humain de s'intégrer pour survivre dans cet univers de féerie horrifique. Néanmoins, ce premier tome de la trilogie du Peuple de l'Air offre aux lecteurs un dépaysement merveilleux vers les confins de la magie et de l'imaginaire !
J'ai souvent été choquée par la cruauté de certains personnages, et notamment par Cardan, notre fameux prince cruel. J'avoue que je le pensais moins perfide et brutal, mais bon tout est dit dans le titre ahah xD. Vous l'aurez compris, le déclic ne s'est pas fait facilement entre lui et moi. Au début de l'histoire, je ne comprenais pas pourquoi il était aussi apprécié des lecteurs quand je le trouvais méprisant et égoïste. Cependant, j'en suis venue à le supporter, à l'apprécier, à l'adorer ! Par sa qualité d'humaine, Jude doit supporter toute la méchanceté et les coups bas pour survivre. C'est une jeune femme extrêmement forte qui ne se laisse ni influencer, ni marcher sur les pieds. J'ai adoré son impulsivité et son tempérament de feu !
Quant à l'intrigue, elle est à couper le souffle ! Complots, trahisons, massacres, suspicions; nous plongeons dans une histoire à la Game of Thrones dans laquelle (Suite...)

Une mine d'informations si vous avez à étudier le roman, sa composition et son histoire ! Je l'ai lu dans le cadre de mes études, et je m'en ressert presque chaque fois que je dois commenter le roman ! Je vous conseille même de le lire avec un surligneur en main, et de mémoriser certaines citations qui pourront vous être bien utiles !

Un dernier tome toujours aussi agréable à lire, mais il n'est clairement pas l'un de mes préférés. J'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de facilités, mais j'ai tout de même hâte de lire la suite ! Cette saga est toujours une vraie bouffée d'air frais, avec des personnages attachants et courageux !

Commencé il y a une demi-heure et terminé à l'instant. Une lecture sympa qui nous replonge dans l'univers merveilleux du Prince Cruel, et qui nous révèle les secrets de Taryn. Cependant, ça ne m'a pas aidée à l'aimer : Taryn est encore plus détestable.

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King of Scars se sépare en trois intrigues bien distinctes que j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre. Dans la première, nous suivons Nikolai et Zoya, partis pour une quête totalement inattendue au sein du Shadow Fold. Cette partie de l'histoire est clairement celle que j'ai préféré. En plus du voile de mystère qui plane autour de cette aventure, j'ai adoré retrouver Nikolai et redécouvrir Zoya !
Nikolai est un personnage que j'aime énormément. Alors qu'il apparaît comme enjoué et très sûr de lui dans Grisha, King of Scars nous présente un aspect plus sombre, mais aussi plus réfléchi de sa personnalité. Génie talentueux, stratège, charmeur, séduisant, drôle, mais également angoissé, responsable et torturé, Nikolai est un personnage aux multiples facettes extrêmement complexe mais au cœur grand comme ça. ❤️
Quant à Zoya, et bien quelle surprise ! Elle est l'incarnation vivante de son pouvoir : aussi puissante que la foudre, aussi glaciale que le vent; elle couve au fond d'elle-même colère et chagrin qui, comme l'orage, finissent par exploser à force d'être retenus. Son évolution au cours de l'histoire est des plus impressionnantes !
La seconde intrigue se porte quant à elle sur Nina. J'ai tout d'abord été très heureuse de la retrouver, mais j'ai assez vite déchanté... L'aventure que l'on vit à ses côtés est très intrigante, mais lente. Je ne sais pas comment vous décrire ce que j'ai ressenti avec précision, mais je m'ennuyais un peu. (...)
King of Scars nous plonge au cœur des mythes du Grishaverse, nous en dévoilant davantage sur l'histoire des Saints et sur l'origine des croyances ravkanes. J'ai été fascinée par cet aspect mystique du récit, et j'espère bien (Suite...)

Ce premier tome de King of Scars est un véritable coup de cœur et vu sa fin explosive, je ne vais pas tarder à me précipiter sur la suite ! ❤️❤️

Une suite toute aussi douce que le premier tome, peut-être même encore meilleure ! Jamais je ne me lasserai de la relation entre Nick et Charlie, ils ont su m'attendrir et me faire sourire <3
Si le premier tome se concentrait principalement sur Charlie, cette suite est davantage focalisée sur Nick. Ses sentiments sont parfaitement retranscrits, tout comme la découverte de lui-même. Heartstopper est une saga qui me touche vraiment beaucoup, et il me tarde de lire le prochain tome !

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La Maison Chapelier est un roman pétillant qui nous entraîne dans une aventure délicieusement loufoque ! Grâce à notre petite héroïne qui nous guide à travers les ateliers de sa famille, nous découvrons un univers scintillant et poétique, empli de magie ! Tamzin Merchant a eu une idée magnifique et des plus originales en inventant ces artisans magiques ! Le récit est sublimé par les illustrations de Paola Escobar qui, en plus d’avoir réalisé la superbe couverture du livre, a su mettre en valeur toute la fantaisie de l’univers ! Et le plus merveilleux dans cela, c’est que son contenu est tout aussi étonnant, tout aussi enchanteur ! Les personnages que nous y rencontrons sont très attachants, et surtout d’un optimiste rafraîchissant ! Notre jeune Cordélia est pleine d’énergie et d’enthousiasme, quel bonheur de la suivre ! Et je n’oublie pas Lulu et Sam, ses deux amis, dont les différentes réactions m’ont plus qu’attendrie. Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant ri en lisant !La plume de l’autrice est tout aussi colorée que son univers. Le vocabulaire qu’elle emploie est vraiment riche et parfois assez inhabituel pour un livre jeunesse, mais c’est ce qui ajoute ce petit côté délirant et hors du temps du texte. Il faut applaudir le travail de Marie Leymarie pour la qualité de sa traduction !Des personnages lumineux, des aventures rocambolesques, une atmosphère pétillante ; l’immer(Suite...)

La Maison Chapelier est un roman jeunesse surprenant, scintillant de magie et d’un brin de folie ! Nul doute qu’il aurait été un de mes livres préférés si je l’avais lu plus jeune, entre neuf ou douze ans ! 🌟

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Si vous cherchez une histoire douce et lumineuse, Heartstopper est la lecture qu'il vous faut ! Romantique et délicat, ce roman graphique enveloppe le lecteur dans une petite bulle légère et pleine de réconfort.

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On ne va pas se la cacher, l'histoire n'a rien de révolutionnaire. Il s'agit d'une simple romance entre deux garçons tout à fait ordinaires. Mais Alice Oseman parvient à nous happer dans son univers grâce à ses superbes illustrations et à la justesse de ses mots. Elle parvient à transmettre la sincérité de leurs émotions, et j'ai ressenti chacune d'entre elles, j'ai vibré avec les personnages, je me suis surprise à espérer le meilleur pour eux. Je me suis beaucoup attachée à nos deux amoureux : Nick m'a attendrie par sa bienveillance, et Charlie m'a véritablement touchée par sa grande sensibilité. J'ai adoré suivre l'évolution de leur relation, j'avais un grand sourire aux lèvres tout le long de ma lecture !

Le style graphique est simple et doux, il met parfaitement en valeur les sentiments. Les petites marques de rougeur sur les joues sont adorables, et j'ai totalement craqué pour le chien de Nick ahah xD

J'ai lu ce livre en VO et pourtant, je dois bien l'avouer, mon anglais est claqué au sol x) C'est donc avec une certaine appréhension que je l'ai commencé, car je craignais que la frontière de la langue ma fasse passer à côté de ma lecture. Mais au final, le niveau est très accessible, et les illustrations facilitent beaucoup la compréhension ! Si vous recherchez un livre pour commencer à lire en VO et que votre anglais est (très) mauvais, Heartstopper est le roman idéal !


Heartstopper a été un véritable coup de coeur, une lecture moelleuse dans laquelle je me suis entie vraiment bien. C'est un roman doudou, à lire, relire, rerelire sans jamais se lasser !

Esther Andersen, c’est une plongée au cœur d’un été fait de balades en vélo, de lectures sous un arbre, de nouilles au beurre et de souvenirs. Mais un été différent des autres, un été marqué par une rencontre bouleversante pour notre jeune héros, qui va alors découvrir une nouvelle sensation qui le dépasse.

Esther Andersen est un magnifique album aussi bien doux que poétique. Nous y retrouvons toute l’innocence de l’enfance, avec le regard, les pensées et le cœur d’un enfant. Les coins de mes lèvres se sont étirés davantage à chaque page, venant dessiner un sourire amusé et attendri sur mon visage.

L’écriture de Timothée de Fombelle est délicate, simple et juste. Il est sans conteste mon auteur préféré pour sa plume sincère et poétique, ses récits enchanteurs et ses personnages vivants et sensibles. Jusqu’à maintenant, je n’avais lu que ses romans, et c’est donc avec Esther Andersen que je découvre son talent d’auteur pour albums jeunesse. Même ayant l’habitude de son style d’écriture, j’ai une fois de plus été frappée par la justesse de ses mots. Timothée de Fombelle a ce don de saisir toutes les nuances et l’essence des termes qu’il écrit, de retranscrire toutes leurs saveurs. J’ai lu l’entièreté de l’album en chuchotant les phrases, comme ça, juste pour le plaisir de prononcer chaque son, chaque lettre. Je vous conseille de faire de même durant votre lecture, pour ressentir tous les sentiments de notre petit héros, pour faire vibrer ses pensées à l’unisson avec les vôtres. En une seule phrase, l’auteur parvient à nous faire ressentir une palette d’émotions colorées que l’on retrouve dans les nuances pastel des illustrations de Irène Bonacina. Son trait est d’ailleurs parfait, totalement complémentaire avec l’écriture de Timothée de Fombelle. Les différentes nuances de l’aquarelle interprètent avec beaucoup de sensibilité et de douceur les phrases du texte.


Esther Andersen est un album apaisant qui, en l’espace de quelques pages, nous immerge dans une bulle incroyablement douce, dans laquelle flotte l’odeur légèrement piquante de la mer et la brise caressante du vent.

Une très belle surprise ! Pour une écriture du XVIIIème siècle, le texte est étonnamment simple à lire et à comprendre, et les lettres s'enchaînent sans difficultés. Les phrases sont souvent piquantes et pleines de cynisme, et les personnages sans aucune morale; c'est un véritable plaisir de lecture !
Un classique loin d'être barbant, quoique très malsain (mais c'est ce qui fait toute son originalité).

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🗝️~ The Curse a été une très bonne lecture, malgré quelques incohérences et facilités scénaristiques. L'auteure nous propose une intrigue politique faite de complots, de coups bas et de vengeances sur fond de romance dans un univers inventé de toutes pièces. Sachant qu'il s'agit également d'une histoire d'amour, sentez-vous venir la fameuse idylle entre deux personnages des camps opposés ? Et bien vous y êtes, The Curse est une sorte de Roméo & Juliette imaginaire.
L'univers est assez riche. L'auteure l'a doté d'un véritable passé, fait de guerres et de conquêtes, ce qui le rend d'autant plus réaliste. Autant se le dire, pendant la première moitié du roman, il ne se passe presque rien. Tout se déroule dans un même lieu, avec les mêmes personnages. Ca avance lentement, très lentement. Beaucoup de longueurs, peu d'actions ou de révélations marquantes. Et pourtant, cela ne m'a pas dérangée dans ma lecture. Je remarquais bien les longueurs, mais elles ne me dérangeaient pas plus que ça. J'avais juste envie de continuer à suivre Kestrel, de ressentir ses émotions. Car le plus gros point fort du livre, se sont bien les sentiments de l'héroïne.Kestrel est vraiment attachante, très humaine. Fine stratège, elle cache au fond d'elle-même une très grande sensibilité. J'avoue l'avoir beaucoup aimée, et m'être identifiée à elle pour son amour des arts et de la musique.Néanmoins, le contact a moins pris avec Arin, le second personnage de l'histoire, qui m'a beaucoup moins convaincue. Son comportement incohérent avec la société mise en place par l'auteure ébranle tout le réalisme de l'histoire et de l'univers. Ce comportement porte malheureusement atteinte à la crédibilité de la relation maître/esclave entre Kestrel et Arin.Néanmoins, j'ai beaucoup aimé la mise en place de la romance. Plutôt lente, elle prend tout son temps pour s'installer. Elle est douce et mignonne, bien qu'exaspérante par moment (mais quelle romance ne l'est pas ? ^^) Le dernier (Suite...)

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Amal, un jeune américain noir, est condamné à tort pour un crime qu’il n’a pas commis. A travers ses mots, à travers ses poèmes, il nous relate le quotidien de sa vie de prisonnier, nous fait part des violences physiques, mais surtout psychologiques qu’il subit. Du manque de liberté. De l’injustice. Du racisme. Malgré ce qu’il endure, Amal parviendra à dépasser la souffrance grâce au pouvoir de l’art et des mots.



Avez-vous déjà lu des histoires en vers libres ? Pour ma part, c’était ma première fois, car je n’ai jamais été une grande amatrice de poésie. Je me suis donc lancée dans Mes Coups seront mes mots avec une légère réticence, mais quelle belle surprise de lui avoir laissé sa chance !

Mes Coups seront mes mots est un roman fort en émotions, mais également par les valeurs qu’il transmet. Ce récit m’a profondément touchée, c’est une lecture dont on ne ressort pas indemne.



J’ai d’abord eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, le temps de m’habituer à la forme en vers libres du récit. Cependant, très vite, je me suis laissée entraîner par le rythme des phrases et de la ponctuation. Si la narration poétique apparaît dans un premier temps comme laborieuse, elle se révèle au final comme essentielle à la portée du texte. Comme l’indique le titre, chaque mot agit comme un coup, comme une révolte qu’Amal dirige contre l’injustice. Le résultat ? Un roman puissant et percutant; j’ai senti chaque poème vibrer en moi.

D’autre part, ce roman est une véritable Ode à l’art, la poésie comme la peinture. L’art est le seul moyen pour Amal de survivre à son incarcération. La façon dont il en parle, dont il l’utilise m’a profondément touchée.



Mes Coups seront mes mots est un récit puissant, vibrant de liberté et de beauté artistique

Je n'ai pas pour habitude d'abandonner une lecture. En général je m'efforce de terminer ce que j'ai commencé, mais là je n'ai vraiment pas pu...
Mis à part l'écriture qui passe pour sa simplicité, je n'ai accroché ni à l'histoire, ni aux personnages. Tout est profondément cliché et sans profondeur, superficiel. Les deux personnages principaux m'ont exaspéré dès le premier chapitre. Nous avons : la jeune femme forte et badasse, mais très sensible et sincèrement insupportable; le pirate "Bad boy" avec un fameux "background", toujours à sortir des blagues salaces mais qui en fait est super gentil... Bon. Il y a mieux. Plus cliché, ça n'existe pas. Et la relation entre eux est surréaliste ; à peine se sont-ils rencontrés que Wahou leur vie s'en trouve chamboulée, ils ne sont plus la même personne. Attention voici une petite citation de notre fameux pirate à l'égard de l'héroïne qui intervient dans les premiers chapitres : "Par l'Océan, qu'elle est belle"... Excusez-moi, c'est à la fois pompeux, exaspérant et presque grossier. Il vient tout juste de la rencontrer ! Leur relation est beaucoup trop niaise.
Ensuite, toutes les réactions des autres personnages, et même l'intrigue qui se met en place sont incohérents. Pour des pirates sanguinaires, les membres de l'équipage sont aussi doux que des agneaux. Désolée, mais ça détruit tout le réalisme de l'histoire.
Et enfin, si vous vous entendiez à de l'aventure, sachez que celle-ci n'est qu'en second plan, tout tourne autour de la relation niaise et exaspérante entre Callie et Blake.
Vous l'aurez compris, La Carte des Confins est une immense déception pour moi, et j'avoue être sceptique face à tous les éloges qui lui sont adressés.

Bon bon bon... Que dire...
J'ai abandonné, et ce n'est pourtant pas dans mes habitudes... Autant le dire, j'ai détesté, ce livre est une catastrophe de mon côté.
Je ne connaissais pas Jennifer Niven, et ce n'est pas ce roman qui va me faire découvrir ses autres livres. Déjà, j'ai eu énormément de mal à accrocher à son style d'écriture. Il ne m'a pas touchée, ne m'a rien fait ressentir. L'histoire ne me plaisait pas plus que ça, mais c'est surtout l'héroïne qui m'a exaspérée. Je ne pouvais pas me l'encadrer, et elle est obsédée par le sexe. En temps normal, les scènes érotiques et sexuelles ne me dérangent pas quand elles sont bien écrites, mais là c'était vraiment lourd. En cinquante pages, il n'y en avait pas une qui n'évoquait pas le sexe, c'en était exaspérant. Trop. Surtout que l'histoire le présente d'une manière assez sale, voire vulgaire. Quand elle ne parle pas de sexe, l'héroïne pense au sexe. je me répète, mais c'était vraiment très lourd.
Je n'ai pas beaucoup avancé dans le roman avant de l'abandonner, mais j'ai quand même lu quelques chapitres du milieu et de la fin pour savoir si ça allait s'améliorer au cours du récit, mais ce n'était pas le cas.

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"Les Enfants des Otori" se situe dans la continuité de la célèbre saga "Le Clan des Otori" écrite par Lian Hearn, mais peut se lire indépendamment, comme je l’ai moi-même fait.

Lian Hearn nous offre un dépaysement fabuleux au cœur d’un Japon féodal d’une incroyable beauté. Le récit est constitué de nombreuses descriptions merveilleuses qui nous font voyager au sein d’un univers riche et complexe qu’il est fascinant de découvrir. Ajoutez-y une touche fantastique et une plume onirique et détaillée, vous voici transportés entre les pages des "Enfants de Otori" !

Ce premier volet des aventures du jeune Sunaomi nous propose un très beau récit dans lequel se mélangent avec subtilité magie, passions, complots, violence, amitié et dévouement; soit les thèmes des plus grands mythes japonais !
L’autrice détaille chaque aspect, chaque sensation, ce qui crée une immersion totale dans l’univers ! Son écriture est douce et riche, ses tournures de phrases magiques. Elle a su reprendre les codes du mythe pour faire de son histoire une véritable légende nippone !

Néanmoins, la plus grande richesse de ce roman est ses personnages. Au début, n’ayant pas lu "Le Clan des Otori", j’étais complètement perdue ! Je me suis aperçue de la véritable profondeur des personnages, tous plus complexes les uns que les autres. Tous possèdent une véritable personnalité, une histoire personnelle souvent tragique, et un comportement singulier. Cependant, une chose les relie : ils sont tous profondément brisés, la vie n’a épargné (Suite...)

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Cette magnifique Bande-Dessinée introduit l’histoire de Takeo, un jeune garçon aux pouvoirs insoupçonnés qui, après avoir échappé au massacre de son peuple, fait une rencontre qui pourrait bien bousculer le cours de sa vie. Nous découvrons également Kaede, otage soumise à un seigneur cruel, pour qui il ne semble plus n’y avoir aucun espoir. Nos deux héros ne se connaissent pas, mais la vie pourrait bien unir leur destin.

Ce premier tome du Clan des Otori nous propose une immersion au cœur d’un Japon féodal déchiré par les intrigues politiques et les guerres de clans. C’est un récit aussi bien violent que délicat, sombre que poétique, enflammé que nuancé. Bien qu’il s’agisse d’un tome introducteur, il promet une suite mouvementée qu’il me tarde de découvrir !

J’ai adoré chevaucher à travers ce Japon médiéval, j’ai été émerveillée par la beauté des paysages et par l’atmosphère douce et sauvage qui s’en dégage.

L’histoire est enveloppée d’une aura de mystères dans laquelle nous nous faufilons sans savoir quelles surprises nous y attendent. Sans m’en rendre compte, je me suis complètement immergée dans l’aventure : j’ai couru aux côtés de Takeo, je l’ai soutenu dans son apprentissage, j’ai crains pour la vie de Kaede qui m’a beaucoup touchée. Quand la dernière page est arrivée, je ne m’étais même pas aperçue que c’était déjà la fin !
Cette Bande-Dessinée, c’est 90 pages de complots, d’alliances, de trahisons et de vengeances, mais c’est aussi de la magie, de l’émotion pure et une poésie fine et délicate.

Je me suis beaucoup attachée aux deux personnages principaux, dont la vie est brutalement bousculée. Ils ne nous dévoilent pas encore toute la complexité de leur personnalité, et il me semble qu’il nous en reste encore bien des aspects à découvrir.
J’ai exploré la vie féodale japonaise avec curiosité et intérêt. Cette présentation du Japon du Moyen Age est un des véritables points positifs de l’histoire ! De plus, j’ai hâte d’en apprendre davantage sur la multiplicité des cultures qui nous sont présentées !

Les illustrations sont magnifiques, chaque case est un plaisir pour les yeux ! Au début, j’ai été déstabilisée, car le coup de crayon est vif et prononcé. Cependant, il est parfaitement adapté au récit grâce à son encrage et à ses couleurs vives. Il représente avec finesse la violence et la beauté de l’histoire.


J’ai été pleinement conquise par cette superbe Bande-Dessinée qui m’a donné envie de lire les romans. Que vous soyez passionnés par la culture nippone ou non, elle saura vous entraîner avec elle au cœur d’une aventure qui réserve encore bien des surprises !

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Je suis toujours aussi émerveillée par l'obscurité et la profondeur de l'univers, par sa richesse et son originalité. Ravka est un pays magnifique et énigmatique, foisonnant de secrets et de mystères. Même après avoir terminé les trois tomes, il nous en reste tant à découvrir !
Alors pourquoi n'est-ce pas un coup de cœur ? Et bien, parce qu'il me manquait cette petite étincelle qui fait toute la différence, ce petit déclic qui nous happe dans le roman et nous empêche d'en ressortir sans en être totalement chamboulé. J'ai vraiment aimé ma lecture, mais je ne parvenais pas à me plonger pleinement dans l'histoire, surtout dans le second tome. Cette trilogie est superbe, mais le rythme du récit est très inégal.
Malgré cela, j'ai apprécié l'histoire, bien qu'elle n'ai rien de très original. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est son aspect sombre et dur. J'ai ressenti un panel d'émotions très vaste : anxiété, désespoir, incrédulité, espoir, et parfois même quelques moments de rire ! Une chose est sûre, il est difficile de rester insensible face à ce qu'endurent les personnages.
Je sais qu'Alina n'est pas beaucoup appréciée des lecteurs, mais elle m'a touchée par sa sensibilité.Quant à Nikolai, quand est-ce qu'on se marie ?! Ahah, je vous jure que je ne suis pas folle (enfin peut-être un peu), mais ce personnage est incroyable. Personne ne m'avait prévenue, et maintenant j'en suis rendue à pleurer dans un coin parce qu'il n'est pas réel xD.
Enfin le Darkling. Est-il nécessaire de vous dire (Suite...)

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Je suis toujours aussi émerveillée par l'obscurité et la profondeur de l'univers, par sa richesse et son originalité. Ravka est un pays magnifique et énigmatique, foisonnant de secrets et de mystères. Même après avoir terminé les trois tomes, il nous en reste tant à découvrir !
Alors pourquoi n'est-ce pas un coup de cœur ? Et bien, parce qu'il me manquait cette petite étincelle qui fait toute la différence, ce petit déclic qui nous happe dans le roman et nous empêche d'en ressortir sans en être totalement chamboulé. J'ai vraiment aimé ma lecture, mais je ne parvenais pas à me plonger pleinement dans l'histoire, surtout dans le second tome. Cette trilogie est superbe, mais le rythme du récit est très inégal.
Malgré cela, j'ai apprécié l'histoire, bien qu'elle n'ai rien de très original. Ce qui m'a particulièrement plu, c'est son aspect sombre et dur. J'ai ressenti un panel d'émotions très vaste : anxiété, désespoir, incrédulité, espoir, et parfois même quelques moments de rire ! Une chose est sûre, il est difficile de rester insensible face à ce qu'endurent les personnages.
Je sais qu'Alina n'est pas beaucoup appréciée des lecteurs, mais elle m'a touchée par sa sensibilité.Quant à Nikolai, quand est-ce qu'on se marie ?! Ahah, je vous jure que je ne suis pas folle (enfin peut-être un peu), mais ce personnage est incroyable. Personne ne m'avait prévenue, et maintenant j'en suis rendue à pleurer dans un coin parce qu'il n'est pas réel xD.
Enfin le Darkling. Est-il nécessaire de vous dire (Suite...)

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~ Pas de sanglots
Pas de tombeaux ~

Bienvenue à Ketterdam, cité humide et sale ravagée par les guerres de gangs, où vous allez faire la connaissance des Six of Crows ! Merci Leigh Bardugo pour cette fabuleuse histoire qui m'a totalement ébranlée <3

~ Vous est-il déjà arrivé de vous immerger dans un roman au point d'en oublier votre propre réalité ? De vivre les événements de plein fouet, de vous attacher avec une telle force à des personnages qu'à côté, votre existence vous paraît terriblement fade ? Voilà maintenant plusieurs jours que je l'ai terminée, et je me sens toujours aussi vide, comme si une part de moi était restée coincée entre les pages, dans les ruelles sombres de Ketterdam, et que jamais je ne pourrai la récupérer.

Mon esprit accompagne toujours Kaz Brekker et sa bande de malfrats, je cours encore maintenant aux côtés des Crows sur les toits de la cité corrompue.

Six of Crows m'a transportée dans son univers si particulier. Je me suis attachée à ces ruelles étroites bordées d'immondices, à ces vieux bâtiments qui craquent sous l'humidité; j'ai aimé me perdre dans ce dédale sale et froid, craindre pour ma vie à chaque coin de rue; j'ai pris plaisir à me déguiser pour escroquer les pigeons du West Stave. En bref, je suis devenue une véritable ordure du Barrel, le quartier le plus mal famé de la ville.

Il nous est impossible de savoir vers quels nouveaux événements trépidants nous mène l'histoire, les personnages ont toujours un coup d'avance sur le lecteur, ils nous prennent constamment au dépourvu !

Venons-en au point fort de cette duologie, à ce qui la démarque des autres, la raison pour laquelle je l'aime tant. Ses personnages. Je les aime d'amour. Tous. Sans exception.

Assassins. Espions. Escrocs. Menteurs. Manipulateurs. Détruits par la vie.

Incroyables. Géniaux. Ingénieux. Originaux. Fantastiques. Parfaits.

Ce sont vraiment des personnages atypiques, très éloignés des stéréotypes. Ils sont très intéressants, profonds et complexes, véritablement fascinants à (Suite... sur le blog)

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Pas de tombeaux ~

Bienvenue à Ketterdam, cité humide et sale ravagée par les guerres de gangs, où vous allez faire la connaissance des Six of Crows ! Merci Leigh Bardugo pour cette fabuleuse histoire qui m'a totalement ébranlée <3

~ Vous est-il déjà arrivé de vous immerger dans un roman au point d'en oublier votre propre réalité ? De vivre les événements de plein fouet, de vous attacher avec une telle force à des personnages qu'à côté, votre existence vous paraît terriblement fade ? Voilà maintenant plusieurs jours que je l'ai terminée, et je me sens toujours aussi vide, comme si une part de moi était restée coincée entre les pages, dans les ruelles sombres de Ketterdam, et que jamais je ne pourrai la récupérer.
Mon esprit accompagne toujours Kaz Brekker et sa bande de malfrats, je cours encore maintenant aux côtés des Crows sur les toits de la cité corrompue.
Six of Crows m'a transportée dans son univers si particulier. Je me suis attachée à ces ruelles étroites bordées d'immondices, à ces vieux bâtiments qui craquent sous l'humidité; j'ai aimé me perdre dans ce dédale sale et froid, craindre pour ma vie à chaque coin de rue; j'ai pris plaisir à me déguiser pour escroquer les pigeons du West Stave. En bref, je suis devenue une véritable ordure du Barrel, le quartier le plus mal famé de la ville.
Il nous est impossible de savoir vers quels nouveaux événements trépidants nous mène l'histoire, les personnages ont toujours un coup d'avance sur le lecteur, ils nous prennent constamment au dépourvu !
Venons-en au point fort de cette duologie, à ce qui la démarque des autres, la raison pour laquelle je l'aime tant. Ses personnages. Je les aime d'amour. Tous. Sans exception.
Assassins. Espions. Escrocs. Menteurs. Manipulateurs. Détruits par la vie.
Incroyables. Géniaux. Ingénieux. Originaux. Fantastiques. Parfaits.
Ce sont vraiment des personnages atypiques, très éloignés des stéréotypes. Ils sont très intéressants, profonds et complexes, véritablement fascinants à (Suite... sur le blog)

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La Sélection, c'est une mise en scène mièvre et écœurante d'un jeu de séduction de profond mauvais goût, dans lequel la femme tient le rôle fantastique d'un objet, d'une décoration avec qui le prince peut s'amuser selon son envie, et surtout en faire tout ce qu'il désire. En soit, La Sélection est une saga dégradante pour la gente féminine, mais également pour la littérature jeunesse. Elle est l'exemple même de la raison pour laquelle cette magnifique littérature est souvent si mal considérée. La Sélection, c'est un amas de clichés ahurissants accompagnés d'une intrigue vide et incohérente.
Le principal aspect positif est l'addiction que procure le livre. Sa lecture est très facile et heureusement, car sans cela, je n'aurais jamais continué cette saga.

Je n'ai jamais lu un univers si peu développé ! Nous voyons très clairement que comme tout le reste, il n'est qu'un simple décor en carton pâte. Il n'y a juste rien, c'en est presque désolant.

Quant à l'histoire, et bien elle est à l'image de tout le reste : plate et vide. Il ne se passe réellement rien. Les rares actions se résolvent bien trop facilement et rapidement. Tout tourne autour du triangle amoureux, mais celui-ci est d'une niaiserie ! L'intrigue amoureuse est lourde et exaspérante, presque suffocante; j'ai levé les yeux au ciel un nombre incalculable de fois. Le "Je t'aime moi non plus", ça va bien deux minutes, mais ça devient vite pesant (surtout sur trois tomes...).
Le roman nous propose des personnages stéréotypés au plus haut niveau, sans aucun relief et d'une stupidité assez choquante. Le Prince est aussi lisse et transparent qu'une vitre. Un corps sans âme, un pantin sans (Suite...)

Pour conclure, La Sélection est une saga au succès international que je ne comprends pas. Avec du recul, je me suis aperçue de sa superficialité et de son immaturité. N'hésitez pas à lire la chronique complète sur le blog pour plus de précisions sur mon avis

Chronique plus détaillée sur mon blog La Page Inattendue
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Ce premier tome met en place l'univers d'une saga qui s'annonce fascinante !

Dès le premier chapitre, nous ressentons l'atmosphère lourde que dégage cet univers, cette peur que chacun des personnages tente de refouler en lui. C'en est presque suffocant, mais nous sommes d'emblée aux côtés de l'héroïne et, sans encore connaître l'origine de ce malaise ambiant, nous sommes certains que l'histoire va nous révéler de belles surprises ! Suspens haletant, inquiétude, doutes, suspicions, consternations; ce roman ne nous laisse pas en repos avant le dernier mot !

Par ailleurs, les références slaves et le vocabulaire russe m'ont beaucoup plu, ils apportaient une richesse supplémentaire au livre ! Bon, j'avoue que j'ai mis pas mal de temps à m'y accoutumer.

Chronique entière sur mon blog La Page Inattendue !
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Ce troisième tome des Chroniques Lunaires est mon préféré, c'est un régal de lecture !

Après Cendrillon et Le Petit Chaperon Rouge, nous embarquons à bord du satellite de Cress qui incarne Raiponce ! Marissa Meyer parvient à nous faire redécouvrir ces récits que l'on connaît tous sous un jour nouveau et moderne, au point où l'on ne se sent même plus compte qu'il s'agit d'une réécriture.
L'univers futuriste est réaliste et parfaitement développé, c'est comme si l'on y était vraiment !
Malgré quelques longueurs au milieu du récit, l'intrigue est pleine de suspense et est addictive au possible. L'un des gros points fort du roman est la multiplicité de ses points de vue. D'autant plus que les personnages sont incroyables, je les aime tous ! Il n'y en a pas un moins bon qu'un autre ! J'ai néanmoins un coup de cœur pour Cress et Thorne, le principal duo de ce tome.
La plume de Marissa Meyer est irréprochable. Fluide, riche, addictive et agréable, nous nous laissons guider par la magie de ses mots.
Ce que j'apprécie particulièrement dans cette saga, c'est la grande diversité de ses personnages: Cinder peut paraître froide, Scarlet a (Suite...)

Chronique entière sur mon blog La Page Inattendue ^^
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Ce premier tome est un vrai coup de coeur ! Le rythme du récit est parfaitement dosé entre actions, descriptions et narration, il n'y a pas un seul temps mort ! C'est haletant au possible, les surprises s'enchaînent sur les révélations, et on ne voit jamais rien venir !
L'univers de l'auteur est dingue, très riche et très recherché. Il nous présente un monde parfait, l'avenir même auquel tout Homme aspire. Mais cette perfection apporte avec elle de nombreux questionnements: Quel est le sens de l'humanité si celle-ci n'a plus rien à améliorer, si elle n'a plus d'objectif ? Une fois cet idéal atteint, l'Homme n'a t-il pas une tendance naturelle à régresser, sans même s'en apercevoir ? Peut-on encore parler d'humanité dans l'immortalité ? Oui, ce roman , sous son intrigue et son univers utopique, pose des réflexions philosophiques profondes et tellement intéressantes !
Le thème principal étant la mort, certaines scènes sont gores, avec des massacres de masse ou d'autres genres de tueries. Mais rassurez-vous, l'auteur ne part jamais trop loin dans les détails, et ne fait surtout pas l'éloge de ces massacres ! La Faucheuse est un roman (Suite...)