Je ne peux aller au-delà de la page 126.
Avec la quatrième de couverture, j'ai fait un mauvais choix.
Pourtant j'ai aimé les précédents ouvrages de cet auteur.
Tout change, mes envies de lectures, aussi.

C'est triste et pas vraiment la lecture que j'attendais.

Presque 200 pages lues et rien ne se passe vraiment. Ennuyeux. Il faut être tenace pour poursuivre.

Lu jusqu'à la page 83, j'en peux plus, très ennuyeux.

J'abandonne ma lecture, à la page 306.
C'est ennuyeux.

J'arrête ma lecture à la page 42.
Je viens de lire deux précédentes histoires pas terribles aux éditions Gallimard d'autres auteurs. Voir profil si nécessaire. Là j'ai ma dose pour cette année.
De plus une multitude de choix m'appelle dans ma PAL.

D'inégale intérêt, d'où une note moyenne.
Il n'y a franchement que le titre.
Passez votre chemin.

Livre acheté et lu parce les thèmes n'étaient pas exactement signalés sinon j'aurais fait l'impasse.
Je signale que je n'ai pas lu le premier tome ni l'envie de le lire.
3 ème livres lus de cet auteur et 2 ème déception.

Page 96 je cesse ma lecture. Pas envie de poursuivre ce premier roman de cet auteur. J'ai bien d'autres livres qui m'attendent dans ma PAL pour persévérer sur celui-ci qui ne me passionne pas .

Ce qui me dérange dans ce livre ce sont les prénoms des hommes, l'écriture ou alors la traduction .

Un peu trop confus manque de chronologie dans les premiers chapitres, dommage.

Très déçue par ce livre, j'ai préféré les précédentes séries.

J'ai eu beaucoup de difficultés de compréhension du texte mais c'est une façon de nous immerger dans le monde des mal entendant.
Je recommande pas, bien trop pointu sur son métier d'avocat.

Pour celles ou ceux qui souffrent d'insomnie, un remède. Quel ennui et des redites. Le livre me tombe des mains.
Je suis déçue tellement enthousiasmée par les précédents ouvrages de l'auteur.
Je déconseille fortement ce livre.

Les  Mille visages de la nuit constitue un tableau complexe fait de portraits de femmes issues de trois générations différentes: Mayamma, Sita et Devi.
C’est avec la structure du roman que j’ai eu des soucis de compréhension : on passe d’un récit centré sur l’héroïne, Devi, – interrompu assez souvent par le récit des contes de son enfance -, au récit de la vie de sa mère Sita, et enfin à celui de la servante de son mari, Mayamma.
Ce roman ne vaut que par l'extrait cité, trouvé dans la seconde partie. J'ai failli arrêter à la troisième partie .

Décidément deuxième livre lu de cet auteur, je suis déçue. Pas du tout le style d'histoire que j'apprécie.

Excellent jusqu'au chapitre jour 5 ensuite plus envie de poursuivre.

J'ai pas trop apprécié l'alternance rapport avec son enfance ou avec sa mère et les passages de son tour de France. Un moment, j'ai lâché pour ne lire que le rapport avec sa mère et ensuite lire la course.

Ce livre est un véritable somnifère pour ceux qui souffrent d'insomnie. En édition de poche: 765 pages de quoi soulager quelques nuitée!
Très laborieux d'achever cette lecture.

J'en suis à la page 156 et je peine à lire cette histoire très décousue, juste le moment du dilemme de l'achat dans la boulangerie. J'ai l'impression que le protagoniste pète un câble et est en surchauffe. J'en peux plus, j'abandonne.

Suite de Les Galoches de Julia.

J'ai pas mis aussi longtemps que Duane à lire Proust. Pas de difficultés de compréhension mais pénibilité d'entrée dans cette histoire .

4 jours pour lire 154 pages, je peine et je suis pas encore dans le vif du sujet mais aux abords évidemment avec 571 pages. Je signale que je n'ai pas lu les précédents de la série et pour le moment n'en vois pas l'utilité.
Je suis à la moitié du livre et la situation ne se décante pas.

Ne serait-ce pas les affres de tout créatif mêler sa vie personnelle à sa création. Ainsi que la liberté que prennent les personnages une fois créés n'appartenant plus à l'auteur.
Un peu surprise du thème de ce roman au vu de la quatrième de couverture de l'éditeur Babel, je pensais plutôt au rapport de couple après l'acquisition d'un bien. Agréable et surprenante lecture.

J'ai bien failli ne pas connaître la fin de la romance des deux protagonistes tant ce récit est riche d'un triste moment d'histoire. Oui bien des fois, j'ai voulu abandonner cette lecture. Ce n'est pas le genre de livre auquel j'aspire maintenant.

J'abandonne à la page 235, assez de constance, je m'ennuie. Il y a tant d'autres lectures qui m'attendent.