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Tout est destiné à mourir, murmura-t-il si bas que mon corps vibra. C’est ce qui fait la beauté de chaque chose.
Afficher en entierÀ toutes les lectrices qui s'évadent dans des royaumes imaginaires pour tomber amoureuses du méchant...
Ce livre est pour vous.
Afficher en entier« — Elle sera à moi.
Cette voix résonna à travers la grande salle. Grave, profonde, mesurée. Elle réduisit les derniers chuchotements au silence. »
Afficher en entierUn pied devant l’autre. Des cailloux, de l’herbe, des arbustes. Le soleil, chaud, si chaud, jusqu’au moment de se coucher.
Un pied devant l’autre. Les arbres autour de nous, majestueux, millénaires pour la plupart. Le goût d’un fruit sur ma langue.
Un pied devant l’autre. Le bras de Callan sur mon épaule. L’eau trop rare sur ma langue.
Un pied devant l’autre. L’attention de villageois posée sur nous, entre curiosité et crainte. Leurs chuchotements, l’odeur de leur nourriture si alléchante.
Et puis, un si court repos, allongée à même le sol, serrée entre deux prisonniers aussi désespérés que moi.
Afficher en entierJe n'étais pas une faible petite chose qu'on pouvait piéger et abattre. J'étais la vague qui emporte tout sur son passage, qui détruit des cités entières et ne laisse que ruines et morts.
Afficher en entier« Le Prince de Sang.
Celui qui hantait mes cauchemars et ceux de tous, petits et grands, depuis des siècles. Celui qui avait permis à la Narak de conquérir tant de royaumes.
Le Fae capable de tuer d’une simple pensée. »
Afficher en entierL'espoir. Quel sentiment intense, déstabilisant et inoubliable. À la rois le plus puissant des alliés et le plus redoutable des ennemis.
Afficher en entierJe n'étais pas une faible petite chose qu'on pouvait piéger et abattre. J'étais la vague qui emporte tout sur son passage, qui détruit des cités entières et ne laisse que ruines et morts.
Afficher en entier« - Très bon choix, Princesse. »
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler) Un sourire en coin étira ses lèvres et dévoila quelques dents blanches. Je ne l’avais jamais vu sourire de la sorte et mon cœur manqua un battement. Je raffermis d’instinct ma prise sur le poignard, ouvrant un peu plus la plaie. — Qu’est-ce que tu veux : me tuer… ou me baiser ?
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