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– Elle est avec moi, Giles.

Il prit place à son bureau et me désigna le premier rang, devant lui, pour que je m’asseye tandis que Hackman demandait :

– Vous avez eu des contacts ? Tu es certain qu’elle est bien ce que tu crois ?

– Oui.

– Quel genre de contacts ?

– Normaux, se contenta Reagan.

– Il faut que tu me précises, c’est important.

Il me jeta un regard de biais et se gratta l’arcade avant de contourner son bureau.

– Main contre peau et... hésita-t-il. Un... baiser aussi.

Je sentis le rouge me monter aux joues et me trouvai ridicule. J’étais adulte, il l’était aussi. Je devais assumer ce baiser qui avait hanté beaucoup de mes rêves ces derniers jours.

– Après ton mail l’autre soir, j’ai fait quelques recherches au sujet du rituel auprès de ma tribu et c’est bien ce que vous pensiez. Vous êtes bien…

Il se tut.

– C’est bien le rituel Cherokee auquel vous pensiez.

J’écarquillai les yeux et interrogeai Reagan du regard. En quoi cela pouvait-il nous avançait de savoir ce que nous savions déjà ?

Il me fit signe de patienter.

– Comment le stoppe-t-on ? C’est ça, le plus important ! chuchotai-je.

– Le seul moyen d’arrêter les visions est, commença le professeur Hackman comme si celui-ci m’avait entendue. Est de vous accoupler, Priam.

Je crus m’étouffer.

– Cela dit, poursuivit-il. Il faudrait que je te parle seul à seul.

– D’accord, dit Reagan. Je te rappelle.

Il raccrocha alors que je n’étais toujours pas remise de ce que je venais d’entendre. Je me secouai et même si j’étais déjà assise j’eus comme l’envie de trouver une chaise pour éviter de tomber à la renverse, puis finis par me lever d’un bond.

– Tout ceci est absurde !

Je rajustai la bandoulière de mon sac sur mon épaule et traçai vers la sortie.

– Où allez-vous ?

– Loin ! Loin de vous et de toute cette histoire à dormir debout.

– Nous devrions nous réjouir, nous avons trouvé le remède.

Devant la porte, je l’ouvris, prête à partir, et pivotai.

– Vous plaisantez, là ?

– Non, je ne plaisante pas. Vous avez entendu comme moi ? Nous pouvons…

– Coucher ensemble ! m’interloquai-je, stupéfaite.

Le visage de Callahan se décomposa et je compris rapidement mon erreur en sentant une présence près de moi. Les élèves de son prochain cours étaient là, dans le couloir, à nous regarder et nous écouter. Je venais de me ridiculiser devant tout le monde et je voulus que le sol s’ouvre sous mes pieds pour m’engloutir à jamais, mais au lieu de ça, mes joues chauffèrent et je n’eus pas besoin d’un miroir pour comprendre que je devais être aussi rouge qu’une pivoine.

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