Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 594
Membres
1 013 083

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

“Je me lève pour aller me placer derrière lui et je prends ses épaules dans mes mains. Je les masse dans un mouvement de va-et-vient, le calme du studio nous réconforte tous les deux.

— Promets-moi que tu vas faire quelque chose pour toi, dis-je enfin. Ce ne sera peut-être pas du yoga, mais tu pourrais te faire masser. Par un homme, ajouté-je la gorge serrée. Je pourrais t’avoir un rendez-vous fixe tous les mois. Je sais que tu irais si c’était sur ton agenda.

Riant, il incline la tête et me regarde à travers ses cils épais et sombres.

— Et tu dois garder des barres protéinées dans ton bureau, continué-je. Tu espaces trop tes repas. Je peux demander à Hillary’s House de livrer ton petit-déjeuner…

— Mallory…

Il respire, mais laisse sa phrase en suspens.

— Prends soin de toi, Graham.

Il ne dit rien, mais ce n’est pas nécessaire. Et j’en suis contente, parce que s’il disait quelque chose, je pourrais me mettre à pleurer.”

Afficher en entier

Spoiler(cliquez pour révéler)

“— Je te regarde et je me dis que tu es une fille vraiment bien. Quand je suis avec toi, j’ai juste envie de rester là pour toujours. Quand je ne suis pas avec toi, j’ai envie de l’être.

Les larmes me piquent les yeux parce que je sais qu’il y a autre chose qui s’en vient. Le fameux « mais », qui est sur le bout de sa langue.

— Mais je ne peux pas être avec toi, Mallory.

Il soulève mon menton afin que je le regarde. Son visage est si beau, si tendre, que je ne peux presque plus respirer.

— Depuis, j’ai élaboré un plan pour gérer les choses avant qu’elles ne se dégradent. J’ai toujours un plan B au cas où le plan A échouerait. Je ne suis donc pas dans une situation pour prendre une décision basée sur les émotions.

Il sourit avec douceur.

— Je ne sais pas comment gérer ce qui se passe entre nous, enchaîne-t-il. Il n’y a pas de plan directeur pour ça, et mon expérience du passé me dit d’y mettre fin maintenant. Mais je ne peux pas, murmure-t-il.

Je me perds dans ses mots, tout comme je me perds dans ses yeux. Il y a tant de choses enfouies : la douleur, la déception, l’espoir. Mon cœur est déchiré parce que je ne sais pas quoi faire.

Tout s’embrouille dans ma tête. Je cherche une réponse. J’aimerais rassembler mes idées, mais je suis sans voix.

Il tire sur ses cheveux, la tête enfouie dans ses mains.

— Je déteste me sentir comme ça.

— Non, lui dis-je en prenant son poignet. Tu as été honnête avec moi. Tu n’étais pas obligé de me révéler tout ça, et manifestement ce n’était pas facile à dire.

— Je n’en ai jamais parlé à personne comme ça.

Il prend ma main dans la sienne et la porte à ses lèvres. Il ne l’embrasse pas, mais se contente de la tenir là.

— Mais je voulais que tu saches à qui tu as affaire.

— À qui j’ai affaire ? répété-je en me rapprochant de lui. Tu es un homme qui a eu le cœur brisé. J’ai aussi eu le cœur brisé. Je comprends. Ça fait mal.

Il lâche ma main et m’adresse le plus beau sourire que je n’ai jamais vu de sa part.

— J’espère que tu trouveras l’amour un jour, lâche-t-il. J’espère que tu trouveras un type qui pense à toi comme je pense à toi.

Son sourire s’estompe.

— J’espère qu’il pourra t’offrir ce que tu cherches, conclut-il.

Je détourne le regard, incapable de voir ses traits et de contenir les émotions qui se peignent sur le mien. Le simple fait de savoir qu’il pense à moi comme je pense à lui, mais qu’il ne peut pas, ne veut pas, aller de l’avant, me brise le cœur qui est déjà en mille miettes.

— Je pense que je devrais rentrer chez moi maintenant, dis-je en ressentant un besoin d’espace.

— Je vais chercher ton manteau.

Il prend ma main et m’aide à me relever. Comme je m’écarte, il me prend dans ses bras et me serre contre lui. Son cœur cogne dans sa poitrine et l’odeur de son eau de Cologne enveloppe mes sens. Quand il me lâchera, je sais que les choses ne seront plus tout à fait les mêmes entre nous.

— Tu es prête ?

— Allons-y.”

Afficher en entier

“Alors que je me calle dans mon siège et que je pose mon stylo au centre du carnet, je songe à Mallory. Je devrais réfléchir à sa performance et pas à la sensation que son adorable cul a laissée dans ma main. Je dois penser à la façon dont elle s’intégrera dans le système Landry, pas à la façon dont sa poitrine se pressera contre la mienne. Il serait plus logique de penser à l’apport qu’elle pourra offrir à l’entreprise familiale, et non pas comment elle rendra le bureau tout entier un peu plus lumineux.

Je. Suis. Foutu.

Je bondis sur mes pieds, la chaise roulant vers l’arrière pour faire trembler l’étagère derrière moi, et laisse la frustration que je ressens prendre le dessus.”

Afficher en entier

“Lorsque je tourne le coin et jette un coup d’œil en direction de la réception, j’aperçois une femme pliée en deux. Le sol est jonché d’objets divers. Des pinces à cheveux, des feuilles de papier, une bouteille d’eau et un livre de poche sont récupérés et jetés dans un grand sac à main.

Irrité par cette nouvelle perturbation de ma journée, je m’appuie contre le cadre de la porte. Un million de pensées me traversent l’esprit, la plupart d’entre elles allant dans le sens qu’en tant que PDG de Landry Holdings, je ne devrais pas m’occuper de ce problème. Tandis que mes tempes commencent à m’élancer, je croise les bras sur ma poitrine.

Elle met la dernière feuille de papier dans son sac et se relève. Ses yeux croisent les miens et elle se fige. Je pense que je me fige aussi.

Sa peau est pâle et crémeuse. Sa chevelure châtain foncé qui tombe jusqu’à sa taille encadre son visage avec grâce. Une robe de la même teinte que la mousse en été met en valeur ses bras et sa ligne longue et mince. Une fine ceinture de corde lui serre la taille, sous laquelle je peux m’imaginer glisser les doigts.

— Puis-je vous aider ? demandé-je en me raclant la gorge.

Autrement que d’enlever cette robe ?

— Je ne crois pas, répond-elle, puis elle rougit avec une jolie nuance de rose. Je suis désolée, je ne voulais pas le dire comme ça. Ce que je veux dire, c’est…

Elle devient nerveuse. C’est adorable et sexy à la fois. Je devrais dire quelque chose, répondre, l’aider à s’en sortir, mais non. J’aime beaucoup trop ça.

— Je vais plutôt me taire, conclut-elle.

Elle m’adresse un joli sourire, un sourire qui attire mon attention comme ça ne devrait pas le faire à 8 h 16 du matin. Et tandis qu’elle fait un pas dans ma direction, le bout de sa chaussure s’accroche sur la bouteille d’eau qu’elle n’a pas ramassée, et elle trébuche vers moi.

Avant que je ne sache ce qui se passe, je l’attrape sous une pluie de feuilles mobiles.

— Oups ! lâche-t-elle en atterrissant dans mes bras et un doux parfum floral qui m’enveloppe.

Je devrais la laisser partir. Je devrais me reculer, lui montrer la réception pour obtenir des indications sur l’endroit où elle doit aller, et me retirer dans mon bureau. Peu importe à quel point ses seins sont sexy lorsqu’ils sont pressés contre moi ou la façon dont ses fesses rebondissent tandis que mes doigts se joignent à la chute de ses reins. J’ai des choses à faire aujourd’hui. Des choses importantes. Un tas de choses importantes. C’est juste que je n’arrive à en nommer une seule pour le moment.

De grands yeux presque dorés me regardent. Ils sont clairs comme du cristal. C’est presque comme si je pouvais voir jusqu’au fond de son âme. Ils ont des tons ambrés si beaux et purs que je ne peux en détourner le regard.

La pensée de son corps contre le mien déclenche quelque chose en moi : une réaction charnelle et viscérale qui est guidée par l’instinct plutôt que par l’intellect.

— Est-ce que ça va ? demandé-je en essayant désespérément d’utiliser ma matière grise qui fait ma réputation dans la plupart des cercles sociaux, et non mon membre moins connu dans d’autres.

— Je pense que oui.

Elle détourne son regard du mien. En fait, la connexion se rompt entre nous et je suis presque certain qu’elle le ressent aussi parce que ses traits se décomposent.

— C’est juste que je suis en retard…

Putain de merde. Non.

J’ai peur de lui poser la question que j’ai sur le bout des lèvres. Car si la réponse est celle que je crois, je vais devoir assassiner ma jeune sœur.”

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode