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Commentaires de livres faits par Fanfan-5

Extraits de livres par Fanfan-5

Commentaires de livres appréciés par Fanfan-5

Extraits de livres appréciés par Fanfan-5

date : 17-03
Une succession de romances au format nouvelles pour mon plus grand plaisir ! L’occasion de découvrir de très jolies plumes malgré les histoires convenues. On plonge avec douceur dans le romantisme d’une rencontre, des premiers émois et de l’attirance évidente de deux êtres que parfois, tout oppose. J’ai adoré ma lecture ! Merci à toutes ces auteures d’avoir partagé leurs écrits ❤️
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date : 11-04-2023
J’ai lu cette romance quasiment d’une traite tellement l’histoire est belle et la plume fluide. Je suis passée par toutes les émotions : joie, colère, peur. Ange et Isabella vont si bien ensemble que l’évidence nous saute aux yeux. Pourtant tous les obstacles et les rebondissements mis sur leur chemin ne vont pas leur faciliter la tâche… En résumé : une très belle histoire sur fond insulaire qui parle de coup de foudre. Un conseil : lisez-la !
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date : 30-11-2022
Étonnante histoire que celle-ci !
On suit une enquête policière via l’étude des cadavres retrouvés dans un manoir près d’Epinal. Chaque personnage a son propre chapitre pour raconter sa version de l’histoire qui vient percuter les hypothèses du lieutenant de police chargé de l’enquête.
Chaque point de vue est original et reprend bien la personnalité de chaque protagoniste. C’est bluffant. On est immergé facilement dans ce réveillon de Noël complètement surréaliste.
Les clins d’œil à la « romance » de Noël des deux auteures sont évidents.
C’est une histoire trash, irrévérencieuse et déjantée à réserver à un public adulte et averti !
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date : 02-02-2022
J’aime beaucoup les romances originales qui abordent les différences, les handicaps, et qui sortent un peu des sentiers battus. Je ne pouvais donc pas passer à côté de Savage Love.

J’ai commencé cette romance alors que j’étais moi-même en pleine écriture. Malgré le manque de temps pour enchaîner la lecture des chapitres, cette histoire m’a tout de suite interpelée et je n’ai pas hésité à grappiller sur mes heures de sommeil pour m’imprégner de cet univers.

Nous faisons d’abord connaissance avec Callie, jeune femme handicapée en fauteuil roulant, car paraplégique après un accident. Elle vit dans un centre de rééducation luxueux en Louisiane où elle s’est liée d’amitié avec David et Kate qui, comme elle, présentent des traumatismes.

Alors que les médecins l’inscrivent dans un nouveau protocole médical contraignant auquel elle ne croit pas, un nouveau patient arrive au centre et bouleverse sa petite vie rythmée par ses séances de yoga et de psychothérapie.

Dépité et en colère, Zack débarque dans ce centre de rééducation à cause d’un accident sur le terrain de football américain. Contraint d’accepter son séjour payé par le joueur qui l’a blessé, il arrive avec des pieds de plomb. Bad boy tatoué, insolent et libre, il peine à rentrer dans le moule, mais sa rencontre percutante avec un fauteuil roulant va rendre son séjour très intéressant.

Vous l’aurez compris, on est ici face à deux mondes que tout oppose. D’un côté, la jeune fille riche, jolie et bien élevée qui a accepté son sort de ne jamais remarcher et de l’autre, le vilain garçon sombre, rebelle qui se fout de tout et de tout le monde et qui cherche seulement à guérir et à sortir de la misère.

Cette romance qui prend son temps est avant tout une histoire de maux, avant d’être une histoire de mots.

Mal de vivre clouée dans un fauteuil, mal d’être assistée pour tous les actes de la vie courante et pour ses choix, mal de passer à côté d’une vie active et heureuse.

Mal d’avoir été abandonné par sa mère, mal à sa blessure à l’épaule, mal d’avoir dû laisser sa petite sœur à son père, mal à son ego.

J’ai aimé l’introspection de Callie sur sa situation, son courage extraordinaire, sa volonté de « leur » montrer de quoi elle était capable. J’ai aimé ses moments de doutes, ses espoirs, ses peurs, son découragement parfois et sa grande fragilité.

J’ai aimé le je-m’en-foutisme de Zack, sa tendresse, sa capacité à défier Callie et toute forme d’autorité, sa lente résilience, l’amour qu’il porte à sa sœur et sa grande force de caractère.

La tension entre les deux personnages est perfectible, mais elle rentre bien dans le cadre du handicap où tout est une question de patience.
C’est une romance douce et sauvage à la fois pendant laquelle on ne s’ennuie pas une seule seconde.

Concernant Callie, j’aurais peut-être aimé un peu plus d’explications quant à sa peur de l’eau, car j’ai eu l’impression que le problème qui était mis en avant n’était pas assez résolu à la fin, mais à part ça, c’est un personnage féminin adorable. Et que dire de Zack !? Ce personnage est tout simplement : waouh ! Je fonds complètement. L’essentiel de l’intrigue se déroulant presque en huis-clos dans ce centre de soins, ne vous attendez pas à de grandes descriptions de paysages. J’admire d’ailleurs les auteures qui ont su malgré le contexte rendre les lieux sympathiques et attrayants.

Je dois dire que la plume de ce duo d’auteurs a réussi à me faire monter les larmes aux yeux et c’est assez rare pour le noter xD. L’alternance des deux points de vue est très bien mené et on peine à savoir qui a écrit quoi.

En conclusion : un slow burn tendre entre deux individus que la vie n’a pas épargnés. Si vous aimez les écorchés à l’âme, les romances douces qui traitent de la différence, alors faites-moi confiance et foncez !
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J’avais besoin d’une lecture légère et sans prise de tête et c’est exactement ce que ce roman de Chelsea M. Cameron est.
C’est une romance campus douce qui démarre comme un ennemies-to-lovers.
Suite à une erreur d’aiguillage, le jour de la rentrée, Hunter se retrouve à cohabiter avec trois filles dans une résidence étudiante de l’Université du Maine.
Seulement, il n’y a que deux chambres, Taylor doit donc partager la sienne avec ce beau gosse, tatoué et musicien. Je ne sais pas vous mais personnellement, j’avais vu le truc arriver…
On va donc croiser beaucoup de personnages qui gravitent autour de notre couple improbable. Entre les amis, la famille et les gens de passage, il y en a pour tous les goûts.
Alors qu’elle fait tout pour se débarrasser de lui, il s’accroche et va même jusqu’à la provoquer et à lui mettre un marché entre les mains. Les dialogues sont plein de sous-entendus et la tension monte peu à peu pour se transformer en brasier.
Hunter et Taylor cachent tous les deux des secrets.
Taylor n’est pas du genre à s’intéresser à la gent masculine surtout depuis le traumatisme qu’elle a subi adolescente. Surnommée « la reine des glaces », elle fait fuir le moindre prétendant avec sa langue acérée et ses poings s’il le faut. Mais quand son passé la rattrape, c’est une toute autre jeune femme que nous découvrons, pleine de doutes et d’incertitudes.
Hunter a également vécu un événement tragique, néanmoins, contrairement à Taylor, il va de l’avant et cherche à se construire un avenir. On comprend assez vite qu’il craque complètement pour sa colocataire, mais celle-ci fait tout pour ne pas tomber dans ses filets. Seulement, Hunter est persévérant et utilise tous les moyens possibles pour qu’elle cède à ses avances.
J’ai bien aimé le slow burn mis en place. La plume de l’auteure est fluide et sans fioritures. Les dialogues sont sympas et leurs échanges savoureux. En revanche, je ne suis clairement pas le lectorat-cible de ce type de romance qui s’adresse à des lecteurs plus jeunes.
Malgré cela, j’ai passé un bon moment. Je regrette de n’avoir eu que le POV de Taylor, il m’a manqué un petit quelque chose venant de Hunter pour que j’accroche définitivement à ce couple tout mignon.
Dommage… pour une fois que c’est le mec qui cuisine… xD
Conclusion : Une romance douce à la trame évidente, mais agréable comme un petit chamallow dans une tasse de chocolat.
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Je referme à l’instant le dernier opus de la série des All Saints High et je crois bien que c’est mon préféré de la série.

Comme pour le tome 2, un trajet de sept heures Guingamp- Lille (pauses-sandwich-pipi comprises) a été suffisant pour dévorer cette romance qui flirte habilement aux frontières de la dark romance.

Dans ce roman, on fait la connaissance de Vaughn, fils de Vicious et d’Emilia. Comme sa mère, il est un artiste, comme son père, il est torturé par ses démons. Comme sa mère, il est beau et sensible, comme son père il est tordu et létal.
Il vit sa jeunesse dorée auprès de ses amis, à Tandos Santos et y promène son magnétisme inaccessible entre les murs du lycée, faisant mouiller toutes les petites culottes qu’il croise.
Lorsque Lenora débarque dans son lycée, elle agit sans le savoir, comme un déclencheur dans la vie de Vaughn, le prince sans cœur. Froid, intimidant, il n’a jamais oublié Lenny qu’il a croisée lorsqu’il était jeune. À son contact, il change et il déteste ça.
Cette jeune fille au look gothique et aux mains d’or est également une artiste douée, mais surtout la fille du mentor de Vaughn. Elle détient un secret sur Vaughn qui pourrait ternir, voire détruire sa réputation. Lorsque le père de Lenora le désigne, lui, comme le gagnant d’un stage dans le lycée privé en Angleterre dont il est le directeur, elle y voit là un affront et un défi à relever.
En effet, malmenée, harcelée, tyrannisée alors qu’elle a perdu sa mère jeune et que son père la délaisse, c’est la goutte d’eau de trop. Et encore plus, lorsqu’elle apprend qu’elle doit assister Vaughn sur la création de son œuvre.
Elle ignore qu’elle est, malgré elle, un pion dans une vengeance bien huilée et préparée avec soin.
Et lorsque les démons de Vaughn reviennent frapper à sa porte, le prince sans cœur devient alors le prince de sang ou des ténèbres (au choix).
J’ai adoré ce tome avec ses personnages complètement barrés à la limite de la folie qui jouent avec la subtile limite entre l’amour et la haine. J’ai aimé Lenora pour sa façon de rendre Vaughn fou. J’ai aimé Vaughn pour ses « déviances » et son amour filial inconditionnel. J’ai aimé croiser Vicious (mon chouchou toutes séries confondues) et la douce Emilia.
J’ai détesté que ce tome soit le dernier de la série. J’ai détesté en vouloir encore. J’ai détesté le sentiment de manque une fois la dernière page tournée.

Conclusion : Un tome qui ne peut pas laisser indemne même avec toute la meilleure volonté du monde, un tome qui traite de violences contre les enfants, de vengeance, de l’amour irremplaçable et unique.
Merci LJ SHEN pour votre plume brutale et si sensible. Chaque mot est un coup planté dans mon petit cœur tout mou ❤️.
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Je referme à l’instant ce deuxième tome de la Série des All Saints High, Broken Knight et… OMG WTF !
Vous l’aurez compris, j’ai trouvé ce tome particulièrement addictif. Lu en un après-midi ( Un trajet Lille-Guingamp aura été nécessaire ).
Après Daria, la reine des abeilles du lycée de All Saints, nous faisons la connaissance de Knight, le roi des enfoirés. Bien qu’étant le fils de Dean et Rosie, il m’a beaucoup fait penser à Vicious (cf la série des Sinners pour celles et ceux qui ne savent pas de quoi je parle).

Knight est le quarterback star et le capitaine de son équipe, il est grand, imposant et beau comme un dieu. Sa réputation de serial baiseur le suit partout et le bourreau des cœurs l’entretient sans remord. Seulement, une réputation reste une réputation et dans les faits, la réalité est bien différente. En effet, son cœur bat pour Luna depuis ses 4 ans. Il la protège, la défend et crée des liens indestructibles avec elle.

Luna est différente des autres nanas qui s’accrochent à son corps d’Apollon. Sa voisine, fille de Trent et Edie, est silencieuse. Plongée dans un mutisme sélectif depuis qu’elle a été abandonnée par sa mère génétique, elle est aussi marginale dans sa façon de s’habiller et de se comporter. Garçon manqué, roulant à vélo, grimpant dans leur cabane dans les arbres, elle vit son adolescence avec ses amis Knight et Vaughn. En grandissant, son amitié pour Knight se transforme en un sentiment beaucoup plus fort.

Cependant, alors qu’on pourrait croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, Luna ne se sent pas à la hauteur de Knight qui lui montre pourtant son attirance. Et quand elle part à l’université, elle commet une erreur. Une erreur qui engendrent de terribles conséquences.

Knight se sent trahi, blessé dans son amour-propre et, alors que sa mère est au plus mal, il s’enfonce petit à petit dans ses addictions pour supporter la douleur de la perte. Perte de son amour de toujours, perte de sa mère adoptive.

Dans cette histoire, on parle d’adoption, d’amour de jeunesse, de maladie, de mort, d’addiction. Les thèmes sont forts et traités avec justesse par la plume toujours aussi incisive et irrévérencieuse de L.J. Shen.

J’ai aimé que les évènements s’enchaînent sans temps mort, j’ai aimé l’évolution de la personnalité de Luna, j’ai aimé les émotions à fleur de peau et la sensibilité de Knight, j’ai aimé (ou pas) que tout ne soit pas rose au pays merveilleux de Tandos Santos, j’ai aimé lire que l’argent n’achète pas tout, et surtout pas le bonheur.

Conclusion : Un joli tome sur deux personnages assez atypiques. J’ai versé ma petite larme à plusieurs reprises. Et comme d’habitude avec cette auteure, j’ai aimé détester parfois - souvent - ses personnages.
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Les chiens ne font pas des chats… C’est à peu près ainsi que l’on pourrait résumer le premier tome de cette série.

Je suis une grande fan de L.J. Shen et j’aurais tendance à acheter ses livres les yeux fermés sans avoir lu les résumés. Bah en réalité, c’est ce que je fais xD.

J’ai donc la série des All Saints High dans ma PAL depuis quelques semaines… ou mois. Qu’importe, je viens de terminer le premier opus.

Après avoir lu (et relu) la série des Sinners, on pourrait penser à une pâle copie et pourtant… On ne va pas se mentir, fréquenter les enfants des Sinners reste jouissif. En effet, on retrouve chez eux ce qui caractérise leurs parents. C’est-à-dire des esprits rebelles, tortueux, des personnalités badass et des caractères forts.

J’aime vraiment ces anti-héros de fiction.

Nous repartons donc à Tandos Santos, en Californie, dans le lycée chic qu’on connait bien pour y faire la rencontre de Daria, la fille de Mel et Jaime, les amants maudits. La professeur de danse et son ancien élève ont mis au monde la reine des abeilles, celle qui règne sur l’équipe des pom-pom girls de son lycée, qui prend tout le monde de haut et à l’intérieur de laquelle la fureur gronde.

Daria meurt de jalousie pour Sylvia, une élève de sa mère, et commet l’irréparable. En revanche, ce qu’elle ne sait pas, c’est que ce beau garçon croisé dans la rue qui lui vole son premier vrai baiser est en réalité le frère jumeau de Via et qu’il va se retrouver malgré lui complice de la déchéance de sa propre sœur.

Des années plus tard, Mel et Jaime recueillent Penn chez eux et la vengeance de ce dernier se met doucement en place. Néanmoins, il comprend assez vite que la famille dans laquelle il vient de mettre les pieds est dysfonctionnelle. Et Daria semble être au cœur du problème. Quels secrets cache-t-elle ?
On assiste alors à un ennemies-to-lovers assez classique avec beaucoup de tension, de dialogues incisifs et de coups bas.

Même si le début comporte quelques longueurs, on ne peut pas nier qu’à partir de la seconde moitié du livre, le suspens nous tient en haleine et on tremble pour Daria à chaque page tournée. Les rebondissements arrivent sans qu’on s’y attende et on a même quelques points de vue extérieurs inattendus.

J’ai aimé retrouver les Sinners adultes qui finalement n’ont pas tant changé que ça. J’ai aimé voir les fêlures et les sombres secrets de Daria qui malgré son « statut » ne se laisse jamais duper par le monde qui l’entoure. Mais surtout, j’ai adoré la relation entre nos deux héros qui se haïssent autant qu’ils s’aiment.

L’épilogue clôture parfaitement cette histoire et il me tarde de lire la suite avec un autre enfant issu des Sinners : Knight.

Conclusion : Je ne me lasse jamais de la plume de L.J. Shen que je trouve à la fois puissante, actuelle et poétique. Si si xD. Une romance forte qui me laisse un gout de « reviens-y ».
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date : 02-02-2022
En piochant dans ma PAL, je suis tombée sur ce roman de Danielle Steel.
Au départ, je pensais que c’en était une, mais ceci n’est PAS une romance de Noël… Loin de là. Même s’il y a de la neige…

Nous partons à Denver, en plein milieu des États-Unis.

Nous y faisons la rencontre de Lily jeune fille de dix-sept ans, promise à une carrière de championne de ski. Fille unique et orpheline de mère depuis ses trois ans, elle est la prunelle des yeux de son père.

Alors qu’elle est en route pour un entrainement, le câble du télésiège rompt et la chute est fatale.

Ce soir-là, à l’hôpital, la chirurgienne qui l’opère pose un diagnostic irrémédiable pendant que son mari et son fils sont victimes d’un grave accident de la route.

Le père de Lily n’accepte pas cette situation et décide de faire tout ce qui est en son pouvoir pour que sa fille guérisse.

Lassée par les visites chez les spécialistes, Lily réalise bien avant lui qu’elle va devoir trouver un sens à sa vie et se construire de nouveaux rêves. Lâchée par ses amis, enfermée dans un centre de rééducation et privée de son sport de prédilection, elle va remonter la pente petit à petit jusqu’à enfin toucher du doigt ce pour quoi elle s’était destinée.

On assiste, comme souvent dans les romans de Danielle Steel, à un enchevêtrement de destins. Les personnages se croisent, leurs vies s’entremêlent pour mieux se lier.

Cette histoire est un message fort sur la résilience, sur l’acceptation, sur le sacrifice et sur la combativité dont font preuve nombre de personnes atteintes de handicap ou de maladie. J’ai été charmée par Lily qui, malgré son âge, insuffle beaucoup d’espoir et de force mentale, entraînant avec elle tout son entourage. Elle est lumineuse et projette sa lumière sur les autres. Elle partage avec nous ses doutes, ses peurs, mais aussi son enthousiasme et chaque petit bonheur.


CONCLUSION : Un roman où plusieurs romances se créent en toile de fond et avec un personnage féminin fort de toute beauté qui respire la vie qui délivre un beau message.
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Je referme à l’instant le troisième tome de la série Carpe Diem de Sissy Batzy : Lexie Life.
Pour mon plus grand plaisir, nous retrouvons la bande d’amis du Carpe Diem, ce bar à San Francisco où se font et se défont les histoires d’amour.
Dans cet opus, nous retrouvons Noah que l’on avait déjà croisé sur les deux premières histoires. Ce jeune homme, ancien toxico, ancien dealer et petit trafiquant notoire avait aidé à résoudre l’enquête concernant Arizona dans un tome précédent. En effet, ses liens avec la mafia locale avaient permis l’arrestation du mafieux en question.
Le petit plus de Lexie Life, c’est que les histoires se croisent pour mieux ancrer les faits.
Mais c’est dans un autre contexte qu’on retrouve Noah.
Après avoir trempé dans de petits trafics, il occupe donc un emploi de barman au Carpe Diem. Sur un coup de tête (et sur un coup de cœur…), il embauche une jeune femme à l’accent russe très prononcé sans attendre l’aval de ses patrons, qui finissent tout de même par accepter.
Alors qu’il collectionne les conquêtes féminines, il calme le jeu au contact de Lexie qu’il souhaiterait connaître plus intimement… (Le coquinou !)
Mais remontons un peu en arrière… Qui est cette jeune femme Lexie, apparue de nulle part, à l’accent russe, belle comme une princesse ?
Eh bien pour le savoir, envolons-nous en Russie les ami(e)s !
Ksenia est l’aînée de trois sœurs et vit en Russie avec ses parents. Sa mère, battue par son père, peine à protéger sa propre vie et celle de ses filles. Lorsque le père, alcoolique et violent, rentre le soir de l’anniversaire de la cadette, un drame survient.
Prise de colère, Ksenia commet alors l’irréparable. Contrainte de fuir, elle se réfugie d’abord à Moscou, puis s’envole aux États-Unis où elle change de nom et devient Lexie. C’est là qu’en cherchant du travail, elle rencontre Noah, pour lequel elle craque.
Seulement, tout le monde le sait (surtout les lecteurs de romance xD), le passé nous rattrape toujours et leur couple naissant en fera les frais.
J’ai beaucoup aimé suivre la fuite de Ksenia/Lexie à travers la Russie. C’était haletant. À chaque coin de rue, on s’attend à la catastrophe. Son statut d’immigrée est bien retranscrit, avec toutes les difficultés que ça engendre.
L’histoire d’amour arrive assez tard dans le roman. On assiste avant toute chose à un rapprochement subtil entre les deux personnages. Lexie est inexpérimentée, timide et cache les secrets de son passé. Lui voudrait plus avec elle et plus vite.
Ce roman a deux voix clôture parfaitement la trilogie avec le retour de nos protagonistes dans l’immeuble où tout a commencé. Ce petit clin d’œil aux Chroniques de San Francisco est vraiment génial. La plume de l’auteure est toujours aussi addictive et Sissy sait parfaitement nous embarquer dans ses voyages.
Conclusion : Un très joli tome qui termine cette série Carpe Diem. On notera que mon préféré restera Summer Time ;) et que l’épilogue est jouissif.
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Je vous parle aujourd’hui d’une romance de Noël atypique. Et parce que cette année, j’ai effectivement décidé de me lancer dans la lecture de romances de Noël atypiques (non pas que je n’aime pas les chalets sous la neige et le feu dans la cheminée, hein…), mon choix s’est TRÈS naturellement tourné vers Les Azalées fleurissent en Hiver de la charmante @dahliablake
Il faut savoir que je ne partais pas tout à fait en territoire inconnu puisque je connais l’auteure et son histoire gagnante du concours « Sous le Sapin » organisé par @fyctia
J’avais lu les chapitres proposés sur la plateforme et avais été charmée par l’histoire et tombée amoureuse de la plume si sensuelle de Dahlia.
Dans cette romance, nous partons à la Martinique ! Attachez vos ceintures et envolons-nous au soleil !
Qui n’a pas rêvé de fêter Noël sous un climat tropical ? En tout cas pas moi ! C’est mon rêve depuis toujours… Ne le répétez à personne, mais je déteste la neige et le froid (C’est d’ailleurs pour ça que j’habite à Lille, hein…)
Sauf qu’ici, la belle Azalea ne vit pas un rêve. Loin de là même… Elle quitte Paris brusquement à quelques semaines de son mariage avec un fiancé beau, charismatique et bien sous tous rapports pour rejoindre ses racines, dans les Antilles françaises. Lorsqu’elle arrive auprès de Tatie Thé, elle est embauchée pour s’occuper du Grand Nwel, des festivités traditionnelles de son village.
Une occupation tranquille et sereine qui aurait pu sembler innocente… Mais c’est sans compter le beau Kaï. Celui qu’elle a failli renverser le jour de son arrivée, celui qui la titille dès qu’il ouvre la bouche, celui pour qui elle en pinçait adolescente. Le beau mâle exotique tatoué, bad boy, entouré d’amis à défaut d’être entouré d’une famille. *
En effet, on apprend assez vite qu’il est orphelin, sa mère adoptive étant décédée quelques années plus tôt. Il s’est alors naturellement tourné vers Tatie Thé chez qui il trouve le réconfort et le sentiment d’être aimé. Il est indépendant, investi dans la communauté et entrepreneur à son compte.
La rencontre, plus de quinze ans après, de Kaï et d’Azalea va rouvrir d’anciennes blessures, mais aussi raviver des sentiments jusque là refoulés.
Azalea fuit sa vie parisienne contraignante et Kaï lui offre des moments de liberté insouciante et de torrides étreintes (et je peux vous dire que c’est super caliente… Miam.) jusqu’à ce que la réalité la rattrape. Et la réalité n’est pas toujours très belle à voir.
Dahlia traite d’un sujet extrêmement sensible. Un sujet intemporel qui m’a beaucoup touchée. Les flashbacks et les émotions à fleur de peau de la jeune femme sont autant de coups de poignards dans mon petit cœur tout mou.
J’ai aimé les descriptions des paysages. J’ai aimé ce retour aux origines accompagné de sa nostalgie prégnante. J’ai aimé la bande d’amis. J’ai aimé Tatie Thé. J’ai aimé la famille. J’ai aimé Kaï, assurément. J’ai aimé Azalea, inconditionnellement. Son authenticité, son courage, sa réserve, sa résilience.
J’ai aimé ma balade en Martinique pendant la préparation des fêtes de Noël.
D’ailleurs, Dahlia, ma valise est prête ! Je n’attends plus que toi !
Cette romance à deux voix ne vous laissera pas indifférents. C’est doux, sensuel, violent parfois, mais assurément addictif.
Conclusion : Si vous voulez lire une romance de Noël qui sort des sentiers battus, je vous invite à suivre Azalea et Kaï à travers ces magnifiques paysages pour une lecture toute en douceur et en humanité.
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Coup de ❤️
Une romance douce et slow burn qui navigue entre musique et pâtisserie. Que demander de mieux ?
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J’ai entamé le bal des roman(ce)s de Noël par Des Paillettes pour Noël du quatre mains de Line Carazachiel et Tatiana Dublin.

Et je peux vous dire que quand deux plumes aussi complémentaires et talentueuses s’associent, ce sont les étincelles qui s’invitent au cœur du jeté de paillettes.

Quoi de plus contemporain qu’un roman qui parle de découverte et d’acceptation de soi, de couple à la dérive, d’homosexualité et de Noël ? « Tout ça dans un seul roman ? » me direz-vous. Eh ben oui ! C’est le pari insensé de ces deux auteures.

Nous partons donc dans l’est de la France, région que connaissent bien nos auteures et dont j’ignore presque tout. J’adore découvrir des territoires inconnus.

L’histoire est axée sur un couple, Corentin et Émilie. Un homme, une femme. Ils sont mariés depuis quelques années et meilleurs amis pour la vie depuis la maternelle. Nous sommes à l’approche de Noël. Ils travaillent tous les deux, ont un toit sur la tête et un chat qui pisse sur le paillasson des voisins.

Un vrai tableau idyllique, pas vrai ? Sauf que… (Ben oui, sinon c’est pas drôle)

En réalité, ils sont mal dans leur peau, chacun de leur côté. Mariés comme une évidence, pour faire plaisir à leur famille, ils ne s’épanouissent pas en tant que couple, quitte à mettre de côté leur inébranlable amitié.

L’histoire débute par une dispute, des tensions avec les fêtes de fin d’année et le marché de Noël comme décor. C’est tellement inhabituel que ça en devient original. On se demande bien où veulent nous emmener nos auteures.

Tout part en cacahuète lorsque Corentin rencontre Alasdair. Celui qui met des paillettes dans son cœur et dans ses yeux. Il rejette ces sentiments nouveaux et enfouit son insécurité dans ses habitudes quotidiennes. Peur du changement. Peur de la nouveauté. Peur de l’inconnu…

Par ailleurs, Émilie n’est pas en reste et flirte avec Jérémy, son collègue. Elle se découvre des papillons dans le ventre et le souffle court lorsqu’elle est en sa présence. Elle sent que le vent tourne dans son couple, mais surtout, elle ne se reconnait plus.

Chacun de leur côté, ils vont explorer des sentiments inconnus et des situations embarrassantes ou inappropriées qui les amèneront à réviser leur notion de l’amour et du couple.

Cette romance qui alterne les deux points de vue traite de différents sujets, mais notamment de la remise en question, du paraître, de la tolérance, de l’amitié et surtout de l’amour.
Les personnages secondaires sont tous extraordinaires dans leur singularité et dans leur caractère. Pour certains, on meurt d’envie de les claquer contre un mur, voire d’aller chercher une pelle… et pour d’autres, on a simplement envie de les prendre dans nos bras et de les rassurer.

Le repas de famille m’a rappelé des souvenirs pas toujours très glorieux, mais qu’on a tous vécu à un moment ou l’autre de notre vie.

Malgré quelques petites longueurs, je n’ai pas vu le temps passé en compagnie de Em et de Coco ( et de Machin, of course).
On notera des néologismes savoureux et un franglais hilarant du côté de l’Écossais barbu si cute.

Conclusion : Vous avez envie d’une romance de Noël qui sort des sentiers battus et qui rebat les cartes ? Vous êtes assurément au bon endroit. Plonger dans les paillettes de Noël c’est comme rentrer dans l’intimité de vos voisins, terriblement addictif. Il est maintenant impératif de nous sortir le tome 2 les bichettes, sinon je crains fort que Machin et moi-même nous révoltions… Et je déteste attendre… (*tape du pied*)
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Me revoilà revenue de l’Enfer du bayou et de la Baraque ! J’ai lu ce livre avec envie et un manque de temps évident, mais je viens de le finir et… OMG : il est encore meilleur que le premier tome !

Nous avions quitté la Louisiane en laissant les Angers se dépêtrer avec les Irlandais. Et l’histoire aurait pu s’arrêter là, sauf que l’auteure nous a réservé une suite haletante qui met en scène deux personnages hauts en couleurs : la charmante et insouciante Adi qui tient une place majeure dans la Baraque et le Sauvage tout droit revenu de prison.

Un couple improbable !

Adalind ressemble à s’y méprendre à Heïdi. Vous voyez ?Une petite blonde avec des couettes, joyeuse tout le temps, enfantine et douce, habillée comme une préado.

Seulement, dans ce monde de dupes, les apparences sont toujours trompeuses et son histoire en est la preuve.

Dans le premier tome, j’avais bien compris que la jeune fille avait été recueillie en urgence par le Boss de la Baraque et qu’il l’avait en quelque sorte « adoptée ». Ce qui assoit sa place au sein du MC.

Adalind a vécu un truc particulièrement moche et dur en rapport avec la traite des femmes dont parle le tome 1 et elle garde le secret.
Elle est amoureuse de Jagger depuis longtemps et lui, ne la calcule même pas, la considérant comme une sœur.
Et soudainement, on la retrouve liée au Sauvage. What the fuck !?
Keegan est le deuxième fils du Boss. Il sort de prison après sept ans et a toujours considéré Adi comme une femme, comme « sa » femme. Pour lui, elle est une évidence.
Comme Adalind, il cache un secret, que je ne spoilerai pas mais qu’il révèlera aux yeux du MC, faisant de lui un être à part sur ces terres chargées de croyances, de vaudou et de magie.
Lors d’une nuit, ils se lient et à partir de cet instant, tout change.

Alors que le passé d’Adalind refait surface sous les traits des monstres qui ont abusé d’elle, Le Sauvage va devoir la convaincre qu’elle est plus forte qu’elle ne le croit et qu’elle doit lui faire confiance les yeux fermés.

J’ai adoré cette histoire riche et immersive. On retrouve tous les aspects du bayou à travers les descriptions savamment distillées par l’auteure. Sa plume se prête, encore une fois, à merveille avec ce type de roman, irrévérencieux et brut.

J’ai été envoûtée par la magie des lieux.

Et que dire des retournements de situation ?! J’ai tremblé, avant d’avoir cru mourir deux fois. Mon petit cœur tout mou a eu de la peine à s’en remettre.

C’est une histoire pleine de surprises - pas toujours très agréables - et on suit avec plaisir les deux points de vue principaux avec en pointillés quelques POV extérieurs très pertinents.

Dès que possible, je m’attelle à la suite avec Jagger le Tricheur… et ça promet du lourd !

CONCLUSION : Si vous aimez les auteures sadiques et les bikers sans loi mais avec foi, alors foncez ! Mais faites gaffe aux alligators…
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J’ai été balancée dans l’univers des bikers du bayou sans ceinture de sécurité et sans parachute ! On rentre très vite dans la moiteur et la violence qui règnent en Louisiane et au sein du club des Sanmdi’s Angers.

Milyi Kind nous raconte l’histoire d’Awan et de Madsen, deux âmes perdues dans ce monde vicié et pervers.

Madsen fait la promesse à Awan qu’elle sera à lui ( Ouais, il est un peu possessif le garçon dans le genre homme des cavernes ), alors qu’ils ne sont qu’adolescents et qu’elle est en couple avec son pote Jagger. Des années plus tard, il la sauve d’une situation embarrassante et la ramène à la Baraque, le QG des Sanmdi’s Angers.

L’Amérindienne qui avait quitté Jagger parce qu’elle ne voulait justement pas vivre parmi les bikers se retrouve plongée au cœur de cette famille dysfonctionnelle et pourtant si soudée, à côtoyer ses habitants et ses bestioles du marais…

On ne va pas se mentir, nous avons ici tous les clichés de cet univers : alcool, drogue, brebis, trafics, motos, tatouages et tutti quanti. Néanmoins, c’est tellement irrévérencieux et rythmé que ç’en est addictif. Je me suis surprise à rêver évoluer avec eux et devenir spectatrice. Je verrais bien cette histoire en film à la Sons of Anarchy.

J’ai beaucoup aimé les personnages. Awan, faible au premier abord, a en réalité un caractère de feu. Elle se laisse difficilement « domptée » par Mad alors qu’elle cède à toutes les menaces contre son père. Elle s’oublie dans sa propre famille pour freiner des quatre fers quand il s’agit du club.

C’est un personnage atypique. Déjà elle est Amérindienne, ce qui est plutôt rare en Romance, ou alors dans les vieux Harlequin sur les cowboys… De plus, ce n’est pas la fille filiforme, blonde comme les blés et naïve comme un lapin de trois semaines. Non, ici, nous avons affaire à une femme qui se plante là pour perturber toute la vie du club de bikers, avec sa personnalité, son physique avantageux et ses casseroles. Petit à petit, elle va prendre de l’assurance pour mon plus grand bonheur. Moment mémorable avec Linette.

Le personnage le plus charismatique reste Mad Madsen. Il est l’archétype du bad boy taré. Irrespectueux, violent, sarcastique, connard, on peut le qualifier « d’attatrèschiant ». Sa nonchalance n’est qu’une façade pour mieux asséner des horreurs et plus d’une fois, j’ai eu envie de lui en coller une entre les deux yeux. Il est horrible, notamment avec Awan. On a d’ailleurs du mal à comprendre qu’elle puisse être attirée par lui. Mais il a côté torturé insondable qui nous invite à vouloir lui faire un câlin… Totalement paradoxal, je sais.

Et les voies de l’amour sont impénétrables… On est clairement dans un « ennemies to lovers ». Ils se détestent et pourtant l’attirance est la plus forte. Associé à un « Suis-moi, j’te fuis. Fuis-moi, j’te suis », c’est explosif !

Les dialogues sont savoureux et percutants. On suit les deux points de vue qui sont ponctués de PDV extérieurs à des moments clé de l’histoire. Tous les personnages secondaires sont uniques et bien campés pour apporter de la matière.

L’intrigue principale tourne autour de la libération du père et de la petite sœur d’Awan détenus par les Pheacas, gang d’Irlandais aux méthodes détestables et qui ont main mise sur la Réserve indienne d’où ils sont originaires.

On suit avec beaucoup de plaisir tout ce microcosme aux règles bien établies. La notion de famille sous toutes ses formes est très présente.

J’ai adoré les retournements de situation qui apportent du suspense. J’ai adoré l’environnement dans lequel ils évoluent et je trouve les descriptions réalistes. Vraiment, je m’y suis crue, à rouler à moto, à éviter les caïmans, à pratiquer des rituels vaudous et à éponger mon front de l’humidité prégnante des marais.

Le langage et certaines scènes sont crus, donc à réserver à un lectorat averti. Personnellement, ça ne m’a pas gênée car ça sert l’histoire et l’ambiance. La plume de l’auteur est particulièrement addictive et pertinente, voire impertinente !

Conclusion : J’ai adoré ma lecture et vais m’atteler à la suite de la série. Je suis curieuse de savoir ce que l’auteure nous a réservé pour les autres personnages…
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Je viens de terminer le deuxième tome de la série Carpe Diem : Arizona Dream.

Cette romance démarre juste après la fin du premier tome et nous fait découvrir deux autres personnages que nous avions croisés. L’auteure nous ajoute même quelques flashbacks.

Tout d’abord, nous avons Arizona. C’est une jeune femme qui sort d’une relation bancale avec un fils de mafieux. Mais c’est surtout la petite sœur de Dakota, morte par overdose alors qu’elle était en couple avec un associé du Carpe Diem.

Nous rencontrons ensuite Jonas, le beau flic blond aux yeux verts qui enquête sur l’ex d’Arizona et souhaite la protéger.

On apprend que la tension entre les deux n’est pas récente mais remonte plus loin, alors que Jonas était en couple et semblait casé et qu’Arizona était encore une jeune étudiante.

Seulement, la vie est passée par là. Jonas a rompu avec sa fiancée dont il a surpris l’infidélité à la veille de la demander en mariage. Trahi et dévasté après sa terrible expérience, il ne sait plus faire confiance et ne souhaite plus s’investir dans une relation sérieuse.

De son côté, Arizona ouvre les yeux sur son ex et ses agissements. Être protégée par Jonas la remplit de joie car elle est très attiré par lui depuis la première rencontre.

Mais faire tomber tous les cadenas du cœur de Jonas ne va pas être une partie de plaisir. Surtout qu’il souffle le chaud et le froid.

Nous sommes à San Francisco dans le même cadre que le premier tome. Entre le bar Carpe Diem et l’immeuble où se croisent les amis, on se surprend à vouloir habiter avec eux.

Avec sa plume légère et sans chichis, Sissy Batzy nous emmène dans une narration à deux voix, rythmée et addictive.

En fil rouge, nous suivons l’enquête pour faire tomber Enzo, surtout depuis qu’il est mêlé à la mort de son propre père. Ce qu’Arizona ne sait pas c’est qu’un secret la lie à cette famille de mafieux. Secret dont le lecteur connait l’existence depuis le premier tome. Cependant, alors que tous ses amis et surtout Jonas le savent, elle l’ignore. Et on attend dès le début, le retour de bâton.

Elle va se rapprocher petit à petit de Jonas alors que de son côté, il freine des quatre fers. Mais c’est sans compter une opportunité qui va bouleverser la vie de la jeune femme et remettre les pendules à l’heure.

On est tout à fait dans un « Suis-moi, je te fuis. Fuis-moi, je te suis. »

J’ai beaucoup aimé Jonas que je comprends. Il est souvent difficile de guérir de blessures à l’âme. Et ses hésitations sont tout à fait légitimes. Par ailleurs, Arizona, en amoureuse transie devant le beau flic, est mignonne et attachante bien qu’un peu naïve et immature par moment.

On retrouve dans cette série des faux airs des Chroniques de San Francisco pour ceux qui connaissent…

Conclusion : Une très jolie suite pour cette série ! J’attends maintenant le prochain tome sur Noah <3
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date : 20-11-2021
Coup de ❤️

Je termine à l’instant ce roman et purée que c’était bien !

Le prologue installe bien les bases et démarre fort. D’ailleurs, le rythme est soutenu tout le long. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Et je peux vous dire que c’est une histoire haletante.

Nous partons à Cincinatti faire connaissance de Josie, jeune étudiante en psychologie qui se fait enlever chez elle une nuit. Elle est retenue captive dans une cave, attachée au mur, torturée, violée et affamée par un homme qu’elle reconnaît malgré la cagoule qu’il porte.

On assiste, nous lecteurs impuissants, à la lente agonie de cette femme au fur et à mesure de l’histoire. Car la particularité de ce livre est l’alternance de l’histoire dans le présent avec les flashbacks de sa captivité, donc dans le passé.
Cette alternance permet de faire monter la tension crescendo et c’est particulièrement bien fait. Je précise que c’est une narration à la troisième personne partagée entre les deux héros.

Et ce deuxième héros, c’est Zach, l’inspecteur chargé de l’enquête qui vient remuer le couteau dans la plaie encore à vif de Josie. En effet, des jeunes femmes torturées et attachées sont retrouvées mortes dans les mêmes conditions qu’elle.

Il fait sa rencontre lorsqu’il se présente à la ferme dont elle a hérité pour la tenir au courant des crimes récents. Zach va donc se rapprocher de Josie pour les besoins de l’enquête et il va être touchée par son courage incroyable, sa ténacité à toute épreuve et sa profonde envie de vivre. Mais surtout il va la protéger.

Mia Sheridan dresse un portrait de femme comme j’en ai rarement vu, battante, courageuse, amoureuse, survivante. Même si on ne voudrait pas avoir subi le quart de ces tortures, on aimerait avoir sa force, on s’attache à son personnage actuel tout en forces extraordinaires accompagnées par des faiblesses qui la rendent attachante et profondément humaine.

Zach est pétri de compassion, de compréhension et d’admiration pour elle.

Préparez vos mouchoirs ! Il y a de l’émotion à revendre.

Par ailleurs, je tiens à signaler qu’il y a quelques scènes difficiles. L’auteure n’est pas rentrée dans trop de détails mais quand même… ça retourne l’estomac…

Je n’ai pas abordé ce livre comme une romance et j’ai bien fait.

Je connais un peu l’auteure pour l’avoir déjà lue et je sais qu’il faut lire entre les lignes. Pour moi, ce livre n’est pas un romantic suspens, ni une romance (sorry Mister Hugo, hein…). À mes yeux, j’ai lu un roman policier ou un thriller avec une pointe de romance.

La romance est effectivement présente, elle est belle et apporte une note de tendresse dans ce monde vicié et violent, néanmoins ce n’est pas l’attrait principal de cette histoire. D’ailleurs, je trouve que leur rapprochement est presque trop rapide et que leurs sentiments évoluent trop vite. Mais on s’en fout, parce que ce n’est pas le plus important.

L’essentiel réside dans les retournements de situation inattendus qui m’ont empêchés de lever le nez du bouquin avant de l’avoir terminé… et dans la psychologie des personnages.

Enfin, le titre Le Mal dans la Peau n’est pas choisi par hasard… Lisez-le si vous voulez savoir pourquoi !

Conclusion : Un roman que je relirai très certainement pour cette héroïne hors du commun. Merci à Mia pour m’avoir fait retenir mon souffle pendant quelques heures. L’apnée n’est pas franchement mon sport de prédilection xD
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Voilà, j’ai terminé cette duologie dans le monde du base-ball. Nous avions laissé les deux héros sur un gros cliffhanger plein de suspense. Et nous reprenons exactement au même moment.

Qu’a fait Scout ? Et pourquoi ? Comment va réagir Easton ? Leur couple va-t-il tenir ?

Toutes ces questions sont développées dans ce second tome. On tremble pour Scout quand Easton réagit au quart de tour, et en même temps on comprend sa colère. Néanmoins, Scout a fait son choix tout en pensant à Easton en priorité. Il va très mal vivre son transfert surtout que d’autres mauvaises nouvelles arrivent assez vite…

Cet homme est quand même sanguin et parfois j’ai eu envie de le bâillonner pour qu’il arrête de raconter des conneries. Je lui ai pardonné dès qu’il a compris qu’il avait été injuste avec Scout.

Dans ce dernier tome, on a également deux gros secrets qui sont dévoilés et qui concerne notre sportif. S’il y en a un dont je me doutais, je n’ai pas vu venir l’autre.

Ce sportif au cœur finalement très tendre va connaître de gros chamboulements dans sa vie professionnelle et personnelle.

Je suis ravie que l’amour et la passion qui animent nos deux héros soient constants malgré les vents contraires. J’ai également apprécié que le sujet de la dyslexie soit abordé.

Les personnages sont très attachants avec leur relation complice, leurs taquineries et leur amour. Les émotions sont bien retranscrites et on plonge très facilement dans la plume de bromberg.

Conclusion : Ce tome termine parfaitement cette histoire new romance somme toute assez classique dans son déroulé. À lire pour se détendre.
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Un délicieux calendrier de l’avent avec des personnages hauts en couleurs et une énigme à résoudre. Douceur, tendresse et chocolat chaud vous attendent autour de ce pain d’épices d’exception !
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date : 22-09-2021
J’ai enfin réussi à me dégager du temps pour finir ce tome 1. Et évidemment, je vais devoir enchaîner avec le deuxième si je ne veux pas finir frustrée…
Nous sommes clairement dans une New Romance, plus précisément dans le monde des sportifs.
Ici, nous faisons la connaissance d’Easton, fameux joueur de base-ball professionnel. Suite à une blessure importante à l’épaule, il est mis sur la touche le temps qu’il se soigne. Afin de mettre toutes les chances de son côté, son club, les As d’Austin, décide d’engager Doc Dalton, physiothérapeute reconnu dans le milieu du sport.
Seulement, ce n’est pas Doc qui va se présenter pour remettre l’épaule du joueur en état, mais sa fille, Scout. Cette jeune femme, évoluant dans l’ombre de son père, fougueuse et déterminée va tout faire pour honorer le contrat.
Leur première rencontre est épique. Il la prend pour une escort-girl, ce qui déstabilise Scout qui tombe malgré tout sous le charme du charismatique joueur.
On apprend au fil de l’histoire, qu’ils viennent tous les deux de familles dysfonctionnelles.
Les parents d’Easton sont divorcés et son père est un ancien joueur vedette du club pour lequel il joue. Autoritaire, intrusif et participant à la vie du club, il suit son fils dans sa carrière. Mais jusqu’à quel point ? Sa mère pour lequel il a beaucoup d’amour vit isolée dans la périphérie d’Austin.
En ce qui concerne Scout, son père est gravement malade, c’est pourquoi elle tente d’obtenir le contrat manquant à sa carrière et suit ses traces. Alors que sa mère les a abandonnés lorsqu’elle était enfant, elle souffre d’un sentiment d’abandon renforcé depuis la mort soudaine de son frère. Sentiment qui ne va pas aider au rapprochement de nos deux protagonistes…
Autour d’eux, on sent qu’il y a de la manipulation, des secrets qui vont sûrement trouver leur résolution dans le tome 2…
On se trouve embarqué dans un slow burn qui dure le temps de la rééducation épique du héros. Et même si c’est une New Romance qui comporte des scènes de sexe explicites, j’ai trouvé que la romance était tendre, avec des petites scènes mignonnes. On sent que l’auteure aime furieusement ces deux personnages. Par conséquent, ils sont très attachants.
Mon seul bémol est sans doute, les réactions parfois immatures d’Easton, mais on lui pardonne. Il est tellement cute.
On finit ce roman sur un cliffhanger horrible et plein de suspense qui ne peut que nous pousser à se ruer sur The Catch !
Conclusion : N’attendez pas le roman du siècle, néanmoins, c’est une très chouette romance dans le milieu des sportifs américains qui se laisse lire avec plaisir.
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date : 22-09-2021
J’ai lu ce roman à une vitesse hallucinante et pourtant je devais finir autre chose. Mais une fois commencée, je n’ai pas pu arrêter ma lecture.

Cette romance contemporaine est tellement fluide que vous vous laissez happer sans vous en rendre compte.

Nous faisons donc la connaissance de Nahia, jeune femme fraîchement débarquée à L.A., qui vit en colocation avec deux hommes. On apprend rapidement qu’il lui est arrivé un truc moche qui lui pourrit la vie.

D’un autre côté, nous avons Kade, surfeur de son état. Le beau gosse a malheureusement subit un accident qui lui a fait perdre sa jambe. Plaqué par sa fiancé et lâché par ses sponsors, il peine à remonter la pente tant physiquement que psychologiquement.

Ancien colocataire des deux mecs qui logent Nahia, ils se retrouvent une fois par semaine pour passer la soirée ensemble chez lui. Invitée à l’improviste à une de ces soirées entre amis, Nahia fait donc la connaissance du beau surfeur qu’elle admirait adolescente. Ils tombent sous le charme l’un de l’autre.

On assiste alors à un rapprochement tout en douceur de ces deux êtres. Tandis que Kade se sert de Nahia comme une motivation à changer et à avancer, elle se met de plus en plus de barrière en s’empêchant de se projeter dans un avenir avec lui.

Ces deux abimés de la vie vont devoir produire des trésors de patience et de tendresse pour enfin s’ouvrir au monde et espérer tisser des liens plus forts.

Tout en suivant ce slow burn assumé, on assiste à la reconstruction de Kade en même temps qu’à la noyade de Nahia qu’on a envie de prendre par la main. Elle cache un secret dont nous n’aurons la révélation qu’à la fin.

Je dois dire que ce fut une très bonne lecture. @carohandon a une plume addictive, fluide et simple qui nous emmène avec facilité. Cette romance à deux voix mérite d’être lue !

Je n’ai pas toujours compris les réactions des deux potes qui sont là en support ou en protecteur, néanmoins j’espère que nous aurons la suite de leurs aventures dans des suites… (clin d’œil appuyé à l’auteure…)

Conclusion : Offrez-vous un bol d’air frais au bord de la mer an Californie et laissez l’auteure vous livrer un pan personnel de sa vie <3
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date : 22-09-2021
Aujourd’hui, je vais vous parlez de ce livre : Le Serment des Shetland. C’est un livre vraiment étonnant.

Nous partons en Écosse les amis ! Et vous savez comme j’aime beaucoup les voyages. À défaut de vraiment partir, nous voyageons à travers les livres…

Diane, jolie Française d’origine bretonne, débarque dans les Shetland. Elle est à la recherche d’une tutrice afin de réaliser un châle de la mariée en dentelle tricotée avec de la laine provenant de l’île d’Unst.

Elle a fait une promesse à sa tante décédée qui était sa meilleure amie et, en participant à un concours pour les maisons de haute-couture, elle tient à l’honorer, coûte que coûte.

C’est seule qu’elle arrive sur ce territoire balayé par les vents froids et recouvert de brume épaisse. On plonge dans une atmosphère fantomatique et mystérieuse. Alors qu’elle se trompe de direction, elle se réveille dans un cimetière. C’est alors qu’elle fait la rencontre du fossoyeur, Keir. L’homme énigmatique, froid et ténébreux tente de la faire fuir. Mais c’est sans compter sa petite sœur, Amy qui, bercée aux légendes de ce coin reculé d’Écosse, la prend pour une fée et voit en elle un signe.

Keir s’est maudit lui-même, lors d’une nuit funeste, et repousse naturellement toutes interactions sociales. Seulement, la jolie petite rousse, adorable comme un cœur et lumineuse comme une torche dans la nuit, va lui donner matière à réfléchir sur le sens de sa vie et son avenir. L’obscur Keir est indéniablement attiré par l’étincelle passionnée de Diane.

Toute l’histoire de fond est superbe. On nage entre tragédie grecque, ou plutôt greco-écossaise… et légendes nordiques. Entre poésie et romance douce. On se laisse bercer par cette narration sans prétention avec ses petits côtés surannés qui s’harmonisent parfaitement à ce type d’histoire. L’humour flegmatique à l’anglo-saxonne des habitants de l’île est génial, notamment celui de Keir.

Le couple improbable d’une dentellière et d’un fossoyeur est totalement inédite et pour ça je voulais saluer la fantastique imagination de l’auteure. On s’immerge complètement dans ces paysages de landes parmi les troupeaux de moutons et au bord des falaises fouettées par les vagues de l’océan Atlantique.

Tous les personnages secondaires apportent du mystère et des rebondissements étonnants, voire émouvants. J’ai également beaucoup aimé toutes ces explications sur la fameuse laine et les techniques appropriées pour la travailler. On sent que Tina s’est imprégnée de ses recherches sur le sujet. Les images sont fortes et claires dans notre esprit de lecteur.

La plume de l’auteure est magique et s’accorde avec la féérie de cette histoire qui semble hors du temps.

Conclusion : Ne passez pas à côté du couple Diane-Keir ! Si vous voulez plonger dans une histoire originale et poétique, foncez !
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date : 22-09-2021
Je termine à l’instant ce roman et, comme d’habitude, j’écris ma chronique à chaud.
Sur les conseils avisés de bookstas qui se reconnaitront, je me suis lancée dans la lecture de cette romance.

Nous découvrons ici, Isobel, jeune femme à la tête bien pleine et bien faite qui participe au concours de Demoiselle de France. Alors qu’elle est étudiante en sociologie et qu’elle est en train de rédiger son mémoire sur l’histoire du féminisme, elle a voulu se prouver qu’on pouvait être à la fois un cerveau et une belle plante, sans pour autant dénaturer ou dévaloriser l’un ou l’autre. Et surprise, elle gagne, après un discours vibrant sur le féminisme !

D’un autre côté, nous rencontrons Caelen, mi-écossais, mi-français, qui, avec son ami et associé, monte une chaine de clubs exclusivement masculins. Afin de redorer son image de macho patenté et de lancer son affaire, il va conclure un arrangement avec la directrice du concours de Demoiselle de France pour qu’Isobel apparaisse à son bras, sans que celle-ci en soit informée. Terriblement déçu par la gente féminine et coureur invétéré, il se laisse surprendre par le naturel, le charme et la passion de la jeune femme.

On assiste alors à tout un cheminement et une remise en question des deux personnages lorsque, contre toute attente, ils tombent dans les bras l’un de l’autre. Ce qui nous offre quelques scènes hot !

Seulement, à être sous les feux des projecteurs, on se brûle parfois les ailes. Et c’est ce qu’ils vont apprendre dans la colère, la trahison et la souffrance.

Cette new romance est un vibrant plaidoyer pour le féminisme. Et on apprend d’ailleurs qu’il y a autant de féminismes qu’il y a de femmes. L’auteure dénonce également la manipulation des médias et l’interprétation qui peut être faite de paroles ou de photos par les journalistes. On a quelques passages poignants en Afrique par exemple qui ne peuvent pas laisser indifférent.

Il était très intéressant de voir le parcours de cette miss pendant son « règne » de représentation de la France. Ce qu’on voit et surtout ce qu’on devine… Cette vie que finalement on ne lui envie pas du tout.

Même si je trouve que le milieu du roman comporte quelques longueurs notamment trop de questions et de réflexions, j’ai beaucoup apprécié ma lecture. La deuxième moitié de l’histoire est palpitante et je n’ai pas pu lâcher le livre.

J’avoue avoir beaucoup grincé des dents et encouragé Chucky à aller au bout de ses projets, bon sang ! (Il faut lire ce livre pour comprendre à quel point je me suis identifiée à ce personnage secondaire savoureux !)

Si vous êtes pour l’égalité des sexes, mais que vous revendiquez haut et fort ce que vous êtes, alors ce livre est pour vous !

Conclusion : Une très jolie découverte pour ma part qui suis une féministe dans l’âme tout en reconnaissant que j’ai besoin de mon amoureux. Le message de ce livre : aimez vous comme vous êtes et acceptez que les autres soient différents.
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date : 22-09-2021
Je termine à l’instant ce roman et je n’ai pas sorti les kleenex, mais c’était moins une…

Dans cette romance qui se découpe en deux parties, nous faisons la connaissance de Grey et d’Eleanor.

Dans la première partie, ils sont adolescents et vivement des moments familiaux difficiles. Grey avec sa famille dysfonctionnelle et Eleanor avec la maladie de sa mère.

À l’occasion d’une soirée, ils vont se rapprocher, puis se revoir jusqu’à lier des liens d’amitié très forts. Seulement, le drame que va vivre Eleanor va l’éloigner de l’Illinois et l’obliger à suivre ses parents en Floride. La vie les rattrapant, ils s’éloignent jusqu’à se perdre de vue.

Dans la deuxième partie, on assiste à leurs retrouvailles dans un contexte particulièrement difficile. À la grande surprise d’Eleanor, Grey a changé. Il n’est plus l’adolescent souriant, avenant et attachant. Il est devenu froid et imperméable à toute étincelle de bonheur. Alors qu’elle semble avoir des sentiments très forts pour lui, elle va respecter son choix de garder ses distances.

Je dois avouer que ce roman à deux voix ne laisse pas indemne. On y parle de deuil, d’amour maternel, de sentiments très forts et… d’Harry Potter. Certains passages sont vraiment bouleversants. J’ai beaucoup aimé la répétition du schéma de leur adolescence sur leur vie d’adulte. Ces petits rappels font toute la poésie de cette histoire.

La seule chose que je regrette c’est la rapidité avec laquelle Greyson tombe de sa profonde détresse insurmontable à son envie de construire quelque chose avec Eleanor. Il m’a manqué un peu plus de détails sur l’évolution de ses sentiments ou alors je suis passée à côté… Alors qu’Eleanor est plus constante dans sa façon de penser. C’est vraiment un personnage très attachant, je suis totalement fan.

Et que dire de la plume de BCC ? Bah, que du bien, forcément. Elle fait mouche à chaque fois ❤️

C’est lui, c’est elle, c’est eux.

Conclusion : On ne peut pas rester indifférent devant cette histoire de ces deux âmes-sœurs qui mettent un temps infini à comprendre l’évidence et à l’accepter.
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date : 22-09-2021
En premier lieu, je tenais à remercier la maison d’édition et l’auteure pour la confiance qu’elles m’ont accordée.

À l’occasion de cette lecture, j’ai donc découvert une nouvelle plume que je ne connaissais pas. Ce roman est presque inclassable, j’ai eu beaucoup de mal à le catégoriser. Pour moi, ce n’est pas tout à fait une romance car les mots « amour » et « je t’aime » n’interviennent qu’à la toute fin dans un moment tragique et en même temps, pas de doute possible, ils sont bien là.

On plonge dans un univers sombre, violent et masculin.

Alors qu’elle vivote à Saint Petersbourg, en Russie, June, ancienne Navy Seal, est recrutée par Alekseï et Teli pour intégrer une équipe de mercenaires dont la principale occupation est d’accepter des contrats pour éliminer, torturer ou enlever des gens. Évidemment, on se doute bien que la mafia russe n’est pas étrangère à tout ça.

Tous les personnages ont des passés tortueux et difficiles, ce qui constitue leur principal point commun. Chacun, à leur manière, apporte quelque chose à cette famille de cœur, à défaut d’être de sang.
L’intrigue repose essentiellement sur la recherche du commanditaire de l’assassinat de la famille d’Aleksei alors qu’il était un enfant. On suit avec plaisir la détermination de toute l’équipe à résoudre le mystère.

Le deuxième fil rouge est l’attirance de June pour les deux hommes qui l’ont recrutée, Alekseï, le Russe et Teli, le Rwandais. Ils sont autant complémentaires que le contraste qu’ils dévoilent.

Alekseï est blanc, blond, violent, impulsif, colérique tandis que Teli est noir, tendre, compréhensif et à l’écoute. Entre les deux, June ne peut choisir. On assiste donc à un triangle « amoureux » assez improbable dans lequel les deux hommes affrontent leur jalousie.

J’ai aimé les réflexions de chacun car, ici, nous sommes dans un trois voix. Chaque personnage s’interroge sur le passé, le présent et l’avenir qui devient de plus en plus incertain au fur et à mesure de l’histoire. Et cette fin ! Cette fin, les amis… Je ne sais pas si j’étais en colère, triste ou déçue, mais en tout cas, j’étais chamboulée.

Ce roman nous fait voyager dans toute l’Europe, mais également en Afrique. Les flash-backs sont bien utilisés et pertinents. Quelques scènes de sexe, mais pas à outrance. Juste ce qu’il faut pour pimenter et rythmer l’intrigue. C’est une histoire où se mêlent meurtres, mafia, violence, trahison, amour et sentiments. J’ajoute que les personnages secondaires sont tous très intéressants et particuliers.

La plume de l’auteure est délicieuse. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. J’ai très vite été happée dans les méandres du manoir qui abrite tout ce petit monde.

Conclusion : Adepte de la romance à l’eau de rose et aux petits oiseaux qui chantent, passe ton chemin. Par contre, si tu aimes les romances compliquées qui te bousillent les méninges, il est fait pour toi !
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Je commence cette saga plusieurs mois après sa sortie. Je regrette presque de ne pas l’avoir lue avant, mais nom de Dieu, les journées ne font que vingt-quatre heures bon sang… J’aime beaucoup l’univers des bikers étant moi-même motarde ❤️, c’est pourquoi je l’avais en PAL.

Quand j’ai démarré ma lecture, j’ai tiqué immédiatement : ça me faisait penser à Sons Of Anarchy avec le biker dont l’amoureuse médecin revient en ville… Je me suis dis : « Mais noooooooon ! » Mais que nenni ! Rien à voir les amis !

En réalité, cette femme est l’épine dans le pied d’Ash, celle qu’il cherche à oublier à tout prix. Ce biker sergent d’armes du club des Styx Riders vit par et pour la violence. C’est son quotidien depuis la trahison dont il a fait l'objet. Fils du président du club, il gère ses missions comme il est, c’est-à-dire avec froideur, détermination et noirceur.

Un soir, un ange amérindien avec des plumes accrochées à ses cheveux débarque au Purgatoire le bar tenu par le club et, malgré lui, malgré elle, elle va déclencher le chaos dans son cœur vide.

Cet ange c’est Heden, une jeune femme venue de Los Angeles pour commencer sa vie d’adulte. Embauchée comme fleuriste au Perséphone à Black Lake, elle tombe en panne en face du Purgatoire. Alors qu’elle pensait y trouver facilement un peu d’aide, elle se retrouve confrontée au dieu des Enfers en personne qui la fait tourner en bourrique.

J’ai apprécié les caractères des deux personnages. Ils ne sont pas trop caricaturaux même si on reste dans les clichés connus. Néanmoins, ils ne sont pas mièvres ou carrément imbuvables. On navigue sur le Styx avec eux de bon cœur.

Toutes ces références mythologiques m’ont également fait penser à une autre saga de bikers mondialement connue : les Hades Hangsmen. Pour ceux et celles qui connaissent, je vous rassure, ça n’a absolument rien à voir. On notera que le pseudo de l’auteur « Kalypso » est très certainement emprunté à la mythologie grecque. Calypso est une nymphe qui retient, sur son île, Ulysse au cours de son voyage et qui en tombe amoureuse. Ah ! L’amour…

J’ai trouvé la romance classique et extrêmement addictive. De plus, on a quelques personnages secondaires très pertinents qui apportent de la fraîcheur, et de l’humour, donc un petit plus intéressant.

Les descriptions sont belles et vivantes, la plume de l’auteure est dynamique et incisive. On se plonge sans difficulté dans cette histoire d’un amour qui promet des étincelles.

Conclusion : Un très joli premier tome qui m’a enchanté et empêché d’aller me coucher. J’enchainerai sans tarder sur la suite sans aucun doute.
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