Commentaires de livres faits par Fanny_pierard
Extraits de livres par Fanny_pierard
Commentaires de livres appréciés par Fanny_pierard
Extraits de livres appréciés par Fanny_pierard
— Tu devrais me grimper dessus. Je suis encore plus dur. »
— Loup, répliqua-t-elle calmement, j’ai déjà vu tout ça. »
Quand elle hocha la tête, il enroula ses bras autour d’elle, l’attirant contre lui. Elle l’enlaça fermement.
Il respira son odeur jusqu’à ce que Vlad l’appelle :
— Simon ? Il est temps d’y aller.
Il la libéra et plongea le regard dans ses yeux gris.
— Ne cause pas trop d’ennuis à Vlad et Henry.
— Je ne cause jamais d’ennuis ! s’indigna-t-elle.
Sa repartie le fit rire. Lorsqu’il sortit, elle tempêtait toujours. Et ses vêtements à lui étaient imprégnés d’un parfum réconfortant. »
— Simon ? lança finalement Charlie. Ce n’était qu’une souris.
— Je sais.
— Une petite souris.
— Je sais, soupira-t-il.
— Alors c’est ça, la terrible création de Namid ? intervint Alan après une longue pause.
— Oui. C’est Meg. »
Mais il ne pouvait pas. Pas ici. Pas aujourd’hui. […] Dorénavant, il s’en tiendrait aux limites respectées par les hommes et les femmes qui se montraient aimables, sans plus.
Malgré tout, se blottir dans le lit de Meg la nuit lui manquerait. Cette intimité lui manquerait. Jouerait-elle encore avec lui, ou devrait-il se cantonner à sa forme humaine dans le cadre de leur nouvelle relation ? Si tel était le cas, l’autoriserait-elle à lécher sur ses doigts le beurre et le sel du pop-corn qu’elle mangeait pendant qu’ils regardaient des films ?
Probablement pas. Cette pensée le rendit triste, car Meg avait vraiment bon goût. »
Le fait qu’il aimait se lover contre elle n’avait rien à voir avec cette décision. Rien du tout. »
Et Meg faisait à présent partie des siens, comprit-il tandis qu’ils s’adonnaient à leurs circonlocutions. »
Extrait de
Lettres écarlates: Meg Corbyn, T1
Bishop, Anne
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[...]
«Jusqu'à ce que la mort nous sépare. »
Quand les gens passaient à travers moi, je percevais leur chaleur, j'avais accès à leurs plus chers souvenirs et je sentais leur aura. Quand il eut disparu, je soulevai le col de mon pull pour sentir encore son odeur, un mélange de barbe à papa et de bois de santal. J'inspirai profondément en espérant ne jamais l'oublier. Quand il avait douze ans, il avait risqué sa vie pour sauver un garçon de son quartier attaqué par un chien. Il y avait gagné vingt-sept points de suture. Le fait que ni lui ni le garçon n'étaient morts ce soir-là relevait quasiment du miracle. Mais c'était ce qu'il avait toujours eu envie de faire : aider les gens. Sauver le monde. Puis, une instit de maternelle ivre, nommée Carrie Liedell, nous avait privés de l'un des gentils. »
Cookie me répondit après une longue, longue pause :
— Premièrement, pas vraiment. Et deuxièmement, pas de commentaire pour l'instant. Oh, troisièmement, tu es sur haut-parleur. »
— Oh, je t'en prie, reniflai-je avec mépris. Ça demandait surtout une sacrée paire d'ovaires. »
Extrait de
1 Première Tombe Sur La Droite - Charley Davidson
Darynda Jones
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— Ça s'appelle de l'extorsion.
— Non, ça s'appelle du capitalisme. »
(Ange et Charley)
Extrait de
1 Première Tombe Sur La Droite - Charley Davidson
Darynda Jones
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LAUREL THATCHER ULRICH »
Je me contorsionnai sur mon siège pour lui faire face.
— Mes airbags, comme tu les appelles avec si peu d'éloquence, portent un nom. (Je désignai mon sein droit.) Voici Danger. (Puis mon gauche.) Et voici Will Robinson1. J'apprécierais que tu t'adresses à eux en conséquence.
Après une longue pause, au cours de laquelle il battit plusieurs fois des paupières, il me demanda :
— Tu as donné un nom à tes seins ?
Je lui tournai le dos en haussant les épaules.
— J'en ai aussi donné un à mes ovaires, mais on les voit moins que mes seins. »
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AUTOCOLLANT POUR VOITURE »
Il regardait la lettre comme s’il s’agissait d’une bombe.
— C’est une lettre d’amour. Je lui demande si je lui plais et il doit entourer «oui» ou «non». »
— Ne dis pas que Betty était ridicule.
Il éclata de rire ou, peut-être, en sanglots. »