FantasticLand
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Ce livre aurait pu me plaire s'il avait été crédible, et c'est bien le gros défaut de ce bouquin, en plus de nous vendre du gore en lisant le résumé, gore qui ne sera qu'à peine évoqué.
S'il s'était agi d'une histoire paranormale, à la Stephen King, avec l'ouragan Sadie qui laisse un nuage malveillant planer sur le parc d'attraction après son passage, oui, j'aurais pu y croire.
Mais là ??? Comment expliquer que des jeunes adultes s'entretuent comme des barbares après le passage de l'ouragan alors que les abris, l'eau, la nourriture et les soins existent à profusion ? Si encore le carnage avait commencé quand les vivres commençaient à manquer, mais non, pas du tout.
Des gens qui travaillent au service d'enfants et qui trouvent on ne peut plus normal de torturer ses semblables, juste comme rite de passage pour appartenir au clan ? Sérieux ?? Et ils étaient payés pour faire passer du bon temps à des gosses ??? Non mais de qui se moque-t-on ?!
Grosse déception pour une histoire qui avait vraiment le potentiel. Et mettre sur le dos des jeunes hyper connectés qui deviennent des meurtriers parce qu'ils n'ont plus de wifi ?... J'ai vraiment peur de l'humanité que veut nous décrire l'auteur.
Bref : pas de crédibilité, pas assez de gore, et une écriture assez compliquée pour moi où les évènements sont narrés via l'enchaînement d'interviews où j'oublie toujours le nom de l'interviewé et qui apparaîtra dans le récit d'une prochaine interview. Mémoire de poisson rouge comme moi, abstenez-vous.
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Résumé
Since the 1970s, FantasticLand has been the theme park where “Fun is Guaranteed!” But when a hurricane ravages the Florida coast and isolates the park, the employees find it anything but fun. Five weeks later, the authorities who rescue the survivors encounter a scene of horror. Photos soon emerge online of heads on spikes outside of rides and viscera and human bones littering the gift shops, breaking records for hits, views, likes, clicks, and shares. How could a group of survivors, mostly teenagers, commit such terrible acts?
Presented as a fact-finding investigation and a series of first-person interviews, FantasticLand pieces together the grisly series of events. Park policy was that the mostly college-aged employees surrender their electronic devices to preserve the authenticity of the FantasticLand experience. Cut off from the world and left on their own, the teenagers soon form rival tribes who viciously compete for food, medicine, social dominance, and even human flesh. This new social network divides the ravaged dreamland into territories ruled by the Pirates, the ShopGirls, the Freaks, and the Mole People. If meticulously curated online personas can replace private identities, what takes over when those constructs are lost?
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