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Extrait ajouté par toutoun 2013-07-19T15:41:23+02:00

C’est vrai, au fond, enchaîna-t-elle d’un ton pensif. Qu’est-ce qui différencie le fluide sexuel d’autres fluides visqueux ? La morve a la même consistance que les sécrétions vaginales, mais personne n’aurait envie de plonger sa langue dans de la morve. Comme si l’origine d’un fluide gluant modifiait la façon dont il est perçu. C’est même carrément d’un extrême à l’autre, l’un étant considéré comme répugnant et l’autre comme excitant. Hmm… C’est intéressant, tu ne trouves pas ?

Elle leva les yeux et s’aperçut que Ty pressait son poing contre sa bouche et qu’il était devenu tout rouge.

— Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as avalé de travers ?

Il secoua la tête et, avant qu’Imogen ne se lève pour lui appliquer la méthode de Heimlich, il avala la gorgée de café qui se trouvait dans sa bouche et laissa échapper un rire étranglé.

— Oh, mon Dieu ! Tu veux ma mort, c’est ça ? demanda-t-il en pleurant de rire, s’étranglant à moitié et frappant son torse de son poing.

— Qu’est-ce qui t’arrive ? s’étonna Imogen.

— Évite de parler de plonger la langue dans de la morve quand je bois du café, répondit-il en secouant la tête d’un air amusé. Tu es trop drôle, Emma Jean. J’adore ta façon de voir les choses.

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Extrait ajouté par lara4 2013-05-15T21:05:02+02:00

- Parce que c'est moi qui suis ridicule ? c'est toi qui as décidé de flirter pour le bien de ta thèse ! Comment s'appelle le diplôme que tu prépares, déjà ? Un doctorat d'allumeuse ?

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— Elle est peut-être amoureuse de toi. Ty éclata de rire.

— Excellent ! Cette fille a plus d’affection pour ses chaussures que pour moi.

Imogen n’aurait pas su dire s’il se contentait d’énoncer un fait ou si l’idée que Nikki puisse s’investir émotionnellement vis-à-vis de lui le perturbait, et préféra rester dans le registre de la plaisanterie.

— Ce n’est pas toujours simple de trouver chaussure à son pied.

— Tu sais que tu en as là-dedans, toi ? répondit-il avec un grand sourire. J’adore tes répliques qui font mouche.

— Mais c’est vrai, persista-t-elle en lui rendant son sourire. Quand tu veux t’acheter des chaussures, il y en a de toutes sortes, mais c’est extrêmement difficile de trouver celles qui te conviennent. Elles ne vont pas avec ce que tu portes, elles sont trop simples ou trop élégantes ou encore trop chères. Il n’y a plus ta pointure en rayon ou elles te compriment les orteils ou elles frottent tes talons, elles te font des ampoules ou te font transpirer. Le talon est trop haut ou pas assez, ou alors elles t’épaississent la cheville.

— Tu me fais peur, dit-il. Ça ne fait que prouver que les femmes passent un temps fou à s’inquiéter pour rien.

Elle eut envie de rire, mais sa démonstration n’était pas terminée.

— C’est important parce que les chaussures affectent la perception qu’une femme a d’elle-même quand elle sort de chez elle. Une seule paire de chaussures ne convient pas à toutes les tenues de sa garde-robe. Il en faut au moins une demi-douzaine rien que pour les situations ordinaires. Ce qui m’amène à me demander si les femmes ne devraient pas procéder avec les hommes comme avec leurs chaussures. En posséder plusieurs pour les assortir à leurs différentes humeurs.

Ty éclata d’un rire si franc et généreux qu’Imogen sourit.

— Ce n’est pas bête, déclara-t-il. À quelle humeur m’associerais-tu ? À un vendredi décontracté ?

Non, Ty lui conviendrait les jours où elle aurait envie de jouer les stars de film X, mais il était hors de question qu’elle le dise à voix haute.

— Tout dépendrait de la femme qui aurait envie de te porter, j’imagine.

Imogen n’avait pas pensé au double sens d’une telle formulation, mais à peine eut-elle franchi ses lèvres qu’elle réalisa de quelle façon il pouvait l’interpréter... ce qui ne manqua pas de se produire.

Le regard de Ty s’assombrit et il haussa les sourcils.

Elle s’empressa d’enchaîner :

— Pour Nikki, tu serais sans doute ses escarpins à talons aiguilles, ce qu’elle veut porter quand elle cherche à attirer l’attention et se sentir belle.

Ce n’était pas forcément vrai. Après tout, que savait-elle de Nikki, de ses émotions et de ses motivations véritables ? D’après ce qu’elle lui avait dit, Nikki utilisait Ty pour sa notoriété et sa fortune. Imogen était partagée entre l’envie d’entendre Ty le reconnaître et la crainte de le blesser.

— Je vois, dit-il lentement. Je sais très bien pourquoi Nikki sort avec moi. Elle sort avec moi pour mon argent et pour se retrouver sous les projecteurs des circuits. Ça ne me dérange pas parce que je le sais et que je ne risque pas de tomber amoureux d’elle.

Son genou heurta légèrement celui d’Imogen quand il changea de position sur son siège.

— Non, reprit-il d’un ton pensif. Moi, ce qui me plairait, c’est d’être la paire de chaussures de travail d’une femme. Pas ses talons aiguilles.

— Ses chaussures de travail ? s’étonna-t-elle. Qu’est-ce que ça avait de sexy ?

— Ouais, tu sais, les vieilles godasses qu’elle sort du placard quand elle va faire un truc salissant. Quand elle va jardiner, faire du bateau ou repeindre sa cuisine. Celles qui ne la trahiront pas, dans lesquelles elle se sent bien en toute circonstance. Ses préférées.

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Extrait ajouté par stella67 2014-03-15T21:14:57+01:00

- Il était temps qu'on arrive ! s'exclama Hunter (...). Ce voyage a duré encore plus longtemps que les effets du Viagra !

Imogen, qui ne s'était absolument pas attendue à entendre une telle métaphore sortir de la bouche d'une petite fille de sept ans, en resta parfaitement médusée.

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Extrait ajouté par Gwenn77 2013-07-21T11:33:50+02:00

Ty était parti, et Imogen pleura à chaudes larmes jusqu'à sombrer de sommeil.

Le lendemain matin, elle se réveilla les yeux gonflés et rougis, l'estomac noué. Elle repassa plusieurs fois leur dispute dans sa tête. Qu'avait-elle fait de mal ? Aurait-elle pu agir autrement ? Dire autre chose ? Ces questions ne cessèrent de tournoyer dans sa tête, jusqu'à ce qu'elle soit incapable de se concentrer sur autre chose que la douleur de son cœur brisé.

( ... )

Deux semaines s'écoulèrent et chaque jour fut pire que le précédent. Au début, Ty aurait pu jurer que ce n'était pas possible, mais alors qu'il se dirigeait vers le paddock pour les essais de la dernière course de la saison qui se courait à Miami, il réalisa avec stupeur que c'était parfaitement possible. Il n'avait pas reparlé à Imogen depuis leur dispute. Elle ne l'avait pas appelé.

Chaque jour qui passait accroissait sa douleur et il se sentait un peu plus à cran.

( ... )

Cette pensée n'améliora pas son humeur, qui s'assombrit encore lorsqu'il aperçut Evan Monroe qui se dirigeait vers lui.

- C'est vrai que tu as rompu avec Imogen ? s'enquit-il d'emblée.

Ty rugit intérieurement, mais se contenta de hocher la tête.

- Je suis désolé pour toi, mec. C'est dommage.

- Ouais.

- Tu dois avoir les boules, non ?

- ça va. Ce n'est pas la mort non plus.

Apparemment, il mentait de mieux en mieux, car l'expression affligée d'Evan disparut.

( ...)

- Ah d'accord. Alors ça ne te dérange pas si je lui propose de sortir avec moi ? J'ai un faible pour les brunes.

Ty ne sut pas lui-même ce qui s'était passé. Il était debout à côté d'Evan et, la seconde d'après, celui-ci était allongé par terre et il était assis sur lui, ses mains agrippant le devant de la combinaison d'Evan.

( ... )

Oui, chaque jour s'était révélé pire que la veille depuis sa dispute avec Imogen, et il venait peut-être de toucher le fond.

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C’était la femme qui était plus ou moins l’assistante de Tammy à l’université, celle qui portait un nom dont Ty n’arrivait pas à se souvenir et qu’il n’était même pas capable de prononcer. Il l’avait aperçue un peu plus tôt à l’intérieur, parmi la vingtaine d’invités qui participaient à la soirée, mais s’était arrangé pour l’éviter. Quelque chose en elle l’intriguait. Lui donnait envie de découvrir si cette jeune femme sérieuse et timide était capable de s’ouvrir et de rire ou, mieux encore, de gémir de plaisir, mais en même temps il se sentait idiot en sa présence. Son niveau d’éducation, ses vêtements coûteux et son prénom compliqué le paralysaient.

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Sauf que Ty décida de la suivre.

Imogen n’en crut pas ses yeux.

Après avoir couru sous la pluie, déverrouillé à distance les portes de sa voiture et s’être glissée au volant, trempée et désespérée, elle avait à peine eu le temps de claquer sa portière que Ty ouvrait celle du passager… et s’asseyait à côté d’elle.

— Mais… qu’est-ce que tu fais ? demanda-t-elle, stupéfaite.

— Je dégouline, voilà ce que je fais, répondit-il en secouant la tête avant de passer une main dans ses cheveux. La vache ! Il tombe vraiment des cordes.

Et il n’avait pas de chemise.

Ty était assis dans sa voiture, trempé et torse nu.

— Non, je te demande ce que tu fais dans ma voiture.

N’avait-elle pas clairement exprimé son intention de rentrer chez elle ?

Ty la regarda pourtant comme si c’était elle qui passait à côté de l’évidence.

— Je suis là pour qu’on puisse parler.

— De quoi ?

Imogen se considérait comme une femme plutôt intelligente, mais elle avait du mal à suivre son cheminement de pensée.

Sans prendre la peine de lui répondre, il sortit son tee-shirt de l’entrejambe de son jean. Devant son expression horrifiée, il crut bon de lui décocher un clin d’œil.

— Je l’ai glissé là pour qu’il reste au sec.

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Extrait ajouté par Milka2B 2013-06-19T18:10:04+02:00

Nikki Borden. Vingt-deux ans. Blonde.Bondissante. Pétillante. Taillée comme une poupée Barbie grâce à une campagne de sous-alimentation draconienne, à des implants mammaires et à des injections de silicone un peu partout. Selon des critères strictement masculins, c’était une très belle plante, et Imogen savait que Nikki se donnait énormément de mal pour entretenir sa silhouette. Mais ces efforts se faisaient malheureusement au détriment de son cerveau. Les rares fois qu’Imogen avait tenté de parler avec Nikki, elle en était venue à se demander si la vacuité de son esprit était imputable à un usage excessif de teinture pour cheveux.

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Ty l’aimait. Il l’aimait. Elle.

Imogen n’en revenait pas. Elle était complètement éberluée et surexcitée tout à la fois. L’amour qu’elle éprouvait pour lui enfla comme un ballon et lorsqu’il l’embrassa, elle lui rendit son baiser avec ferveur. Voilà, c’était ça. Le grand mystère. L’amour.

Ce simple concept la stupéfiait.

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Elle n’arrivait pas à croire à ce soudain revirement. Ty ne pouvait pas sérieusement s’intéresser à elle. Il s’agissait d’un simple hasard. Elle était sur le porche. Lui aussi. Il laissait parler son instinct de séducteur et voilà tout.

Cette théorie n’expliquait cependant pas qu’il recule d’un pas pour retirer son tee-shirt et révéler la parfaite tablette de chocolat de ses abdominaux et son torse à damner une sainte. Oh, mon Dieu ! Qu’est-ce qui lui prenait ?

— Qu’est-ce qui te prend ? demanda-t-elle d’une voix qui avait subitement grimpé d’une octave.

— Tes cheveux sont trempés et je ne suis toujours pas allé te chercher de serviette. Sers-toi de mon tee-shirt.

Ce geste à la fois prévenant et curieusement déplacé fit naître un fantasme dans l’esprit d’Imogen.

Il lui avait dit de se servir de son tee-shirt, mais il ne la laissa même pas y toucher. Il se mit en devoir de lui sécher les cheveux lui-même et pressa l’étoffe sur ses mèches trempées pour en absorber l’humidité. Elle resta figée sur place, redoutant, si elle avait le malheur ne serait-ce que de respirer, de briser la magie de cet instant.

Il sentait l’homme. Il n’y avait aucune autre façon de définir son odeur. Il sentait le mec, le savon, avec une touche d’après-rasage. Imogen ne s’était jamais trouvée aussi près de ce qu’elle catalogua instantanément comme un spécimen sublimement viril. C’était une expérience… excitante.Elle ne pouvait pas mieux la décrire. L’accélération de sa respiration, la moiteur de ses mains, le durcissement de ses pointes de seins et le flot de chaleur qui s’était emparée du creux de ses cuisses étaient là pour le prouver.

Passant à ses épaules, Ty continuait d’essuyer ses cheveux, et Imogen continuait d’avoir envie de toucher son torse.

— Je pourrais te réchauffer davantage, dit-il.

Elle ne pouvait pas avoir entendu cela. Ce n’était pas possible.

— Comment cela ?

Elle voulait qu’il le dise à voix haute. Il était tout à fait possible qu’elle n’ait jamais rien désiré aussi fort qu’un baiser de lui à cet instant-là.

— Je peux passer mes bras autour de toi. Partager ma chaleur avec toi, expliqua-t-il en faisant glisser sa main libre autour de sa taille. Et je peux t’embrasser.

Imogen sentit son esprit se figer. Il l’avait dit. Et maintenant, qu’était-elle censée répondre ? Elle avait l’impression qu’un simple « oui » ne parviendrait jamais à franchir ses lèvres.

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