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- On est là pour s'amuser, ajouta-t-il, pressentant qu'il était sur le point de lui avouer la vérité, là, en plein casino. On est amoureux et on s'éclate à Vegas. Tu sais ce qu'on devrait faire avec ces trois mille dollars ? On devrait se remarier !

Suzanne se raidit, recula et lui jeta un regard noir.

- Ce n'est pas drôle, Ryder.

- C'est très sérieux.

- Comment peux-tu dire une chose pareille ?

Oh! oh. Suzanne s'énervait et, comme d'habitude, Ryder ne comprenait pas ce qu'il l'avait mise en colère.

- Je dis ça pour que tu te détendes, pour que tu ne te tracasses pas au sujet de cet argent et que tu profites de ce week-end avec moi. Tu ne comprends pas que c'est ça qui compte, qu'on soit ensemble ? Qu'on soit vraiment ensemble.

Oh mon Dieu, elle avait les larmes aux yeux.

( ... )

- C'est cruel et stupide de dire ça. On n'a jamais été des amoureux qui s'éclatent à Vegas. Pas même pendant notre lune de miel. Et tu ne peux pas avoir envie de te marier avec moi.

( ... )

- Ce sont deux problèmes différents, Suzanne. Et d'un, si je dis que j'ai envie de me remarier avec toi, c'est que je le pense vraiment... et je t'interdis de me contredire ! Et de deux, j'étais fou amoureux de toi pendant notre lune de miel. Je ne sais pas si tu l'étais, mais je croyais que tu avais été heureuse, toi aussi.

- J'étais heureuse, Ryder. Mais j'avais surtout peur. J'étais terrifiée à l'idée que tu m'aies épousée parce que j'étais enceinte et seulement pour ça. Terrifiée à l'idée qu'on s'éloigne progressivement l'un de l'autre, qu'on finisse par divorcer et que tu me brises le cœur. Et c'est exactement ce qui s'est passé !

- C'est toi qui est partie ! explosa-t-il ( ... ). Ce n'est pas moi qui ai demandé le divorce ! Et je ne me suis pas marié avec toi parce que tu étais enceinte ! Je t'ai épousé plus tôt que prévu car tu étais enceinte, mais j'ai su dès le premier jour que je me marierais avec toi !

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Quand le visage de Suzanne se mettait à ressembler à celui de la gamine de L’Exorciste juste avant qu’un flot de liquide vert jaillisse de sa bouche, Ryder savait qu’elle était en colère après lui. Or le visage de Suzanne venait justement d’adopter cette expression, et même si, depuis six ans qu’il la connaissait, Ryder ne l’avait encore jamais vue vomir de la purée de pois cassés, il se méfiait – on ne sait jamais.

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Les mots que venait de prononcer son fiancé dissipèrent la détresse de la demoiselle et tarirent instantanément ses larmes de crocodile. Suzanne se dit que ce grand dadais de Strickland savait y faire pour apaiser Nikki. Un talent qui se révélerait fort utile au cours des quelques mois que n’excéderait sûrement pas leur mariage.

Non que Suzanne fût particulièrement cynique.

Pendant que Nikki faisait les gros yeux à son fiancé et que celui-ci lui susurrait des niaiseries à l’oreille, Suzanne se demanda comment s’y prendre pour faire accepter à la future mariée une interprétation un peu moins littérale du thème d’Elvis. Maintenant que son homme l’avait fait fondre, le moment semblait propice pour lui faire envisager un mariage « rétro », quelque chose d’un peu plus classique…

Ryder, qui avait fait circuler les pizzas et les bières, s’approcha de Nikki et agita un carton de pizza sous son nez.

— Une petite part ?

Nikki tendit machinalement la main pour en prendre une, réalisa brusquement ce qu’elle était en train de faire et retira sa main comme si elle s’était brûlée.

— Oh, mon Dieu ! Enlève cette chose de ma vue ! Je ne peux pas manger ! Je me marie dans cinq semaines ! Je n’ai pas le droit de grossir !

Ryder, abasourdi, resta planté devant elle.

— C’est une pizza aux poivrons, Nikki. C’est excellent pour toi, les protéines.

Suzanne, l’esprit assailli par des visions de son chèque déchiré en mille morceaux, s’apprêtait à lui arracher le carton des mains, quand Nikki frappa de la paume le fond de la boîte de pizza… qui atterrit côté garniture sur la moquette. Beige.

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— Dis-moi, Suzanne, je voulais te demander : comment se fait-il que tu n’aies pas repris ton nom de jeune fille ?

— Trop de paperasse, répondit-elle avec un haussement d’épaules.

Oui, il s’était dit que c’était pour une raison aussi simple que ça. Pas par nostalgie. Ce n’était pas le genre de Suzanne. Pourtant…

— Je te comprends. Tu connais mon goût pour la paperasse.

Elle rit.

— Je suis bien placée pour le savoir ! Et puis, quand je travaillais à la fondation, ça faisait bien de porter ton nom… Tous ceux qui ont quelque chose à voir avec les courses de voitures te connaissent, évidemment. Et franchement, ajouta-t-elle avec un petit sourire, tu connais mon nom de jeune fille. Tu crois vraiment que j’ai envie de m’appeler à nouveau Suzanne Bouton ?

Ryder était tellement habitué à penser à elle en tant que Suzanne Jefferson qu’il lui arrivait d’oublier son nom de jeune fille.

— C’est vrai que vu sous cet angle… s’esclaffa-t-il. Je n’avais jamais réfléchi au fait que ce n’est pas le plus gracieux des patronymes.

Suzanne reposa son verre sur le comptoir si brutalement qu’il déborda.

— Tu te fiches de moi ? s’enquit-elle en tournant vers lui un regard incrédule. Tu n’as pas arrêté de te moquer à cause de ça, le jour de notre rencontre. Si je ne t’avais pas trouvé aussi sexy, je t’aurais rembarré, crois-moi !

— Tu me trouvais sexy ? demanda-t-il, agréablement flatté.

— Comme si tu ne le savais pas, répondit-elle en levant les yeux au ciel.

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Ryder ne put résister à l’envie de poser le bout du doigt sur sa taille pour le faire glisser le long de l’ourlet de son pull.

— Tu veux bien me donner les papiers, maintenant ?

Suzanne ne bougea pas, n’écarta pas la main de Ryder, mais un sourire narquois se dessina lentement sur ses lèvres.

— Bien essayé, Jefferson.

— Je n’ai rien essayé du tout, assura-t-il, mourant d’envie de lui retirer son pull pour la lécher de la tête aux pieds.

— Avise-toi seulement de glisser ta main sous mon pull et tu le regretteras toute ta vie. Les papiers ne sont plus là. Je les ai mis en sûreté.

— Qui a dit que c’étaient les papiers du divorce qui m’intéressaient ? demanda-t-il avec un sourire malicieux.

— Permets-moi de te rappeler que tu as toujours eu un petit problème d’endurance. Je n’aime pas le travail bâclé.

Ryder se figea. Alors ça, c’était un coup bas. Jamais, au grand jamais, pas une seule fois au cours de leurs années de mariage, il n’avait laissé Suzanne sur sa faim.

Ni aucune autre femme, d’ailleurs.

Ryder recula.

— Je ne suis peut-être pas parfait, mais je te trouve inutilement cruelle, Suzanne. Si tu ne descends pas de tes grands chevaux, ton affaire capotera même avant d’avoir vu le jour.

— Cause toujours, tu m’intéresses, rétorqua-t-elle d’un ton égal.

Cette menace voilée n’empêcha pas Ryder de répliquer.

— Si tu ne veux pas m’écouter, il ne me reste plus qu’une chose à faire, répondit-il en tournant les talons pour se diriger vers la porte.

Il était en train de se dire qu’il allait devoir appeler Ty pour qu’il passe le prendre et que, au pire des cas, il ferait le trajet à pied jusqu’à sa voiture, quand un épais magazine de mariage atterrit contre son dos. Le magazine retomba sur le plancher et la mariée qui figurait en couverture le gratifia de son éblouissant sourire.

Ryder ouvrit la porte d’entrée, se retourna et décocha à Suzanne une moue de mépris, bien plus meurtri dans son ego par son attitude que par le coup du magazine qu’elle venait de lui lancer, aussi épais fût-il.

— C’était sympa. On devrait découvrir qu’on est encore mariés plus souvent.

— Pour quoi faire ? Pour plonger un peu plus profondément en enfer à chaque fois ?

Ryder refusa de lui laisser voir qu’elle l’avait touché.

— Tu sais bien que je n’ai envie d’y brûler avec personne d’autre que toi, Suzanne.

Sur ces belles paroles, il claqua la porte, enfonça les mains dans les poches de son jean et s’engagea dans l’allée d’un pas lourd.

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"Celui-ci est un chocolat-noisettes meringué, annonça Suzanne d'une voix tendue en poussant vers lui le quatrième échantillon"

En sentant le chocolat fondre sous son palais, Ryder eut envie d'un verre de lait. Ah voilà! Ça, c'était un gâteau digne de ce nom.

"Vingt sur vingt. Riche en goût, fondant, et la pointe de noisette apporte la touche d'élégance pour le sauver du prosaïsme.

"Tu passes ta vie devant Food Network ou quoi?" lança Suzanne en haussant les sourcils.

Grillé.

"Ma vie peut-être pas. Le lundi, de temps en temps. ça délasse."

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— C’est une promesse ou une menace ?

— Une promesse. Je m’arrêterai quand tu n’en pourras plus.

Une promesse bien alléchante… Mais Suzanne s’appliqua à dissimuler le frisson d’impatience qu’elle avait déclenchée.

— Et si tu ne te rends pas compte que je n’en peux plus, qu’est-ce qui se passera ?

— Dans ce cas, tu mourras.

Suzanne rit. Peu d’hommes l’amusaient, mais Ryder avait toujours su la surprendre par son humour.

— Méfie-toi… Si je meurs, c’est à toi qu’il reviendra d’organiser le mariage de Jonas et Nikki !

Une grimace retroussa ses lèvres.

— Hou ! Je ferais mieux de me montrer prudent, alors. Je n’ai pas du tout envie de me retrouver coincé au milieu de ce gâchis !

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— Je ne savais pas que tu voulais devenir avocate, dit Imogen. Je pense que ça t’irait très bien.

— Moi non plus, je n’en savais rien, fit Tammy. Et pourtant, on se connaît depuis longtemps. Tu sais quoi, Suzanne ? Tu es un vrai mec !

— Qu’est-ce que tu entends par là ? s’offusqua-t-elle. Je ne crache pas, je ne me gratte pas l’entrejambe et je ne clame pas à tout bout de champ qu’une histoire d’amour, c’est aussi bon qu’une bière bien fraîche et aussi douloureux qu’une claque sur les fesses !

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- On est là pour s'amuser, ajouta-t-il, pressentant qu'il était sur le point de lui avouer la vérité, là, en plein casino. On est amoureux et on s'éclate à Vegas. Tu sais ce qu'on devrait faire avec ces trois mille dollars ? On devrait se remarier !

Suzanne se raidit, recula et lui jeta un regard noir.

- Ce n'est pas drôle, Ryder.

- C'est très sérieux.

- Comment peux-tu dire une chose pareille ?

Oh! oh. Suzanne s'énervait et, comme d'habitude, Ryder ne comprenait pas ce qu'il l'avait mise en colère.

- Je dis ça pour que tu te détendes, pour que tu ne te tracasses pas au sujet de cet argent et que tu profites de ce week-end avec moi. Tu ne comprends pas que c'est ça qui compte, qu'on soit ensemble ? Qu'on soit vraiment ensemble.

Oh mon Dieu, elle avait les larmes aux yeux.

( ... )

- C'est cruel et stupide de dire ça. On n'a jamais été des amoureux qui s'éclatent à Vegas. Pas même pendant notre lune de miel. Et tu ne peux pas avoir envie de te marier avec moi.

( ... )

- Ce sont deux problèmes différents, Suzanne. Et d'un, si je dis que j'ai envie de me remarier avec toi, c'est que je le pense vraiment... et je t'interdis de me contredire ! Et de deux, j'étais fou amoureux de toi pendant notre lune de miel. Je ne sais pas si tu l'étais, mais je croyais que tu avais été heureuse, toi aussi.

- J'étais heureuse, Ryder. Mais j'avais surtout peur. J'étais terrifiée à l'idée que tu m'aies épousée parce que j'étais enceinte et seulement pour ça. Terrifiée à l'idée qu'on s'éloigne progressivement l'un de l'autre, qu'on finisse par divorcer et que tu me brises le cœur. Et c'est exactement ce qui s'est passé !

- C'est toi qui est partie ! explosa-t-il ( ... ). Ce n'est pas moi qui ai demandé le divorce ! Et je ne me suis pas marié avec toi parce que tu étais enceinte ! Je t'ai épousé plus tôt que prévu car tu étais enceinte, mais j'ai su dès le premier jour que je me marierais avec toi !

source site "dans notre petite bulle"

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Quand on aime quelqu’un, on l’aime pour la vie, quoiqu’il advienne, et Ryder allait trouver le moyen de convaincre Suzanne qu’ils étaient faits l’un pour l’autre.

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