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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T22:40:30+02:00

— Ben… Tu as changé d’avis ? On arrête tout, hein, si t’es pas sûr !

— On dirait que c’est toi qui flippes, Sarah…

— Moi ? Mais non ! répondis-je un peu trop haut dans les aigus. Bon, j’arrive, fais-moi couler un bain, esclave.

***

En arrivant, je le trouvai dans mon bain !

— J’avais dis « fais-moi » couler un bain, pas « fais-toi » couler un bain !

— T’as aussi ajouté « esclave ». Tu m’aurais dit « s’il te plaît » t’aurais eu ton bain.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T22:39:59+02:00

— Sarah… Réveille-toi, ta mère est là…

— Hum… Dis-lui que je suis pas là, j’ai pas eu ma baise matinale, je peux pas voir le dragon… répondis-je, persuadée d’être dans un rêve.

— Quand je dis qu’elle est là, c’est là, dans la chambre.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T22:41:41+02:00

Je ne répondis pas mais ricanai de plus belle, un peu pompette moi aussi. Je préfère préciser, pour ma défense, que la scène qui suivit fut le résultat d’une combinaison de stress des préparatifs de la soirée plus le taux d’alcool présent dans mon sang, plus le fait que j’étais moi (d’accord, ce dernier argument n’est pas valable, messieurs les jurés).

Je montai sur la table basse, piétinant quelques mini-pizzas, et levai les deux bras en l’air, à la manière d’un conquérant victorieux :

— La tentation était là, sous mes yeux ! Et j’ai résisté ! criai-je. Je suis la seule à avoir résisté à ces corps parfaits qui s’agitaient sous mon nez et me suppliaient de les lécher centimètre carré par centimètre carré ! Mais non ! Et vous savez pourquoi, les filles ? Vous savez pourquoi je suis la plus forte et qu’aucun de ces gigolos n’a pu m’approcher et faire céder le barrage de ma volonté ? Parce que je suis bien baisée ! Ouaip, mesdemoiselles et futures mesdames ! Tout à fait ! Je suis putain de bien baisée : matin, midi et soir ! Je ne suis pas aveugle, je vois bien ces tablettes de chocolat qui ne demandent qu’à être croquées ! Mais non ! Parce que même si j’avoue avoir un peu humidifié ma culotte, je sais que quand Sandro rentrera ce soir il me baisera dans toutes les positions que je lui demanderai alors, non ! Point de luxure ni de tromperie !

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T22:30:32+02:00

— J'ai quitté Sindy.

— Et alors ?

— Je voulais te le dire.

— Je ne vois pas en quoi ça me concerne. Et surtout, ne t'avise pas de me dire que c'est pour moi que tu l'as quittée parce que je ne t'ai jamais rien demandé.

— Ok.

— Bien. Tu veux me dire autre chose ?

— Je ne veux plus jouer.

— Ok, parfait. Moi non plus.

— Je veux te faire l'amour.

Je m'appuyai sur le mur pour éviter de tomber sur les fesses.

— Je croyais qu'on était d'accord, qu'on ne voulait plus jouer?

— C'est exactement de ça que je te parle.

— Tu me parles de cul ! Tu me parles de me sauter encore une fois!

— Non, tu ne m'écoutes pas.

Il s'approcha et me prit les mains. Cette fois, je ne me dégageai pas, je commençais à comprendre ce qu'il voulait dire et donc à flipper bien comme il faut. J'étais un peu en état de choc.

— J'ai quitté Sindy et je veux quitter mon poste, parce que je veux être avec toi.

Je secouai la tête, espérant qu'il allait me dire "Mais non je déconne ! Ah ah ah je t'ai bien eue !

Allons plutôt tirer un coup pour nous détendre." Mais non, il attendait une réponse.

— Je ne suis pas amoureuse de toi.

— Je ne t'aime pas non plus.

— Ah. Alors pourquoi voudrais-tu être avec moi ?

— Parce que j'ai envie d'être avec toi, j'ai envie de te faire l'amour dans un lit, j'ai envie que tu sois la seule.

— Oh, ben… Ça ressemble drôlement à de l'amour ça !

— Non, j'ai juste envie qu'on ait une relation officielle et exclusive.

— Pourquoi ?

— Parce que je ne veux pas que tu sois avec un autre.

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Extrait ajouté par Saph 2014-10-27T20:09:54+01:00

« Sandro s'immobilisa mais le regard que je lui lançai le fit reprendre son rythme immédiatement.

— Sarah, ma petite, je vous ai entendue rentrer.

— Oui, Madame Martin ? criai-je pour masquer les gémissements.

— C'est au sujet de Patapouf, je le trouve un peu déprimé j'avais envie d'en parler…

— Ça aurait été avec plaisiiiiiir, mais je suis un peu occupéééééée…

— Vous êtes sûre, vous n'avez pas une petite minute ? Il est si taciturne.

— Noooooooon, madame Martin, vous tombez plutôôôôôt maaaaaaal…

— Vous allez bien, Sarah ? Vous allez une drôle de voix…

— Je suis en train de baiser, Madame Martin ! »

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Extrait ajouté par mxnomad 2016-06-20T07:51:40+02:00

- Il a une dent contre toi ?

- La mâchoire entière.

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Extrait ajouté par Bookwolf 2018-05-16T14:46:32+02:00

Je passai la journée à traîner en pyjama devant des films à l'eau de rose, accélérant les scènes

érotiques pour ne pas penser à Sandro. Ceci dit, tout me le rappelait. Oh, un vase ! Ça me rappelle la queue de mon amant. Oh, un avion dans le ciel ! Ça me rappelle à chaque fois que je m'envoie en l'air. Oh, une poufiasse blonde ! Ça me rappelle Barbie. Oh, un chat ! Ça me rappelle… Non, là ça ne me rappelait rien... Pour l'instant. Ah ! Non ! Pourquoi j'avais des idées aussi tordues ? Mes yeux me brûlent ! Stop. Le chat, ça ne me rappelait rien.

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Extrait ajouté par toreadistoliveforever 2017-09-13T14:04:30+02:00

- Sarah? tu m'écoutes ?

- Non j'hyperventile. Dis, tu as bien compris que nous avons une relation exclusive, hein ?

- qu'est-ce qui te prend ?

- Juste, je voulais m'assurer que nous sommes sur la même longueur d'onde.

- bien sûr, tu m'inquiètes ... Tu voulais ...

- Mais non ! Pas du tout ! Je pensais a Sindy et ...

- tu penses à mon ex? Tu es sérieuse ?

- Tu va sortir avec tes potes, elle fait partie de ton entourage, je me dis que si elle est là et que tu ressens le besoin de ...

- Sarah, tu fais chier, à force. Je ne suis pas guidé par ma bite !

- D'accord, très bien. C'est parfait.

- je te l'ai déjà dit, alors tes insinuations sont insultantes, à la longue.

- Non, je ne veux pas qu'on se dispute, d'accord ? Parce qu'on ne pourra pas se réconcilier correctement ! Nous sommes trop loin pour ça. Alors ne te vexe pas.

- bien sûr que nous pouvons nous réconcilier.

- Tu m'a fait une surprise et tu es en Tunisie, toi aussi ?

- Ne dis pas n'importe quoi, je te parle du téléphone.

- Oh, genre ... Téléphone rose ?

- Est-ce que tu as conscience que plus personne n'emploie cette expression depuis ... Les années 1980, je dirais. Je ne suis même pas sûr que tu étais née la dernière fois que quelqu'un l'a utilisée.

- Et tu appelles ça comment, toi ? Monsieur le spécialiste ....

- Sexphone.

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Extrait ajouté par Marlene2303 2017-06-09T13:40:51+02:00

J’évite soigneusement de croiser le regard de mon assistant et reprends ma place. Je vais pourtant devoir lui parler toute la matinée pour l’informer de notre organisation. Je vais devoir lui parler tous les jours ! Pas de panique. Comme dirait Barack : Yes, I Can !

Une fois Mika parti, mon ténébreux s’assoit à son bureau et je l’observe du coin de l’oeil. Je me croyais discrète, mais ça ne devait pas être le cas. Il se lève et vient se placer devant moi.

– Vous désirez quelque chose, Sarah Jones ?

Alors oui, j’aimerais encore lécher tes doigts, j’aimerais que tu me prennes sur ton bureau et, pourquoi pas, sur le mien dans la foulée. Si tu pouvais aussi me faire un petit défilé en tenue d’Adam, que j’admire ton joli cul d’un peu plus près, je ne dirais pas non. Une lap dance ne serait pas de refus non plus, si vraiment tu insistes…

Je chasse toutes ces pensées et me reprends :

– Pourriez-vous m’apporter un café, Monsieur Novelli ?

– Sandro. Appelez-moi Sandro, je préfère, si ça ne vous ennuie pas.

Oh, mais je t’appellerais comme tu veux, Darling…

– D’accord….Sandro.

Il sort pour aller à la cuisine me chercher un café. J’en ai besoin et ça me permettra d’arrêter de déconner, ça nous changera, un peu.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-04-30T22:35:09+02:00

Nouveau mantra : "Quand je suis au bureau, je ne dois pas penser aux doigts de mon assistant parce que ma chaise n'est pas waterproof.”

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