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Extrait ajouté par fantasia59 2017-09-01T19:17:28+02:00

"Tu es comme un rêve éveillé, le monde s'efface quand tu me regardes, je n'avais jamais rien ressenti de si intense, je dois être complètement fou pour tomber sous le charme d'une inconnue. Si ravissante soit cet ange. Aidan. "

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Extrait ajouté par fantasia59 2018-03-11T11:05:16+01:00

"Nouvelle victime au répertoire du tueur des bois"

- Cork, Comté de Cork -

Notre malheureuse ville de Cork se voit le théâtre de meurtres bestiaux.

Selon la police, le corps d'un autre étudiant a été retrouvé par des gardes forestiers, dans la nuit de samedi à dimanche, visiblement victime d'un animal sauvage. Les services de police nous informent qu'il ne s'agit nullement d'un tueur en série qui sévirait dans notre région, comme le laissait supposer notre dernier article. Toujours selon un rapport des services de police, ces attaques seraient dues à un puma échappé d'un cirque ambulant qui avait installé ses quartiers d'hiver dans la ville de Killarney.

« La police déclenche le couvre feu

pour protéger les habitants ».

La disparition de ce félin n'aurait été déclarée aux autorités que samedi après-midi, soit six jours après sa disparition. Les blessures infligées aux victimes (griffures, lacérations,...) témoigneraient de l'agressivité du félin.

Ce dernier aurait élu domicile dans les bois de et aurait étendu son terrain de chasse aux abords de Cork. La police demande aux habitants de cette zone d'éviter de se promener seuls dans les bois jusqu'à ce que l'animal ait été retrouvé.

By Northon GREY

- GAZETTE DE CORK -

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Extrait ajouté par fantasia59 2017-09-01T19:13:28+02:00

"Quelle raison ou secret inavouable peut empêcher un garçon d'avouer son amour à la fille de ses rêves ? Flint est si sombre et renfermé, je ne comprends pas son attitude vis-à-vis d'Emy. Il est si étrange parfois ! "

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Comment réagir face à de telles révélations ? Crier, pleurer, nier ou se cacher... Moi, je préfère affronter la situation.

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Extrait ajouté par fantasia59 2017-06-26T10:48:26+02:00

J'ouvris les yeux sur un vide immense et angoissant. Un froid glacial m'envahissait. J'étais comme oppressé dans un trou noir qui m'enveloppait de son manteau obscur. Ma mémoire me faisait défaut ; incapable de me concentrer, je ne me souvenais de rien, ne voyais rien ; seule l'obscurité glaciale et solitaire m'accompagnait. Je ne devais pas paniquer, alors je forçai sur mes autres sens pour comprendre ce qui m'entourait. J’entendis un souffle fort non loin de moi, un long râle haletant. La peur prit le contrôle de mon corps invisible et la panique m'envahit. Je voulais m'enfuir, mais où, et comment ? Je ne voyais rien. C'est alors qu'un bruit de pas lourds écrasant des feuilles mortes crépita dans l'obscurité. Je sentis quelqu'un approcher sans pour autant apercevoir sa silhouette.

Que faire  ?

Le bruissement des feuilles s'accéléra.

Il approche  ! Mais de qui ou de quoi s'agit-il  ?

Je concentrai tous mes sens pour localiser l'inconnu et entendis à nouveau cette respiration forte et cadencée troubler la nuit ambiante. J'avançai à tâtons dans le trou noir, lorsque le bruit sourd d'une masse s'écroulant au sol me parvint. Je sentis le craquement des feuilles et l'humidité du sol sous mes mains. Ce corps était le mien, je venais de trébucher. Une douleur intense se propagea dans ma poitrine.

Cet élancement provenait de mon abdomen, il me tiraillait l'estomac comme une brûlure intense. Mes mains se crispèrent sur cette douleur que je voulais extraire de mes entrailles, mais impossible, je ne pus que me recroqueviller en tremblant de tout mon corps.

D'où venaient ces élancements qui m'embrasaient le ventre encore et encore, à vomir  ?

Je compris rapidement que j'avais faim, si faim que cette sensation me déchirait de l'intérieur.

Mais pourquoi suis-je aussi affamé  ?

Soudain, mes yeux se mirent à brûler. Je voulus les frotter, mais je ne contrôlais plus mes mains, elles restaient crispées sur mon abdomen. Je clignai des paupières à plusieurs reprises pour atténuer cette sensation de brûlure. L'irritante sensation s'atténua, et je découvris mes mains tremblantes recroquevillées sur mes vêtements.

Ma vue revenait, hésitante et trouble. Arrachant mes doigts à la douleur oppressante de mes entrailles, j'entrepris de tâter le sol en aveugle pour comprendre où j'étais.

Une forêt  ? Comment suis-je arrivé ici  ?

Un souvenir émergea  : je me couchais tranquillement dans mon lit pour sombrer dans un sommeil réparateur. Mais au lieu de cela, je me réveillais en enfer dans cette forêt inhospitalière.

Que s'est-il passé  ?

J'étais toujours secoué de spasmes et tiraillé par la faim, lorsqu'un rayon de lune tomba sur mes mains que je ne reconnaissais pas. Pourtant elles ne pouvaient que m'appartenir… Je les retournai et vis du sang dégoulinant sur mes paumes.

Surpris et angoissé, je tâtai mon corps à la recherche d'une éventuelle blessure, … rien  !

Au bout de quelques secondes, je compris que ce sang ne m'appartenait pas  !

En me relevant, une nouvelle douleur martela ma tête. J'essayai de ne pas bouger, espérant qu'elle passerait. Elle s'estompa en effet, cependant un horrible goût de fer titillait mes papilles. En passant ma langue sur mes lèvres, je sentis un liquide lourd et âpre les recouvrir.

Je l'essuyai du revers de ma manche pour m'apercevoir avec horreur que c'était du sang qui s'écoulait de ma bouche. Je scrutai les alentours, déconcerté par tout cela, ayant toujours conscience d'une présence  qui m'observait.

Mais que se passe-t-il  ? Je n'y comprends rien.

Le goût de fer s'amplifia, provoquant une nouvelle nausée. Mes entrailles grondaient, et pourtant mes papilles s'excitaient, ne réclamant qu'une chose  : de la nourriture …

Une faim telle que j'aurais pu dévorer n'importe quoi.

Un bruit attira mon attention.

Des pas  ! Il approche  !

Je regardai tout autour de moi et constatai que l'obscurité s'atténuait laissant apparaître d'énormes troncs d'arbres à travers une brume épaisse. Je me levai en titubant un peu, mes jambes étaient molles et tremblantes. J'arrivai laborieusement à me maintenir debout, en franchissant les arbres qui m'encerclaient. Mais l'obscurité réapparut. Je me retournai pour essayer de déceler autre chose que le néant. Trouver une solution pour m'échapper.

Mon instinct me commandait de courir. Je m'élançai donc à travers le dédale de branches et de feuilles à peine perceptibles, avant d'être stoppé par une lumière aveuglante. Je clignai des yeux pour atténuer cette lueur agressive, improvisant un éventail avec ma main et repris ma course dans une sorte de brume opalescente ; plus d'arbres ni de feuilles, juste un brouillard cotonneux. Quelques pas plus loin, celui-ci se dissipa, et ma vision se fit plus précise. En me retournant pour tenter d'apercevoir mon poursuivant, je constatai que je n'étais plus dans la forêt. Une sorte de muraille composée d'énormes rochers m'entourait. Les uns après les autres, je regardai les huit rochers enfoncés dans la terre depuis des siècles se dessiner progressivement, semblables à des menhirs s'élevant avec dignité à trois ou quatre mètres au-dessus du sol.

Ma vision rétablit, je m'avançai au centre du cercle. Un ours au pelage noir venait d'apparaître à quelques pas de moi, me fixant avec insistance de ses yeux injectés de sang.

Des grognements me firent sursauter et je me tournai vers ma droite. A cinq mètres environ, j'aperçus un loup au pelage noir, une crête blanche hérissée depuis le sommet de son crâne jusqu'au bout de sa queue ébouriffée. Comme l'ours, il était figé entre deux rocs et me fixait d'un œil vif et ensanglanté. Des feuilles tourbillonnaient en typhon autour de moi, le vent froid me transperçait la peau. Je restai juste immobile et pétrifié.

Que me veulent-ils  ? Étaient-ce leurs pas que j'entendais dans la nuit  ? Tant de questions sans réponses  !

Peut-être vont-ils partir  ! Pfff, je peux toujours rêver  ! Gentil loup, gentil nounours !

Dans les embrasures formées par les autres menhirs se matérialisa un puma au pelage crème et aux membres antérieurs zébrés de roux. Je fis volte-face, alerté par un autre bruissement furtif. Je distinguai alors la silhouette d'une biche marron mouchetée de blanc, puis à ses côtés un ours plus petit au pelage brun. Enfin, une sorte d'aigle royal aux plumes blanches vint se poser au sommet d’un menhir. Il était énorme me scrutant comme les autres et glapissant à m'en crever les tympans. Il battit des ailes, dont l'envergure avoisinait les deux mètres cinquante, et s'envola en tournoyant au-dessus du cercle, comme pour m'impressionner par sa puissance.

Ces animaux constituaient, avec les pierres, une prison dont j'étais le centre, sans aucune porte de sortie pour m'échapper. Je me retournai sur ma droite, puis sur ma gauche, impossible de fuir, j'étais encerclé.

D'un mouvement soudain, le loup rompit les rangs en reculant dans l'obscurité jusqu'à disparaître, englouti par un épais brouillard fumant. Puis les autres animaux se retirèrent un à un, pour finir par l’aigle, qui vint frôler majestueusement le haut de mon crâne avant de s'éloigner.

A peine le temps d'ébaucher quelques pas qu’un sifflement strident retentit à travers la nuit. Levant la tête, j'entrevis un spectre bleuté aux yeux luminescents tournoyer tout autour de moi puis disparaître. Seule la rumeur sourde et lancinante du vent résonnait encore. Soudain, le spectre réapparut et me fondit dessus pour m'ensevelir sous une immense cape obscure.

Je fus réveillé brusquement par un hurlement.

Mon hurlement  !

Allongé dans mon lit, je scrutai le plafond de ma chambre. Angoissé et en sueur, je compris que le souffle que j'entendais était le mien. Rejetant mes jambes hors des draps pour les ancrer solidement au sol et reprendre pied, je m'assis au bord du lit. Mon cœur se calma et les tremblements s'estompèrent.

Je contemplai mes mains qui n'étaient plus ensanglantées, juste moites.

Encore ce foutu rêve  !

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