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Extrait ajouté par Miney 2014-06-10T12:37:44+02:00

"C'était quoi la livraison et l'échange ?

- Un bébé fée. Et pas n'importe lequel.

- Échangé contre quoi ?

- Un bébé humain. On est pas trop porté sur le dressage de marmots chez nous. A vrai dire, ça n'intéresse personne. Trop compliqué, trop chronophage, trop aléatoire. Donc comme vous y mettez, en général, une ardeur qui défie toute logique, on échange. On vous file les nôtres pour un stage d'apprentissage de la vie, des bonnes manières, du respect de la classe dirigeante, et on les récupère quand ils ont dix ans. C'est simple, non ?"

Marc-Aurèle grimace, puis agite la tête pour signifier qu'il comprend, les enfants, c'est vraiment pas tous les jours le printemps.

"Et les bébés humains, vous en faites quoi ?

- On les laisse aux nains, qui leur apprennent les mauvaises manières.

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Extrait ajouté par Lady-Stardust 2017-04-19T15:56:18+02:00

« Le jour où les hommes comprendront qu’il existe des récompenses plus nobles que l’argent, il pleuvra des burnes de gobelin…[...] »

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Extrait ajouté par Miney 2014-09-01T20:44:59+02:00

Tu as la tête d'un poisson rouge sodomisé par une baleine bleue.

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Extrait ajouté par Eurylia 2020-04-09T22:22:55+02:00

La magie et les humains, ce n'est définitivement pas compatible.

Par contre, qu'est-ce qu'ils peuvent avaler comme saloperies...

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Extrait ajouté par Eurylia 2020-04-04T11:17:49+02:00

Un monde qui a bien changé. Elle s’y attendait, certes, mais pas à ce point. Tout semble être guidé par un souci d’urgence. Ça cavale dans tous les coins, et quand ça ne cavale plus, ça communique – une façon de conserver la dynamique, l’urgence. Les hommes ont toujours ressenti ce besoin d’aller de l’avant sans bien réfléchir, sans savoir se poser, observer le monde et trouver les voies les plus praticables. Ils préfèrent la ligne droite. Les sentiers sinueux qui mènent sûrement à destination, ça les agace : ils ont l’impression de perdre leur temps. À cela, mieux vaut un bon sprint, qu’importe le mur qui coupe plus loin le chemin et qu’ils se mangeront en pleine poire.

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Extrait ajouté par Eurylia 2020-04-04T11:15:36+02:00

Treize heures. Temps de rentrer à l’hôtel faire le point, se détendre et puis se faire un petit plaisir. S’avachir devant l’arme de destruction massive mise à disposition, et que les hommes nomment d’une bien candide manière téléviseur. Une invention terrifiante, qui, sous le prétexte de favoriser la communication (en flattant l’urgence), de divertir, d’enseigner même, n’en est pas pour le moins l’instrument d’éradication neuronale la plus efficiente jamais imaginée. La décérébration est devenue un art, chose plutôt étrange pour un peuple qui se faisait un honneur de s’élever au-dessus de l’animal.

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Extrait ajouté par FungiLumini 2018-05-12T21:55:33+02:00

Les hommes ont un roi… Pourquoi pas. Les fées ont bien une reine… C’est tout aussi ridicule. Pourquoi un seul être serait-il plus à même de guider un peuple? Nous, nuitons, n’avons ni roi ni reine. C’est l’effort conjoint qui fait fait la force du Clan. C’est la mise en commun d’idées qui permet d’améliorer notre condition, d’optimiser les chasses, de réunir les plus prestigieux Trophées. Attendre d’une seule personne tout ce que la subtilité, l’intelligence, l’expérience collective apportent est parfaitement illusoire. Quel concept aberrant…

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Extrait ajouté par FungiLumini 2018-05-12T21:55:15+02:00

Dans l’appartement règnent un silence pesant, une vibration oppressante de l’air. Ni Marc-Aurèle ni Etienne ne sauraient mettre un mot sur le malaise qui les saisit. Peut-être que le lieu n’est pas feng shui, ou un autre délire ésotérique du cru. Jaspucine, elle, sans s’embarrasser de pertinence sémantique, leur livre la solution :

« Ça pue le nuiton, ici. »

Apparemment, le pseudo-môme pourrit littéralement l’atmosphère.

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Extrait ajouté par Lady-Stardust 2017-04-19T15:58:07+02:00

« L’un de vous deux embarque supersalope sur son épaule et on file au pays des cages. On se retrouve en bas : je prends les escaliers. »

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Extrait ajouté par Lady-Stardust 2017-04-19T15:56:42+02:00

Le résultat est… assommant. Il n’y a pas de mot plus adapté, la langue française n’ayant pas prévu un cas de figure alliant grave pathologie psychotique, kitscherie de l’au-delà et mauvais goût californien. S’il y a eu, un jour lointain, des artistes responsables de la déco de l’édifice, ils ont assurément été formés par Barbara Cartland et son pékinois.

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