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Liste des extraits

- Je te veux, a annoncé le vampire d'une voix sépulcrale.

Les secondes sont passées, se sont cristallisées, se sont étirées encore... puis j'ai éclaté de rire.

- Et moi je veux être millionnaire !

S'il croyait qu'il allait saper mes bonnes résolutions, il se fourrait le doigt dans l'oeil. Ce soir, je n'allais coucher avec personne, vous pouvez en être sûrs. Et surtout pas avec lui.

- C'est possible, m'a-t-il lancé.

- Je vous demande pardon ?

- Si tu veux de l'argent, je peux t'en donner.

Je failli m'étrangler avec ma salive.

- Vous me prenez pour une pute de luxe ?

- Ce n'est pas ce que vous êtes ?

Il m'a coupé le sifflet, dites donc. (page 22-23)

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Pour autant, n'allez pas imaginer que je suis une fille facile ou sans coeur et que je ne cherche pas le prince charmant, loin de là... Je le cherche, mais je ne le trouve pas. Je le soupçonne de me détester sans même me connaitre. Pauvre type!

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-Félicity et moi nous sommes connus une certaine nuit ou j'ai eu le privilège de gouter son... (J'ai retenu ma respiration)amie. Une jeune femme tout à fait délicieuse.

J'ai haussé les sourcils de surprise. Ma cuisse, une copine ? Ben tiens ! On ne me l'avais encore jamais faite. A laquelle je parle le plus souvent ? La droite ou la gauche ?

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Vers midi, je n'avais frachement pas faim, j'ai décidé de m'attaquer au désherbage de l'allée, celle qui est bordée de bruyères sauvages. Je commence toujours par le pied des marches du perron pour finir au portillon toujours ouvert qui donne dans la cour. Comme ce n'est pas une activité que j'aime particulièrement pratiquer, mais il faut s'y coller quand même, je me suis exhortée en augmentant le son de mon baladeur. Penchée en avant, j'ai commencé à arracher les nombreux pissenlits parasites qui jonchaient le sol. La technique, c'est de reculer au fur et à mesure qu'on a nettoyé une zone, histoire de ne pas s'éparpiller et d'être encouregé par la tâche déjà accomplie. Je suis très branchée pensée positive et cette méthode en fait partie.

Donc, je reculais, je reculais... si bien qu'^un moment, je me suis cogné le derrière sur quelque chose de dur. Enfin...pas si dur que ça. En une fraction de seconde, je me suis rappelée que le portillon n'était jamais fermé et qu'à moins d'avoir parcouru les vingts mètres qui me séparaient du grand chêne, je n'avais aucune chance de rentrer dans quoi que ce soit. Comme jamais les jambes écartées, j'ai glissé la tête entre mes mollets pour comprendre. C'est là que j'ai croisé une paire de boots noires, taille 45, au moins.

Je sens que la suite va vous plaire.

J'ai reconnu les boots.

Et parce que je les ai reconnues, j'ai réalisé que mes petites fesses étaient purement et simplement collées au bas-ventre de M.McAllister, notre détective, dans la position la plus embarrassante qui soit.

Chapeau!

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Quand j’ai ouvert un œil en début d’après-midi, j’ai de suite compris que quelque chose allait de travers (....) j’ai senti une vague de chaleur et de légèreté se répandre miraculeusement du creux de mon coccyx, jusqu’en haut de ma nuque. J’avais la sensation d’être caressée par des mains d’une douceur tout à fait exceptionnelle. Je me suis même surprise à ronronner de plaisir en cambrant les reins. Cependant, comme je ne crois pas aux miracles...

- Bonjour, chérie.

Je me suis retournée brusquement en poussant un cri d’effroi. Pendant un instant, j’ai bien cru que j’étais en train de rêver. J’ai fermé les paupières quelques secondes, convaincue que lorsque je les rouvrirais, Terrence McAllister ne serait pas allongé à côté de moi. Pensez-vous, il était bel et bien là, heureux comme un pape. Je peux vous assurer que si j’avais trouvé une salamandre dans mon lit, je n’aurais pas été plus abasourdie.

- J’ai pris soin de te déshabiller. Tu t’étais même endormie avec tes chaussures, quelle drôle d’idée.

J’ai doucement soulevé la couverture pour constater l’état de ma tenue. Gentleman, il m’avait au moins laissé ma culotte.

- Mon soutien-gorge posait problème? ai-je ironisé.

Le regard qui tue... J’ai tâché de rester parfaitement calme.

- On m’a toujours dit que dormir avec des armatures est extrêmement désagréable. Je voulais te rendre service...

Mais c’est bien sûr! Pourquoi avais-je posé la question? J’ai pris une profonde inspiration.

- Sortez de mon lit, immédiatement!

Il a éclaté de rire.

- Mais qu’est-ce que vous faites là!

Il a doucement posé sa main sur mon ventre, tout en installant une de ses longues jambes en travers des miennes.J’en ai été privée d’air.

- J'étais bien trop fatigué pour conduire. Je ne voulais pas risquer l’accident, c’était plus prudent de dormir ici.

- Dans... mon lit? ai-je balbutié en tentant de retirer sa main qui s’activait sans vergogne.

- Le canapé m’a semblé inconfortable.

- «Semblé»? ai-je répété en arquant un sourcil. Parce que vous n’avez même pas pris la peine de l’essayer?

- Non. Mais le plus important ce n’est pas l’endroit où j’ai finalement choisi de dormir, ce qui est important, c’est que je n’aie pas pris de risques inutiles. Tu n’aurais pas voulu que j'aie un accident, Felicity, n’est-ce pas? a-t-il susurré en gratifiant mon estomac de petites caresses pas désagréables du tout. J’étais mortifiée...

- Non, bien sûr... mais, je suppose que maintenant, vous n’êtes plus fatigué, si?

sous-entendant, vous allez pouvoir repartir très vite.

- Non, a-t-il chuchoté en me donnant un petit coup de langue sur le lobe de l’oreille avant de le mordiller. Je suis plutôt du matin. Constate par toi-même.

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- Au fait, Mademoiselle Atcock, vous avez une très jolie maison, mais elle manque quand même d'une légère touche masculine.

Qu'est ce que j'étais supposée comprendre ? Que j'étais en train de devenir vieille fille et qu'un homme devrait investir ma vie de toute urgence ? À moins qu'il ne m'ait juste proposé un "arrangement" à temps partiel ? Il pouvait se gratter, tout policier et canon qu'il soit ! (page 63-64)

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il m'a fichu une sacrée trouille, j'en aurait fais pipi dans ma culotte. D'ailleurs, je crois bien que j'ai laissé échapper trois gouttes.

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- Mais, qu'est ce que c'est que cette plume ?

- On dirait une plume de vautour, a renchéri Mary.

Tiens, celle-là, je n'y avais pas pensé ! Monsieur-J'ai-Des-Cheveux-Longs-Et-Je-Suis-Bien-Trop-Beau-Pour-Etre-Vrai, le vautour. (page 32)

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- Je te jure, Feli, que je vais te tuer !

- Qu'est ce qui se passe ? a marmonnée Daphnée, sortant difficilement de son apoplexie.

- Je crois que j'ai vomi sur Toni.

- Ah bon ?

- Tu voudrais peut-être que je t'envoie un seau d'eau ? ai-je crié par dessus l'épaule de Stanislas qui s'était posté devant la fenêtre pour voir. (Une vraie concierge !) (page 285)

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Cette histoire allait me mener exactement là ou je ne voulais pas aller: tout droit dans la gueule du loup.

Question subsidiaire. mais qui est le loup?

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