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Commentaires de livres faits par parfumdemots

Extraits de livres par parfumdemots

Commentaires de livres appréciés par parfumdemots

Extraits de livres appréciés par parfumdemots

date : 09-03
Après avoir frôlé le coup de cœur avec Northman Rhapsody de la même autrice, j'ai eu envie de rattraper mon retard dans ses parutions. J'ai ainsi jeté mon dévolu sur Too Young for Me qui m'avait été maintes fois recommandée puisque je suis très friande des romances interdites avec une différence d'âge.

J'ai passé un très bon moment de lecture avec cette histoire qui m'a fait penser à deux romans que j'adore : Love Online de Penelope Ward (pour le côté "cam-girl") et Les règles de l'amour de Sara Cate (pour la différence d'âge et le club pour adultes). Too Young for Me était pour moi un savoureux mélange de ces deux romans-là.

Cela étant dit, ma préférence reste toujours à Northman Rhapsody et de loin mais les deux romans n'ont en même temps rien à voir et ne sont pas vraiment "comparables" dans le sens où les romances dépeintes ne reposent pas sur les mêmes bases : Northman Rhapsody dépeint les sentiments amoureux de deux personnes qui s'aiment d'un amour si profond qu'ils en souffrent tandis que Too Young for Me dépeint plutôt une romance fondée sur le désir et l'attirance physique avant tout.

Ce que je préfère fondamentalement dans une romance, c'est voir deux personnages tomber amoureux l'un de l'autre, voir les sentiments profonds qu'ils ressentent l'un pour l'autre, indépendamment de l'attirance physique qu'ils peuvent ressentir. Je l'ai forcément moins ressenti avec ce roman donc peut être qu'il me marquera moins, dans la durée, que Northman Rhapsody mais il n'en reste pas moins que j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture.

J'aurais cependant peut être voulu avoir plus de passages avec le petit Cael (j'en suis même arrivée à vouloir un spin-off sur lui, c'est dire haha). Je ne pense pas que cela soit prévu par l'autrice mais qu'importe, il me reste encore beaucoup d'autres écrits de Milyi Kind à découvrir. Il me tarde déjà de plonger dans un prochain !
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date : 25-02
Wahou, quelle lecture. Je me suis faite complètement embarquer dans les flots tumultueux de Northman Rhapsody, en plein conflit nord-irlandais, en pleine guerre de religion. En plein dans un amour interdit qui transcende, broie, noie et incendie nos deux héros.

Northman Rhapsody dépeint l'amour le plus fort et le plus pure. Celui qui déchire l'âme, le corps et l'esprit et qui est presque physiquement et émotionnellement douloureux à lire. La plume de Milyi Kind est savoureuse, l'autrice ayant cette capacité à décrire les sentiments de ses personnages de façon si profonde et brute, comme je l'ai rarement lu.

Dans ce roman, nous avons principalement le point de vue de Keir, le personnage masculin et pfiou... j'ai rarement été dans la tête d'un personnage si fou amoureux que ça en transpire par tous les pores. C'est bien plus qu'une attirance physique, c'est la connexion de deux âmes. Deux âmes imparfaites qui ont besoin l'une de l'autre pour subsister.

Je n'arrivais tellement pas à lâcher ce roman que je l'ai dévoré en 24 heures (et me suis couchée bien trop tard) alors qu'étrangement, ce n'est pas un roman dans lequel les rebondissements sont "inattendus". On s'attend forcément à la tournure du roman (quoi qu'on se demande quand même tout du long de quelle façon cela va pouvoir se terminer).

C'est vraiment la tension entre Seena et Keir qui m'a fait tourner les pages de façon frénétique et tenue en haleine tout du long, en attente qu'ils succombent à cet amour hors normes.

Je suis une grande fan des romances interdites sous toutes leurs formes, bien construites et qui prennent leur temps, et je n'ai pas été déçue du voyage : Northman Rhapsody m'a donnée envie de découvrir tous les autres romans de Milyi Kind.
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Ce roman fut pour moi une véritable déception et alors même que Rebecca Yarros fait partie de mes autrices préférées (grâce à Chère Ella et à sa série des Renegades). J'étais absolument certaine d'aimer Fourth Wing, persuadée de sauter à pieds joints dans une valeur sûre. D'autant plus que tout le monde semble avoir eu un coup de cœur pour ce roman, que ce soit en France comme à l'étranger.

Sincèrement, je pense que ce livre est, et restera, ma plus grosse déception de l'année 2024. Autant si j'ai apprécié le début du roman qui me faisait penser à Tris dans Divergente qui débarque chez les Audacieux au lieu des Erudits (Violet qui débarque chez les dragonniers au lieu des scribes), j'ai vite déchanté après les 40 premiers pourcents. En effet, et alors que je me faisais une joie de découvrir LA fameuse romance dont tout le monde parle (et qui a fait aussi le succès de Fourth Wing si je ne m'abuse ?) je dois dire que je suis complètement tombée des nues face à la rapidité avec laquelle Violet et Xanden passent de : "je le/la déteste" à "je ne peux pas vivre sans toi".

Je suis désolée mais pour moi ce n'est pas ce que j'appelle un "slow burn", surtout pas quand on sait qu'on part sur une série de cinq tomes, cinq tomes messieurs dames ! Pour moi, un bon slow burn en Fantasy, c'est une romance qui ne s'installe pas dès le premier tome mais que l'on voit prendre forme et s'installer au fil des tomes. Là, très sincèrement, j'ai ressenti si peu d'attachements pour leur relation (parce que ça va trop vite bordel) que même les scènes de smut m'ont cringe comme pas possible (et je me serais bien passée de certaines descriptions pour tout dire).

Franchement, à part passer son temps à dire que Xaden est "trop beau, trop musclé" et qu'il lui donne beaucoup de palpitations, je trouve que Violet n'a pas très bien ciblé ses priorités dans un endroit où elle est supposée risquer sa vie à chaque instant (mais elle a d'autres priorités que d'essayer de tenir assise sur son dragon visiblement). Et vraiment, le nombre de fois où l'expression "Par mes Dieux" est utilisée, c'est indécent (il aurait peut-être fallu "doser" à ce niveau là je pense). Sans compter qu'elle était "soit disant" amoureuse de son meilleur ami depuis sa plus tendre enfance mais cela semble vite oublié (aaaah les pouvoirs d'un torse musclé et d'un regard ténébreux...).

Par certains aspects, Violet me fait penser à Feyre dans ACOTAR (et, croyez-moi, ce n'est pas un compliment dans la mesure où Feyre est loin de faire partie de mes héroïnes favorites). Je me suis très sincèrement forcée à terminer ce bouquin (parce qu'après tout, j'ai dépensé 30 euros dans la magnifique édition reliée) mais je vais m'appliquer à conserver mon argent pour les tomes suivants. Je passe mon chemin et vais essayer de partir en quête d'un vrai bon slow burn comme je les aime.
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Je suis ravie d'avoir pu découvrir ce roman sous les conseils d'une amie car je n'en avais jamais entendu parler et ce fut une belle surprise. Il faut dire que j'ai un faible pour les romances dans lesquelles les personnages ont eu un véritable vécu ensemble et notamment lorsqu'ils ont été mariés par le passé.

Il est difficile de ne pas être touché(e) dès les premières lignes par l'histoire de Lucy et Fisher et par le mal qui ronge ce militaire au fil des années : le syndrome post-traumatique. Ce sujet fut très bien abordé par l'autrice qui illustre bien le fait que, parfois, l'amour ne suffit pas : même avec tout le soutien et l'amour du monde, ce n'est pas toujours suffisant quand la personne concernée ne prend pas conscience par elle-même qu'elle a besoin d'aide. C'est une histoire d'autant plus touchante quand on sait que le père de l'autrice, vétéran du Vietnam, a été touché par un syndrome post-traumatique.

Dans la même veine, avec deux personnages mariés qui ont également divorcé, je dois dire que j'ai tout de même préféré le roman "Des lettres du passé" de Devney Perry (sans doute parce que Molly et Finn avaient deux enfants et que c'est un peu mon péché mignon les enfants dans les romances). Je dois dire aussi que j'aurais aimé parfois plus de développement/approfondissement dans le roman de Tara Sivec : j'ai trouvé notamment la partie "reconquête" de Fisher un peu trop rapide et "facile" à mon goût. À mon sens, quelques pages supplémentaires n'auraient pas été trop dans ce roman.

Cela étant, c'est un roman que je ne peux que vous recommander car il a le mérite de sortir des sentiers battus et de traiter de façon très juste et personnelle du syndrome post-traumatique.
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En tant que fan absolue de romances interdites avec différence d'âge, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman de Lucia Franco dont j'attendais la traduction française avec grande impatience.

Je dois dire que j'ai passé un très chouette moment de lecture de par le plot plutôt original et prenant (une étudiante de 21 ans qui va devenir escort et s'enticher de l'un de ses "clients" qui a 52 ans). Ce qui fait surtout la force de ce roman, c'est le plot-twist totalement inattendu qui m'a fait refermer le livre la bouche grande ouverte tant je ne m'y attendais pas.

Malheureusement, j'aurais sans doute souhaité qu'après cette "révélation", les deux personnages éprouvent peut être des "remords" vis-à-vis de la situation, surtout lui qui est quand même adulte et ne se remet pas du tout en question, ce que j'ai trouvé un peu gênant quand on sait finalement qui il est vraiment...

Cela étant dit, cela reste un roman que j'ai apprécié découvrir (je réitère que c'est rare de ne pas voir venir quelque chose dans une romance donc c'est un point positif), et qui a même réussi à m'émouvoir sur la fin.

L'héroïne est, certes, particulièrement agaçante, mais je pense que je lui en ai moins voulu qu'au protagoniste masculin car on pourra dire qu'elle a encore "l'excuse" de l'âge alors que lui est censé être la personne la plus raisonnée et raisonnable des deux. Ce qui, à mon sens, n'était pas vraiment le cas dans cette histoire...

Je pense que j'aurais sans doute apprécié une plus grande "lutte" entre les deux, surtout après la révélation, et que les sentiments arrivent peut être un peu moins rapidement (surtout du côté de James, encore une fois, au vu des circonstances).

Malgré tout, c'est un roman que je ne regrette pas d'avoir lu et que je vous conseille même de découvrir si vous aimez les romances interdites avec différence d'âge car je pense qu'il en vaut le coup d’œil rien que pour son rebondissement inattendu.
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J'ai eu un véritable coup de cœur inattendu pour le premier tome de cette saga. Pour tout dire, je n'en attendais pas grand chose au départ car le résumé ne me parlait pas plus que cela. J'ai pourtant décidé de donner sa chance à ce roman car Danielle L. Jensen est une autrice dont on entend beaucoup parler depuis l'année dernière avec sa série adulte "Le Pont des tempêtes".

Si je m'attendais à ça... J'ai accroché dès les premières pages, complètement prise et embarquée aux côtés de ce peuple des Maarins. Par certains aspects, ils m'ont fait penser au peuple des Na'vis (Avatar), car ils ont eux aussi leurs propres divinités, leur propre langue, culture et distinction physique (leurs yeux).

Et surtout... le personnage masculin, Marcus, devra également se "servir" de Teriana pour parvenir à ses fins et conquérir les "Sombres Rivages" dont seuls les Maarins ont la connaissance.

Par ces aspects-là, la relation enemies to lovers entre Teriana et Marcus m'a fait penser à celle entre Jake et Neytiri dans Avatar et même certaines scènes en particulier m'y ont fait penser (quand elle traduit pour lui les discours de Marcus pour s'adresser aux peuples de l'Ouest notamment). Alors, la comparaison s'arrête-là, on s'entend, mais j'adore personnellement quand les deux personnages appartiennent à des camps ennemis et se servent chacun de l'autre pour parvenir à leurs fins, se faisant percuter par leurs sentiments au passage.

Pas un seul instant je ne me suis ennuyée dans ce premier tome, l'autrice sait nous tenir dans l'effervescence, nous donnant toujours plus envie de grappiller des chapitres supplémentaires. Et la suite promet d'être encore plus palpitante car de nombreuses questions restent encore en suspens :
Spoiler(cliquez pour révéler)
Lydia va-t-elle reparaître ? Comment va réagir Teriana en apprenant ce que Marcus a fait à sa meilleure amie ? Va-t-on revoir la tante et la mère de Teriana dans le prochain tome ? Comment va évoluer la relation amoureuse entre Teriana et Marcus alors même qu'ils subsistent tant de non-dits ? Quel est le mal qui ronge Marcus ?


La suite s'annonce donc encore plus passionnante et je suis ravie d'apprendre que la sortie du second tome devrait arriver assez rapidement (en mai, selon Amazon).
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date : 20-01
J'ai passé un très bon moment de lecture mais le "twist" de l'histoire est, selon moi, beaucoup trop facile à deviner dès le début. En fait, je me demande sincèrement s'il y a des lecteurs qui ont véritablement réussi à être surpris à la lecture de ce livre (et auquel cas, tant mieux) mais les "indices" disséminés par l'autrice sont tellement peu "subtiles" que ça m'a un peu fait l'effet d'un éléphant dans un magasin de porcelaine ou comme si l'autrice agitait un phare en mode : "Regarde, c'est ça le secret de Daisy Darker".

Spoiler(cliquez pour révéler)
En fait, j'ai compris dès lors que Conor est arrivé dans le manoir et qu'il est monté dans la chambre avec Daisy. Je trouvais ça vraiment étrange qu'il ne lui réponde pas et je me suis alors fait la réflexion qu'aucun personnage depuis le début ne s'adressait directement à elle. Et cela m'a paru d'autant plus flagrant quand Daisy a écrit "Bouh" sur l'ordinateur de Conor, je me suis dit que l'autrice prenait peut être un peu trop ses lecteurs pour des courges à ce moment-là 😂


J'ai été d'autant plus frustrée que ce roman est court et qu'il coûte tout de même 22 euros donc 22 euros pour tout deviner en moins de 50 pages, je ne pense pas que cela soit un achat tout à fait rentabilisé. Néanmoins, je garderai tout de même un souvenir plutôt positif de cette lecture car j'ai passé un bon moment dans sa globalité, je me suis vraiment attachée à Daisy (elle m'a fait de la peine, bichette) et j'ai adhéré à la plume de l'autrice également, dont j'ai relevé plein de jolies citations. Je pense que c'est une autrice que je relirais avec plaisir malgré tout, en espérant être davantage surprise avec le prochain. 😉
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Je me suis très franchement forcée à terminer ce bouquin parce que je le lisais en lecture commune avec une amie à la base (et que j'ai payé 24,90 euros le relié), sinon je l'aurais abandonné. Ce ne fut franchement pas une partie de plaisir pour moi cette lecture et cela tient en une seule raison : le personnage féminin. Mon enfer personnel.

Je suis désolée mais elle est censée être l'héroïne de cette histoire mais elle ne m'a absolument pas fait rêver. Toutes les pires décisions possibles et inimaginables, elle va les prendre. J'aime personnellement les héroïnes, badass, celles qui ont du caractère, voire presque les "anti-héroïnes", mais alors elle, c'était tout l'inverse : stupide, irréfléchie, naïve, niaise et j'en passe...

Pour moi, l'attachement aux personnages est la chose la plus importante pour me faire accrocher à un roman et là je dois dire que l'autrice a failli avec Evangeline Fox. De fait, je ne me suis même pas attachée/intéressée à la potentielle et future romance que l'on sent arriver dans les prochains tomes (de toute façon on voit si peu Jacks dans ce tome que c'était compliqué de s'y attacher aussi).

En outre, en dehors des petits dragons qui brûlent des saucisses sur le marché du village, je n'ai pas trouvé la magie incroyable non plus. Bref, je n'avais déjà pas accroché à Caraval dont je n'étais même pas allée au bout de la trilogie mais alors là je pense que j'ai encore moins apprécié ce livre-ci donc je m'arrête-là avec cette nouvelle trilogie et cette autrice qui n'est décidément pas faite pour moi.
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Je ne sais pas comment j'ai pu passer à côté de cette trilogie pendant toutes ces années (sans doute en raison de ces couvertures peu vendeuses) mais toujours est-il que je suis ravie d'avoir commencé l'année 2024 avec les Renegades car cette série était vraiment géniale !

Il faut dire que le concept de base de ces étudiants que l'on suit sur un paquebot était déjà ultra fun et a contribué a ce sentiment de voyage et d'évasion que j'ai ressenti tout au long des trois tomes. Pour être tout à fait honnête, je pensais, dès le premier tome, que mon tome préféré allait être celui sur Penna. Finalement, après en avoir tourné la dernière page, je dois admettre que mon préféré restera le tome deux avec Rachel et Landon. C'est clairement le couple qui m'aura le plus touchée, fait vibrer et globalement, c'était un tome aussi dans lequel on voyageait beaucoup plus que celui-ci.

En effet, ce troisième tome se passe en grande partie sur le paquebot, ce qui n'était pas pour me déplaire car je trouvais qu'il n'y avait pas tant de scènes que ça sur celui-ci dans les précédents tomes. Cela étant, je dois dire que j'ai été moins touchée par la romance entre Penelope et Cruz, sans doute parce que Cruz est un personnage que l'on n'a pas connu dans les précédents opus. De fait, je ne me sentais pas particulièrement investie dans son histoire personnelle et toute l'intrigue autour du sauvetage de sa sœur à Cuba.

En outre, on est ici face à une histoire "coup de foudre", Penna et Cruz développant rapidement des sentiments très forts l'un pour l'autre (en une soirée, pour être exact), et je dois dire que je préfère voir les sentiments naître au fur et à mesure et ressentir la petite pointe de frustration quand les personnages mettent du temps avant de succomber l'un pour l'autre (à l'instar de Rachel et Landon dans le tome 2), ce qui n'était pas le cas ici.

Je dois dire aussi que la Penna de ce tome n'était pas tout à fait celle que j'avais imaginé dans les précédents tomes (pour être claire, je ne m'attendais pas du tout à tomber sur le schéma de la fille sans expériences). J'ai également été assez frustrée par toute la partie avec sa sœur Brooke : j'aurais préféré que l'autrice s’appesantisse davantage sur celle-ci, au détriment de l'histoire de Cruz qui, pour ma part, ne m'a pas vraiment intéressée dans la mesure où, encore une fois, c'est un personnage que l'on ne connaissait pas avant ce tome.

Peut-être qu'au fond de moi, j'imaginais Penna faire sa vie avec un Renegades (Cruz, par exemple, ce qui aurait, de facto, permis de développer encore plus la relation entre Penna et Brooke, chacune ayant ainsi des choses à "pardonner" à l'autre). Je dirais même plus : j'aurais aimé que l'autrice face des Renegades une série plus longue, je pense qu'il y avait encore matière à faire de chouettes tomes et à développer encore plus certains personnages secondaires (Zoé, par exemple) même si je comprends que le concept des trois semestres sur le paquebot ne tiendrait plus (même si elle aurait pu faire une année supplémentaire avec des redoublants, par exemple).

C'est surtout parce que j'ai passé un si bon moment avec cette trilogie que je suis triste qu'elle soit déjà terminée. J'aurais prolongé le plaisir pour longtemps encore, je l'avoue. Même si ce tome-ci n'était pas mon préféré et que ce n'était peut-être pas non plus la Penna que j'imaginais au départ, je dois dire que la fin (et surtout l'épilogue) était particulièrement belle et clôt parfaitement le chapitre des Renegades.
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Wahou, ce deuxième tome a frôlé le coup de cœur, je ne m'attendais tellement pas à ça ! Pour tout dire, je partais un peu à reculons au début avec celui-ci car je voulais absolument découvrir l'histoire de Penna (du troisième tome donc) mais je râlais un peu en me disant qu'il fallait d'abord que j'en passe par ce deuxième tome. Et bien, maintenant, je me demande comment il sera possible que j'aime le troisième et dernier tome davantage que celui-ci.

Tout était absolument parfait dans ce tome, à commencer par la romance qui prend véritablement son temps (contrairement au premier). Landon va devoir sortir les rames pour reconquérir Rachel qui ne lui fait pas de cadeaux (à tel point qu'il m'a parfois fait de la peine, bichette). En même temps, j'ai aimé être face à une héroïne qui, pour une fois, n'est pas conciliante et reste droite dans ses bottes et ne lui pardonne pas facilement parce qu'il lui chante la sérénade.

J'ai aimé ressentir leur amour respectif dans leurs regards, dans leurs gestes (la scène où Landon met ses cornichons dans le burger de Rachel, sans qu'elle ne s'en aperçoive, parce qu'il sait qu'elle adore ça, c'est bête mais j'ai trouvé ça mignon). Honnêtement, j'ai même envie de dire que c'est le genre de bouquin que j'aimerais voir adapté (une série Amazon Prime intitulée "Les Renegades", ce serait cool, non ?).

En effet, il se passe tellement de choses, tellement de péripéties durant leur voyage... qu'on en prend, visuellement, plein les yeux. J'ai d'ailleurs trouvé qu'on voyageait encore plus que dans le premier tome entre le Sri Lanka, le Népal, la Corée... c'était vraiment hyper immersif et j'ai, de nombreuses fois, eu des sueurs froides pour nos deux personnages (coulée de boue / Himalaya).

Enfin, j'ai aimé voir qu'ils se soutenaient dans leurs projets respectifs, malgré tout : Rachel soutient Landon dans ses sports extrêmes et lui la soutient dans ses recherches pour retrouver ses origines en Corée. Ce fut une belle histoire d'amour, qui nous donne envie de nous tirer les cheveux parfois, certes, mais que j'ai trouvé en sommes plutôt réaliste et bien faite. Je me demande sincèrement maintenant, comment je vais pouvoir aimer davantage le couple du dernier tome.

Ce qui est certain, en tout cas, c'est que Rebecca Yarros est doucement mais sûrement en train de se faire une place de choix dans le classement de mes autrices préférées depuis Chère Ella.
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Ayant eu un gros coup de cœur pour le roman "Chère Ella", j'ai décidé de poursuivre ma découverte des récits de Rebecca Yarros avec ce premier tome de la série des Renegades.

Si cette série remonte désormais à presque dix ans, donc avec les codes et clichés de l'époque, je trouve malgré tout qu'elle a tout de même réussi le pari de se démarquer à sa façon et de rester tout à fait "dans l'air du temps".

J'ai particulièrement apprécié le plot de l'histoire et le fait que l'on suive une bande d'étudiants sur un paquebot (même si finalement, on ne les voit pas tant que ça dessus puisqu'ils font beaucoup d'escales durant ce semestre). La bande de potes m'a fait penser à celle de la série Outerbanks (la chasse au trésor en moins haha), ce groupe soudé qui traverse des tas d'épreuves, des amitiés qui se transforment en amour, des trahisons, des ruptures...

Et même si effectivement on devine assez facilement la tournure de l'histoire, j'ai quand même réussi à être surprise par un élément à la fin. Mon seul regret finalement dans ce premier tome, c'est que j'ai trouvé la romance beaucoup trop rapide. Je suis une friande des romances qui prennent leur temps, celles dans lesquelles on voit véritablement les deux personnages développer des sentiments amoureux l'un pour l'autre au fur et à mesure et là ce ne fut pas vraiment le cas. Après, je leur pardonne parce que je me dis qu'ils sont dans la fleur de l'âge, qu'ils passent leur journée en maillot de bain, que leurs cabines sont côte à côte... La tentation est grande, haha.

Je vais tout de même poursuivre la suite de la trilogie avec grand plaisir car, mine de rien, on s'attache à cette bande de potes et on a envie de tous les retrouver.

J'ai particulièrement hâte de lire le tome sur Penna car c'est mon petit coup de cœur de ce tome et le personnage que j'ai préféré. J'adore les héroïnes badass, un peu "garçon manqué" donc il me tarde d'arriver à son tome, je suis triste d'ailleurs que ce ne soit pas le prochain !
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J'attendais la traduction de cette série depuis si longtemps que je me faisais une joie de découvrir ce premier tome dès l'instant où j'ai appris qu'il allait sortir en français. Malheureusement, ce roman fut pour moi une énorme déception et je dois même dire que je me suis forcée à le terminer parce que je culpabilisais de l'avoir acheté...

Je pense que je m'attendais à une histoire peut être plus "mature", avec de vrais bikers bien comme il faut alors qu'au final on se retrouve avec un minot de 17 ans qui galoche la fille le premier soir sauf que, manque de bol, c'est sa prof d'anglais.

Et si, en soit, l'idée de suivre un biker au lycée n'est pas mauvaise et est même plus originale, c'était sans compter le cliché ambulant du personnage féminin qui fait preuve d'une immaturité sans bornes alors qu'elle est censée être plus adulte et mature que lui.

Franchement, ce roman est vraiment l'illustration parfaite de la raison pour laquelle je déteste le schéma prof/élève : la fille passe son temps à dire "Il ne faut pas, je suis ta professeure et tu es mon élève" mais deux secondes plus tard, dans la même scène, elle accepte qu'il lui fasse des choses peu catholiques entre deux étagères. J'ai vraiment du mal avec les héroïnes qui manquent de consistance et de volonté.

Sans parler que je ne comprends pas comment cette personne peut être professeure alors qu'elle laisse ses élèves lui dire en plein cours qu'elle est l'archétype de la fille niaise et intello et qu'elle rétorque simplement "c'est vrai". Vraiment, les dialogues dans ce roman étaient particulièrement lunaires (je passe le passage où notre cher biker adoré lui dit qu'il aime les bébés mais qu'il aimerait plus encore les lui "planter", au secours).

Je vais passer le fait que la romance est ultra rapide, qu'elle tombe amoureuse de lui en un claquement de doigts simplement en l'apercevant sur un parking, qu'il la considère déjà comme sa "femme" alors que ce n'est qu'un adolescent, que les scènes de smut sont particulièrement mal écrites, que le rebondissement final sort du chapeau et se résout en un chapitre, que l'épilogue se clôture sans se clôturer... Vraiment, cette lecture fut pour moi un gros flop et j'en suis la première attristée car j'attendais cette sortie avec impatience et que j'adore habituellement la maison d'édition Juno Publishing.
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Une histoire à la fois belle et terriblement frustrante. Il faut dire que j'ai toujours eu un faible pour les romances "impossibles" mais je dois dire que celle d'Emilie et Younes est tellement particulière et unique qu'elle en est difficile à oublier.

Au début, on peut penser que c'est parce qu'ils viennent de deux milieux complètement différents mais c'est beaucoup plus compliqué que ça, leur histoire n'est qu'une succession d'actes manqués, d'occasions ratées et c'est sans doute cela qui est le plus douloureux. Ils sont leur propre interdit. Cela se joue parfois à rien.

Vous allez être remplis d'émotions contradictoires face à cette histoire, je crois qu'elle ne peut laisser personne indifférent (en tout cas, les personnes que je connais qui ont vu le film ou lu le livre sont assez unanimes à ce sujet). Et le film est par ailleurs très fort pour nous tirer des émotions rien qu'avec la musique.

Mais au-delà d'une histoire d'amour, c'est avant tout une histoire de vie : celle de Younes, devenu Jonas, et jusqu'à quel point il s'est "fondu" dans cette nouvelle identité, au point d'en arriver à presque "effacer" le Younes de jadis.

Les mots de Yasmina Khadra sont empreints de nostalgie et de poésie, les pages se tournent d'elles-mêmes. Je vais m'empresser de revisionner le film à présent !
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Une romance tendre et attendrissante qui m'a réconciliée, je dois le dire, avec les comédies romantiques dans le milieu scientifique (je n'avais vraiment pas accroché du tout à The Love Hypothesis l'année dernière).

J'ai adoré le concept du site de rencontres qui repose sur l'ADN et propose des "matchs" en fonction de la compatibilité biologique entre les individus même si, in fine, le message de ce roman est justement de prouver que l'amour ne se calcule pas et ne repose pas toujours sur des variables bien définies.

Le seul petit point plus négatif que j'aurais à soulever est la rapidité avec laquelle les deux personnages principaux développent des sentiments amoureux. J'aurais aimé voir davantage les sentiments éclore sur la durée (#TeamSlowBurn, on ne se refait pas).

En fait, j'ai eu l'impression que dès que les personnages apprennent leur compatibilité respective de 98 % (je ne spoile rien, c'est dit dans le résumé), ils se rapprochent dans la foulée assez soudainement. C'est dommage car j'aurais voir le côté "ours mal léché" de River Peña alias Americano un petit peu plus longtemps.

Il n'empêche que j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture avec cette histoire et que je lirai le spin-off sur la meilleure amie de l'héroïne avec plaisir lorsque celui-ci sera traduit en français.
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date : 11-11-2023
Six ans après ma lecture de Jamais Plus, j'ai plongé dans cette suite comme un élan nostalgique : celui de retrouver Lily et Atlas et de les voir enfin heureux.

Pour ma part, j'ai trouvé cette suite tout à fait convaincante et nécessaire pour clôre ce chapitre de la vie de nos protagonistes. L'histoire de Lily et Atlas est pour moi celle d'un amour qui s'est construit au travers des années, des souffrances et des obstacles. Un amour qui est né à l'adolescence pour se conclure à l'âge adulte. Atlas étant LE good boy par excellence, il est difficile, je pense, de ne pas tomber amoureuse de ce personnage (j'ai un faible pour les hommes qui cuisinent en plus, mais chut).

Malgré tout, même si j'ai dévoré ce roman en l'espace d'une journée, j'aurais aimé avoir davantage de moments Emerson/Atlas et la fin concernant le personnage de Ryle m'a parue assez... facile ? J'aurais aimé avoir plus de développement à ce sujet car cela reste tout de même un personnage central de cette duologie. Après, j'ai souvent été frustrée par les fins de Colleen Hoover et je reproche souvent un manque de développement dans les dernières pages donc ce n'est pas nouveau pour moi, dira-t-on.

Pour autant, cela restera tout de même un joli moment ainsi qu'une belle conclusion et il me tarde déjà de retrouver ces personnages à l'écran prochainement.
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J'étais vraiment impatiente de lire cette romance à tel point que je me suis jetée dessus le jour de sa sortie. Il faut dire qu'avec une couverture française magnifique et un résumé prometteur, je partais plutôt confiante, d'autant que j'avais déjà lu l'autrice et bien aimé son roman "Changement de marée". Malheureusement, j'ai décidé d'abandonner ce roman à 50 % car ce fut pour moi un condensé de tout ce que je n'aime pas dans une romance.

Premièrement, je n'ai pas adhéré au parti pris de la traduction d'utiliser le tutoiement entre les deux personnages dès le début de l'histoire alors que j'imaginais que le contexte de l'enquête mènerait à une sorte de distance professionnelle. Je veux dire, c'est un agent du FBI qui vient enquêter auprès d'une libraire pour une histoire de trafic de livres rares et il s'adresse à elle comme si c'était sa pote et qu'ils se connaissaient depuis toujours.

Mais bon, peut-être pouvons nous dire que c'était cohérent vis-à-vis de la rapidité de la relation entre ces deux personnages : on n'a pas le temps d'apprendre à les connaître ou de s'attacher à eux qu'ils sont déjà en train d'envisager de se mettre en couple alors même que le personnage masculin stipulait dès le début qu'avec son métier et l'enquête en cours, ce n'était vraiment pas le moment. Je me suis dit : "Chouette, on va avoir une romance avec de la tension, qui va prendre son temps...". Que nenni.

Ensuite, s'ajoute à cela le surnom "gitane" que le personnage masculin utilise à maintes reprises pour s'adresser à la fille du genre : "Gitane, va dormir", "Ouvre les yeux, gitane", "Ne commence pas, gitane", "Pardon gitane"... C'est juste TROP. La raison pour laquelle je ne supporte pas les surnoms dans les romances, c'est parce que j'ai l'impression qu'une fois que les personnages définissent un surnom, ils se sentent obligés de le balancer à toutes les sauces dès qu'ils s'adressent à l'autre personnage, comme si c'était son prénom. S'ajoute à cela le fait que plus de 90 % du temps, les surnoms utilisés dans les romances ne me font pas rêver non plus. D'ailleurs, je n'ai pas trop compris le choix du surnom dans ce roman, si ce n'est que, dixit le personnage masculin, "elle ressemble à une gitane". D'accord, mais pourquoi te sens-tu obligé de l'appeler comme cela 32 fois en tout et pour tout ? (oui, oui, j'ai vérifié sur ma liseuse).

Ajoutons à tout cela un parfait manque de communication, vous savez du style qui entraîne des quiproquos foireux parce que monsieur a dit au téléphone "ma chérie" a une autre fille, que sa dulcinée en face pense du coup qu'il la trompe, qu'elle décide alors qu'elle "ne veut pas faire partie de son tableau de chasse", qu'elle s'en va alors que finalement il était au téléphone avec... sa sœur. Là on touche vraiment du doigt le genre de manque de communication qui me hérisse le poil dans les romances. D'autant qu'au lieu d'essayer de la rassurer, alors même qu'il a vu qu'elle faisait une tête bizarre quand il a dit "ma chérie" au téléphone, il préfère mettre la main sur le combiné et lui dire "Je vais m'isoler, je reviens", pour aller terminer sa conversation aux toilettes. Mais pourquoi tu ne lui dis pas tout de suite que tu es au téléphone avec ta sœur, dediou ?? Vraiment, pour moi, c'est le genre de "drama" inutile que j'ai de plus en plus de mal à apprécier dans les romances.

Enfin, ce qui devait être pour moi un point positif c'est-à-dire l'âge des personnages (puisqu'ils ont la quarantaine et j'adore les romances avec des personnages vraiment adultes) n'a été que frustration pour ma part puisque, à aucun moment, je n'ai eu la sensation que l'héroïne avait réellement 40 ans. Elle m'apparaissait pleurnicheuse et assez immature si bien que j'avais juste l'impression de lire une romance avec un personnage féminin qui avait peut-être, à la limite, 19 ou 20 ans mais pas plus.

Je tiens à souligner que cela n'est que mon avis personnel et que j'encourage chacun à se faire le sien car je soulève-là des points qui ne me plaisent personnellement pas dans une romance, tout comme je sais qu'il y a des personnes qui n'aiment pas les slow burn et c'est ok. Cela dépend vraiment des goûts de chacun. Ce roman n'était simplement pas fait pour moi et j'en suis la première navrée.
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date : 31-10-2023
Clara Nové a ce don d'écrire des romances atypiques, qui sortent des sentiers battus et c'est pour cette raison que je me délecte de chacune des nouvelles sorties de cette autrice. Celle-ci n'a pas dérogé à la règle car aussitôt sortie, aussitôt engloutie.

Cette romance m'a énormément fait penser à Still Beating de Jennifer Hartmann qui avait été un coup de cœur pour moi l'année dernière. J'y ai trouvé de nombreuses similitudes et même si le personnage masculin n'est pas enchaîné (contrairement à Still Beating où les deux personnages sont enchaînés ensemble dans une cave) quelque part, on peut dire que Rage est enchaîné à sa façon dans cette ferme puisqu'il n'en est jamais sorti, en 20 ans d'existence.

Et c'est là d'ailleurs que se trouve toute l'originalité de ce roman : le personnage masculin. Ayant toujours vécu en autarcie dans cette ferme avec son frère, contraints par leur père de ne jamais en sortir et de ne jamais connaître le monde extérieur et la vie en société, Rage n'a ainsi pas la connaissance de certaines notions élémentaires comme la notion de ville, de nation, ce que signifie aller à l'école. Il ne sait ni lire ni écrire, ne sait pas ce qu'est une télévision et n'a même... j'avais vu une femme de sa vie.

Avant Alice. La prisonnière de son père.

J'aimerais également faire une petite mention spéciale au personnage de Hound que j'ai apprécié à ma façon dès le début, étrangement. Je dois dire que je n'ai pas vu arriver la "révélation" le concernant et expliquant son comportement particulièrement virulent envers Alice dès le début de l'histoire.

J'ai trouvé ce roman parfait dans ses imperfections. Parce que oui, il en a quelques-unes. Par exemple, le fait que l'on puisse avoir l'impression que le personnage féminin ne semble pas traumatisée plus que cela par la situation et qu'elle s'y adapte même plutôt facilement (là où dans Still Beating on ressentait vraiment le traumatisme des deux personnages). En un sens, ce roman m'a semblé plus "léger" psychologiquement parlant que le roman de Jennifer Hartmann, mais j'ai pris le parti de passer outre.

Auquel cas, cela aurait été la porte ouverte à d'autres réflexions du style : pourquoi le personnage masculin utilise parfois des termes alambiqués comme "ignominie" alors qu'il est si ignorant du monde extérieur, n'a jamais lu un livre de sa vie et n'a pas grandi auprès d'un père ayant l'âme poétique ?

Alors oui, j'ai décidé de passer outre ces détails. Je crois que ce roman est simplement arrivé au bon moment et est la preuve qu'on peut apprécier pleinement une histoire, sans forcément chercher à ce qu'elle soit la plus réaliste possible. Cela fait aussi partie de la magie de la fiction et du talent d'un auteur je pense, de savoir nous faire oublier des petits détails qui auraient pu nous faire tiquer dans n'importe quel autre roman.

Avec les romans de Clara Nové, je me laisse simplement porter par l'histoire, par l'instant présent. Et pour la quatrième fois, je peux dire que la magie a opéré.
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Je voudrais faire une mention spéciale à la nouvelle de Julie Will, Hunter or H(a)unted, parce que j'ai une affinité particulière pour les personnages de celle-ci : sincèrement, après ça, je le dis, ce serait criminel de ne pas consacrer un tome entier à Kent et Harper. Ce fut un plaisir de retrouver Kim Becker et Finn Bates mais découvrir plus en profondeur le personnage de Kent et le voir se faire prendre à son propre jeu... c'était savoureux.

En fait, j'ai juste envie de faire une déclaration à l'autrice : merci d'avoir l'audace d'écrire des histoires avec des personnages comme Kim Becker ou Harper : des filles qui sortent du lot, qui semblent si fortes à l'extérieur, parce que, à l'instar d'Harper, elles n'ont pas peur de revendiquer leurs envies et leurs désirs haut et fort, mais qui conservent malgré tout une fragilité que l'on ne peut percevoir que si l'on prête attention aux détails.

J'aime la complexité de ce type de personnage. Ce n'est pas juste : "bouuuuuh, Kim elle est méchante", c'est la complexité derrière que je trouve assez brillante et audacieuse de la part de l'autrice qui font, qu'en bout de ligne, ses histoires d'amour sortent du lot.

J'ai particulièrement aimé la construction de cette nouvelle qui alterne entre passé, au moment où Harper rejoint la colocation de Kent, et présent, lors de cette fameuse soirée d'Halloween qui va tout faire basculer. J'ai trouvé que cette alternance de temporalité permettait de bâtir sur la durée la relation entre Kent et Harper. In fine, même s'il s'agit d'une nouvelle, leur relation va prendre le temps de se construire jusqu'à l'explosion finale (et j'adore ça). D'ailleurs, je dois dire aussi que Julie Will a la particularité de très bien décrire les scènes spicy, le contrat est bien rempli à ce niveau-là haha.

Bref, je ne sais pas si je dois remercier l'autrice d'avoir à nouveau impacté mon sommeil (je me suis couchée vers 1 heure du matin alors que je travaillais le lendemain) mais je la remercie au moins d'avoir écrit ce spin-off de Out of Control. La fin me laisse l'espoir de les retrouver dans une suite et puis, rien que parce que Kim et Harper ne s'apprécient pas, ça mérite bien un tome entier ! 😆
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Ce fut une bonne lecture dans l'ensemble. Une romance qui se passe dans un parc d'attractions, c'est plutôt inédit et je dois dire que j'ai apprécié que l'autrice ne dépeigne pas non plus le monde "tout beau, tout rose" de ce genre d'endroits. Elle y expose aussi la dure réalité des conditions salariales des employés et je crois qu'on ne peut pas faire plus ancré dans la réalité quand on voit les grèves encore récentes à Disneyland Paris...

L'autrice y greffe également d'autres sujets comme le handicap ou encore l'autisme et j'ai trouvé ça très intéressant, notamment en ce qui concerne l'accessibilité de ces enfants dans ce type de parc. Et même si le schéma boss/employée n'est pas mon préféré, le fait de voir les personnages travailler pour une industrie qui fait rêver des millions de gens chaque jour était plutôt novateur.

Cela étant dit, je suis malheureusement restée assez extérieure à la romance qui, malgré des moments touchants et mignons, n'aura pas réussi à me convaincre tout à fait. J'avoue que j'aurais aimé plus de subtilité dans les mots parce que les phrases du type : "Il doit en avoir une grosse", "On va sortir la règle pour mesurer" ou encore "Il contrôle mon corps, tout comme il contrôle un conseil d'administration", ça ne me fait pas trop rêver, je l'avoue.

Je lirai toutefois le prochain tome sur le frère aîné, Declan, car je dois dire que l'autrice tease plutôt très bien son histoire. Affaire à suivre !
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date : 02-10-2023
Des paillettes dans un écrin de velours.

Si j'ai toujours été fascinée et attirée par l'univers du cirque, je n'avais encore jamais eu l'occasion de lire une romance qui le décrit aussi bien.

Par certains aspects, j'avais l'impression de regarder une comédie musicale à la Greatest Showman, j'ai joué le jeu d'écouter chaque musique, à chaque moment opportun. Et je vous conseille également de le faire pour que votre immersion soit la plus totale, d'autant plus que l'autrice m'a fait découvrir ainsi de superbes chansons et artistes comme Sub Urban.

L'histoire d'amour entre Phinéas et Lune prend le temps de s'installer comme j'aime, un beau slow burn qui prend forme sous le chapiteau du Carnie Circus Show.

L'autrice a vraiment réussi le pari assez fou de, au-delà de nous conter une histoire, nous faire vivre un véritable spectacle qu'elle a construit de toutes pièces en y incorporant des musiques que l'on ne connait pas forcément mais qui rendent ainsi son histoire et son spectacle encore plus singuliers.

Pour tout dire, j'ai lu ce roman il y a deux ans, et je me souviens encore aujourd'hui de certaines musiques puisqu'elles sont désormais dans ma propre playlist. Et deux ans plus tard, je le dis et le répète encore : j'attends toujours mon spin-off sur Carnie 🤭.

En attendant, installez-vous confortablement, prenez vos tickets pour le show car, c'est promis, vous allez en prendre plein les yeux. 🎪🌙
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Malheureusement, je ne lirai pas la suite. Dans le même genre, j'ai vraiment préféré "Fable" de Adrienne Young dont l'univers était mieux construit, plus développé, les dialogues plus profonds et la romance tellement plus convaincante.

"La fille du roi pirate" n'était pas, en soi, une mauvaise lecture, en réalité ça s'est lu tout seul en quelques heures, seulement, je sais que je vais rapidement l'oublier et je préfère 100 fois mettre plusieurs jours à lire un roman qui me marquera dans la durée plutôt que de lire en une journée un roman que j'aurais déjà oublié sitôt reposé.

Déjà, je dois dire que la romance était malheureusement décevante et assez bancale dans sa construction : un coup ils jouent la comédie, un coup non, puis finalement ils s'aiment. Ce n'est absolument pas une romance enemies to lovers ni même slow burn, elle est très rapide, si bien que je n'ai rien ressenti aucun attachement, que ce soit pour les personnages ou pour leur relation.

Pour dire, au départ, j'imaginais même Alosa finir avec Draxen (même si, au vu des agissements de celui-ci au cours du roman, il ne valait mieux pas) mais c'est dire à quel point le personnage de Rigen m'a laissée indifférente dès le départ. Trop propre sur lui, trop plat. Manque de consistance.

En fait, je pense que je ne suis simplement plus la cible pour ce type de roman. Pourtant, j'aime encore lire du Young-Adult mais, à contrario de "Fable", j'ai trouvé ce roman beaucoup plus "Young" que "Adult".

L'univers de Fantasy n'est pas développé (il n'y a même pas de carte en début de roman, je suis désolée mais c'est déjà quelque chose de représentatif dans un roman de Fantasy), les dialogues sont très creux et enfantins et il y a très peu de descriptions. Tout repose finalement sur les dialogues entre les personnages (qui sont malheureusement souvent un peu limites parfois).

Je pense qu'il en faut pour tous les goûts et que ce n'est simplement plus le style de récit qui me correspond. Je suis malgré tout contente d'avoir pu me faire mon propre avis sur ce roman dont j'avais entendu beaucoup d'avis dithyrambiques, notamment en VO.
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Contre toute attente, et alors que j'avais vu des avis mitigés, voire négatifs sur ce préquel, je l'ai personnellement beaucoup aimé. Ce fut vraiment intéressant de découvrir un Snow beaucoup plus "humain" qu'il ne l'est dans la trilogie d'origine.

Surtout, j'ai adoré découvrir les Jeux de l'autre côté de la caméra, du côté des mentors. En effet, pour la 10ème édition des Hunger Games, Snow va être désigné comme mentor d'une fille issue du District Douze. Il se dit alors qu'il n'a aucune chance de briller avec sa candidate et que celle-ci ne fera pas long feu.

Pourtant, un lien très fort va l'unir à cette fougueuse et touchante Lucy Gray. J'ai trouvé leur relation vraiment belle, forte et unique. J'ai aimé voir Snow la soutenir tout au long des Jeux, à sa façon.

Comme je le disais précédemment, ce fut aussi et surtout intéressant de découvrir l'envers du décor des Jeux et de suivre les Hunger Games derrière la caméra et non plus à l'intérieur de l'arène comme c'était le cas dans la série d'origine avec Katniss. Si bien qu'il y a des moments où l'on ne sait simplement pas où se trouve Lucy Gray dans l'arène, ce qu'elle fait, et qu'on trépigne de la voir apparaître sur les caméras des chaînes télévisées autant que Snow.

Je dois dire que le personnage de Lucy a vraiment été mon petit coup de cœur et ma révélation dans ce préquel. Si bien que j'ai été déçue de la façon dont l'autrice a décidé de clôturer cette histoire, et plus particulièrement la relation qui unissait Lucy et Snow.

Celle-ci était si belle et si forte tout au long du roman que je m'attendais à un final beaucoup plus mémorable et/ou marquant que celui-ci qui m'a laissée un arrière goût de : mouaaaais. Comme si, en nous dépeignant un Snow avec des qualités humaines pendant plus de la moitié du bouquin, soudainement, l'autrice s'était rappelée qu'à la base, elle était censée nous compter l'histoire du grand méchant et donc justifier la raison pour laquelle il va devenir celui que l'on connaît tous.

Et, malheureusement, sur un roman de près de 600 pages, j'ai eu l'impression que l'autrice s'était soudainement essayée à le justifier dans les... 150 dernières pages ? Autant, si j'ai trouvé les deux premières parties du roman vraiment prenantes et intéressantes, la troisième et dernière partie était pour moi un véritable marasme tendant à nous rappeler et à essayer de justifier le fait que le personnage de Snow doit devenir le grand méchant de l'histoire.

Au final, je termine donc un petit peu frustrée car j'ai trouvé la relation entre Lucy et Snow tellement belle que ce préquel aurait pu être un coup de cœur... s'il n'avait pas été sur le personnage de Snow.

L'autrice aurait parfaitement pu conter l'histoire de personnages totalement inconnus du grand public et cela aurait très bien fonctionné car, une fois de plus, toute la partie autour du mentor et de sa candidate, de l'envers des Jeux derrière la caméra etc. était très intéressante mais s'agissant de l'histoire de Snow... ce préquel ne répondait pas aux attentes que l'on pourrait avoir, selon moi.

On ne peut décemment pas justifier un tel revirement en si peu de pages alors qu'il a fait preuve de tant de compassion et de soutien pour le personnage de Lucy. Ils auraient mérité une fin à la hauteur de leur histoire : mémorable. Cela étant dit, je suis malgré tout contente d'avoir lu ce préquel et il me tarde de découvrir son adaptation cinématographique afin de prolonger le plaisir un peu plus longtemps auprès de Snow et de son oiseau chanteur.
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Si j'avais trouvé le premier tome sympa mais sans plus, ce deuxième tome était pour moi brillant et parfait de A à Z. Un véritable coup de cœur que j'ai dévoré en l'espace d'une journée et terminé en larmes à 3 heures du matin. C'était une histoire intense, poignante et émouvante.

Il faut dire que j'ai toujours eu un faible pour les personnages reclus, qui vivent en marge de la société et qui semblent presque incompris par le reste du monde. Je sais que souvent, les lecteurs mettent en avant le personnage de Toren Grace dans Attirance Interdite mais je pense que son frère Tyler mérite autant si ce n'est encore plus d'amour.

Parce que c'est un être brisé et bousillé qui renferme un véritable cœur d'or. J'ai eu de la peine pour lui, que ce soit parce que la ville toute entière l'accuse d'être le responsable de la disparition et séquestration d'Holly alors qu'il est son sauveur, ou parce que les gens le voient comme un monstre à cause de sa cicatrice... Il m'a vraiment touchée, et particulièrement lorsqu'il tente de masquer son visage à Holly avec ses cheveux au début et qu'il s'enferme dans son mutisme.

Je l'ai trouvé pourtant si bienveillant, si parfait pour elle. Il la comprend, la soutien, prend soin d'elle. Il est patient et prévenant. Et c'est ensemble, main dans la main qu'ils vont se reconstruire et s'aimer.

La relation prend vraiment le temps de s'installer comme j'aime, un véritable slow burn à la Mariana Zapata (même si, beaucoup plus dramatique ici en raison des thèmes et sujets évoqués). J'ai aimé les voir s'apprivoiser au début puis tisser un lien d'amitié avant d'envisager plus. C'était réaliste et cohérent de part leurs vécus respectifs.

En somme, ce roman était tout bonnement magnifique et je ne sais pas comment il serait possible que je puisse aimer un autre roman de Carian Cole davantage que celui-ci. Je pense qu'il était vraiment fait pour moi et que si l'on me demande quel est mon style de romance, ce serait exactement celui-ci.
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J'ai une relation un petit peu particulière avec ce roman puisque j'ai essayé de le lire une première fois en 2020. Sans succès. Je l'avais alors abandonné et trois ans sont passés sans que je ne l'oublie vraiment puisque je ressentais une sensation "d'échec" avec ce roman qui n'avait pas lieu d'être puisque la différence d'âge est mon schéma préféré en romance. J'étais alors profondément persuadée de ne pas l'avoir lu au bon moment.

Trois ans plus tard, je décide donc de redonner sa chance à Carian Cole et de replonger dans l'histoire de Kenzie et Toren et j'ai vraiment bien fait. C'est la première fois que je réalise l'expérience d'essayer de relire un livre que j'avais abandonné et cela me confirme que parfois, on ne sort simplement pas un livre au bon moment. Tout est souvent une question de timing.

J'ai finalement passé un agréable moment de lecture avec ces deux personnages, j'ai aimé leur alchimie et leurs combats intérieurs pour lutter contre leurs sentiments respectifs. J'ai aimé le fait que ce soient tous deux des personnages très bienveillants et profondément humains. Tout l'aspect autour du sauvetage de chiens ne pouvait que me toucher, les chiens étant toute ma vie.

Toutefois, je dois admettre que j'aurais aimé une fin beaucoup plus développée car, pour un roman qui peut se lire "indépendamment", je trouve que l'autrice expédie quand même assez rapidement certains points de l'histoire (ou ne les explique simplement pas) comme les circonstances précises pour lesquelles la mère de Kenzie se trouve dans le coma : Que s'est-il vraiment passé ? Le père de Kenzie était-il responsable ? Lorsqu'on arrive à la fin, je trouve dommage que ce sujet soit vite mis au placard et "résolu".

Je sais bien qu'il y a un tome complet dédié aux parents de Kenzie dans la série des Âmes tourmentées mais étant donné qu'il est mentionné que chaque tome peut se lire indépendamment, je reste tout de même avec un petit arrière goût d'inachevé. De même concernant la relation entre Toren et Asher, je trouve que la situation se résout finalement bien vite à la fin.

Il n'en reste pas moins que j'ai tout de même passé un bon moment de lecture dans l'ensemble. Que j'ai trouvé la traduction moins catastrophique que dans mon souvenir même s'il reste tout de même quelques coquilles. Je lirai le deuxième tome sur le personnage de Ty avec grand plaisir car la façon dont il est introduit dans ce tome ne peut que donner envie de découvrir son histoire et je pense que je peux apprécier plus encore son tome que celui de Kenzie et Toren dont je garderai malgré tout un souvenir agréable.
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Encore un tome de cette série que j'aurais dévoré en peu de temps alors même que ni le résumé, ni le personnage masculin que l'on suit ici, ne m'attiraient particulièrement... Et c'est bien là que réside tout le talent de Sara Cate : réussir à me faire aimer des histoires pour lesquelles je n'aurais jamais pensé adhérer une seule seconde !

Si j'ai autant d'affection pour cette série, c'est parce qu'elle te force justement à sortir de ta zone de confort et à te dire : ok, les gens sont libres d'aimer ce qu'ils veulent et de faire ce qu'ils veulent, tant que c'est fait dans le consentement et la légalité. Il n'y a vraiment aucun tabou avec Sara Cate et je trouve qu'elle arrive à y greffer à chaque fois une touche de bienveillance et de : "Eh, arrêtons de se juger les uns les autres".

Par ailleurs, dans ce tome, elle va aussi aborder la question de la confiance en soi et en son corps, Maggie étant un personnage qui n'est pas du tout à l'aise avec le sien mais qui va finalement apprendre à l'aimer et à le mettre en avant et j'ai trouvé ça très cool.

Le seul bémol que je pourrais reprocher, c'est que je trouve qu'on ne voit pas assez la transition entre le début où Maggie est "novice" et ne connaît pas encore très bien son corps et ses envies, et le moment où elle devient une "pro" dans son domaine. J'aurais aimé que l'on voit véritablement la transition et son "apprentissage" dans le domaine de la domination/soumission.

Mis à part cela, ce fut encore une fois un très bon tome et c'est toujours un plaisir de retrouver les couples des tomes précédents : on assiste aux mariages de certains, à ceux qui vont devenir parents... C'est vraiment ce que j'affectionne dans les séries de tomes compagnons, on finit par avoir l'impression d'appartenir à cette grande famille. Il me tarde déjà de lire le prochain tome sur le personnage de Ronan Kade, le mystérieux client le plus fortuné du club...
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J'ai absolument adoré ce préquel qui est pour moi un indispensable à lire avant de plonger dans "Let You Love Me". J'ai trouvé que c'était une très bonne entrée en matière pour nous permettre de plonger dans l'histoire de Bristol et Grip. Soit dit en passant, ça faisait longtemps que je voulais découvrir la plume de Kennedy Ryan et je ne suis absolument pas déçue : elle est superbe.

Par ailleurs, l'autrice évoque des thématiques qui, je n'en doute pas, seront encore plus développées dans "Let You Love Me" comme le racisme ou encore les liens fraternels.

Le personnage de Rhyson (le frère de Bristol et meilleur ami de Grip) me plaît déjà beaucoup et j'ai été très touchée par son histoire. Et la fin de ce préquel te donne forcément envie de poursuivre l'aventure avec toute la bande et de les retrouver huit ans plus tard !
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