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<< Il se pencha sur moi et m'embrassa violemment. Ce n'était toujours pas pratique, comme position, mais, au bout de trois secondes, j'oubliai ce détail. J'essayai d'oublier aussi à quel point tout ça aurait été encore plus amusant sans la barrière de nos vêtements. Ça, c'était plus dur, mais il faut savoir se contenter de ce qu'on a, et ce que j'avais était déjà très bien ─ le fait de sentir son membre dur contre moi, de goûter sa bouche, de l'entendre gémir dou...

Un profond soupir résonna derrière moi.

─ J'aurais dû m'en douter.

Je jetai un coup d'oeil et découvris Nick à la porte, avec un seau de glace rempli de boissons et des friandises plein les bras.

─ Ne me demandez pas de partir. Si vous faites l'amour en public, il faut vous attendre à avoir des spectateurs. (Il plissa les yeux pour mieux nous voir.) Vous êtes... encore habillés. Super méthode de contraception, mon pote, mais je crois que c'est un peu tard. >>

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-Ils... Quoi ?

-Les bebes.

Je devisageai Jeremy d'un air accusateur.

-Les bebes... au pluriels ?

Jeremy se frotta la bouche pour dissimuler comme il pouvait un petit sourire.

-Je pensais bien avoir detecte plus d'un battement de coeur, mais je ne voulais rien dire avant d'etre sur. Tour bien reflechi, une grossesse multiple n'est pas si surprenante...

-Multiple ? Comment ça multiple ? Il y en a combien, exactement ?

-Deux s'empressa de repondre Jeremy, avant de se tourner vers Tolliver d'un air anxieux. Il n'y en a que deux, n'est ce pas ?

Tolliver aquiesça.

-Alors, je vais avoir... Des jumeaux. On va avoir...

Je me retournai vers Clay. Il etait sorti du lit et se tenait derriere moi en souriant jusqu'aux oreilles.

-Toi non plus tu ne le savais pas ?

Il se contenta de secouer la tete, toujours en souriant, puis il me prit dans ses bras. Comme je ne lui rendais pas son etreinte, il me regarda d'un air inquiet.

-C'est une bonne nouvelle non ? Je sais que ça fera du boulot en plus, mais...

-C'est une bonne nouvelle, repondis-je tandis que mon coeur battait deux fois plus fort. C'est juste... Je crois que j'ai besoin de m'assoir.

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Je mange pour deux, tu te rappelles ? Il pouffa de rire tandis que mon ventre protestait de nouveau. — Voilà ce qui se passe quand tu me poursuis plutôt que de donner la chasse à une créature plus comestible. — Je m’en souviendrai, la prochaine fois. Il ouvrit un œil. — Après mûre réflexion, oublie ça. Poursuis-moi, et je te nourrirai après coup. Tout ce que tu voudras. — De la glace. — On en a ? demanda-t-il en riant. — La Crémerie a ouvert la semaine dernière. Deux banana split pour le prix d’un pendant un mois. — Un pour toi et un pour… Je grognai, ce qui le fit sourire. — D’accord, deux pour toi, deux pour moi. Il se releva à son tour et regarda autour de lui

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Clay ferma les yeux tandis que mes doigts évoluaient sur sa poitrine. J’en profitai pour le dévisager, car j’avais rarement la possibilité de l’observer sans qu’il le sache. Je ne sais pas pourquoi cela a encore de l’importance. Ça ne devrait pas. Il sait ce que je ressens pour lui. Je vais avoir un enfant avec lui – ça ne peut pas être plus explicite que ça, pas pour moi, en tout cas. Mais, après l’avoir repoussé pendant dix ans en essayant de faire croire que je ne l’aimais pas, que je n’étais plus du tout folle de lui, je reste prudente à certains égards. Peut-être le resterai-je toujours

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Je lui lançai un regard noir, puis me jetai sur son épaule et y enfonçai mes dents. Il s’écarta brusquement. Je me relevai, puis le clouai au sol à mon tour, les mains sur ses épaules, les genoux sur ses cuisses. Il se débattit, mais il ne pouvait se défaire de moi sans me projeter violemment. — Vaincu ? lui demandai-je. Il se tortilla une dernière fois avant d’acquiescer. — Vaincu. — Bien. J’écartai mes genoux de ses cuisses et m’avançai au-dessus de lui. Il essaya de se soulever pour venir à ma rencontre, mais je le repoussai avec mes hanches en l’obligeant à s’immobiliser. Puis je me mis en position. Quand je sentis l’extrémité de son sexe, je m’arrêtai et me frottai contre lui, en me titillant moi-même. Il gémit et tenta de m’empoigner les hanches, mais j’appuyai plus fort sur ses épaules. Puis, je fermai les yeux et m’empalai sur lui

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Mais il restait encore une question en suspense. Nous n'avions pas encore choisi quel serait leur noms de famille, non pas parce que c'etait un sujet de dispute entre nous, mais parce que, tout les deux, on se moquait bien du nom que porteraient les bebes. Comme Clay l'avait fait remarquer, Danvers n'etait meme pas son vrai nom de famille, alors si je voulais les appeler Michaels, il s'en fichait. Et pourtant...

Je regardai Jeremy. Danvers n'etait peut etre pas notre nom, a Clay et a moi, mais c'etait celui de cette maison et de cette famille. Clay s'assit sur le lit a cote de moi. Je lui souris.

-Ils s'appellent Logan Nicholas Danvers et Katherine Natalya Danvers.

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— Alors, comment on la joue ? chuchotai-je.

— On se contente de mettre fin à ses souffrances, répondit Jeremy.

— Tu ne veux pas l’interroger ?

— Pas besoin, répondit Clay.

Jeremy hésita. Je savais qu’il se disait lui aussi que ce serait bien de lui poser des questions. Par pure curiosité personnelle, évidemment, mais on pouvait masquer ça sous le voile de l’érudit qui voulait étendre les connaissances du monde surnaturel à propos des portails.

Au bout d’un moment, il secoua la tête.

— Non, le mieux, c’est de la tuer, de la façon la plus rapide et la plus indolore possible. Clay ? Va la voir et invite-la à te suivre dans la ruelle.

Clay regarda Jeremy comme si ce dernier venait juste de lui demander de danser la rumba en pleine rue.

Je ravalai un éclat de rire.

— Tu n’as qu’à marcher jusqu’à elle et désigner la ruelle en disant… je ne sais pas, moi… quelque chose comme « Cinquante billets ». Ça te paraît correct ?

Il haussa les sourcils.

— Pourquoi tu me poses la question ?

— Je ne voulais pas… enfin, en règle générale… (J’écartai les mains.) Comment suis-je censée savoir combien coûte une pute ?

— Je n’en sais pas plus que toi !

— Très bien, soupirai-je. Cinquante dollars, ça paraît correct. Ce n’est pas comme si elle connaissait les tarifs en vigueur, de toute façon. Tu n’as qu’à dire ça en désignant la ruelle d’un signe de tête. Elle te suivra.

Clay continua à nous dévisager tous les deux d’un air horrifié.

— Oh, pour l’amour du ciel, tu es prêt à lui briser la nuque, mais tu ne peux pas…

— Je m’en charge, intervint Jeremy, avant de me lancer un regard en coin. Non pas que j’aie plus d’expérience que Clay avec les prostituées.

— Ça ne m’a jamais traversé l’esprit.

J’eus droit à un regard faussement moqueur. Puis, il sortit de la ruelle.

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<< Clay resta avec moi, mais, après l'avoir écouté râler pendant cinq minutes parce qu'il voulait respirer de l'air frais et se dégourdir les jambes, je le poussai dehors, verrouillai les portes et le laissai prendre l'air et faire de l'exercice en tournant autour du véhicule et en tapant sur les fenêtres. >>

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Il se débattit sous moi en essayant de bouger, de saisir, de reprendre le contrôle, mais je ne le laissai pas faire. Au bout d’un moment, il renonça et se cambra en agrippant à pleines mains des poignées d’herbe. Il avait les mâchoires tendues et les yeux réduits à de minces fentes, mais ouverts quand même, comme toujours, pour m’observer. Lorsque la première vague de jouissance déferla, je le relâchai, mais il resta comme il était, en me laissant le contrôle. Je l’entendis vaguement gronder lorsqu’il jouit. Lorsque j’en eus fini à mon tour et que je me laissai aller contre lui, je vis ses yeux entrouverts et un sourire paresseux qui étirait les coins de sa bouche. — Tu te sens mieux ? me demanda-t-il. Je m’étirai sur lui et posai ma tête au creux de son épaule. — Beaucoup mieux

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Je levai le museau et humai l’air à pleins poumons, les pattes tremblantes d’excitation. High Park. Même lors des dernières années où j’avais vécu à Toronto, je n’étais jamais venue courir ici sous ma forme de loup. Ce lieu abritait trop de souvenirs, tous inextricablement mêlés à la seule chose que j’essayais alors d’oublier. Mais, cette nuit, nous étions tous les deux ici, comme autrefois, avant la morsure, avant que tout s’effondre. Oui, Clay était ici, avec moi. Tout avait été réparé entre nous, et notre nouvelle vie était encore meilleure que l’ancienne.

Je laissai échapper un soupir qui me fit frissonner, puis je fermai les yeux. Je sentais un poids dans mon ventre, lourd, chaud et… vivant. Oui, vivant. Sous cette forme, cela ne faisait aucun doute. Il n’y avait plus de peur. Tout était simple. Mon partenaire, mon petit, tous les deux en sécurité, comme il se devait, avec la nuit, et la forêt qui s’étendait devant nous, nous invitant à l’apprécier, à l’explorer, à la posséder…

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