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Quelqu’un frappa à la porte. On leva les yeux. Les narines d’Elena se dilatèrent et elle se pencha vers Clay pour lui murmurer quelque chose.

— Fais chier, marmonna-t-il. Continuez, Jaime. C’est juste Cassandra. Elle peut attendre. Éternellement, si on a un peu de chance.

— Je vous ai entendu, Clayton, dit celle-ci en entrant.

— Mais qui a oublié de verrouiller la porte, bordel ? demanda Clay.

— C’est toi qui es entré le dernier, murmura Elena.

— Merde.

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Lorsque Jeremy serra la main de Jaime, son visage ne trahit rien de plus qu’un vague éclat d’intérêt poli – pas étonnant, sachant qu’il aurait réussi à faire passer Lucas pour quelqu’un d’hyperémotif. Une expression déçue passa sur le visage de Jaime. Savannah, qui considérait visiblement que Jeremy n’était pas assez impressionné, fila se placer à ses côtés.

— Jaime passe à la télé, dit-elle.

— À la télé ? répéta Jeremy.

Elena se plaça auprès de lui en souriant.

— Tu sais, la télé. La petite boîte avec de jolies images qui bougent… (Elle dit à Jaime en aparté :) Il est très âgé. Il ne s’est pas encore habitué à l’ère industrielle. (Elle tendit la main.) Je m’appelle Elena. (Elle regarda autour d’elle.) Et le malpoli qui est passé à côté de vous sans dire bonjour, c’est Clayton.

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-Allez vous habiller,Brigid.

Elle leva les yeux vers lui en souriant.

-Pouquoi? Vous êtes tenté?

-Oui, de me cacher les yeux.

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Elena se tourna vers Jeremy, qui hocha la tête.

— J’en suis aussi, dit-elle.

— On en est aussi, dit Clay.

— Je ne sais pas trop ce que je peux faire, mais moi aussi, dit Jaime.

— Je vous accompagne, dit Cassandra.

— Génial, dit Savannah. Je suis obligée de venir déguisée ? Ou il vaut mieux que je file un coup de main à Elena et à Clay ?

On se tourna tous vers elle. Alors que son regard passait de mon visage à celui de Lucas puis de Jeremy, elle plissa les yeux.

— Pas question, dit-elle. Nan nan. Je ne resterai pas ici. Je peux vous aider. Je suis au moins aussi bonne que Paige pour lancer des sorts…

— Et même meilleure, dis-je. Mais tu as aussi treize ans. Si douée que tu puisses être, je suis responsable de toi. Non seulement tu risquerais d’être blessée par Edward, mais tu es toujours un trophée pour les Cabales.

— Tu es unique, tu te rappelles ? dit Elena en la gratifiant d’un sourire. Comme Jeremy. Vous pouvez vous tenir compagnie, tous les deux, surveiller le poste de contrôle, vous goinfrer de pizza et veiller hyper tard.

Savannah regarda Jeremy en roulant des yeux.

— Des fois c’est chiant d’être unique, hein ?

— Sans aucun doute, répondit-il.

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— Que je bluffais ? hurlai-je. Tu crois que je bluffais ? Je serais incapable de mentir pour sauver ma peau, alors celle de quelqu’un d’autre… Je n’arrive pas à croire que tu puisses penser…

Il m’attira vers lui pour m’embrasser.

— Il fallait que je vérifie. (Il sourit.) Au cas où.

— Eh bien, tu n’aurais pas dû en avoir besoin, et si tu crois que si, alors c’est ma faute. Plus de triturage de cerveau. Tu ne te débarrasseras pas de moi comme ça. Je t’ai même suivi dans l’au-delà. Et ça, c’est un engagement… typique d’une fille vraiment flippante qui refuse de lâcher le morceau.

Son sourire s’élargit.

— Tu es sûre que je suis vivant ? Parce que si l’au-delà ressemble à ça pour moi, j’ai dû être un garçon très sage.

— Et même mieux que ça, répondis-je.

Alors que nos lèvres se touchaient, Lucas leva la main pour m’attirer au-dessus de lui. Je nouai les doigts derrière sa nuque et l’embrassai avec une férocité qui m’étonna moi-même et fit naître en lui un petit rire qui le parcourut tout entier. Il me rendit pleinement ce baiser, ses lèvres écartant les miennes, le bout de sa langue chatouillant la mienne. On s’embrassa quelques minutes, puis ses mains glissèrent vers mes fesses, m’attirant vers lui…

— Heu, désolée de vous interrompre, dit une voix qui provenait de plus loin dans la ruelle. Mais si jamais vous comptez retirer vos vêtements, il y aurait moyen d’en lancer par ici ?

Je descendis de Lucas si vite que je faillis lui balancer un coup de pied à un endroit où je ne voulais vraiment pas le blesser.

— Elena ?

Elle nous observait depuis l’autre bout de la ruelle, où son visage dessinait une tache pâle dans le noir.

— Heu, ouais. Désolée, hein, mais j’ai préféré vous interrompre avant qu’il soit trop tard.

— Alors c’était toi. Le loup.

— Désolée si je vous ai fait peur. J’étais déjà passée une demi-douzaine de fois ici ce soir, donc quand j’ai perçu ton odeur, j’ai pensé que c’était l’ancienne piste, celle qui datait de ce matin. Mais je t’ai trouvée là.

Je m’avançai vers elle. Elle n’avait pas bougé de la poubelle derrière laquelle elle se cachait.

— Pourquoi est-ce que tu…, commençai-je, puis je souris. Oh, attends. Tu ne blaguais pas au sujet des vêtements, hein ?

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— Lucas ! lui cria Savannah. C’est quoi ton costume ?

— Je l’ai sur moi.

— C’est pas un costume, c’est un costard ! Tu portes le même quasiment tous les jours.

— C’est un smoking, répondis-je. Et très élégant avec ça.

— Mais vous êtes déguisé en quoi ? demanda Cassandra. En serveur ?

— J’allais dire en James Bond, suggéra Jaime.

— Ne me regardez pas comme ça, dit Aaron. J’insistais pour qu’il se déguise en chevalier, mais ces deux-là… (il désigna Lucas et Clay)… m’ont fait taire.

— Et j’ai eu le bon sens de ne pas l’ouvrir, dit Jeremy.

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— Et puis quoi encore ? Donc, pour Clay… (Elle regarda autour d’elle.) On s’est séparés pour couvrir plus de terrain. J’aurais dû hurler pour l’appeler avant de muter de nouveau, mais j’étais tellement surprise de vous voir ici que j’ai complètement oublié.

— Tu pourrais toujours hurler maintenant, lui dis-je.

Elle me fusilla du regard.

— Non, merci.

— Tu sais siffler ? demanda Lucas.

— Une solution beaucoup moins embarrassante, dit-elle. Espérons seulement qu’il me reconnaîtra.

Elena mit les doigts dans sa bouche mais ne réussit qu’à produire un petit bruit aigu qui évoquait davantage un cochon pris au piège. Un rire résonna derrière nous.

— Tu es sûre qu’il n’aurait pas été moins embarrassant de hurler, ma chérie ? demanda Clay qui apparut au coin de la ruelle, avant de lui montrer un ballot de vêtements. Tu as oublié quelque chose ?

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Elena tira sur la chemise pour la baisser, tordant le cou pour regarder jusqu’où elle tombait.

— Tout est couvert, lui dis-je avant de me pencher au coin de la ruelle. Lucas ? Elle est visible.

— Tant que je ne me penche pas, dit-elle en soupirant. Il va vraiment falloir que j’apprenne à laisser mes habits dans des endroits plus pratiques.

— Ou alors, lui dis-je, que tu t’achètes un grand sac banane. Et que tu l’attaches autour de ta taille avant la Mutation.

— Ne te moque pas, mais je l’ai déjà envisagé.

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Jaime gardait la tête baissée mais, quand elle m’entendit, elle leva les yeux et m’adressa un large sourire.

— Salut, dit-elle. Tout est sous contrôle ?

— Oui, répondis-je en m’agenouillant derrière elle. Merci beaucoup. Vous avez été formidable.

Comme j’entendais un bruit d’assentiment derrière moi, Jaime leva les yeux et, à voir la façon dont son visage s’illuminait, je compris qui se tenait là. Je levai les yeux pour voir Jeremy et lui désignai les cordes.

— Ça ne te dérange pas ? lui demandai-je. J’ai les doigts trop glissants. Ça doit être la transpiration.

Il hocha la tête et contourna Jaime.

— Je vais commencer par vos mains. Si je serre trop fort, vous me le dites.

— Hmmm, pas encore, d’accord ? Attendez une minute. Je suis encore en train d’essayer de comprendre comment m’échapper.

— Vous n’avez pas besoin de vous échapper, Jaime, dit-il doucement. Tout est fini. Je peux vous détacher maintenant.

— Oh, je sais, et vous pourrez, dès que j’aurai trouvé comment j’aurais pu le faire. C’est déjà assez humiliant d’être enlevée, ligotée et d’avoir besoin d’être secourue. Il faut au minimum que je sois en mesure de dire « Merci de m’avoir libérée, mais j’étais à deux doigts d’y arriver toute seule ».

Petit gloussement.

— Je vois.

— Qu’est-ce que vous pensez du brillant à lèvres ?

— En général ? Ou comme instrument d’évasion ?

— Pour l’évasion. J’en ai dans ma poche et j’arrive presque à l’atteindre. Et si j’en avais étalé sur les cordes, est-ce que j’aurais pu les faire glisser ?

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"-Tu m'avais promis que j'aurais ce genre de trucs quand j'entrerais au lycée, me dit-elle en élevant un slip de soie verte.

-Je ne t'ai rien promis de tel.

-J'en ai parlé et tu n'as pas dit non. C'est pareil que promettre. Tu sais comme c'est gênant quand je me change au vestiaire et que toutes les filles me voient avec des culottes de grand-mère en coton?

-Raison de plus pour que tu les gardes. Si ça t'embarrasse que des filles les voient, ce sera encore plus gênant quand ce seront des garçons. C'est la ceinture de chasteté des temps modernes."

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