Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
La violence. Qu’est-ce qu’on en fait, à 17 ans, quand on a grandi auprès d’un père qui porte en lui la tempête ? En faire abstraction, s’en défendre, la transformer en énergie positive ? Que faire de ce modèle, dans un monde où par ailleurs la brutalité est partout, et impossible à ignorer ?
Quentin n’a pas toutes les réponses, mais tente d’y réfléchir.
- A l'école, le maître, il dit que les mots ça peut blesser. Par exemple les insultes, ou les mots méchants. C'est pareil dans ton livre ?
- Non, dans mon livre, ça blesse pas les gens. C'est juste que ça met des images pas très belles dans la tête. Mais oui, il a raison ton maître, quand on dit des mots méchants aux autres, ça peut faire très mal !
- Comme Papa.
C'est pas une question qu'elle pose. Elle l'affirme. C'est pas un mot méchant non plus. Pas une insulte. Même pas une image violente. Juste deux mots : ''Comme Papa'', et pourtant c'est violent et je le prends en pleine figure. Ca m'écrase le cœur d'un seul coup, comme si un magasinier de cent kilos posait son genou sur ma poitrine.
Je pensais pas qu'elle comprenait ça ! Je suis un peu con, en fait. Je croyais quoi ? Qu'elle avait pas d'émotions ma petite sœur ? Comme une poupée qu'on appelle Princesse ?
Mon père a jamais été rude avec elle. Ses mots qui font mal, ils les réservent pour moi et ma mère. Alors je pensais pas qu'Amira, elle ressentait la violence des propos.
J'adore toujours autant cette collection " la brève" de chez Magnard jeunesse qui en très peu de pages arrivent à traiter des sujets difficiles. Ici, c'est au tour de la violence d'être mis en exergue. L'auteur en parle sans rien occulter des difficultés du héros qui mène son propre combat contre cette violence qui irrigue toute sa vie. Vraiment un très bon roman à mettre entre toutes les mains des ados, surtout ceux qui peuvent être rebutés par les pavés de roman !
Résumé
La violence. Qu’est-ce qu’on en fait, à 17 ans, quand on a grandi auprès d’un père qui porte en lui la tempête ? En faire abstraction, s’en défendre, la transformer en énergie positive ? Que faire de ce modèle, dans un monde où par ailleurs la brutalité est partout, et impossible à ignorer ?
Quentin n’a pas toutes les réponses, mais tente d’y réfléchir.
Afficher en entier